Aujourd'hui je viens voir Essix mon étalon de trois ans,pas encore tout à fait débourrer mais j'ai décidé de le voir aujourd'hui et le brosser un peu et qu'il apprenne à me connaitre mieux parce que c'est pas moi qui est fait le début de son débourrage c'est Amy une amie à moi qui m'a dit que tout c'est bien passé.
J'entra dans l'écurie et vit Essix,la tête sortie,regarder sa maman.Quand je l'appelle il tourne la tête vers moi et en me reconnaissant,parce que je suis venue lui dire plusieurs fois bonjour quand même,il hennit de joie.Je m'approche de lui et lui caresse doucement le chanfrein,et comme si une mouche était à la place de la main il secoua la tête j'enlève ma main et attends qu'il arrête puis je viens lui caresser le cou.J'entra dans son box et pris le licol que je lui montra,il secoua la tête avant de mettre celle-ci dedans.Je le sortis du box et commença à le brosser après l'avoir attaché.Je pris la brosse douce et fis son cou puis le reste de son corps sauf les jambes et la tête.Je fis de l'autre côté avant de prendre une brosse dur et faire ses jambes sans appuyer trop fort.Je remarqua qu'il ne bouge pas d'un poil et me regarde juste très bien habituer aux brosses.Je pris après un cure-pied et fis glisser ma main vers son sabot et quand elle fut à côté je lui dis "Lève" et il leva la jambe,je ne crois pas que se soit grâce au mot mais grâce à Amy qui l'a bien débourrer.Je fis son pied avant de le lâcher et prendre son autre pied Je fis comme avant,Je laissa ma main glisser sur sa jambe avant de dire "Lève" et qu'il me donne son pied,Je fis la même chose sur les autres pieds.Puis pris une brosse pour sa crinière et sa queue.Je les fis puis Je rangea les brosses et donna un bonbon à Essix qui n'a pas bouger et n'a rien fait.Je le remis dans son box et lui donna encore un bonbon après avoir enlever son licol.Et je partis ranger tout les affaires.
Lison avait de nouveau fait appel à moi pour finit de débourrer le bel Essix. Maintenant âgé de 3 ans, je vivais ma première expérience. Les pré-débourrages ne me font pas peur, mais ils s'agit là d'un tout autre challenge. Heureusement, je connaissais bien Essix maintenant, et apparemment, il a grandis pour devenir un très gentil cheval. De plus, Émilie sera à mes côtés pour m'aider à dompter ce monstre ! Je me rends donc au domaine du Pelham. Aujourd'hui je n'aurais pas besoin de l'aide de mon amie, car avant de penser à monter Essix, il faut d'abord qu'il accepte le harnachement ! Je compte bien sur sa curiosité pour lui apprendre rapidement – mais de la meilleure manière possible – à porter selle et filet. Je rentre donc sereine au domaine du Pelham. Essix est maintenant tout ce qu'il y a de plus sevré – heureusement – et Lison m'a donc indiqué qu'il se trouvait dans un box de son domaine. Je m'en vais à sa rencontre, et je lâche un grand « Waoh ». Essix est devenu magnifique, un très beau cheval qu'il faudrait juste un peu muscler avant qu'il ne soit parfait. Il me fait d'ailleurs pensé à une jument que j'appréciais beaucoup quand je montais dans mon ancien club. « Eeeeeh Essix c'est moi, tu te rappelles ? » Sans doute qu'il ne se rappelle pas, mais il vient tout de même chercher la main que j'ai tendu vers lui. Je lui caresse alors doucement le chanfrein et derrière les oreilles.
Avant de commencer quoi que ce soit, je me décide à lui faire un bon pansage. Je pars donc chercher son licol et ses brosses, mais également la selle, le filet et le tapis que Lison a mis à ma disposition. Je pose le tout sur le porte-selle juste à côté de l'endroit où je vais attacher Essix. Je rentre ensuite dans son box et lui met le licol sans difficulté, ne pouvant empêcher un sourire, sachant que c'est grâce à moi – en partie – s'il accepte de porter ce licol. Je lui flatte l'encolure avant d'ouvrir la porte et d'attacher Essix. Pas un regard vers le barda que j'ai mis à quelques centimètres de lui. Il doit sans doute être habitué à voir ses choses là, ça ne fait aucun doute. Me disant que le travail va être un jeu d'enfant, j'entreprends de brosser avec force la robe d'Essix, essayant de lui faire quelques petits massages au passage. Essix n'est pas réellement sale, mais j'ai besoin de ce petit moment pour qu'on se réhabitue l'un à l'autre. Je passe ensuite le bouchon, puis cure les pieds déjà nickels du croisé.
