J’avais plusieurs fois remarqué le panneau menant au paddock du Rescue Me. Un endroit où des chevaux ont était sauvé. J’avais beaucoup hésitait à y aller mais me voilà finalement devant la nuée de paddock. Je me mis en marche regardant les différents chevaux s’y trouvant. Je voulais donnait une seconde chance à un de ces nombreux chevaux. J’arrive vers ceux du milieu, mon regard ce posa sur un petit poney bai silver qui mangeait des touffes d’herbe encore bien grasse pour cette saison. Je m’approche de la barrière en bois renforcé par des fils électriques. Je pris la fiche du cheval dans mes mains. Il avait était abandonné par sa première cavalière et depuis il n’avait plus jamais laissé quelqu’un le monter. Être laisser de côté n’était ni plaisant pour les animaux, ni pour nous être humain. Je remarque aussi que personne n’était venu s’occuper de lui hormis les soigneurs. Je souris doucement, m’occuper de temps en temps d’un cheval autre que ma belle Okarina me permettra d’apprendre plus de choses et de rendre service à ce petit être. En revanche je ne saurais pas dire si j’étais trop grande pour lui. Un mètre quarante et un pour lui et moi avec mes un mètre soixante-dix. J’avais des doutes, mais je n’y suis pas encore. Le petit cheval n’avait pas fait attention à moi qui stagnait devant son paddock. J’entre dans le pré et m’approche de l’Islandais dans un calme olympien pour ne pas lui faire trop peur. Il releva vivement la tête m’ayant entendue arriver. J’étais à au moins trente mètres de lui, mais celui-ci préféra s’écarter un peu plus. Soit je me contenterais de cela, il viendrait à moi quand, il le voudra bien. Alias me regarda avec méfiance, mais je pouvais voir dans ses yeux une petite pointe de curiosité. Ce demandant sûrement ce que je fessais là. Une de ses oreilles se trouvait dans ma direction tendit que l’autre était partiellement couchée. Après une dizaine de minutes à se regarder, le poney se décida enfin à brouter l’herbe à ses pieds me surveillant du coin de l’oïl. Je m’assis au sol. Il finira bien par s’habituer à moi avec le temps. Le soleil me réchauffait doucement si bien que je finis par me retrouver totalement allongé. Les nuages de toutes formes défilées au grès du vent. Je pliai ma jambe gauche et passai la droite par-dessus. M’ennuyant un peu, je me mis à siffloter un air dans the Legend of Zelda. Du coin de l’œil, je vis le petit Alias tendre les oreilles dans ma direction. Je décide de me relever pour me dégourdir les muscles et voir la réaction de l’Islandais. Celui-ci ne bougea pas mais continuer de me regarder tout en broutant. Je fis des allers retours, finalement le temps commençait à se rafraîchir et quitte le paddock non sans un regard pour le gris. Je reviendrai demain.
il est mignon ce poney mais tu sais il n'est pas gris il est bai silver
+ 2 en confiance
+ 2
Invité
Invité
Ven 1 Déc - 16:07
Des Pommes
Me voilà de nouveau devant le petit Alias pour la deuxième fois, j’avais avec moi une bonne dizaine de pommes rangés dans mon sac bleu. Je siffle pour le prévenir de ma présence et entre la seconde d’après, mes pieds foulèrent le sol le sol boueux, il y avait un peu plu hier en fin de soirée. Je fis attention à ne pas glisser, mes pauvres fesses en souffriraient. Alias qui avait relevé la tête à mon sifflement, regardait de très loin mon mouvement digne d’une danseuse. Je m’approche de lui, mais m’arrête à la même distance que la veille. Je fais passer mon sac devant moi et en sortent deux belles pommes bien mûre. Je croque dans une, le goût sucré de la pomme se répandit sur mes papilles. Qu’est-ce que je raffole de ce fruit ! Le bruit si caractéristique d’une pomme attira un peu plus l’attention du poney, qui c’était avancer de plusieurs mètres. Je lance la deuxième en direction d’Alias. Mais étant encore loin, la pomme roula et finit sa course à deux-trois mètres de lui. Je souris, s'il était gourmand, il serait obligé d’avancer vers moi pour la manger. Ce qu’il ne tarda pas à faire, il me surveillait tout de même du coin de l’œil. Je lui souris et pars à la recherche d’un endroit sec où je pourrais me poser. Je pouvais sentir sur m’a personne le regard intrigué de l’Islandais. Je ne m’occupe pas plus de lui et m’installe sur un tronc cassé en deux. Je m’assieds en tailleur dessus et sort un cahier de sudoku. Oui, un sudoku car j’adore en faire et ce depuis m’à plus tendre enfance. Et puis cela me fera passer le temps. Alias m’avait suivi jusqu’au tronc, mais resta tout de même à une bonne distance. Il viendra le moment venu. Je fis plusieurs grille tout en mangeant celas pommes, maisfairere de partir me résigna à en faire d’autre. J’étais tellement concentré que je n’avais pas remarqué que le bai Silver s’était considérablement avancé. Je prends une des dernières pommes de mon sac et lui fait rouler. Il hésita, mais la prit quand même. Je lui dis au revoir et quitte le paddock, lui assurant que je repasserai demain.
Après mettre occupé de la belle Okarina, je me suis diriger vers les paddocks du Rescue me. Comme hier, j’avais des pommes dans mon sac. J’avais pris de quoi le décrasser au cas où, il me laisser l’approcher. J’avais bon espoir. Je m’arrête devant la barrière du prés d’Alias. Celui-ci broutait tranquillement le long de son abri. Je souris et siffle un bon pour le prévenir de m’a présence. Le petit Islandais releva vivement la tête. De loin, je pouvais apercevoir ses oreilles bougeait dans tous les sens. Je rentre à l’intérieur et me dirige vers le tronc qui ne ce trouvait pas loin du bai silver. Alias ne bougea pas et m’observa. Je me sentais épier. Je m’assois en tailleur sur le tronc, et sortie de mon sac deux pommes. Une pour lui, une pour moi. Je lui lance le fruit à quelque mètre de moi, l’obligeant à quitter ça place. Heureusement pour moi, le petit poney était un vrai gourmand et n’hésita pas longtemps pour venir la manger, il l’engloutit en me scrutant. Je lui souris et croque dans la mienne. Je le sentais hésitait à venir plus prés mais finalement la gourmandise pris rapidement le dessus et il s’approcha de moi. Je le félicite par la voix et lui tendit une autre pomme, je senti son souffle chaud sur ma paume. Une fois ma paume délester de l'objet, j'en profitait pour passer la main sur le chanfrein. Le poney paru surpris par mon contact, si bien que je dus le rassurer d'une voix calme et douce pour ne pas qu'il parte. Je sorti l'étrille et la présente a l'équidé, la robe de L'islandais était noir de crasse, je me lève d'une lenteur extrême tout en fixant les yeux d'Alias. La brosse rencontra son poils d'hiver et lui enleva la boue collé. Il ce laissa brosser, ne bougeant plus, je le félicite et lui donne de nouveau un fruit avant de lui dire au revoir.
