Box de Alibaba

29/05/17

Après avoir conclus le débourrage de One Day, je rendais visite à mon second petit noir. Je n'avais pas encore entamé son pré-débourrage, et aujourd'hui je comptais l’initier au licol et à la longe. Ou du moins les lui présenter pour commencer. Les débourrages et pré-débourrages commençaient à me passer par dessus la tête pour être honnête, et je réfléchissais fortement à l'idée de me faire aider. Bon, passons. 

Je prenais dans ma sellerie un ancien licol et une longe qui me servirait à introduire les deux objets, ainsi que quelques friandises, et je partais en direction du boxe du petit noir. J'appelais le poulain par son nom, et sans attendre il se dressa sur ses longues jambes et trottinait vers moi. 

• Salut ptit gars, comment vas-tu?

Je rentrais avec lui dans le boxe et le laissais venir à moi. Il me connaissait déjà bien, puisque je passais quasiment tous les jours le voir après tout. Il s'approcha rapidement de moi et je pu le caresser un peu sur le chanfrein avant de le caresser sur la totalité du corps et de lui prendre les membres et les reposer. Habitué désormais, il se laissait faire très sagement. Je le félicitais et lui offrais une friandise avant de commencer la petite séance d'aujourd'hui. 

J'attrapais derrière moi le licol orange que je lui montrais. Intrigué, le poulain s'approcha pour renifler avec précaution l'objet orange sans oser le toucher. Il resta donc à l'analyser sous toute les coutures avant de finalement poser son nez sur la lanière en tissu. Je le félicitais vocalement puis lui caressais la joue avant de répéter les gestes avec la longe, sur lequel il ne s'attarda pas. Il le renifla un petit peu avant de commencer à le mâchouiller. Je le laissais faire puis, une fois désintéresse, récupérais le licol et le posais sur son dos. Le petit être noir se tortilla pour voir ce qui se trouvait sur son dos et gigota un peu avant d'abandonner sa résistance. Je lui offrais une friandise et commençais à caresser la totalité de son corps avec le tout petit licol, puis lui offrais une seconde friandise. Je répétais les mêmes gestes avec la longe, dans laquelle il s'entortilla un peu, et je dû me battre pour la récupérer. Mais une fois bien habitué au contact, je le caressais et lui offrais une autre friandise. Je récupérais mon harnachement et décidais de le laisser un peu tranquille, pour le moment. 

10/06/17

Aujourd'hui, après avoir travaillé Milord en liberté, je décidais de poursuivre le pré-débourrage d'Alibaba, le premier fils de mon brave Aladdin. Je lui avis dors et déjà présenté le licol et la longe,aujourd'hui nous passerions au port et à la marche avec le licol. Je me dirigeais donc vers la sellerie où je saluais Harley et Tom puis retournait à l'écurie où m'attendais le petit noir. Je m'approchais doucement de son boxe en l'appelant par son prénom, puis rentrait avec lui en posant le licol et la longe sur la porte du boxe. Après quelques caresses, je représentais à nouveau l'objet au petit noir qui l'examina quelques instant avant de s'en désintéresser. Je lui flattais l'encolure et attrapais la longe que je lui tendais. Tout comme le licol, il ne mit pas beaucoup de temps à reconnaître l'objet et d'à nouveau l'ignorer. Très bien. Je le caressais et lui offrais une friandise avant de poser le licol sur son dos et de doucement le caresser. Il sursauta un court instant puis se calma, regardant avec intrigue ce que je faisais. Une fois touché tout partout, je remontais doucement le licol et le passais autours de sa tête pour l'accrocher. Il ne fallut que quelques secondes pour que le noir se rendent compte qu'il était attaché et se débatte comme un possédé pour se libérer. 

