Matthew arrivait tranquillement dans l’écurie pour commencer sa journée. Les chevaux avaient déjà été nourris et ils finissaient tranquillement leur foin. Une seule petite tête dépassait dans l’écurie, c’était celle d’UltraChic. La petite n’avait qu’une petite ration et avait donc fini avant les autres. Quand la jeune homme d’approcha d’elle, elle tendit son nez vers lui. Il caressa alors son chanfrein. Il alla alors chercher quelques brosses ainsi qu’un petit licol. Il allait entamer son pré débourrage.
Il revint vers elle et ouvrit la porte du box afin d’y pénétrer. Il la caressa et lui donna une petite friandise. Il commença alors à la caressait sur les épaules, puis le dos et la croupe, sans oublier ses jambes. La jument n’apprécia pourtant pas tellement quand il lui toucha le ventre. Elle tapa du sabot par terre pour marquer son mécontentement. « Eh, doucement Chic ! » Il continua quand même, puis essaya de lui faire des gratouilles. Chic eut la même réaction quand Matthew s’approcha de son ventre, et elle plaqua ses oreilles contre son encolure.
Matthew rouspéta alors la jument, il devait se montrer ferme avec elle dès le début. Elle secoua la tête et laissa alors le jeune homme continuer. Il prit alors une brosse douce et commença à le passer sur le corps d’UltraChic. Elle n’eut pas de réaction excessive, alors il prit le bouchon puis l’étrille. Il ne laissa pas la jument réfléchir et il lui fit alors un vrai pansage et passant bien sur toutes les parties de son corps. Quand il lui demanda de lui donner les pieds, il fut surpris : elle lui donna tout de suite, sans que ça lui pose le moindre problème. Il cura alors chacun de ses pieds délicatement.
Il la caressa bien fort et lui donna quelques friandises. Il lui présenta alors le licol et caressa l’encolure de la jument avec. Il l’approcha alors de sa tête, et comme elle ne bougea pas, il lui enfila. Il le bougea sans le fermer pour habituer la jument puis il l’accrocha. Il donna une friandise puis accrocha la longe. Il exerça une petite pression sur le licol. Elle voulut se débattre mais avança finalement vers le jeune homme. Il cessa, puis recommença, en incitant la jument à le suivre hors du box. Il la promena alors dans l’écurie puis la fit sortir à l’extérieur. Il la dirigea alors dans le coin d’herbe à côté et la laissa brouter un peu.
Il l’amena marcher le long des paddocks en lui parlant pour la rassurer et retourna alors vers le box de la belle. Elle essaya de l’amener dans l’air de pansage et lui fit visiter un peu le domaine. Une fois de retour, il la caressa bien fort, lui donna quelques friandises et entra dans un paddock. Il la fit marcher à l’intérieur, puis il retira le licol. UltraChic s’éloigna alors doucement du jeune homme et alla se rouler un peu plus loin. Matthew accrocha le licol sur le petit crochet près de la porte qu’il referma et s’éloigna à son tour.
Pré débourrage
Misspalikoa
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Mar 27 Nov - 14:17
+10 en pré-débourrage 4
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Mer 22 Mai - 21:46
UltraChic & Aloy Kenway Domaine du Manoir
Détend toi et suis ma main.
Après Grump It, il était temps de m’occuper de la belle UltraChic. La belle jument noire était tranquillement en train de fouiller dans ses copeaux les derniers brins de foin qui trainaient. Je l’appelais pour ne pas la surprendre de mon arrivée et j’ouvris la porte de son box. Elle s’était redressée, attendant une caresse de ma part. Je tapotais doucement son encolure, lui tendant une friandise de l’autre main, puis je lui mis son beau licol en cuir pour l’amener à l’aire de pansage non loin du box. Je commençais mon pansage par l’étrille que je passais délicatement sur le corps sensible de la belle, puis je passais le bouchon puis la brosse douce. Je démêlai ses crins puis je curai ses pieds, ignorant qu’elle fouette de la queue ou plaque ses oreilles en arrière. Je lui mis alors des guêtres, des cloches et des protèges-boulets puis je posai un tapis sur son dos. Je mis ensuite ma selle que je sanglai doucement, mais la jument plaqua une nouvelle fois ses oreilles en arrière et tapa du pied. « Ça suffit Chic… » Je lui mis finalement son filet qu’elle prit sans plus protester, alors j’enfilai mes bottes, ma bombe et mes gants et j’amenai la jument en carrière.
