Whiteaevon de HDP

Après avoir brossé Irisor, la belle jument fjord, je vais maintenant m'occuper de Whiteavon, un autre cheval de l'écurie évènementielle. Après quoi je m'occuperais certainement de Malteser et de Luciole, deux de mes chevaux. Même si je meurs d'envie de passer un petit coucou à tous les chevaux de l'écurie évènementielle, je n'ai pas l'intention de délaisser mes chevaux.

J'arrive devant le box du bel étalon caspien, à la robe palomino. Son ancienne propriétaire était Sun, mais elle est partie. Je claque de la langue et le cheval se retourne. Il porte une belle couverture polaire beige à rayures marron. Je lui tends ma main, que le cheval renifle. Puis, je lui caresse sa tête, et son encolure. Après avoir fait ça, je prends mon licol, et rentre dans le box du palomino. Celui ci, respectueux, se pousse pour me laisser passer. Je lui flatte l'encolure, puis lui mets le licol aussi délicatement que possible. Le cheval me donne sa tête. Je le flatte une fois de plus, puis ouvre la porte du box en grand et invite le cheval à me suivre. Ma longe n'est pas tendue, pour ne pas que le cheval se sente oppressé. Je l'attache à la barrière, puis lui enlève sa légère couverture. Sous la chemise se cache en fait... d'immenses plaques de boue! Il a dû être sorti au paddock récemment. Je plie la couverture, la mets sur la porte du box puis entreprends un bon gros pansage.

Je commence par l'étrille. Je frotte énergiquement la robe du caspien avec des mouvements circulaires, pour faire tomber les plaques de boue. Je ne passe l'étrille que sur les parties charnues, bien entendu. Une fois que les plaques de boue sont tombées, je flatte l'encolure du cheval qui reste bien sage et prends mon bouchon. Comme pour Irisor, je commence d'abord par faire tomber la poussière sur le garrot et les épaules. Je fais de grands geste du haut vers le bas. Puis, je descends vers les membres antérieurs. L'étalon est vraiment très poussiéreux et très sale, donc ça me prend un bon quart d'heure pour enlever toute la poussière plus la boue collée aux membres. Heureusement que Whiteavon est bien sage! Je fais de même pour le ventre et la croupe avec les membres postérieurs. Le tout me prends bien 20 minutes! En gros, j'ai passé 35 minutes à faire tomber la poussière. Je commence à transpirer, j'en ai fait des efforts! Mais le résultat est là: la belle robe du caspien est maintenant entièrement apparente. Je flatte son encolure, puis prends ma brosse douce. Je m'approche doucement de la tête de l'étalon avec, puis commence à brosser sa joue droite couverte de boue le plus délicatement possible. L'étalon ne bronche pas, heureusement. Je lui fais un gros câlin, puis pars chercher ma brosse micro-fibre. Je la passe dans le sens du poil, sur le dos, les flancs, les épaules et la croupe du cheval. Sa belle robe brille de milles feux! Je range la brosse puis prends mon cure pied. Je demande les sabots du caspien, qui me les donne. Ceux-ci sont couverts de boue! C'est donc après avoir fait des efforts herculéens que j'arrive à enlever toute la boue de tous les sabots. Mais, je n'en ai pas fini avec eux: je fais un nœud à la queue de Whiteavon, et enduis ses sabots d'une épaisse couche de graisse noire. Le nœud sert bien évidemment à éviter que la queue soit couverte de graisse. Dès que j'ai fini de graisser les pieds du cheval, je défais le nœud, puis sors ma brosse à crins. Je démêle alors soigneusement la queue et la crinière du palomino. Celle ci est un peu emmêlée, mais ça va. Je flatte l'encolure du cheval qui s'est montré exemplaire durant tout le pansage, et lui donne une friandise. Le cheval la prend avec gourmandise. Je le caresse, puis lui remets sa couverture et le remets au box. Puis, je me dirige vers les écuries de proprios pour m'occuper de Malteser et de Luciole.

Après cette amusante partie de foot avec I have a Dream, je me dirige maintenant vers l'écurie événementielle pour la 2ème fois de la journée. Cette fois je vais brosser Whiteavon. Par contre, je n'aurais pas le temps de tenter autre chose. Mais je vais au moins le brosser, c'est le minimum.

