box de Romario

29/06/17

Venant d'achever le pré-débourrage de mon petit Alibaba, je passais désormais au commencement de celui de Romario. Le petit mâle blanc égocentrique attendait dans son boxe que l'on viennent s'occuper de lui. Pour l'occasion, j'avais donc pris un ancien licol et longe d'un de mes poulains désormais grand, m'armais de quelques friandises et rejoignais le boxe de Roro. Il avait beau être magnifique et extrêmement intelligent, ce poulain était loin d'être le plus simple, toujours à prendre avec des pincettes, et j'avais quelques craintes à propos de son débourrage, peur surtout qu'il n'accepte pas d'aller dans mon sens. 

Bon, arrivé devant le boxe du petit diable, je l'appelais par son nom. Oreille en avant, il me regarda entrer avec lui. Quelques caresses sur le nez lui avait permis d'être aux anges. Maintenant, je pouvais entamer la séance du jour. Je sortais de sa cachette un licol en tissu bleu que je présentais à Roméo. Intrigué par l'objet, il avança son nez et le renifla un moment avant d'oser le toucher du bout des naseaux puis de tenter de le mordiller. Je le caressais entre les oreilles puis posais le licol sur son dos. Il se retourna l'air de dire "mais qu'es-ce que tu fais?" et il observa l'objet avant de finalement le délaisser. Je glissais doucement le licol sur son petit corps frêle puis le reprenais et le rangeait. J'imitais ensuite les gestes étape par étape avec la longe qui ne posa pas plus de soucis. Terminé, je caressais et lui offrais trois friandises pour s'être bien comporté, suite à quoi je le laissais un peu tranquille. 

30/06/17

Je venais d'entamer le débourrage d'Alibaba et je décidais d'enchainer le pré-débourrage de Romario, mon poulain pur-sang anglais blanc. Avec les deux, ce n'était pas la même affaire, leurs caractères étaient bien différent, mais par chance, ils étaient tout deux très gentils et adorable à leurs façons. Bon, passons. Je passais à l'écurie récupérer le licol et la longe utilisé la veille pour les lui montrer et attrapais quelques friandises avant de me diriger d'un pas rapide vers le boxe du poulain. 

A peine m'avait-il entendu arriver que le blanc s'était mis devant la porte de son boxe pour m'attendre de pied ferme. Je rentrais donc, cachant les affaires derrière mon dos, et le caressais énergiquement. Puis je passais aux choses sérieuses. Comme la veille, je lui présentais le licol en premier et lui laissais le temps de bien regarder l'objet et de le renifler pour qu'il s'y habitue, avant de délicatement le caresser avec sur le corps. Mis à part de la curiosité, Romario ne sembla pas éprouver la moindre crainte à propos du licol. Je le félicitais d'une friandise et répétais les gestes avec la longe qui elle non plus ne posa aucun problème. J'attachais finalement le mousqueton de la longe à l'anneau du licol et le présentais à Romario qui ne sembla pas comprendre ce que j'attendais de lui. Délicatement, j'attachais l'objet autours de sa tête et le laissa s'habituer à la présence du licol. Il remua d'abord son petit corps dans tout les sens dans l'espoir de se débarrasser de l'encombrement autours de sa tête, en vain. Après un petit temps d'adaptation, il se calma et baissa la tête pour tenter une dernière fois de le retirer avec son antérieur. 