Maintenant, nous pouvons commencer les choses sérieuse. Je m'empare donc directement du tapis et le montre, d'abord d'assez loin à Essix, puis me rapproche petit à petit. Même si toute son attention est braquée sur moi, il ne s'émeut pas de ce bout de tissu molletonné que je tiens entre mes bras. Je le pose sur son encolure. Il lève alors un peu la tête, mais je le rassure et le caresse. Restant très docile après cela, je passe le tapis sur tout son corps, n'oubliant ni les pattes, ni le ventre. Je le fais bouger et frotte très légèrement les poils d'Essix avec. Enfin, je le pose à l'endroit où il doit être : sur son dos. « C'était pas compliqué hein ? » Dommage que le plus compliqué soit à venir... Je m'empare de la selle Et lui la montre, mais toujours pas de réaction. Je la passe près de sa tête et de son corps, en n'oubliant pas de faire cliqueter un peu la sangle, mais Essix reste très froid. Je la pose délicatement sur son dos et attend de voir ce qu'il en pense. Il a les oreilles pointées vers l'oreille, et se demande très clairement pourquoi il a d'un coup ce poids sur le dos. Je lui laisse le temps de l'habituer au poids, mais très bien, je commence à bidouiller la sangle. Je la règle alors au premier trou, de manière à ce que, quand je l'attacherais à gauche, elle soit encore lâche. Puis, je passe ma main sur le passage de sangle, pour m'assurer une dernière fois qu'il n'y a pas de soucis de ce côté là. Enfin, avec une précaution infinie, je fais glisser la sangle du côté droit et la passe sous le ventre, sans même toucher Essix, jusqu'au côté gauche, où j'attache au deuxième trou. Là, Essix, commence à sérieusement se demander ce qu'il se passe. Je détache alors la longe et invite Essix à faire quelques pas avant d'aller plus loin. Les premiers pas sont hésitants, mais à force d'encouragements, il finit par marcher normalement. N'osant pas trop le faire vagabonder dans le haras alors que la selle est si peu stable sur son dos, nous retournons à l'attache et je sangle de deux trous supplémentaires. Ainsi, Essix devrait commencer à sortir réellement le contact, encore très léger malgré tout, de la sangle sous son ventre. Comme tout à l'heure, j'amène Essix faire quelques pas à l'extérieur pour prendre l'habitude de marcher avec ce poids bizarre sur son dos. Bien évidemment, je n'oublie jamais de l'encourager à la voix et de lui donner des tonnes de caresses. Recommençant ce manège à plusieurs reprises, nous arrivons finalement à accrocher de manière très honorable la sangle. Même si Essix n'a pas l'air si à l'aise que cela, j'espère bien le faire s'adapter à ce harnachement pendant les séances de longe.
Très satisfaite d'Essix, je le rattache devant son box et décide d'enlever la selle et le tapis pour aujourd'hui. Maintenant commence la partie du programme que je redoute le plus : le filet. Je prends donc l'objet de mes craintes entre les mains et le montre à Essix, puis comme d'habitude, je lui passe sur tout le corps, mais particulièrement la tête. Je vérifie ainsi qu'il n'a pas peur quand j'approche mes mains de ses yeux, mais également quand je mets ma main vers sa nuque et que je lui touche les oreilles. Même si je le sens un peu moins calme que tout à l'heure, il garde son sang-froid. Je ramène ensuite Essix dans son box et lui enlève le licol. Evidemment, j'ai lu quelques trucs là dessus avant de m'y frotter : j'enlève donc la muserolle et les rênes, cela me sera d'une grande aide, surtout pour la première fois d'Essix. Je reviens ensuite à côté de lui et me mets ma main vers la nuque du cheval, comme je le ferais pour n'importe quel autre équidé. Je veux l'habituer à ce que j'ai cette position, sans que cela ne le stresse. Même si j'ai essayé tout à l'heure, maintenant ce n'est plus pareil, car j'ai le filet dans les mains. Essix essaie un peu de fuir, si bien que je recommence plusieurs fois cette opération : juste me mettre en position à côté de lui, prête à mettre le filet, sans jamais le faire ou même essayer de l'approcher de sa bouche. Au bout de plusieurs essais et de pleins de caresses. Essix semble un peu plus serein. Je prends alors le mors et le trempe dans le miel, puis le présente bien droit devant son nez. L'odeur semble lui titiller les naseaux et même s'il n'était pas au top de la sérénité, il se calme un peu. Il s'approche, curieux de sentir cette douce odeur sucrée. Je ne force rien, j'attends patiemment qu'il vienne lécher la friandise. Au bout de quelques instants, il daigne sortir la langue et ouvre grand la bouche. Je place alors le mors dans sa bouche et ne tarde pas à mettre la têtière et le frontal en position. Je félicite immédiatement et lui caresse l'encolure longuement, pendant qu'il continue de lécher le miel encore présent sur le mors. J'entends le bruit de mastication et le cliquetis du mors dans sa bouche. Je ne peux m'empêcher de me demander quelle sensation ça doit être, surtout pour une toute première fois. Je décide de laisser le grand bébé là-dessus pour aujourd'hui. Une fois qu'il a bien eu le temps de mastiqué son mors, je lui enlève en douceur. Il semble bien content d'être libéré de ce truc bizarre. Mais mon pauvre Essix, ce n'est que le début pour toi. Après une dernière caresse, je remballe toutes les affaires et part en direction de mon propre domaine.