Je claque de la langue et le cheval lève sa tête. Il me regarde, les oreilles pointées vers l'avant. Je lui caresse la tête, puis l'encolure, avant de prendre mon licol et d'ouvrir la porte du box. J'enfile délicatement le licol à Whiteavon, puis je le sors du box et je l'attache à la barrière. Je lui enlève sa couverture, la plie et la mets sur la porte de son box. Le palomino ne s'est pas sali depuis hier. Le pansage sera donc plutôt rapide. Je prends directement mon bouchon et enlève la poussière dans le poil du caspien. Ça ne me prend pas très longtemps. Alors, je prends ma brosse douce pour enlever toutes les poussières. Ça me prend un quart d'heure à bien enlever toutes les poussières. Une fois que c'est fait, je prends ma brosse micro-fibres et lui lustre le poil. Et voilà, il est tout beau! Je lui démêle ensuite sa crinière et sa queue. Elles se sont un peu emmêlées pendant la nuit. Je ne passe néanmoins que quelques minutes à tout démêler. Une fois ceci fait, je lui cure les pieds. Puis, je les enduis d'une épaisse couche de graisse noire. Je lui donne une carotte en guise de récompense, puis je lui remets sa couverture. Puis, je le remets au box. Je n'ai pas pu beaucoup m'occuper de Whiteavon aujourd'hui, et je le regrette. Mais bon, ça sera pour une prochaine fois. Je quitte donc l'écurie événementielle à contrecœur. Je me promets néanmoins de revenir ici très vite.

J'arrive au haras de pado, avec le sourire. Je vais monter Whiteavon aujourd'hui, pour m'excuser de ne pas l'avoir fait hier. Il parait qu'il s'ennuie pas mal en dressage et en saut, et qu'il a envie de découvrir autre chose. C'est pour ça qu'aujourd'hui, on fait du TREC! Je pose mon sac devant le box du palomino et claque de la langue.

Whiteavon lève la tête, et tend l'encolure vers moi. Il semble être heureux de me voir. Je lui caresse longuement son encolure, puis je prends mon licol. J'ouvre la porte du box et me faufile à l'intérieur. Puis, je mets délicatement le licol au beau caspien. Puis, j'ouvre la porte du box en grand et sors de celui ci avec le cheval. Je l'attache à la barrière. Puis, je lui enlève sa couverture, la plie et la pose sur la porte du box. Le cheval ne s'est presque pas sali depuis hier! C'est tout juste si sa crinière et sa queue sont emmêlés. Je sors donc directement ma brosse douce et fais tomber les petites poussières, pas très nombreuses, qui se nichaient dans le poil de l'étalon. Puis, je prends ma brosse à crins et démêle soigneusement la belle crinière du cheval. Puis, je m'attaque à sa queue. Ça me prend à peine quelques minutes. Je flatte l'encolure du bel étalon. Puis, je sélectionne mon cure-pied. Je lui cure ses sabots uns à uns. Puis, à nouveau, je les recouvre d'une épaisse couche de graisse noire. Le pansage est à présent fini! Je prends une friandise de mon sac et la donne au palomino, qui se jette dessus. Puis, je pars à la sellerie pour chercher ses affaires.
Je reviens avec une selle, un tapis, un filet, un amortisseur et un collier de chasse. J'ai déjà des guêtres et des protèges-boulets. Je commence justement par les lui mettre. Puis, je pose le tapis sur son dos, avec l'amortisseur et la selle par-dessus. Je sangle en douceur. Puis, je lui mets délicatement son filet. Enfin, je lui enfile son collier de chasse et l'attache. Puis, je resserre la sangle d'un trou, descends les étriers et monte à cheval. Le terrain de TREC est loin, j'y serais plus vite à cheval qu'à pied.

Je règle mes étriers, puis mets le cheval au pas, avec les rênes longues. Et nous nous dirigeons vers le terrain de cross. Il est à 500 mètres. Pendant la moitié de ce trajet, je laisse mon cheval marcher. Puis, pendant la seconde partie du trajet, je le fais trotter, avec les rênes longues, en changeant régulièrement de diagonal. Une fois arrivés au terrain de TREC, je rajuste mes rênes, et commence à faire des courbes larges autours des troncs d'arbres, des fossés, des haies ou de divers obstacles. Puis, je fais des courbes de plus en plus serrées et fais des transitions. Whiteavon a l'air heureux de se retrouver là en ma présence. Je pense qu'il a hâte de pouvoir commencer à passer les divers obstacles de TREC. En attendant, il se contente d'être bien réactif à toutes mes demandes. Je le félicite régulièrement. Puis, au bout d'un moment, je lui demande de partir au galop à gauche Whiteavon part au galop à une allure soutenue. Je lui demande un galop de travail en me redressant, et le palomino reprend une bonne allure. Je le fais galoper un peu tranquillement, puis lui demande un cercle et un doublé. Whiteavon les fait parfaitement. Je je caresse, puis le repasse au trot et change de main. Je le fais repartir au galop et recommence les mêmes exercices à l'autre main. De toute façon, nous n'allons pas travailler beaucoup au galop. Je le repasse au trot, puis au pas, et le laisse marcher pour reprendre son souffle.