Après ma séance de cross avec la petite Okarina, je me dirige le Rescue Me et plus précisément vers Alias. Le petit Islandais dont je m'occuper depuis plusieurs jours. J'arrive devant l'entée et siffle pour le prévenir de ma présence dans son habitat. J'ouvris la barrière et entrais, la boite de pansage dans la main droite. Le petit islandais c'était diriger vers moi un peu hésitant au début puis m'avait reconnu et c'est avancer tranquillement. N'ayant plus de pomme je lui tendis un bonbon que je sortie de la boite. D'ailleurs je posai celle-ci part terre et prit en même temps le cure-pied. Le lui caresse doucement l'encolure en lui présentant l'objet, il le renifla curieux puis le délassa pour continuer de broutait. Je fais glisser ma main sur son antérieur gauche pour lui faire comprendre ce que je voulais. Mais Alias ne voulait pas le donner que je dus le pousser pour pouvoir lui curer. Ses sabots n'avait pas était fait depuis longtemps, la terre avait durci et plusieurs cailloux s'y était loger. Et ceux dans les quatre sabots. Ayant surement compris il me donna le dernier sabot de lui même, je le récompense comme il ce doit en lui donnant une friandise à la carotte. Je passe ensuite l'étrille de façon circulaire sur sa robe bai silver, la boue tomba sur le sol petit à petit. J’en profite pour l'observer et découvre des petite plaies sur son ventre que je n'avais par remarqué hier. Surement des plaies qui datent de son dernier propriétaire quand il avait était dans un pré avec beaucoup de chevaux. Heureusement pour lui les plaies n’étaient pas profondes et j'avais un tube de Bétadine sur moi. Je lui appliquerais une fois son pansage finis. Je prends le bouchon et passe sur tout son corps en évitant les blessures, j'aime beaucoup sa robe elle me fait penser à une bouteille de coca. Je repose la brosse pour prendre le tube de produit rouge sous forme de pâte. Je m'en mis sur le bouts des doigts et étale sur chaque plaie un peu de solution. Je souris, Alias ne bougea pas durant les soins, il était sage comme une image. Je fais passer ma main sur tout son corps profitant de se calme plat. Je dépose un bisou sur sa joue et décide d'en rester la pour aujourd'hui. Je quitte le pré et le rescue me pour rentrer chez moi et en passant récupérer Sirius qui m'attendais devant le box d'Okarina.
Je sors de chez moi bien emmitouflé dans plusieurs couches de vêtements, la température était bien basse aujourd'hui. Six petits degrés avec un bon vent glacial. Vous savez, ce vent qui arrive à passer au travers des habits! Avec ça grosse fourrure, Sirius n'avait pas ce genre de soucis, du moins tant qu'il ne fessait pas moins dix. Je démarre la voiture, le berger allemand allongé sur les sièges arrière. Après dix minutes de trajet, j'arrive sur le parking du haras. Je descends suivi de près par mon jeune chien. D’ailleurs il allait bientôt fêter ces trois ans le petit loup! Je passe faire un petit coucou à ma belle Okarina avant de me diriger vers les paddocks du Rescue Me. Sirius avait compris que nous allions voir un autre cheval, donc le jeune chien remuer la queue dans tous les sens, content de rencontrer une nouvelle tête. Et peut être avoir un nouvel amis. Je sui s vraiment heureuse d'avoir un chien aussi amical envers tous le monde. Au début je demanderais au berger de rester en dehors du paddock pour laisser le temps à Alias de s'habituer à sa présence. Le petit poney ce trouvait à l’abri dans son box ouvert, nous tournant le dos. Les soigneurs lui avaient mis une belle couverture grise, je siffle pour le prévenir. Celui-ci sortis sa tête de l'abri, il s'approcha dans une lenteur extrême. Il avait les oreilles bien en avant, fixant Sirius. On pouvait lire dans ses yeux de la curiosité. J'entre et ordonne au berger de rester assis. Chose assez difficile pour cette pile électrique. Je tends ma main au bai silver, qui la renifla espérant trouver quelque chose à manger. Je lui souri et le laisse approcher mon chien. Regardant attentivement leurs réactions. Pour l'instant tous ce passait bien et malgré la barrière qui les séparait rien ne les empêcher de se sentir mutuellement. Je demande à Sirius de venir mes pieds, le canidé effectua ma demande rapidement. Il me suivit jusqu'au tronc d'arbre où je m’assois pour regarder l'évolution entre les deux êtres. Alias semblait très curieux par rapport a la petite bête qui remuer dans tous le sens. Les heures passèrent, l'Islandais fini par broutait l'herbe restante, ce moquant de la présence du chien autour de lui. Je décide de brosser un peu le beau poney, histoire de le décrasser et de soigner ses plaies. Je l’approche de lui et le caresse sur l’encolure. Je lui enlève sa couverture que je plis et pose sur le tronc. Seulement mon gentil chien en avait décidé autrement et me l’avait fais tombé. Je soupire et la ramasse pour la remettre à sa place. Je sors de mon sac l’étrille, la seule brosse que j’avais sur moi. Je m’attaque à son côté droit en effectuant des mouvements circulaires. Le poney ce laissa faire et continua de manger tranquillement tandis que Sirius attrapais des choses invisibles. Une fois la robe d’Alias propre je remis la couverture. Malheureusement il était midi passait et mon ventre criait famine. Je donne une friandise à Alias et quitte son paddock direction la voiture.
Après ma séance de mise en selle, je m’étais occupé de la belle Okarina puis je me suis diriger d'un bon pas vers les paddocks du Rescue me, plus précisément vers celui de Alias.
Après ma séance de mise en selle, je m’étais occupé de la belle Okarina puis je me suis diriger d'un bon pas vers les paddocks du Rescue me, plus précisément vers celui de Alias.
J'avais amené avec moi mon éternel sac à dos qui contenait diverse objet, j'y avais mis mes brosses, des bonnes pommes bien juteuse, mon licol vert ainsi qu'une longe.
Hier j'avais signé les papiers de parrainage avec le directeur des soigneurs. Il avait vérifié, ou plutôt vue mes relation avec le petit Islandais et avait donc validé ma demande juste après.
J'étais très heureuse de l'avoir en parrainage. Je me suis juré de le sortir coûte que coûte de là. Et je comptais bien mit tenir! Foi d'Anna!
Dans son paddock, le bai silver mangeait tranquillement sa balle de foin, ne ce souciant guère du monde qui l'entourais. Je siffle un bon coup pour lui faire par de ma présence.
Il releva vivement la tête, la sortant du foin. Je rigole en voyant sa tête recouverte de foin. Il s'approcha de moi et j'arrête de rigoler en voyant l'état de son corps. Il était entièrement recouvert de foin. Je me demande même si il ne sait pas rouler dedans histoire de ce déguisé.