De retour à l’écurie, je retirai l’équipement de la jument qui était de meilleure humeur, les oreilles en avant. Elle quémanda même une petite caresse une fois son filet enlevé. Je passais donc ma main le long de son chanfrein ce qu’elle eut l’air d’apprécier. Je lui donnai une petite friandise et je retirai également les protections de ses membres. Je passai un petit coup de bouchon sur sa robe noire et je curai ses pieds, retirant également le sable avec une petite brosse. Je graissais donc ses sabots avec attention puis j’amenai la jument au paddock afin qu’elle profite du soleil avec ses copines Arabesque et Corona, mais surtout son grand amour Grump It qui se trouvait dans le paddock voisin.
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Jeu 23 Mai - 10:05
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Ven 13 Sep - 10:14
UltraChic & Aloy Kenway Domaine du Manoir
C’est la rentrée.
La fin de l’été approchait doucement. Les températures avaient bien diminuées, pour notre plus grand bonheur. Tant de choses s’étaient passées durant les deux derniers mois, je ne savais pas vraiment pour où commencer. Tout d’abord, Haythan, mon demi-frère, avait quitté le domaine. Je lui en voulais après ce qu’il avait dit à Tedrick, et lui était toujours en colère après ce dernier. Il avait donc décidé de repartir au Pays de Galles avec sa jument. J’étais un peu triste, et soulagée à la fois, je ne savais pas vraiment pourquoi. Le pire dans l’histoire, c’est que nous devions trouver un nouveau maréchal ferrant pour les chevaux du domaine.
D’un autre côté, peu de temps après ma rencontre avec Damon, le photographe, j’avais trouvé une petite enveloppe dans la boite aux lettres. Elle contenait une magnifique photo de lui et moi, avec son numéro de téléphone au dos. Notre rencontre ne m’avait pas laissé indifférente, bien au contraire. Je le trouvais très séduisant, et aussi très gentil alors je l’avais appelé. Nous nous étions donné rendez-vous dans un petit bar en ville pour apprendre à se connaître. Nous avions alors découvert que nous avions pleins de points en commun. Au fur et à mesure de nos entrevues, j’étais tombée toujours plus amoureuse de lui alors il avait fini par venir habiter au domaine. Il avait du revendre sa jument, mais continuait à monter de temps en temps, car il avait eu un coup de cœur sur Andiamo, mon merveilleux poney.
Du côté de ma santé, les choses ne s’amélioraient pas vraiment. J’avais toujours mal, je me sentais souvent faible et fatiguée et cela avait parfois fait baisser mon moral car j’avais du mal à m’occuper de mes chevaux correctement. Heureusement que Damon était toujours présent pour moi. Mes loulous avaient quand même un peu progressé dans leur travail, même si nous n’étions pas beaucoup sorti en concours. Seulement la rentrée annonçait une nouvelle saison, et je devais reprendre plus sérieusement leur travail si je voulais rivaliser avec mes concurrents.
Ainsi, je me dirigeais pensive vers la sellerie pour récupérer mes affaires et aller les installer sur une aire de pansage. Je gardais le licol d’UltraChic en main pour aller le chercher au paddock. La jument s’approcha doucement de moi et je la caressai tendrement avant de la licoler pour l’amener dans l’écurie. Une fois attachée, je fis à nouveau quelques caresses à la belle avant de prendre en main mon cure-pied. Je demandai les sabots un à un et retirai toute la terre coincée sous ceux-ci, puis avec une petite brosse dure, je nettoyai la paroi de ses pieds, eux aussi pleins de terre. Je déposai ensuite du démêlant dans les crins afin de le laisser agir pendant que j’étrillais la jument.