Une fois que le cheval a repris son souffle, je me dirige tranquillement, au pas, vers le premier obstacle que nous allons voir: le pont en bois. Je tiens les rênes ajustées. Une fois devant le pont en bois, Whiteavon hésite, puis pose un pied dessus. Entendant le bois grincer, il se recule vivement. Je le caresse, puis reviens au pas sur le pont. Je l'encourage avec ma voix, essayant de le rassurer. Le palomino repose un pied dessus, mais cette fois, il n'est pas surpris par le grincement du bois. Il hésite à avancer plus. Je l'encourage du plus que je peux. Finalement, le cheval avance d'encore un pas, puis deux, puis trois. C'est ainsi que, pas par pas, nous arrivons à passer le pont. Je caresse Whiteavon et le félicite. Puis, nous revenons encore une fois sur le pont. Cette fois, Whiteavon se montre moins hésitant. Il s'arrête devant le pont, hésite une seconde puis passe le pont au pas, assez lentement. Je caresse une fois de plus le cheval, puis reviens sur l'obstacle. Cette fois, Whiteavon le passe comme si de rien n'était. Je le caresse une fois de plus, puis mets le cheval au trot. Je reviens sur l'obstacle calmement, au trot de travail, et le palomino pile devant le pont, avant de faire un saut tout en longueur pour atterrir au milieu. Il repart au grand trot pour finir de passer le pont. Je le caresse bien fort, puis le fais revenir sur l'obstacle. Cette fois, le cheval ne pile pas et se contente de passer le pont au grand trot. Je le caresse et le félicite avec ma voix.

Nous allons maintenant passer à l'obstacle suivant: le gué. Il s'agit en fait d'un fossé avec 50 cm d'eau dedans. J'arrive sur l'obstacle, calmement, au pas avec les rênes longues. J'arrête le cheval devant le gué et le laisse sentir l'obstacle. Whiteavon en profite pour boire. Je rigole. Puis, je serre légèrement mes mollets et encourage le cheval à s'aventurer dans l'eau. Celui ci shoote dans l'eau, puis, hésitant, y fourre son antérieur gauche. Je le félicite et l'encourage à continuer. Le cheval fourre alors son antérieur droit. Puis ses postérieurs. Alors, je serre les mollets et encourage le cheval à avancer. Celui ci avance lentement. Mais, finalement, nous arrivons à traverser le gué. Je caresse alors le cheval. Puis, pour finir, nous allons passer un contre bas. J'avance au pas vers le contre bas le moins dur à passer et laisse les rênes longues au cheval, en l'encourageant à descendre. Le cheval recule, mais, après l'avoir beaucoup encouragé, il s'assied et se laisse glisser jusqu'en bas. Pour ne pas tomber, je m'accroche à sa crinière. Puis, une fois en bas, Whiteavon se remet normalement. Je lui fais un câlin et lui flatte l'encolure. Puis, nous rentrons à l'écurie au trot.

Une fois de retour à l'écurie, je descends du cheval, et le desselle. Je range tout l'équipement à la sellerie, en n'oubliant pas de nettoyer le mors du filet. Par la même occasion, je nettoie également mes protections, puis les mets à sécher. Le cheval est couvert de boue. J'entame donc un pansage complet. Je sors d'abord mon étrille et fais tomber toutes les plaques de boue très présentes dans le poil du caspien, en particulier sur la croupe. Puis, je prends mon bouchon et enlève la majorité de la poussière. Je passe aussi beaucoup de temps à m'acharner sur les membres couverts de boue. Mais, finalement, j'arrive à un résultat correct à force de m'acharner. Je n'ai cependant pas le courage d'enlever les dernières poussières. Je passe donc à la brosse à crins. La queue est dans un piteux état. Elle est toute emmêlée avec plein de boue. Je passe bien 10 minutes à enlever la boue. Je n'ai pas le courage de démêler entièrement la queue. Alors, je passe à la crinière. Celle ci a beaucoup moins souffert que la queue. C'est très rapide de la démêler. Une fois que j'ai fait ça, je passe aux sabots. Après de longues minutes à essayer de rendre les sabots propres, je finis par avoir des résultats corrects. Je juge donc que j'ai fini mon pansage. Je donne deux carottes à Whiteavon, qui les mange goulument. Puis, je lui remets sa couverture et le remets au box.