Je soupir devant le travail qui allait m'attendre, j'entre à l'intérieur du paddock et parcours le dernier mètres qui me séparait du poney. Je pris de mon sac une pomme et lui tendit. Il ne fallut que peu de temps pour qu’Alias ne s'en empare. Quel gourmand! Je le caresse longuement, enlevant au passage plusieurs brins de foin dispersé sur sa belle robe. Plusieurs c'était coincé dans ses crins aussi bien dans la crinière que dans la queue.
Je pose mon sac à terre et en sors le peigne, je m'active à prendre mèche par mèche pour enlever plus facilement les petits chardons. Alias ne bougeait pas et ce laissait faire gentiment.
Je me mit a lui raconter ma journée, lui racontant que Sirius avait voulu jouer sur mon lit et qu'il était tombé la tête la premier par terre. Qu'est-ce que j'avais ri à ce moment.
Il me fallu plus d'une dizaine de minute pour démêler sa belle crinière blanche. Celle-ci brillant au soleil. J'étais plutôt fière de moi mais j’oubliais qu'il me rester le reste du corps. Je laisse échapper un autre soupir et décide d'attaquer la queue après avoir fait le pansage sur la robe.Je repose le peigne et le remplace par l'étrille ronde avec laquelle j’effectue des mouvements circulaires. J'enlevais ainsi les restes de foin.
Après cinq minutes de pansage avec les différentes brosses, je peux commencer à la partie la plus complexe du moment: la queue! Je fus obligé de séparer la queue en plusieurs parties pour ne pas me perdre et refaire un endroit déjà fait. Après avoir bataillé une bonne trentaine de minutes j'ai finalement obtenue un résultat plus qu'admirable. Mais je note dans un coin de la tête qu'un spray démêlant serait la bienvenue la prochaine fois.
J'offre une pomme à Alias pour ne pas avoir bougé durant cette tâche. Mais une question me triturait l'esprit depuis mon arrivée, allait-il accepter le licol car il pourrait croire que je veux le monter. Mais je ne saurais qu'en essayant.
Je sors le beau licol vert forêt, le petit étalon n’eu au premier abord aucun réflexe. Mais c’est quand je sortie la longe qu’il fit un écart. Je fus lus rapide que lui et passa la longe autours de son cou. Je le rassure avec des mots doux. Cela le calma et je lui tendis un morceau de mot de pomme. Car oui je n’avais pas un stock de pomme illimité !
Je me place perpendiculairement à lui et lui présente le licol bien ouvert tout en le rassurant. Le poney recula de quelque pas, je lui parle donc pour lui monter qu’il n’avait rien à craindre. Et lui monterais que je ne le monterais jamais.
Après quelque petite minutes à lui faire comprendre, je réussi à lui accroché le licol. Je lui laisse le temps de s’habituer au contact pour pouvoir lui mettre la longe.
Alias se détendit et je pus accrocher le mousqueton à l’anneau. J’effectue une pression sur la longe et fit un pas en avant, le poney me suivit docilement. Pour le félicité je lui flatte l’encolure.
Je fi des tours du paddock en m’arrêtant plusieurs fois pour voir si l’islandais avait la notion de respect et ne cherche pas à me dépasser.
Une chose à faire en moins, je décide de le sortir de son paddock. Je prends mon sac et le pose sur une de mes épaules. Alias avait parfaitement compris que nous sortions, il avait relevé bien haut la tête les oreilles bien en avant et avait la queue en panache. Je souris en le voyant dans cet état.
Nous remontions l’allée du Rescue Me. Les chevaux des autres paddocks, du moins certain, regardaient avec curiosité le bai silver. Je passe la frontière entre le Haras et le Rescue me. La plupart des cavaliers ne firent pas attention à nous. Je me dirige vers les écuries pour présenter Alias à Okarina. Celle-ci avait surement reconnu mes pas car elle avait sortit sa tête du box et me regardais. Bon ok, elle regardait plutôt l’étalon mais elle me regardait quand même dans ma direction.
J’approche doucement le poney et l’arrête à moins deux mètres de la sooty palomino. La jument tendit son encolure pour essayer de sentir l’islandais. Celui-ci recula par surprise, il bougeait ses oreilles dans tous les sens. Je le rassure du mieux que je peux, il finit par faire quelque pas en direction de la barbe. Il semblait curieux et ça c’était très bien.
Je pourrais peut être partir en ballade avec les deux un de ses jours. Je reprend un peu de longe et entraine le bai silver à la découverte des écuries de propriétaire. Nous passons devant une multitude de chevaux tous différents les uns des autres.
Je me dirige vers la carrière ou plusieurs cavaliers évoluer aussi bien en dressage que en saut. Avec un peu de chance cela réveillerait en Alias l’envie de retravailler et me laisserais peut être monté sur son dos. Ne serais-ce qu’une dizaine de minutes, car malheureusement je suis un peu trop grande pour lui et je lui ferais plus de mal que de bien.
Mais j’avais l’intention de le mettre à l’attelage, le poney pouvait largement tirer une calèche légère avec moi dessus. L’Islandais avait les yeux rivés sur la carrière et la regardait avec une attention toute nouvelle. Malheureusement il fut l’heure de rentré au paddock, la nuit n’allait pas tarder à tombé.
Nous repassons devant les écuries pour rentrer dans le Rescue Me. Je lâche l’étalon qui partit au trot vers sa balle de foin me laissant toute seule. Je repars chez moi contente de cette journée
Les sept jeux de Pat Parelli : Le jeu de l'amitier partie 1
J'arrive au haras un peu boiteuse de à la chute d'hier en mise en selle J'ai passé plusieurs heure au urgence pour finalement apprendre que je n'avais qu'une contusion à la hanche.
J'avais donc interdiction formelle de faire du sport, donc de l'équitation pendant plus d'une semaine. J'étais dépité quand le médecin me la annoncer
Mais boiteuse ou pas, il fallait que j'aille voir le petit Alias. Je n'était pas venu le voir depuis quelque temps et sa petite bouille m'avait beaucoup manqué.
Pour aujourd'hui j'avais prévu de faire une petite séance d'éthologie pour amélioré ma relation avec l'étalon.
Je me dirige lentement mais surement, vers la sellerie commune du haras. Il me fallait un licol pour Alias car j'avais perdu le sien. Je trouve rapidement l'objet de mes désires. La sellerie étant aménager par taille et objet.
Les installations du Haras étaient vraiment bien organisé et somptueuse. Une bourrasque de vent glacial m'accueillit en sortant du haras. Je frissonne de froid et marche aussi rapidement que je le peux vers les paddocks du Rescue Me.
Je rentre dans l'allée boueuse, je regardais les chevaux un à un. Certain avait des couverture d'autre n'en avait pas. Je me doute bien que cela ne ce laissait pas approché par les être humains.
J'arrive devant le paddock du bai silver, d'ailleurs celui-ci portait une belle couverture bleu. De loin il me semblait qu'elle ait imperméable.
Comme par habitude je sifflais un bon coup pour lui signaler ma présence. L'étalon releva la tête du foin, les oreilles bien en avant.
Il quitta son tas de foin pour ce diriger vers moi tandis que j'entrais dans le pré. Je pose mon sac parterre et attend que le poney arrive à ma hauteur.
