[Mad & Sherazade & Psycho en horse-ball - RP en cours]

Cet après-midi il faisait plutôt beau, la chaleur revenait doucement et je pouvais troquer ma lourde veste pour un sweat à capuche noir un peu trop grand mais parfait pour la saison. Enfin bref, cet après-midi, j'avais rendez-vous avec deux cavalières du haras que je n'avais pas encore rencontré et avec qui je devais faire une séance de Horse Ball. Honnêtement je n'en avais jamais fais, et Milord non plus à ce qu'il me semblait, enfin bref. J'avais rendez-vous avec ces deux demoiselles et leurs chevaux et comme d'habitude, j'étais en retard. Je me précipitais donc à la sellerie pour récupérer les quelques affaires de mon Lord et ma boîte de pansage pour, avec la vitesse de superman, foncer vers son boxe. De bonne humeur, c'est en me faisant la fête que mon bai m’accueillit. Je posais donc les affaires sur la porte de son boxe, la boîte de pansage à la main et rentrait avec lui après une caresse sur le bout du nez et un carré de sucre. Tout en lui racontant le programme de ma journée, je le pansais rapidement mais efficacement, démêlais ses crins et lui curais les sabots. Prêt, une petite tape sur l'épaule pour le féliciter de sa docilité, je prenais une à une ses affaires pour le seller. Je posais son tapis bleu sombre sur son dos, amortisseur de même couleur avec le mouton noir puis sa selle en cuir noir. Je mettais en place le collier de chasse puis sanglais le tout. Prêt, je présentais le mords à Milord qui rechigna à le prendre mais le prit facilement et, filet en place, accrochais la sous-gorge et la muserolle. Je n'eu plus qu'à mettre les protections et mon étalon était prêt.

Je mettais ma bombe et sortais en compagnie de mon bai qui marchait docilement derrière moi sans avoir à le tenir. Quelques fois, il s'arrêtait pour regarder à un endroit précis mais me suivit sans mal. Ce n'est qu'une fois dans la cour que je pris les rênes pour rejoindre le terrain de horse ball où attendaient déjà les deux autres cavalières. Comme je le pensais, elles étaient déjà là. Je ressanglais de deux trous puis descendais les étriers pour me hisser sur le dos de mon petit étalon sans adresser un mot, commençant à le faire marcher.