Après avoir préparé Irisor pour ce soir, c'est maintenant au tour de Whiteavon d'être préparé. Je déplace mes affaires devant le box du beau palomino, puis claque de la langue. Le cheval vient me voir, tout content. Je lui caresse la tête, puis l'encolure.

Puis, je prends mon licol, et entre dans son box. Le cheval se pousse pour me laisser passer. Je lui mets le licol, puis ouvre la porte du box en grand. Et nous sortons, côtes à côtes. J'attache le cheval à la barrière, puis lui enlève sa couverture, que je plie et pose sur le box du beau palomino. Le cheval n'est pas très propre, à cause de ma séance de TREC avec lui hier, ceci dit, il n'est pas très sale non plus. Je prends mon étrille et frotte avec des mouvements circulaires sur toutes les parties charnues. Puis, je prends mon bouchon, et enlève une très grosse partie de la poussière cachée dans le corps et les membres du caspien. Je passe ensuite la brosse douce pour enlever les dernières poussières, et enfin je passe ma brosse micro-fibre pour lustrer le poil du palomino. Le voilà qui rayonne de splendeur! Je lui flatte l'encolure, car il s'est montré sage comme d'habitude, puis je sors mon cure-pied. Je lui cure les pieds uns à uns, et les enduis d'une épaisse couche de graisse noire. Maintenant, passons aux crins et à la queue. Je prends ma brosse à crins, et démêle soigneusement sa queue et sa crinière. Puis, je prends une bonne dizaine d'élastiques, et entame une tresse de queue. Whiteavon ne bouge pas d'un poil. Une fois que j'ai fini de tresser la queue, je flatte l'encolure du cheval, puis je passe aux pions. Je commence par séparer sa crinière en une dizaine de mèches, sans oublier le toupet. Puis, je fais une tresse toute basique sur chacune d'entre elles et j'attache les tresses à l'aide des élastiques. Enfin, j'enlève les élastiques, je plie les tresses en 4, puis je remets les élastiques. Voilà! Mes pions sont à présent finis! Finalement, ils ne sont pas si horribles que ça. Je flatte l'encolure du caspien une fois de plus car il s'est montré exemplaire, puis je lui remets sa couverture et le remets au box, en lui laissant une demie baguette de pain sec.

Hier, je n'ai pas pu passer au haras parce que je passais la journée chez mes cousins. Je n'ai donc pas pu m'occuper des chevaux. Cependant, je vais me rattraper aujourd'hui. Le premier cheval que je vais voir est Whiteavon. Je me dirige donc vers l'écurie événementielle. Je pose mes affaires devant le box du cheval. Puis, je claque de la langue, et le cheval lève la tête. Il s'approche de moi, toujours aussi content de me voir.

Je le caresse, puis je prends mon licol et ouvre la porte du box pour entrer à l'intérieur. Je mets le licol au cheval, puis sors du box avec lui, tout en lui parlant. Je l'attache à la barrière, et lui enlève sa couverture, que je plie et pose sur la porte du box. Le cheval s'est bien sali! Il est tout boueux! Je vais remédier à ça. Je prends mon étrille et enlève toutes les plaques de boue qui parsèment son corps avec des mouvements circulaires et énergiques. Mais, que sur les parties charnues. Puis, j'enlève la poussière et la boue collée sur le membres avec l'aide de mon bouchon. Pendant que je fais mon pansage, je parle au cheval. Je prends ma brosse douce et enlève un peu de poussière, mais je n'ai pas le courage de tout enlever. Je prends ma brosse à crins et lui démêle sa magnifique crinière ainsi que sa queue. Puis, je prends mon cure pied et cure les pieds du cheval, avant d'appliquer une épaisse couche de graisse noire. Voilà, le cheval est présentable. Comme je n'aurais pas le temps de le monter, je pense que je vais faire une balade en main avec lui. Ça ne sera pas bien long, juste le tour des paddocks.