Il essaye d'ouvrir le sac, il savait parfaitement qu'à l'intérieur ce trouvait des bonnes pommes. Je lui fais gentiment comprendre qu'il en aura après.
Je prend le licol que j'avais rangé dans mon sac et lui enfile avec douceur pour ne pas le brusquer. Je lui attache la longe et sors du paddock. Alias restait bien sagement derrière moi et regardais tout autours de lui.
J'arrive devant le rond de longe et remarque qu'une personne s'y trouve déjà. Je laisse le beau Alias broutait l'herbe restante le temps que la personne finisse.
Ayant marre d'être debout, je m'assoie contre le mur de l’installation en face du bai silver. Une fois assise le poney me regarda curieusement ce demandant ce que je fessais. Je me penche légèrement pour lui effleurer le chanfrein.
Un bruit venant de la porte fis sursauter l'étalon, je le rassure et me lève pour voir un jeune homme sortir d'un pas précités. Il passa devant nous avec son selle français, sans nous adresser un bonjour. Politesse bonjour! Je souffle d'agacement et rentre dans l'installation.
Rond de longe
Je rentre dans l'installation et demande à Alias de tourner sur lui même pour que je puisse fermer la porte. Alias regardais partout, il n'avait plus l'habitude d'être dans un endroit clos.
Je nous place au centre; pour cette toute première séance et ceux pour les premières je voulais faire avec lui les sept jeux de Pat parelli.
Le premier jeu est celui de l'amitié, ce jeu consiste à faire comprendre au cheval que, jamais oh grand jamais on le lui fera de mal.
Je lui attache la longe autours du cou de façon a ce qu'il ne se prenne pas les pieds dedans si il prend peur.
Je me place en face de lui et commence par lui caressé le chanfrein, le poney ne réagis pas, ce laissant faire. D'un mouvement lent je me déplace sur le côté droit et continue mes caresses sur son son encolure avec ma main droite.
Alias voulu se poussé pour mieux me voir mais je l'en empêche. Je passe ensuite mes mains sur son dos, fessant des allers et retours entre son garrot et sa croupe.
Petit à petit je descendis vers son épaule, l'étalon était calme et me regardait du coin de l’œil. Je le félicite à l'aide de ma voix.
Je ne continuais mon manège en descendant son antérieur jusqu'au boulet. Je remonte doucement vers le poitrail de l'équidé qui ne bougeait pas d'un poil.
Je me redresse et pose ma main gauche sur le haut de l'épaule tandis que ma main droite décrivais de grand cercle au niveau de ses côtes.
Je continue de lui parler, m'avançant tranquillement vers sa cuisse, je passe mon bras par dessus la croupe du bai silver pour venir lui flattait sa cuisse gauche. Alias bougea, perturber par ce contacte.
J'arrête tous mouvement et place mes deux mains bien à plat sur son dos pour lui faire comprendre que je ne lui ferais rien.
Après quelque seconde qui parurent des minutes, il ce calma et je pus reprendre mon activité. Je refais la même chose que précédemment en repassant mon bras par dessus mais cette fois-ci je me mis a lui parler.
Je sentis le poney ce tendre, bougeant les oreilles dans tous les sens, cependant il ne bougea pas d'un pouce. Je le récompense chaleureusement.
Je pose ma main droite sur son dos et l'autre sur son flanc. Je le caresse de long en large, le petit étalon ce laissa faire.
je descend mes mains vers le dessous du ventre avant de laisser ma main droite partir en direction du poitrail. Alias ne dit toujours rien, ce qui est donc un bon point.
Je remets ma main au centre et fais glisser la gauche pour venir prendre le postérieur et de la soulever. Rien. Aucune réaction. Je continue mon avancé dans la douceur et la patiente. Je fini par la tête, jouant avec ses oreilles.
J’arrête tous et défait le nœud de la longe autours du cou. Cela suffit pour aujourd’hui, le demi-heure étant presque terminais. La prochaine fois je prendrais un sac plastique et referais le même schéma.
Je sors du rond de longe et traverse le haras pour lâcher Alias dans son paddock respectif.
Les sept jeux de Pat Parelli : Le jeu de l'amitier partie 2
Je sors de la voiture un gros sac en plastique dans lequel se trouvais divers objet : le licol d’Alias, un sac en plastique fin, une chambrière et des friandises à la carotte.
Je me dirige vers le Reçue me en observant le haras sous une couche de neige. Il y avait neigé durant la nuit, recouvrant les alentours d’un manteau blanc épais. Je souris devant ce magnifique tableau. J’arrive devant les paddocks immenses du Reçue Me.
Je dépasse la frontière et me dirige vers le paddock que je connais par cœur. Le petit Alias était dans son abri bien au chaud. Je ne prends pas la peine de siffler et rentre directement à l’intérieur.
M’ayant entendu arriver, le bai Silver Releva la tête dans ma direction, puis commença à s’aventurait dans la neige. Vision très comique puisqu’il levait autant que possible s’est membre. Je rigole en l’attendent vers le milieu dû près.
Il s’avança jusqu’à moi et vînt renifler mes paumes, comme durant notre dernière séance, je me mets à lui faire des caresses un peu partout sur son corps dans la mesure du possible sans lui enlever sa couverture. Passant, entre les pattes, les oreilles, la queue enfin, bref partout.
Il se laissa faire, je le félicite et sors du sac le licol et la longe. Je lui enfile le licol et y attache la longe. J’avance doucement dans l’épaisse couche de neige, nous nous dirigions tranquillement vers le rond de longe.
Rond de Longe
Nous y serons au chaud et au calme pour faire mon jeu de l’amitié. Alias me suivait à la même hauteur épaule contre épaule. Par chance le rond de longe était vide, j’y fais rentrer le poney qui se tourna pour que je puisse fermer la porte derrière moi.
Comme la dernière fois je l’arrête au centre de l’installation et le détache, il resta sage et ne bougea pas. Je le félicite, je pose dans un coin mon sac et en sort le sac en plastique. Je regarde par-dessus mon épaule, Alias avait les oreilles bien en avant et me regarder curieusement.
Je froisse avec mes mains le sac pour faire le plus de bruit possible, l’Islandais ne bougeait pas, mais je pouvais voir ses oreilles bouger dans tous les sens. Je me redresse pour ensuite venir vers lui, sans pour autant arrêter le bruit.
Il fit un petit écart et je ne fis plus aucun bruit, lui laissant le temps de revenir vers moi et de renifler l’objet que je tenais entre mes mains. C’est ce qu’il fit après plusieurs minutes d’hésitation, je lui tendis une friandise que j’avais glissée dans la poche droite de ma veste. Il l’engloutit sans vergogne et essaya d’en attraper une autre en fouillant dans la poche.
Je souris mais le repousse gentiment, il en aura plus tard. Je lève le bras tenant le sac, je caresse Alias en même temps pour lui faire comprendre qu’il n’y avait aucun danger. Je fais plusieurs mouvements avec mon bras, allant de haute en bas. Je rassure le petit bai Silver qui regardait de façon apeurer le sac, il se calma doucement sans pour autant ce détendre.
