box de Rubis

30/01/2016
Une nouvelle rencontre...

Mon père et moi nous promenons dans une vente aux enchères de chevaux, quand je LA vis. Un coup de cœur peut arriver comme ça, sans vous prévenir. Et bien, c'est ce qu'il s'est passé quand je l'ai vue. Sa belle robe dorée, légèrement pommelée, sa longue crinière ondulée, ses yeux doux, mais reflétant quand même une lueur rebelle... Je trouve beaucoup de qualités à cette jument Haflinger, et en regardant mon père, je comprend aussi qu'elle n'est pas tombée dans l'œil d'un aveugle.
- Papa, elle est vraiment très belle.
- Oui, c'est vrai. Je vais aller voir son propriétaire.
Je le regarde alors partir vers un homme assez massif, et barbu. Je m'approche du paddock de la jument avec mes béquilles, et je la regarde. Dès qu'elle me voit approcher, elle s'en va loin de moi, la tête bien haute et une lueur dédaigneuse dans le regard. J'entends alors mon père et l'homme discuter. Il a un accent de paysan, assez bizarre.
- Oh, c'te jument, c'est Rubis. Elle vaut pas grand-chose, j'm'en sépare p'rce que j'ai plus l'temps d'm'en occuper.
- Et à quel prix la vendez vous ?
L'homme lève un peu la tête, réfléchissant à quel prix il pourrait vendre sa jument. Je reporte alors mon attention sur Rubis, puisque tel est son nom. Quelques instants plus tard, mon père revient, le sourire aux lèvres. Il me tend un licol, que le vendeur lui avait donné. Un vieux licol en ficelle tout usé, mais qui devrait tenir jusqu'au haras de Pado.
- Oh, on la prend ?!
Il acquiesce et je le remercie un million de fois, avant qu'il n'aille lui-même la chercher dans son parc. La jument semble le respecter un peu plus que moi mais elle ne peut s'empêcher de maintenir une bonne distance entre elle et mon père. Nous rentrons alors au haras, et je vais mettre la belle Rubis dans un box libre, juste à côté de Reine. Je fais un câlin à la Percheronne et mon père et moi repartons vers la maison.

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02/02/2016
Coucou, beauté...

Aujourd'hui est un grand jour pour moi. Je vais rendre visite à ma nouvelle jument, Rubis. La seule fois où elle a daigné me regarder, elle n'a pas été très amicale. Alors je vais aller la voir. Je me prépare donc à aller voir ma belle Haflinger.

Arrivée au haras de Pado, je rejoins directement les écuries dans lesquelles j'ai l'habitude d'aller quotidiennement. Je me dirige à pas de velours vers le box de la petite jument, et elle ne me voit pas tout de suite. Quand Rubis remarque que je suis là, elle se tourne, me montrant ses fesses.
- Ok, c'est pas gagné avec toi...
Je fais mine de rien et toque à la porte de son box, l'appelant par son petit prénom. Elle tourne une oreille pour faire signe qu'elle m'entend, et lance un violent coup de sabot dans sa porte. Je m'écarte, et reste debout, non loin d'elle.
- Bah alors, Rubis ? Tu en as des manières !
Je retourne alors près de sa stalle et sort de ma poche quelques carottes. Elles étaient censées être pour What Else, mais bon... Sentant l'odeur des friandises, la nenette se retourne vivement et regarde ce que je tiens dans la main avec envie. Elle me regarde avec colère quand elle voit que je ne suis pas disposée à les lui donner, et fait mine de me mordre. Je recule, on ne sait jamais. Et par question de principe, je ne tiens pas à me faire croquer la peau !