La poussière disparaissait de son corps à force des passages de l’étrille et du bouchon, puis fini par s’évaporer grâce à la brosse douce qui rendit sa robe brillante. Je n’avais bien sûr pas oublié de nettoyer ses membres, et redonner un semblant d blancheur à ses trois balzanes, ainsi que de nettoyer sa tête. Je pus alors, à l’aide de ma brosse à crins, retirer tous les noeuds de sa crinière, son toupet et sa queue. UltraChic était maintenant impeccable, je pouvais commencer à la seller, mais avant, quelques friandises. La jument n’était pas la plus affectueuse, mais notre relation s’améliorait au fur et à mesure, et ainsi, elle était bien plus calme pendant le pansage.
Je pris mon tapis noir aux liserés bordeaux et je l’approchai de la belle pour le disposer sur son encolure puis je le fis glisser jusqu’à sa place, lissant ainsi ses poils, et évitant les plis qui pourraient causer des blessures. Je mis par dessus un amortisseur, puis ma selle. Je dégarottai, relevant le tapis au niveau du garrot mais également sous les matelassure de la selle pour que sa colonne vertébrale soit bien dégagée, puis je la sanglai doucement. Je lui mis ensuite des guêtres aux antérieurs ainsi qu’une paire de cloches, et des bandes de travail aux postérieurs, elles aussi bordeaux. Pour finir, je mis le filet à la jument, avec un mors baucher en résine et une muserole croisée. Je mis mes gants et ma bombe et je dirigeai la jument hors de l’écurie.
De retour sur l’aire de pansage, je retirai ma bombe, puis le filet d’UltraChic. Je la dessellai et retirai ses protections et ses bandes. Je curai ses pieds et retirai tout le sable pour pouvoir les graisser correctement, puis j’allumai la douche. Je passai le jet d’eau sur chacun de ses membres de bas en haut pour activer la circulation dans ses jambes. Je remontai le jet au passage de sangle, puis sur ses épaules et son encolure pour retirer les traces de transpiration. Je passai ensuite le couteau de chaleur sur son corps. Il était important de toujours retirer l’excédent d’eau, même sous forte chaleur, car l’eau contenu dans les poils se met alors à chauffer très fort et peu même bruler le cheval. Bref, je pris ensuite une serviette en coton pour essuyer ses membres, toujours pour retirer le trop d’eau, puis je passai le bouchon sur le reste de son corps. Je lui donnai pour finir quelques friandises et je la ramenai au paddock pour le reste de sa journée.
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Ven 13 Sep - 11:27
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Jeu 19 Mar - 17:36
UltraChic
Eléna Morison
UltraChic : Tel père telle fille !
Ecuries de commerce - Haras de Pado 19/93/2020 - 17h
Les chevaux du Haras de Pado étaient bien nombreux et nous avions eu l'autorisation de la part de la directrice de sortir quelques chevaux en restant dans notre niveau par mesure de sécurité. Ayant déjà sortie Tonight aujourd'hui avec une séance de dressage plutôt intense, je déambulais dans les écuries. Plusieurs bâtiments composaient les écuries : il y avait les celle des chevaux de club pour les nouveaux arrivés et pour les cavaliers de niveau 2. C'est là où est installé Tonight le temps que je progresse ! Le second bâtiment est rattaché au service des ventes où sont disposés les chevaux qui attendent un nouveau propriétaire. Ces chevaux là ne sont pas souvent sortit, c'est surement une bonne chose d'aller y jeter un coup d'oeil. En me promenant dans les différentes allées qui compose ce bâtiment, une jument attire mon regard. C'est une jument d'un noir intense avec une belle liste sur le frontal. Mais ce sont ces yeux qui me marquent.. Ils ressemblent beaucoup à ceux de Tonight. Je m'approche de la porte du box d'où sort la petite tête malicieuse de cette jument qui se nomme UltraChic. Et en regardant plus attentivement sa fiche je m'aperçois que UltraChic n'est autre que la fille de Tonight, le cheval que j'ai en demi-pension ! Une coïncidence ? Je ne crois pas.. C'est donc sur elle que j'ai porté mon dévolue pour ma bonne action de la journée.