Totalement calmé, je le caressais et lui offrais une friandise avant de, à l'aide de la longe et du licol, l'encourager à tourner sa tête à droite, puis à gauche, à plusieurs reprises, jusqu'à ce qu'il cède totalement au lieu de forcer. Je le félicitais alors à l'aide d'une friandise, de plusieurs caresses et de moult compliment, avant de répéter les gestes en l'encourageant à baisser sa tête lorsque j'exerçais une pression vers le bas. Tout comme pour les mouvements sur les côtés, il fallut plusieurs essais avant qu'il ne comprenne ce que j'attendais de lui et qu'il accepte de suivre le licol. A nouveau il eu droit à une friandise et plusieurs caresses. Je décidais alors de le faire un peu marcher dans son boxe avant de tenter de le promener à l'extérieur. Je l'encourageais à me suivre et rapidement il suivit le licol et fit quelques tours de boxes au deux mains. Il ne mit pas longtemps à comprendre que lorsque je m'arrêtais, il devait cesser d'avancer et qu'au contraire lorsque j'avançais il fallait suivre. Je le félicitais chaleureusement et le guidais hors du boxe pour le promener un peu partout dans le haras et lui faire découvrir les lieux à son rythme. Une demi-heure plus tard, je le ramenais à son boxe où je lui retirais le licol et lui offrais milles caresses et une friandise pour le féliciter, avant de le laisser un peu tranquille. 

02/07/17

Aujourd'hui j'avais prévu tout un tas de chose à faire au haras, je devais terminer le pré-débourrage de Romario, poursuivre le débourrage d'Alibaba, sortir Aladdin pour un petit trotting, sauter avec Liquor Lips et dresser avec By Icon. Bref, une journée chargée en soit. J'arrivais donc en fin de matinée au haras et décidais d'attaquer avec Romario. Ainsi, je passais par la sellerie pour attraper ma boîte de pansage et le licol et la longe du petit monstre pour ensuite le rejoindre à son boxe.

Lorsque j'arrivais à destination, je trouvais un poulain en train de dévorer sa ration du matin. Je lâchais un petit soupir et attendais qu'il ai terminé son déjeuner pour attirer son attention.

• Bonjour toi!  

Romario me fixait désormais, je rentrais dans le boxe avec lui, laissant uniquement la boîte de pansage à l'extérieur, et m'approchais du petit garnement qui me regardais avec des yeux ronds. Après plusieurs caresses en guide de bonjour, je lui passais délicatement le licol, l'attaché et le guidais hors du boxe pour l'attacher à l'anneau.

Prêt, je lui présentais la boîte de pansage, fermée dans un premier temps. Romario le regardait avec intérêt, le dévorant du regard, le reniflant et l'examinant minutieusement. Je lui laissais le temps de bien voir et sentir l'objet, afin qu'il soit au maximum en confiance. Fin prêt, j'ouvrais délicatement la boîte et lui laissais voir et sentir son contenu ensemble avant de, séparément, lui présenter les différents éléments de la boîte. Pas effrayé du tout, Romario regarda et renifla chaque brosse et accessoire. Suite à ça, je commençais par lui montrer l'étrille et la poser sur son épaule. Il ne broncha pas mais la regarda quelques secondes avant de se désintéresser. Je commençais alors par, doucement, faire des cercles sur sa robe blanche, faisant voler des nuages de poussière. Petit à petit, j’enchaînais avec les autres brosses. Un peu chatouilleux sous le ventre, il lui arrivait de lever un postérieur lorsque je passais trop près mais rien de bien méchant. Je le félicitais chaleureusement et lui offrais deux friandises avant de passer aux sabots. Je glissais délicatement ma main le long de son antérieur et lui demandais le sabot. Il me fallut plusieurs tentatives pour l'obtenir, mais peu importait, l'essentiel, c'est qu'après plusieurs essais, il se laissait enfin prendre le sabot. Je le félicitais et recommençais à plusieurs reprises pour être sûr qu'il ai bien compris, puis curais son minuscule pied avant de le reposer. Je le caressais et reprenais avec les autres sabots. Pour les postérieurs, je dû insister un peu plus, mais je finis tout de même par réussir à lui curer.

Pour le récompenser, je lui offrais deux friandises puis rangeais les affaires sous son regard curieux, avant de le détacher pour le laisser au boxe. Suite à quoi je ramenais son licol et sa longe à la sellerie et déplaçais la boîte de pansage devant le boxe d'Alibaba, le prochain à travailler.