Je mets en boule le sac puis lui présente et tendant le bras vers lui, il la renifla pas rassuré pour un sou, je le félicite et lui donne un bonbon, qui ne fit pas long feu. Petit à petit je lui rapproche l’objet de son encolure, il prit un peu peur, mais ne bougea à pas pour autant. Je lui souris et tapote son encolure en signe d’encouragement. Je rapporte ma main droite devant lui et prends l’objet dans l’autre main.
Je fais glisser le sac le long de son encolure tandis que je le rassurer par la voix. J’en profite aussi pour lui caresser le chanfrein. J’arrête tous mouvements avant de déposer l’objet à mes pieds. Je commence à détacher les sangles de la couverture au niveau de son poitrail.
Je fais ensuite celle du ventre et fais glisser la couverture le long de son dos, une fois bien enlevé, je la plie comme je peux et la pose sur une barre.
Je retourne vers l’Islandais qui en avait profité pour sentir pour la centième fois le sac. Je lui caresse l’encolure et me penche pour ramasser l’objet. Alias recula d’un pas mais pas plus.
Je me rapproche de lui et lui passai le sac devant ces yeux tout en le rassurant. Il finit par se calmer et a se détendre. Je continue mon avancer vers son garrot laissant traîner choses. Je prends mon temps et repasse plusieurs fois au niveau des oreilles. L’habituant à ce bruit bien désagréable, je dois l’avouer.
Durant mon avancer le petit Islandais n’avait plus bougé, je lui donne un bonbon pour la félicité de son courage. Je passe bien entre les pattes, le ventre, sous sa crinière.
Il réussit à bien ce détendre et à me laisser faire, je le félicite d’une bonne caresse sur le chanfrein avant de continuer. Je pose le sac sur ses côtes puis j’effleure doucement cela peau jusqu'à sa croupe, puis je pars dans l’autre sens remontant cela colonne vertébrale. Je m’amuse à passer entre ses oreilles.
Je sors la chambrière du grand sac, elle était assez petite, pas besoin d’en prendre une immense pour ce que j’allais en faire. Je l’approche du bai Silver pour qu’il puisse se familiariser avec l’étrange objet. Il la renifla avant de s’en désintéresser royalement.
Je souris et commence par lui passer sur le haut de son dos, hormis le faite d’avoir regardé ce que je fessais, il ne dit rien. Je lui souris et continue de m’amuser avec la chambrière sur tout son corps.
Mais le moment que je redoutais le plus était le moment où j’allais faire tourner la chambrière au-dessus de sa tête. Je souffle un bon coup, restant parfaitement calme et sereine. Je lève le bras tenant l’objet, j’effectue des mouvements de haute en bas modifiant de temps en temps la vitesse.
Alias partit sur la piste croyant devoir y aller, j’arrête tout mouvement et attends qu’il revienne vers moi. Il comprit rapidement ce que j’attendais de lui. Je reprends mon activité y allant cette fois plus doucement.
Il finit par ne plus bouger de sa place. Je le félicite et rassure par la voix. De façon lente, je monte la chambrière au-dessus de sa tête, au début il la regarda curieusement toute peur envoler. Je décris ainsi un cercle autour de sa tête.
Je tente d’aller plus loin, faisant décrire un cercle à la chambrière au-dessus de nos têtes, asseyant de lui faire comprendre qu’il n’avait rien à craindre.
Il se recula un peu, sûrement par appréhension, mais je sus le rassurer à temps. Je refais les mêmes mouvements jusqu'à ce qu’il ne s’agite plus. Je ne sais pas combien de temps cela prit, mais il faut savoir qu’à la fin je n’avais plus de bras. Je lui caresse doucement le chanfrein pour la félicité chaleureusement.
Je m’assieds devant lui pour me reposer, mais je me relève vite en passant au temps imparti, j’avais dépassé la demi-heure depuis quelques minutes déjà. J’avais de la chance, personne n’attendait dehors.
J’allais maintenant sauter à tout moment. Je prends la longe et l’attache au mousqueton du licol. Je me mis sur la piste à main gauche. Je lui passe la longe autour du cou et lui attache de façon qu’il ne se fasse pas mal.
Il me suivit tout seul, puis sans prévenir je fais un petit bond après mettre arrêté. Alias sursauta, ne si attendant pas du tout. Mais il ne fuit pas pour autant, je le rassure le ramenant vers le centre du rond.
Un bruit venant de la porte attira notre attention à tous les deux. On venait de toquer, signifiant que nous devions partir. Je souffle et laisse entrer la personne avec son cheval. Je le reconnus de suite, il s’agissait du jeune homme de la dernière fois, celui qui ne m’avait pas dit bonjour.
Je continuerais mon jeu après qu’il est fini sauf si quelqu’un d’autre attendait. Mais j’en doute, après tout nous sommes le 24 décembre, peu de personnes se trouvait au haras. Hormis ce qui n’avait personne avec qui faire le réveillon.
- Bonjours, commençais-je doucement. Est-ce que je peux laisser mon sac ici ? - Oui tant qu’il ne me gêne pas ! me répondit le brun froidement.
J’acquiesce en hochant la tête de haute en bas, je place mon sac en hauteur pour ne pas déranger le cheval. En passant, je récupère la couverture polaire d’Alias, que je remets grossièrement sur le petit poney islandais. Je quitte rapidement l’installation sous le regard glacial du brun.
Une fois dehors, je replace correctement la couverture. Je me arrête d’un coup me rendant compte que je ne tenais pas la longe.
Je décide de faire le tour du haras, je tire un peu sur le licol, pour prévenir Alias que nous partons. Il me suivit tranquillement, regardant à droite à gauche. Nous nous arrêtons le long des barrières de la carrière où plusieurs deux trois de cavalier évolué en saut comme en dressage.
Alias se positionna pour dormir, n’ayant point d’herbe à manger à cause de la neige. J’en profite pour le caresser et m’appuie dessus. Le poney ne dit rien ce laissant faire. Je me demande s’il me laissera un jour monté sur son dos.
Mais je ne suis pas pressé chaque chose en son temps comme on dit. Je regarde ma montre, il était quatre heures passées, il fallait que je retourne au rond avant que quelque ne me double. Bon ok j’y suis déjà allé mais bon.
Je ne reprends qu’un bout de la longe histoire de dire, je te tiens un peu mais pas trop. Nous nous redirigions vers l’installation. Comme je le pensais personne n’attendait devant. Je ne le remarque que maintenant, mais il n’y avait très peu de personnes, hormis les palefreniers. Je me pose à quelque pas de la porte attendant que le jeune homme sorte.
Je n’attendis pas longtemps avant de pouvoir rentrer de nouveau, le jeune homme passa devant moi sans me calculer, je hausse les épaules.