Je détache mon cheval, et pars au pas vers les paddocks. Whiteavon me suit d'un pas actif. Bien éduqué, il ne tente pas de me dépasser. Le chemin jusqu'aux paddocks n'est pas long, une cinquantaine de mètres seulement. Aussi, nous sommes très vite arrivés. Une fois arrivés devant, j'arrête le cheval et lui propose de brouter. Celui ci s'empresse de le faire. Je le laisse brouter 10 minutes. J'en profite pour répondre aux textos de ma mère. Puis, je relève la tête du caspien, et nous repartons. Nous marchons 5 minutes, avant d'arriver au milieu de notre parcours. Je décide alors de faire trotter le cheval, pour qu'il se dégourdisse les jambes. Je le fais trotter sur une vingtaine de mètres, avant de le repasser au pas. Nous marchons encore pendant 5 minutes autours des paddocks, avant d'en avoir fait le tour. Enfin, pas vraiment, nous avons en fait juste fait le tour des paddocks réservés aux chevaux du club. Si nous devions ajouter les paddocks de RM, des proprios et les prés, ça aurait donné un total d'au moins 3 bons kilomètres. J'ai donc préféré couper. Mais, ceci dit, nous avons fait le tour. Je décide alors de faire un petit exercice. Je dois lâcher la longe du cheval et il doit me suivre. Je pose la longe sur l'encolure et le garrot du cheval, puis lui demande de me suivre en l'appelant par son nom. Le palomino hésite, puis me suit. Je le félicite avec ma voix, puis lui donne un bout de carotte, que le cheval mange en moins d'une seconde. Je reprends la longe, et nous rentrons à l'écurie. Je rentre le cheval au box, vérifie qu'il n'y aie rien coincé sous ses sabots: parfait. Alors, je lui remets sa couverture, lui donne une demie baguette de pain et m'en vais.

La construction de mon domaine est enfin finie! Il en a de l'allure, ce domaine! Il y a 15 box, tous équipés de mangeoires et d'abreuvoirs. Pour l'instant, j'ai 10 chevaux, il me reste 5 box de libres. Mais ce nombre va baisser aujourd'hui, car à l'occasion de la vente de l'écurie événementielle, j'ai décidé d'acheter Whiteavon et Irisor. Je me suis déjà occupée d'eux à l'occasion de Noël, c'est l'une des raisons pour laquelle je les ai acheté. Aujourd'hui doit avoir lieu le changement de box. Mello s'occupera d'Irisor et moi de Whiteavon. C'est donc à ses côtés que j'avance vers l'écurie événementielle.

Nous sommes chacune équipées d'un licol acheté pour l'occasion. Je montre à Mello le box d'Irisor. La jument se trouve à l'intérieur. Puis, je la laisse se familiariser avec la jument. De mon côté, j'avance vers le box de Whiteavon. Je claque de la langue, et celui ci se retourne pour me faire face. Il semble me reconnaitre. Je lui présente ma main, qu'il renifle. Je lui donne une petite tape amicale sur l'encolure puis entre dans son box à pas de loup. Je lui présente le licol, et que White renifle un court instant. Je lui enfile alors le licol, et le caspien me donne même sa tête! Je le flatte, puis ouvre la porte du box en grand pour que nous sortions. Je sors du box avec White sur les talons, puis je ferme la porte derrière nous. Et nous partons pour mon domaine qui n'est situé qu'à 500 mètres d'ici. White avance d'un pas énergique, mais sans me dépasser. Nous marchons côte à côte sur le chemin bétonné de l'écurie. Puis, nous continuons de marcher encore quelques instants, avant d'arriver au Domaine de l'Azalée. J'attache White à l'aire de pansage car je compte bien faire une petite inspection pour vérifier que tout va bien. Je commence par regarder sous son ventre, sur ses membres, sur son encolure, sur sa croupe pour vérifier qu'il ne soit pas blessé. Apparemment non. Je le tâte un peu partout pour voir si il n'a pas mal quelque part, mais visiblement non. Et il n'avait pas l'air d'être boiteux sur le chemin du domaine. Donc, tout va bien. Je me m'attèle donc à un pansage rapide, vu que l'étalon est en grande partie propre. Je passe le bouchon un peu partout, puis je lui cure ses pieds et lui démêle ses crins. Pour finir, je lui mets sa couverture, et le remets au box. Son nom a déjà été gravé sur la plaque du box. Je lui donne une caresse, puis un bout de pain et pars voir où en est Mello. Elle aussi, elle vient de finir. Nous partons donc ensemble vers le club house pour prendre un verre avant de s'occuper d'autres chevaux.