05/12/17

Romario, ce jeune et beau pur-sang était né chez moi trois ans auparavant, cheval avec un caractère tout particulier, une vrai starlette! Je l'avais finalement vendu pour qu'il fasse le bonheur d'un propriétaire ou d'un jockey, mais l'étalon faisait fuir les acheteurs à cause de son tempérament, de plus il n'était pas débourré ce qui n'aidait pas, j'avais alors proposé de m'en charger! 

Avant toute chose je récupérais tout le nécessaire dans la sellerie et retrouvais le blanc dans son boxe. L'étalon ne semblait pas de si mauvaise humeur, seulement frustré de ne pas sortir se dégourdir les membres au paddock à cause du froid. J'entrais tranquillement avec lui et lui présentais son licol, qu'il esquiva farouchement avant de se laisser piéger avec une friandise, je le guidais alors dans l'allée pour l'attacher à l'anneau et le panser. Il semblait plutôt impatient, ce qui ne me facilitait pas la tâche, mais peut importais, une fois propre j'entamais notre séance du jour : le port du harnachement.

Avant toute chose je lui présentais le tapis qu'il examina avec curiosité, et une fois en confiance l'ouvrai et le fermais rapidement. L'étalon fit un brusque mouvement en arrière, surpris, et après quelques mots doux et caresses d'encouragement et de réconfort, reprit son observation. Je n’eut plus qu'à glisser le tapis sur son dos, provoquant un claquement de postérieur sur le sol de l'allée. Je caressais l'encolure du blanc et répétais les étapes avec la selle, plus lourde et imposante il mit plus de temps à s'y habituer, une fois-ceci fait je glissais la selle sur son dos et sanglais de quelques trous afin qu'elle ne tourne pas. Il tenta de se retourner et s'agita,surpris par le poids de la selle et la sensation de la sangle, je le réconfortais puis lui montrait le filet, dernière ligne droite! Il la dévisagea, l'observa et la sentit, je le récupérais ensuite pour tartiner le mors de miel et le représenter à Romario. Évidemment pas de manière de sa part, il ouvrit la bouche pour y accueillir le liquide sucré, je n’eus plus qu'à glisser le mors et attacher sous-gorge et muserolle. 

Arrivé à cette étape je le laissais profiter du miel qui coulait dans sa bouche en le félicitant avant de le détacher et de l'emmener marcher dans l'écurie, afin qu'il s'habitue à marcher avec cet équipement. Il refusait dans un premier temps d'avancer, je l'incitais alors avec une friandise et rapidement j'obtenais le résultat escompté. Content de lui je le ramenais après quelques tours dans son boxe où je le désellais et le pansais brièvement avant de lui offrir une caresse sur le nez qu'il esquiva d'un coup de tête dans l'air, et ramenais les affaires dans la sellerie avant de nettoyer et ranger le mors tout collant et baveux. 

23/02/18

Après le rachat de quelques chevaux nés au domaine j'avais fais venir le vétérinaire afin d'avoir une petite visite post achat, si Jamaïc et Lucky s'étaient retrouvé en excellente santé pour Romario et Young Man les choses s'étaient avérés différentes, le blanc était atteins de seime qui nécessitait un déferrage et un parrage réguliers toutes les trois semaines, ainsi j'avais fais venir le maréchal afin de le faire. 

J'attendais le maréchal pour 15 heures, j'avais donc pansé l'étalon afin de le rendre impeccable et lui avais curé les sabots afin qu'il soit irréprochable, le maréchal arriva un peu en retard mais s'excusa, je n'allais pas non plus rouspéter. 

Après avoir attaché Romario qui commençait déjà à s'impatienter le maréchal déferra le blanc puis le parra, il était assez malmené par l'étalon qui se montrait tout bonnement infernal, toujours à boucher, à vouloir échapper, à gronder. 

Finalement, après avoir bataillé avec lui le maréchal finit son travail, je le remerciais pour sa patiente mise à rude épreuve et lui signait le chèque pour lequel il était venu, suite à quoi je rentrais le blanc au boxe où il fut accueillit par sa ration. 