Je ferme derrière moi laissant le poney avancer tout seul, je le reprends le sac et rejoins le poney qui déambule dans le rond. Je l’arrête au centre, j’attends quelques minutes avant de me mettre à courir comme une folle autour de lui. Si au début il parut surprit, il se désintéressa de moi bien rapidement, je souris avant de m’arrêter et de revenir vers lui. Je lui demande de me suivre, je marche d'un peu partout dans le rond. Un coup à droite, un coup à gauche.
Puis sans prévenir je saute sur le côté, Alias fit un petit écart en me regardant bizarrement. Je reprends la longe et continue mon petit manège pendant encore quelque temps. Du jusqu’à ce qu’il ne prenne plus peur de mes réactions étranges.
Alias finit par comprendre que je ne lui ferais pas de mal et qu’il pouvait me faire confiance peu importe la situation. Je me tourne vers lui et prends sa tête entre mes mains et dépose un petit bisou sur ses naseaux.
Il est temps de quitter le rond, nous y sommes depuis trop longtemps. Je range correctement mon sac et donne à Alias plusieurs friandises. J’ouvre la grande porte de l’installation, nous nous dirigions d’un pas tranquille vers le paddock du Rescue Me.
L’air frais me fit frissonner, je ne darderais pas de rentrer me mettre au chaud. Et puis Mélina devait surement être rentrée de sa visite chez l’agence immobilière. Je détache le licol du bai Silver et le laisse partir dans son abri.
Il reprit le même chemin de toute à l’heure essayant de ne pas toucher la neige. Je souris et sors du paddock puis du Haras. Passant voir Okarina et mes deux autres chevaux, je ferais surement une petite ballade avec Alias, histoire de sortir.
Un mois c'était écouler depuis ma dernière visite au Rescue Me. J'avais eu pas mal de boulot et 'avais un délaisser le petit Alias.
Me voilà donc en train de foulé le sol de la grande allé du Rescue Me. J'arrive devant le paddock de l'Islandais.
Je siffle puissamment pour prévenir Alias de mon retour, au plus profond de moi j’espérais qu'il ne m'en voudrais pas de l'avoir laisser seul aussi longtemps.
Un hennissement me répondit, J'entre à l'intérieur du pré. Au début Alias ne s'approcha pas vraiment de moi. Il avait hésitait mais avait finalement choisie de venir vers moi.
Je le caresse le chanfrein, profitant de sa proximité pour lui flattait l'encolure. Je ne lui mettrais pas de licol pour aujourd'hui.
Je fais glisser mon sac de mon épaule et en sors quelques brosses, je pose mon sac à terre avant de prendre l'étrille. Je me place au niveau de l'épaule droite de l'étalon et pose la main dans laquelle je tenais la brosse.
Je commence par faire de large mouvement circulaire pour lui enlever les multitudes de tâche de boues. Je passe bien sur le passage de sangle et entres les cuisses. Je lui passe l'étrille un peu partout en passant par la croupe, les côtes et même en dessous de la crinière qui était dans un état pitoyable.
Je fais la même chose de l'autre côté profitant pour lui gratter le garrot, endroit qu'il semble, bien apprécier.
J'échange de brosse passant de l'étrille au bouchon. J'effectue de long mouvement de haut en bas. Soulevant de la poussière incrusté dans les poils d'Alias.
L'étalon soupira, tandis que je passer le bouchon sous son ventre. Je le caresse en même temps. Je laisse de côté la brosse pour prendre le peigne et beaucoup de chouchou.
Je commence par la crinière en la séparant en plusieurs parties. Je laisse Alias mangeait son herbe et bougeais à sa guise. a aucun moment je ne l'empêche de bouger.
Les nœuds furent un véritable challenge à défaire sans en arracher. Ayant toujours une paire de ciseaux sur moi. Je décide de raccourcir les crins d'Alias, qui commençais à être assez long.
Je me suis donc armer de patiente pour lui couper cinq à dix centimètre de crinière et de queue. Le résultat final été plutôt pas mal.
Je repose le peigne et les ciseaux pour prendre à la place le cure-pied. Je commence par l’antérieur gauche. Plaçant ma main sur le haut de son épaule pour la glisser lentement sur la patte du bai silver, qui continuer de brouter les oreilles en avant.
Je lui soulève le sabot et lui retire pas mal de terre, je fais de même avec les trois autres sabots retirant même un cailloux coincé avec la terre.
Je range mes brosses dans mon sac dont nous nous étions éloignés. Je le replace sur mes épaules et suis quelque temps Alias dans son pré. Le câlinant de partout. Mais le soleil commençait a décliner petit à petit.
Je lui dépose un petit bisous sur le bout des naseaux avant de me diriger vers l'entrée du paddock. L'Islandais me suivit jusqu'à la fin, je lui dit au revoir et quitte le Rescue Me puis le Haras.
Pour aujourd'hui je voulais testé la bâche avec Alias. J'arrive donc au Haras armé d'une belle bâche bleu bien bruyante coincé sous le bras et mon sac sur les épaules.
Je me dirige d'un pas tranquille vers les paddocks du Rescue Me, j'arrive assez rapidement devant celui du petit bai silver. Celui-ci broutait devant l'entrée chose qui m'arrangeait plutôt bien en passant.
J'abandonne l'objet en rentre dans le paddock pour aller à la rencontre de l'Islandais. Il s'approcha de moi pour me humer, je le caresse derrière les oreilles. Il étendit son encolure vers l'avant me faisant clairement comprendre qu'il adorait ça.
Je retire mon sac de mon dos, sous le regard curieux de l'étalon, j'en sors son licol et lui enfile doucement avant de m'être la longe. Je me place au côté du poney et le fait sortir de son paddock. En prenant au passage ma bâche.
Alias avait maintenant l'habitude de sortir d'ici et il savait parfaitement où nous allions, le rond de longe, tout simplement. Il n'y avait personne, je m'engouffre dans l'installation le petit poney à ma suite.
Je le fait tourner sur lui même pour fermer correctement la porte du box. Une fois chose faite, je commence à faire marcher le petit Islandais. Posant ensuite la bâche au centre du rond, je détache la longe du licol et laisse Alias libre de ses mouvements.
L'étalon partit en coup de cul, ruant, galopant changeant de sens à tout va. Un véritable plaisir pour les yeux, je le laisse ce défouler avant de siffler et de m'approcher de lui.
L'étalon bai silver s'arrêta et me regarda curieusement les oreilles bien en avant. Ce demandant surement ce que j'allais faire avec lui. Je m'approche prés de lui et lui remet la longe au licol.
Je fais un petit tour du rond avant de couper le cercle en deux et d'aller vers la bâche bleu étaler au sol. Arriver à moins de deux mètres de l'objet Alias pila et recula de plusieurs pas m'entraînant avec lui.
Je me place en face de lui et mets mon front contre sa tête. Je lui murmures des mots rassurant, je lui caresse doucement l'encolure.
L'étalon s'ébroua avant de baisser la tête. Je continue néanmoins mes caresses avant de le faire avancer de quelque marchant pour ma part a reculons. Mon pied toucha la matière de la bâche faisant sursauté le petit Islandais.