Je passai directement à la sellerie pour y chercher un licol ainsi que ma mallette de pansage. J'étais tellement contente de pouvoir commencer à nouer une relation avec elle. Lorsque je revenais devant le box de la belle noiraude, mon choix se renforça encore et encore. Je posai ma caisse puis je claquetai doucement ma langue avant de prononcer le nom de la belle jument :
"Bonjour UltraChic. Comment tu vas ma belle ?"
Le cheval vint doucement à ma rencontre et sortit son bout du nez de son box. Je pus alors lui caresser le chanfrein et lui déposé un baiser sur le front. Il ne bougeait pas et semblait apprécier mes caresses. *Temps mieux!* Pensais-je. Je pris alors mon licol en cuir, ouvrit le loquet de la porte et entrai à l'intérieur de sa maisonnette. Ma présence ne semblait pas la gêner. Je posais ma main sur son encolure en pénétrant entièrement puis je posais la longe sur son garrot. UltraChic ramena son bout du nez vers mon bras et souffla un peu d'air. Je lui enfilai donc le licol, attachai l'extrémité de la longe puis caressai son encolure avant de quitter son dortoir. Nous allâmes nous installer dans l'allée puis je commençai son pansage par des petits cercles avec l'étrille. Après ce décollage intensif, je passai un coup de bouchon sur l'intégralité de sa robe suivi de la brosse douce pour parfaire le brossage. Je m'occupai ensuite de ses pieds d'où je retirai le mélange crottin/paille avant de donner un petit coup de brosse sur sa couronne pour terminer. Je retirai les brins de paille de sa queue puis démêlai sa crinière avant de ranger mon matériel.
"Qu'est ce que tu es belle ! Tu en avais bien besoin."
Après une grande caresse sur l'encolure, je fonçai à la sellerie chercher de quoi monté cette beauté. Je revins avec mon tapis de selle bleu, ma selle havane, min filet havane également et des bandes de travail assorties au tapis. Je posai tout mon matériel contre le mur. Je pris donc mon tapis et allai l'installer en avant du garrot de UltraChic. J'y installai ensuite ma selle puis dégarottai le tout. Je laissai pendre la sangle, bouclai cette dernière de quelques trous puis je pris les bandes de travail posées sur ma boîte. Je lui installai la première, puis la seconde pour terminer sur les deux dernières. Je mis ensuite son licol en collier, pris les montants du filet en main droite, posai cette dernière sur son chanfrein afin d'éviter toute mouvements vers le haut, puis je lui présentai le mors en main gauche en allant chatouiller sa commissure. Elle prit rapidement le mors et se mit à le mâchouiller après que j'eus passé ses oreilles et dégagé son toupet. Je flattai son encolure puis bouclai la sous-gorge et la muserolle. Je mis ensuite ma bombe, détachai son licol et pris les rênes en pleine mains avant que nous prîmes le chemin de la carrière.