Je m'attèle donc à découper les deux légumes en petites rondelles à l'aide de la force de mes mains. A un moment donné, je relève la tête pour la regarder. Elle semble s'être complètement désintéressée de moi et je soupire. Je comprends ce que voulait dire son éleveur par "Elle ne vaut pas grand-chose"...
Debout devant la porte du box de Rubis, je lui tends quelques rondelles de carottes et elle les croque vivement. Quand je range le reste dans un petit sachet plastique, elle me regarde et me hennit à la figure.
- Ah, tu en veux encore ? Eh bien, il va falloir faire des efforts, jolie demoiselle.
Je tends une main pour lui caresser l'encolure, et elle ne bouge pas. Au moment où mes doigts allaient toucher ses poils soyeux, elle se retourne d'une petite cabriole et recommence à me montrer son postérieur, ce qui ne m'intéresse guère. Mes épaules s'affaissent un peu, et je farfouille dans mes poches, à la recherche d'une chose qui pourrait attirer l'attention de la jument. Mes doigts ne rencontrent que le sachet de carottes. Je vais essayer une autre technique.
- Rubis !
Elle tourne un peu sa tête vers moi, et je la félicite en lui lançant un morceau de carotte. Elle le gobe goulûment et plante son regard dans le mien, avec une expression tout mignonne qui manque de me faire craquer, et de lui donner d'autres morceaux. Non ! Je ne dois pas céder à ses caprices de diva. A l'instant où elle comprend qu'elle n'aura rien d'autre, elle tourne sa tête et m'ignore.
- Bon, puisque tu ne veux pas me voir, je vais m'en aller !
Et je m'en vais donc, caressant tous les chevaux qui réclament des petits câlins sur mon passage. Je pars vers le club house, peut-être que je trouverai quelque chose à faire...

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06/02/2016
Pourquoi être distante...?

Je n'aurais pas du venir voir ma belle jument Haflinger aujourd'hui, mais la tentation n'étais que trop forte. En fait, j'aurais dû accompagner mes sœurs et mes parents à la patinoire, mais comment vous dire que... Je suis une quiche en patinage. Du coup, j'avais réussi à négocier et il était convenu qu'ils me déposent au haras car c'était sur leur chemin.

J'arrive dans l'allée d'un pas enjoué, contente de voir des rayons de soleil illuminer mon chemin. Le temps est toujours froid mais c'est plus agréable que les jours passés. Je me dirige à grands pas vers les écuries des fer 4 et +, pour aller voir ma jolie Rubis. Au moment où j'arrive devant son box, et surtout au moment où elle m'aperçoit, elle se tourne et me montre sa croupe. Ok, j'ai compris. Mais aujourd'hui je ne vais pas baisser les bras et je vais faire ce que j'ai prévu avec elle. Je toque donc à la porte de son box en l'appellant. Voyant qu'elle ne réagit pas, je m'y attendais à vrai dire, je prends la décision de rentrer dans son box. Elle s'en rend compte et tourne vivement la tête vers moi, menaçant de me mordre.
- Du calme, ma belle.
Je lève les mains, comme pour lui signaler que je ne lui veut aucun mal, et me mets ensuite à fouiller dans mes poches, à la recherche d'une quelconque friandise qui pourrait lui permettre de se calmer. Heureusement, je trouve un carreau de sucre. Mes poches sont toujours remplies de friandises...

Je tends la main vers elle pour qu'elle attrape le bonbon et elle daigne me regarder, pour le saisir dans ma main tendue à plat. Je me suis approchée de sa tête et elle me regarde, des éclairs dans les yeux. Elle ne me fait pas trop peur, même si je crains une petite morsure. Je sors de son box et prends un licol accroché à sa porte. Elle me regarde faire et quand je la rejoins pour lui enfiler, elle lance un soupir exaspéré. Je souris, et enlève quelques brins de paille qui s'étaient posés sur sa couverture bordeaux. Je la sors de sa stalle en la tenant par la longe et nous partons ensemble vers les sentiers de balade.

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Retour au box.

Je reviens au box de Rubis et la détache dedans. Je me dépêche de sortir car elle commence à me montrer les dents. Je vais donc m'asseoir sur une botte de paille à côté de son box et la regarde manger sa ration qui lui a été distribuée pendant que nous étions parties. Elle l'engloutit en quelques minutes et je remarque qu'elle doit avoir faim. Après avoir fait un rapide croquis de sa tête, que je me promets d'améliorer d'ailleurs, je m'en vais vers le box de mon beau Titan, pour aller lui faire des caresses...