01/07/19

→ objectif : graisser les pieds d'un cheval (10 pts à miser)

J'arrivais aux écuries des étoiles pleins les yeux, mes chevaux étaient arrivés aujourd'hui et moi je faisais mes premiers pas dans ce nouveau domaine. L'endroit était magnifique et très confortable, il y avait même la clime dans l'écurie! Et puis, il y avait un nombre considérable d'installation. J'avais été engagé ici pour entraîner les galopeurs de plat et de haies de cette écurie, mais également en tant que jockey, cela me faisait un revenu en plus! En revanche il y avait tout un tas de chevaux différents et certains étaient des chevaux de complets, d'obstacles, de dressage, d'attelage et tout autres disciplines et de temps de race différentes! J'allais surement rencontrer des gens très intéressants et différents ici! Quoi qu'il en soit mes chevaux étaient arrivés avant moi et j'avais donc décidé de commencer par leurs rendre une petite visite en début de matinée, nous travaillerions probablement plus tard en fonction de la température. J'avais commencé par faire une caresse sur le nez de Mirage avant de me diriger vers le box de Romario. Cet étalon était encore jeune, en effet il courait depuis 2 ans déjà et avait acquis une certaine expérience,mais son caractère, son énergie et sa détermination laissaient présager une belle et longue carrière!

Je commençais par me rendre vers son box où je lui tendais une friandise. Il agita un peu les oreilles un coup devant un coup derrière, avant de se décider à le prendre dans le creux de ma main. Je croisais les bras et m'appuyais sur la porte en l'observant. Cet étalon était magnifique, un corps fin et musclé, une tête et des yeux intelligents, une robe à tomber, que demander de mieux? La seule chose qui n'était pas parfaite chez lui était son caractère, parfois délicat de composer avec d'ailleurs.

• Dime chico, que pasa?  

J'étais peut être en californie, mais j'étais d'originaire mexicaine et dans ma famille la langue maternelle était l'espagnol! C'était donc plutôt naturel pour moi de parler à mes chevaux dans cette langue, bien qu'il m'arrivait de leurs parler anglais comme tout le monde. L'étalon étendit son encolure et s'ébroua, la climatisation lui permettait de ne pas crever de chaud mais il semblait un peu fatigué, après tout il avait dû voyager de nuit et il n'était arrivé qu'il y à quelques heures. Je souriais et mettais les mains sur les hanches avant de réfléchir, avec la chaleur les sabots avaient tendance à être trop sec et je me devais donc de les nourrir avec de la graisse fréquemment pour éviter les "maladies" du sabot. Je me rendais donc dans la sellerie et récupérais mon pot de graisse ainsi que mon pinceau avant de me rendre dans le box de Romario.

A peine rentré que l'étalon s'approcha de moi pour fouiller ses poches. Malgré un caractère parfois compliqué il aimait l'homme et cela se voyait bien, c'était un trait de caractère très fréquent chez les chevaux de course d'ailleurs. Je souriais et grattouillais son garrot avant d'ouvrir mon peau de graisse, y tremper mon pinceau et commençais à graisser son antérieur droit. Cette graisse était transparente mais laissait un joli effet brillant sur les sabots. Je flattais son épaule et recommençais avec l'autre antérieur et les postérieurs. Roro se montrait peu patient mais se laissa tout de même faire un minimum, ce qui était actuellement suffisant pour moi. Je souriais et lui donnais quelques friandises avant de le laisser tranquille, peut être que plus tard dans la journée nous pourrions partir en balade, seul lui pourra me le dire.