De retour au domaine du Pelham pour continuer le débourrage d'Essix. Aujourd'hui, je compte longer le bébé pour la première fois. Seulement, avant toute chose, je vais recommencer la même chose qu'hier avec le harnachement. Je rentre donc dans les écuries avec tout le matériel : mallette de pansage, licol, tapis, selle, filet, mais également une grande longe pour pouvoir commencer le travail au rond tout à l'heure. Je pose le harnachement sur le porte selle et appelle doucement Essix qui relève la tête immédiatement. « Salut mon grand » Je lui caresse le chanfrein, puis ouvre la porte du box sans plus attendre. Essix, comme hier, a une robe nickel, mais ça ne m'empêche pas de lui faire un bon petit pansage quand même.
Je décide alors de commencer par mettre le filet. Je rentre donc de nouveau Essix dans son box, et, comme hier, je recommence par l'habituer à me mettre en position au dessus de son chanfrein et de sa nuque, sans tenter de lui mettre le filet. Aujourd'hui, je n'ai pas enlever la muserolle, ni mit de miel sur le mors, mais j'espère bien qu'il va tout de même accepter. J'ai en revanche enlever les rênes. Essix semble déjà plus en confiance qu'hier, et je ne tarde pas à approcher le mors de sa bouche . Tout en le rassurant, je lui présente l'objet bien droit, puis voyant qu'il n'ouvre pas la bouche, je commence à lui asticoter la langue. Il ne tarde pas à desserrer les dents et je lui passe le mors, avant de mettre le plus efficacement possible la têtière, puis la muserolle. Contrairement à hier, j'attache à la fois sous-gorge et muserolle, puis laisse Essix s'habituer à ça sans rien faire. Finalement, je tire très légèrement sur la mors, d'abord à droite, puis à gauche. Une petite résistance timide se fait sentir au début, mais avec quelques caresses, il finit par tourner la tête quand je joues sur le mors. Je décide alors d'accrocher les rênes pour simuler un peu le contact indirect de la main sur sa bouche. Je tire alors trèès légèrement et l'incite à sortir du box derrière moi. Nous marchons pendant quelques minutes, et j'essaie de garder le contact le plus léger possible. Dès qu'il obtempère, je cède et je récompense. Je lui fais faire quelques virages, puis des arrêts. Je compte bien le longer en licol pour ne pas qu'il ressente les accoûts de mes mains dans sa bouche, donc je termine ce travail en filet mettant les rênes comme si j'allais lui monter dessus et commence à la faire marcher. Bien sûr, je suis petite et la tâche ne s'en trouve pas facilité. J'arrive tout de même à simuler plus au moins l'effet de la main du cavalier : je tente donc les virages et les arrêts. Pour l'instant, la bouche d'Essix est encore très sensible, j'espère ne pas faire d'erreurs quand il faudra le monter...
Je repasse les rênes au dessus de ses oreilles et mène tranquillement Essix dans son box, puis je lui enlève le filet. Il semble très satisfait de ne plus avoir cette barre dans la bouche. Je lui repasse son licol puis l'attache devant son box. Je lui remets tapis et selle, en y allant très progressivement pour sangler. Si je ne vais pas le longer en filet, je vais au moins le longer équipé de sa selle. Je fais bien attention à enlever les étriers pour ne pas qu'il prenne peur si jamais ils tombent d'un coup sur ses flancs. Après avoir fait marché quelques minutes Essix avec sa selle, je décide de vérifier qu'il n'a pas peur de la chambrière. Je la passe donc sur son corps et l'agite près de lui, mais il semblerait que ça soit le cadet de ses soucis : c'est vrai que depuis quelques minutes, il a un drôle de truc qui pèse trois tonnes sur son dos ! Mettant mes gants, je place la grande longe sur mon épaule, puis mène Essix vers le rond de longe.