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10/02/2016Liberté au rond de longe.

C'est un licol à la main que j'arrive devant le box de Rubis, ma belle petite Haflinger. Je ne me rends compte qu'au dernier moment que la longe traîne par terre, je la ramasse donc rapidement, avant qu'elle ne soit couverte de saletés. Ne croyez pas que je dis que les écuries sont sales, mais nous ne sommes pas à l'abri de brins de paille jonchant le sol.

Je toque à la porte de ma jument en l'appellant par son prénom, et elle me jette un coup d'œil digne d'une diva.
- Bon, nous ne sommes pas forcément parties sur de bonnes bases, et j'aimerais qu'on recommence, tu es d'accord ?
Elle tourne une oreille vers moi pour m'écouter correctement, mais refuse toujours de me regarder, la tête plongée dans son foin. Je soupire et pose le licol sur la porte de son box, y rentrant par la même occasion. Elle se retourne très rapidement, visiblement surprise que j'ose m'approcher d'elle alors qu'elle m'avait bien fait comprendre qu'elle ne voulait pas de moi. Elle commence par basculer ses oreilles vers l'arrière, et j'établis un premier contact avec elle. Je lui touche l'encolure. Elle donne un coup de sabot dans sa porte, et je commence à la caresser. Elle ouvre de grands yeux ronds, où j'aperçoit une étincelle de gentillesse, mais qui ne dura qu'une fraction de secondes. Elle lève vivement la tête, et se décale, pour ne pas que je la touche. Je fais alors mine de m'en aller et sort de son box, prenant le licol au passage. Rubis se tourne vers moi, histoire de regarder ce que je fais, et je profite de l'occasion pour lui enfiler doucement le licol que j'ai pris. Elle me regarde, des éclairs dans les yeux. Je tente de caresser son chanfrein mais ma main s'arrête en plein élan. J'ouvre sa porte de box, et prends la longe, effectuant une petite pression dessus pour qu'elle me suive. Je referme derrière nous et entreprend de faire marcher la jument près de moi, la tenant assez court, de manière à ce qu'elle ne puisse pas s'écarter. Nous nous en allons en direction du rond de longe, marchant rapidement pour éviter de trop se faire mouiller par la pluie dehors.

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Shaya arriva près d'une haflinger MAGNIFIQUE qu'elle en tomba amoureuse un peu trop vite.Alors qu'elle voulu s'approcher la jument recula,la jeune fille fut étonnée.Elle réessaya mais la jument recula encore.La fille partie chercher une carotte,elle revient et la tendit à la jument qui hésita mais après 10 ou 15 minutes sans bouger elle avança d'un pas puis d'un autre puis encore d'un autre avant d'arriver près de la jeune fille.Qui la laissa manger tranquillement dès qu'elle eue finis de manger elle voulu la caresser mais la jument recula en secouent la tête pour dire non.La jeune fille compris que ça ne va pas être facile donc elle se mit à terre et attendis pendant une heure avant que la jument approche enfin et lui souffla dans les cheveux. Shaya se releva tout doucement pour caresser la jument qui ne résista pas.Elle la caressa tout le cou avant de sortir de l'enclos pour prendre un licol mais la jument partie donc elle la suivie dans le pré jusqu'à ce que la jument s'arrête et se laissa faire. Shaya la guida jusqu'à l'écurie pour la brosser,elle prit son bac et attacha l'haflinger à un anneau pour la brosser.La jument se défendit un peu mais accepta qu'elle la brosse au cou,aux jambes donc partout elle fis ces pieds puis prit une éponge pour la laver complètement.Je fis son visage et elle secoua la tête.Quand j'eue finis je la sécha avec un essuie doux et la ramena au pré.Pour lui dire en revoir je lui donna une carotte.

finis

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