03/07/19

→ objectif : faire un soins d'argile à un cheval (5 )

Une à deux fois par semaine une course était organisée entre les chevaux de l'écurie, généralement c'était le meilleur qui gagnait, mais pour moi c'était aussi un moyen de montrer de quoi j'étais capable. Le monde des courses était dur et je n'étais là que depuis peu de temps. Honnêtement je sentais beaucoup de questionnement sur moi, après tout ce n'était pas en deux jours qu'on pouvait faire ses preuves, mais je comptais montrer que j'étais faite pour cet univers à travers de cette course! N'ayant pas encore mon cheval attitré et en ayant l'autorisation j'allais participer aux côtés de Romario et j'étais vraiment impatiente de faire ma première course aux écuries!

L'écurie était en pleine activité, tout le monde s'agitait pour préparer sa montures, et je m'attelais à faire de même. Je me rendais dans la sellerie lorsque je croisais Tess qui cherchait une place pour attacher l'étalon qu'elle menait, le bai brûn qu'elle avait monté lors de l'entraînement, probablement le cheval qui lui était confié. En effet, chaque lad avait son cheval attitré, seulement je n'en avais pas encore, des chevaux ne devraient pas tarder à arriver alors j'aurais mon cheval à ce moment là, tout en continuant de travailler mes chevaux bien entendus.  Quoi qu'il en soit je devais me dépêcher. J'indiquais à Tess d'attacher son cheval près de Romario et m'empressais d'aller le licoler pour l'attacher à la barre d'attache en face de son box.

Rapidement j'étrillais sa robe avec conviction, le blanc c'était salissant et j'allais en baver. Par chance il n'était pas très sale et son égo le poussait à rester très digne et propre en toute circonstance, j'avais donc plus de poussière à retirer qu'autre chose. Je poursuivais le pansage avec la brosse dure puis douce tout en m'appliquant toujours pour lui redonner tout son éclat. Je terminais par curer ses pieds et démêler ses crins avant de commencer à le seller. Etant déjà partie à la peser j'avais déjà tout prêt!

Nous avions tirés au sort et j'étais le numéro 3, on m'avait donc donné un tapis de course bleu roi, aux couleurs de l'écurie, équipé de la numérotation 3. Je déposais le tapis lesté sur le dos de l'étalon avant d'y ajouter ma selle de course. Je sanglais de quelques trous puis attachais le licol autours de son encolure et le brider. L'étalon prit le mors sans trop de difficulté, je félicitais alors avant de mettre ma casaque, prendre ma cravache, mettre mes gants car je n'étais pas folle, puis détacher l'entier, ressangler et me mettre en selle. Je commençais à faire marcher l'étalon et rapidement un des grooms s'approcha pour prendre l'étalon par la bride et me guider jusqu'à l'entrée de l'hippodrome.


Je faisais un bon câlin à l'étalon qui était tout bonnement en sueur, puis je mettais pied à terre pour rejoindre l'écurie. Tess fit rapidement son apparition, tenant les rênes de sa monture. Visiblement la course n'avait pas été fameuse pour elle, elle avait été 6ème sur les 10 partants. Je lui tapais sur l'épaule et l'invitais à aller doucher avec moi. Aussitôt dit aussitôt fait, nous désellions les chevaux et les emmenions prendre une bonne douche avant de passer le couteau de chaleur. Tess était vraiment très sympa avec moi, ça me faisais du bien de rencontrer des gens comme ça! Quoi qu'il en soit nos chemins finirent par se séparer et je décidais de faire un soin d'argile à l'étalon pour l’aider à récupérer et éliminer l'acide lactique.

J'attachais l'étalon au poteau d'attache et allais chercher dans mon casier un pot d'argile avant de revenir vers l'étalon et j'ouvrais le pot pour commencer à l'appliquer à rebrousse poil sur ses quatre membres en couche épaisse. L'étalon sembla bien apprécier, plissant les yeux. Je souriais et poursuivais avec la ligne du dos que j'enduisais d'argile à rebrousse poil. Cela procurait un massage à l'étalon qui semblait le détendre, et je ne pouvais pas m'en plaindre! Je me rinçais les mains puis tendais une friandise à l'étalon avant de le rentrer dans son box. D'ici une heure ou deux l'argile cesserait de faire effet et je pourrais le retirer!