Je le rassure et effectue une légère pression sur la longe, je le sentie hésiter avant de poser une patte devant l'autre. Je me retrouve au milieu de la bâche. Alias levant son antérieur gauche mais hésita à le poser. Il reposa sa patte sur le sable du rond de longe.
Je pris en main son licol au niveau du mousqueton et effectua une pression vers le bas. Alias fini par baisser la tête et renifla l'étrange tissu. Il toucha la bâche du bout des naseaux, je me penche en avant et recule tout doucement incitant l'étalon à me suivre sans crainte.
Alias posa son antérieur droit sur la bâche ses oreilles bougeant dans tous les sens, je le rassure. Il finit par ce calmer et avança sur la bâche sans pour autant être parfaitement calme. Il quitta la bâche d'un petit bond.
Je le félicite et refais un petit tour de rond en trottinant à ses côtés, je ralentit la cadence un peu essouffler et redirige le poney vers l'épreuve.
Il hésita avant de passé dessus à toute vitesse, je souris et le fait repasser au pas. Je lui tapote l'encolure pour le félicité et lui tend une friandise que j'avais caché dans la poche de mon pantalon. Je n'est pas le temps de dire "ouf" que la friandise ce fit engloutir.
Je le fis repasser plusieurs fois sur cette bâche bleu. Au fils des passages Alias ce détendit et passa sans avoir peur. Cette séance fut donc un véritable succès. Je le félicite en lui caressant le chanfrein.
Avant de rentrer au paddock je fis un petit tour du haras. Alias comme à son habitude ce montra très curieux en regardant les chevaux dans leurs box.
La ballade ce finit tranquillement avant de devoir le ramener à son paddock. Je profite de l'air frais pour brosser un peu l'étalon et de finalement le quitter pour partir du haras. .
Après m'être occupé de la douce Okarina, je me suis dirigé vers le Rescue Me pour m'occuper du petit Alias. J'arrive devant son paddock. J'aperçois l'Islandais, celui-ci avait la tête dans une balle de foin, je soupir. J'allais avoir beaucoup de travaille pour lui retiré le foin.
Je hausse les épaules et entre dans le pré. Alias releva vivement la tête à mon sifflement, je continue de m'approcher tandis qu'il fit de même.
Je lui enfile le licol que je tenais dans ma main. J'attache Alias à l'anneau ce trouvant sur son abris, je commence le pansage en démêlant la crinière blanche de l'étalon remplie de foin.
Je soupir devant l'immense tâche, il me fallut une dizaine de minute pour que tous sois impeccable. Je fini par les sabots avant d'amener Alias au rond de longe. Je le lâche tandis que je fermais derrière nous.
Il partis dans un bon, donnant deux-trois coup de cul par-si par-là. Pilant par moment, jetant la tête bien haute. Je regarde ce spectacle avant de m'avancer vers le centre et de capter l'attention de bai silver.
J'attrape la chambrière et oblige Alias a ce mettre sur un cercle. Je ne ferais que le longer pour aujourd'hui, il n'avait pas travailler depuis longtemps et je ne voulais pas abuser.
L'étalon marchait d'un pas actif et été détendu je marche avec lui avant de lui demander le trot. Alias comprit la demande et partis sans mal a l'allure voulu.
Je change de main la chambrière et oblige le petit poney à partir dans l'autre sens. Chose qu'il fit assez vite, je le félicite et le fait repasser au pas pour deux tour de rond avant de lui redemander le trot.
je lui fis faire trois tours avant de lui ordonner le galop par la voix, sauf qu'Alias resta au trot en ronflant. Je fis claquer la chambrière derrière lui, ce qui le fit accélérer le trot sans pour autant aller à l'allure voulu.
Je pris une grande inspiration et encourage le bai à s'élancer. Je souris en voyant l'étalon faire quelque foulée de galop. Je l'encourage encore plus. Il réussi a me faire un bon tour avant que je ne l'arrête, voilà une demi heure que nous étions dans le rond de longe et même si je pouvais encore resté quelqu'un attendais dehors.
Je lui laisse la place avant de faire un petit tour du haras. Comme a son habitude Alias était plus que curieux en regardant les autres chevaux. Sur un coup de tête je décide de sortir du haras pour aller faire un petit bout de chemin.
L'islandais semblait plus que content d'être dehors, il me faisant des petits bonds de joie et renifler le sol. Je le reprends de temps en temps. J'arrive dans un champ, je laisse Alias broutait un peu en m'accoudant contre lui et observais le ciel.
Le temps ce fit plus frais ce qui m'obligeant à rentrer au Haras, je dépose Alias dans son paddock avant de le quitter et rentrer mes m'être au chaud à la maison. .
Messages : 57764 Inscription : 17/11/2016 Age : 23
info Trèfles: (1636/1650)
Mer 14 Fév - 15:57
+2 en longe +2 en confiance
3
Invité
Invité
Mer 21 Fév - 8:25
Passons à autre chose
< -->
J’arrive en sifflotant devant le paddock du petit Alias. Celui-ci m’avait repérer depuis belle lurette et s’était approcher de la barrière en trottinant gaiement. Je le rejoins avec un léger sourire étirant mes lèvres.
Pour aujourd’hui je voulais lui faire travailler les longues rênes et ainsi commencer à le débourrer pour l’attelage. Je lui enfile doucement le licol et attache par la même occasion la longe que j’attrape du bout des doigts. Nous sortîmes calmement du paddock pour rejoindre le rond de longe, durant le trajet je laissais Alias mangeait quelque brins d’herbe.
Au passage je m’arrête prêt de la sellerie pour prendre un surfaix, un filet sans rênes et des longues rênes. Je ne prends pas la peine de prendre le fouet d’attelage pour aujourd’hui.
Nous arrivons enfin en face du rond, par chance il n’y avait personne, j’ouvris la grande porte mis engouffrant suivie du poney. Je referme derrière nous avant de diriger l’islandais au centre du rond.
Je lui retire son licol que je laisse tomber doucement au sol. Je redouter un peu la réaction d’Alias par rapport au filet qui je n’espère n’allait pas le bloquer.
Je souffle un bon coup avant de me placer de façon à pouvoir lui mettre l’objet que je tenais dans mes mains. Je pose au sol le surfaix et les longues rênes avant de passer ma main droite entre les oreilles de l’étalon.
A ma grande surprise Alias attrapa de lui-même son mord et ce mis à le mâchouiller tranquillement, néanmoins je le félicite en lui flattant l’encolure et en déposant un petit bisou sur ses naseaux.
Je reprends le surfaix au sol et le pose sur le dos du bai silver, un peu avant son garrot pour ne pas le blesser. Je le sangle avant de lui mettre les rênes en les passant par les anneaux du surfaix et de les attacher au mord du filet.
Je caresse un peu l’étalon avant de prendre les rênes au carré comme je l’aurais fait en attelage. Cette position était serte plus difficile mais mes actions serons plus précise ainsi, je fis claquer ma langue lançant Alias au pas.