Arrivés au niveau de la carrière, je fus rassurée en voyant qu'une ligne de barres au sol était encore là : une ligne vertical 7 foulées oxer. Je me dirigeai vers le vertical, que je mis en croix. Je descendis également l’oxer pour ne laisser que les barres au sol. Je montai ensuite sur le dos de UltraChic, régla mes étriers un peu plus courts pour pouvoir être plus à l’aise à l’obstacle et serra mes mollets pour qu’elle parte au pas. La belle noiraude partit d’un pas énergique. Je la laissai marcher rênes longues pendant quelques minutes pour qu’elle se chauffe, puis je remontai sur mes rênes. Je la mis sur un huit de chiffre pour l’assouplir au pas aux deux mains, en alternant les incurvations à droite et à gauche. UltraChic se mit vite à baver et était très à l’écoute de ce que je lui demandais. Je la mis ensuite au trot sur la piste, rênes ajustées. Je lui fis faire des cercles et des transitions à l’arrêt et au pas afin de m’assurer que j’avais tout le contrôle. Une fois bien détendu au trot, je remis UltraChic au pas sur un grand cercle à main gauche. Je mis en place mes aides du départ au galop à gauche et demanda à UltraChic de partir au galop. Je gardai bien mon dos droit, tout en regardant loin. Je sentis UltraChic bien pousser sur ses postérieurs pour prendre le galop. Je le détendis à gauche au galop : alternance de lignes droites et de cercles, en essayant de rester le plus possible en suspension. Je cherchais également à avoir un poney bien en équilibre, pas trop sur les épaules : j’étais en suspension mais en évitant de plonger vers l’avant, les mains légèrement élevées en avant un contact franc avec la bouche, et les jambes bien au contact. Une fois bien au galop à gauche, je mis UltraChic au trot et changea de main. Je la mis au pas et demanda le départ au galop du pas à droite : UltraChic s’exécuta. Je le travaillai comme à l’autre main, jusqu’à ce que je sente une ponette décontractée et en équilibre sur ses hanches.
"C’est bien coco ! On va commencer à sautiller."
Je laissai la jument souffler au pas quelques minutes avant de reprendre mes rênes et de le mettre au galop à droite. Je l’emmenai sur la petite croix. Je me rassis légèrement dans ma selle, garda mes épaules bien en arrière et regarda loin. Je gardai mes rênes bien tendues jusqu’au bout, ainsi que mes jambes bien au contact, et UltraChic franchit la croix sans problèmes, comme si c'était dans ses gênes ! J’accompagnai le saut en avançant mes mains en évitant de trop perdre le contact avec la bouche. A la réception, je laissai la ponette faire une foulée de galop puis je lui demandai l’arrêt. Pas très contente de cette demande, elle mit un peu de temps à s’arrêter et marqua son mécontentement en donnant des coups de tête. Je la caressai et repartis au trot. Je la mis au galop à gauche et retourna sur la croix, en essayant d’avoir un galop un peu plus soutenu. Comme précédemment, je la fis s’arrêter à la réception, et cette fois elle eut moins de mal. Je la caressai et retourna sur la ligne au galop. Cette fois, je le laissai galoper afin de voir si les 7 foulées rentraient dans la ligne. Je restai assise avec légèreté dans la selle, rênes ajustées et je n’intervins pas. UltraChic fit rentrer les 7 foulées sans aucun problème et je l’arrêtai après avoir passé les barres au sol. Je l’emmenai à nouveau sur la ligne et, toujours dans la même attitude pour moi, je la laissai faire son travail. Je manquais un peu de galop à l’entrée et UltraChic se retrouva donc entre deux foulées pour sortir. Je la mis au galop et allai de nouveau sur la ligne. Je n’oubliai pas mes jambes à l’abord et l’entrée sur la ligne se fit correctement. Je gardai mes rênes bien tendues et mes jambes bien serrées, tout en comptant les foulées dans ma tête. Cette fois, la 7ème fut un peu courte et je dus bien me redresser et le redresser pour que ça ne soit pas trop court. UltraChic fit un effort pour bien franchir la barre. C’est bien ! Je la laissai galoper en rallongeant mes rênes progressivement, puis le repassai au trot rênes longues. Je la laissai ensuite souffler au pas, rênes longues, en la caressant. Je descendit ensuite et rangea les obstacles – UltraChic très gentille pendant ce temps là – puis ramenait la jument à l’écurie.