L’étalon eut, au départ, du mal à comprendre mon ordre mais après avoir un peu insister et en m’aidant de ma voix il fini par s’exécuter. Je pense que rester au pas sera une bonne idée pour aujourd'hui.
Je lui fis faire quelque pas avant de l'arrêter par la voix, cette fois-si Alias comprit l'ordre demander. Je le félicité chaleureusement avant de lui faire reprendre le pas, le poney m'écoutait attentivement pendant que je lui parlais de tout et de rien.
Un premier cercle ce boucla, je me déplace pour me mettre sur le flanc droit de l'Islandais. Je tire légèrement sur la guide gauche, Alias plia l'encolure et ce tourna, je le récompense d'une caresse sur la croupe avant de reprendre un cercle.
L'étalon ce débrouiller très bien et je pense que son ancienne cavalière l'avait fait travailler en longue rêne. Je décide d'en rester la pour la journée et retire tous l'équipement d'Alias pour lui remettre son licol.
Nous sortons du rond de longe tandis qu'une autre personne rentrais à l'intérieure. Je dépose les affaires que j'avais emprunter la où je les avaient prise. Alias rester calme à l'entrer de la sellerie attendant patiemment.
Je lui flatte l'encolure avant de reprendre la route vers les paddocks du Rescue Me. Une fois arriver devant le sien je le lâche à l'entrer. Je m'accoude à la barrière observant le bai silver s'éloigner de moi au petit galop.
Messages : 57764 Inscription : 17/11/2016 Age : 23
info Trèfles: (1636/1650)
Mer 21 Fév - 9:56
+2 en confiance +2 en longue rênes
3
Invité
Invité
Sam 17 Mar - 17:13
Un peu d'attelage pour commencer
Depuis quelque temps je m'occuper du débourrage a l'attelage d'Alias. Et aujourd'hui j'allais essayer la calèche qui est beaucoup plus lourde qu'un sulky.
J'arrive devant son paddock est y rentre tranquillement sifflotant un air simple. L'étalon, m'ayant entendu arrivé, s'avança doucement vers moi.
Je lui flatte l'encolure avant de lui mettre son licol. En revanche je lui pose la longe sur le garrot et m'attaque au pansage complet.
L'islandais ressemblais plus a un sac de boue qu'a un poney. Je m'arme de patiente et commence le brossage par l'étrille.
J'effectue de large mouvement sur sa robe bai. La terre sèche tomba sur le sol et la poussière vola dans l'air en quantité impressionnante.
Je passe rapidement les autres brosses puis le cure-pied avant de sortir du Rescue Me suivit par le petit Poney qui broutait de temps a autre.
Nous arrivons rapidement devant la sellerie du club, j'attache l'étalon a l'anneau a l'air de pansage. Je pars chercher un harnais taille poney dans la partie attelage de la sellerie.
Doucement je lui mis l'équipement avant de repartir avec lui dans un autre endroit. Je l'amène au hangar a calèche, je le rattache a une barre avant de déambuler.
Je jette mon dévolue sur une petite DOMINIAK. Je la sors du hangar et l'amène au-près du poney. Je relevé les brancard et place l'étalon.
J'attache le premier brancard puis le deuxième ne tarda pas a être lui aussi bien en place. J'agrippe les guides et monte dans la calèche bleu nuit.
Je prends en main le fouet et pris correctement les guides aux carré.
- Alias! marchait! Demandais d'une voix claire.
Je sentis la calèche ce mettre en route d'un mouvement sec, je laisse marcher Alias avant de ramener ma guide droite vers moi. L'islandais tourna tranquillement et je partis me balader un peu dans le haras. Le bruit de ses sabots sur le bitume résonnais dans toute l'allée, certain chevaux sortirent la tête de leur box, hennissant par moment.
Tout content, Alias leur répondit tout en continuant sa route. Le petit poney avancer dans un bon rythme ne se souciant guère du poids de la calèche. Pour aujourd'hui je me contentais seulement de faire le tour du haras, d'un claquement de langue je vis partir l'Islandais au petit trot.
Je le félicite par la voix et le laisse tracer sa route tranquillement, je tire un peu sur mes guides pour faire comprendre à l'étalon qu'il devait repasser doucement au pas. Il réalisa l'ordre demandé avec perfection, je lui donne un peu de guide, le laissant marcher droit devant lui.
Je contourne le rond de longe avant de retourner au hangar à calèche. j'arrête gentiment le bai silver avant de descendre de la calèche. Je lui retire l’attirail pour ensuite l'attacher à la même barre que tout à l'heure pour ranger la DOMINIAK là où je l'avais prise.
Je reprend l'étalon qui n'avait pas bougé d'un poil, attendant docilement que je m'occupe de lui. Je refis le chemin en sens inverse, le dételant tranquillement avant de le ramener à son paddock où l'attendait une bonne ration de grain.
La pluie tomber sur la région depuis quelque jours déjà et ne c'était calmé que ce matin. Heureuse de pouvoir enfin quitter ma nouvelle maison, je sors du domaine pour rejoindre le Rescue Me.
Mes pieds s'enfoncèrent dans la terre devenu plus que glissante. Telle une équilibriste, je pris soin d'avancer pas à pas pour ne pas me retrouver les fesses par terre et recouverte de boue. Certain chevaux me regardais avec curiosité ce demandant bien ce que je pouvais faire les bras écartés.
j'accède enfin au paddock d'Alias qui m'avait repérer depuis longtemps, je rentre dedans puis m'avancer jusqu'à l'abri dont l'intérieur était propre, "encore heureux "pensais-je. L'Islandais, curieux, m'avait suivie pour rentrer quelque seconde plus tard sous l’abri.
je pose au sol mon sac pour sortir un licol et une longe. Même si honnêtement je savais qu'il était inutile de brosser un poney dans un paddock remplie de boue j'avais bien envie de le faire tout beau tout propre.
Je sortie l'étrille du sac une fois le poney attaché, Je commence par la croupe en effectuant de large mouvement circulaire. d'immense plaque de boue quittèrent le poils terne de l'étalon, je dérive vers son ventre me penchant le plus possible pour atteindre le milieu du ventre.
Je passe aussi sous la crinière qui méritait un bon coup de peigne mais pour l'instant je m'occuper du flanc gauche du bai silver qui ressemblais à un épouvantail tout droit sortie d'un film d'horreur. Je fini par venir a bout de toute cette saleté au plus grand bonheur de l'étalon qui ce donnerait a cœur joie de ce rouler une fois détacher.
Je sors le cure-pied et lui fait seulement les sabots pour vérifier qu'aucun cailloux ne s'y était glisser. Une fois les sabots faits, je m'attaque à la queue, la coupant un peu en la voyant trainer au sol. Malheureusement il fut l'heure pour moi de quitter Alias pour aller nourrir les chevaux du domaine.
Je lui donne une petite pomme avant de lui retirer le licol et de le ranger. Comme je l'avais prédit, l'étalon ne perdit pas de temps avant de ce rouler au sol à mon plus grand dam. Je souffle exaspérer avant de quitter le Rescue pour aller rejoindre mon Domaine