Je le laissais se débattre jusqu'à ce qu'il abandonne, ce qui ne tarda pas à arriver. Je le caressais chaleureusement et lui tendais une friandise qu'il accepta sans rechigner. Je le laissais un peu s'habituer à l'objet sur sa tête avant de l'encourager à me suivre dans le boxe. Il ne comprit pas tout de suite ce que j'attendais de lui et resta simplement planté là, à tendre la tête vers moi. Je tentais de lui faire comprendre qu'il fallait me suivre à l'aide d'un bonbon. Il mit quelques secondes avant de se laisser tenter et de me suivre. Je lui faisais faire quelques tours de boxe en le félicitant très régulièrement avant de l'emmener dans l'écurie. Alibaba n'avait quasiment jamais quitté son boxe et c'était un véritable découverte pour lui. Il regardait tout autours et s'arrêtait fréquemment pour sentir les odeurs de l'écurie. C'était plutôt mignon. Je l'emmenais visiter les installations, à son rythme. Puis le ramenait à son boxe. En l'espace de 20 minutes, il avait totalement acquis la marche en licol. Je le caressais chaleureusement et le laissais au paddock cette fois, avec plusieurs friandises. 

29/06/17

Récemment, j'avais eu des soucis de santés plus ou moins important qui m'avaient empêchés de venir au haras pendant un bon petit moment. Par chance, les choses se sont arrangés pour moi et ma santé me permettait de reprendre l'équitation sans problème. J'avais pris beaucoup de retard sur le débourrage de mes poulains et avait même du demander à quelques cavaliers du haras de monter mes chevaux pour ne pas qu'ils soient rouillés. 

Bref, aujourd'hui je me rendais au haras à 11 heures pour avoir le temps de tout faire. Je comptais commencer par Alibaba avec qui je comptais terminer le pré-débourrage. Je passais donc par la sellerie pour attraper le licol et la longe de monsieur ainsi que ma boîte de pansage, puis rejoignais le boxe de monsieur. Je posais les affaires sur la porte, la boîte à mes pieds et l'appelais par son nom. A peine avait-il entendu le son de ma voix qu'Alibaba relevait la tête pour venir me saluer. Après quelques caresses sur le chanfrein, j'entrais avec lui et lui passais le licol avant de l'accompagner hors du boxe pour l'accrocher à l'anneau. Là je le caressais et tirais vers moi la boîte de pansage qui serait l'objet de la séance. 

Je commençais par la présenter à Alibaba qui le renifla et l'observa sous toute les coûtures avant de poser son nez dessus. Une fois bien vue et sentit dans tous les sens, j'ouvrais la boîte et lui laissais le temps de bien voir et renifler l'intérieur pour, progressivement, lui présenter les brosses individuellement et commencer à le brosser. Alibaba avait l'air de bien apprécier le contact des brosses, fermant les yeux et étendant son encolure devant lui. J'étais content de voir qu'il n'y avait pas de problème pour cette dernière étape du débourrage, quoi que j'avais été sur que son pré-débourrage ne poserait aucun soucis. Bon, sa robe et ses petits crins tout propres, je m'attaquais aux sabots. Je glissais doucement ma main le long de son antérieur droit et demandé à plusieurs reprises le pied du noir. Même si les débuts furent hésitants, au fur et à mesure, donner son antérieur n'était plus un soucis, et je pu, délicatement, le lui curer. Fini, je passais aux autres membres qui ne posèrent pas de soucis non plus. Tout beau tout propre, et sage en plus de ça, je lui caressais la base de l'encolure avant de lui offrir deux friandises puis de l'emmener au paddock qu'il avait bien mérité. Maintenant, c'était le tour de Romario. 

30/06/17

Mon petit poulain était devenu grand, et aujourd'hui j'entamais le débourrage d'Alibaba. C'était un hanovrien noir ayant énormément tiré de son père sur le plan physique, si bien qu'il était difficile de différencier les deux étalons. Son père était en effet mon bel Aladdin, et c'était son seul poulain, du moins dont il était le père. Alibaba était vraiment un cheval quasi parfait, il avait toutes les qualités requises pour en faire un très bon cheval de sport, tout comme le caractère d'un cheval de compagnie. 

Il était au paddock, où il passait la plupart de son temps, préférant de loin la compagnie de ses congénères plutôt que la solitude. Avant d'aller le chercher, je récupérais à la sellerie un chariot sur lequel je prenais un vieil ensemble ayant appartenu à un de mes chevaux, ma boîte de pansage, un pinceau et un pot de miel, puis laissais le chariot et son contenu a l'air de pansage où un cours préparait leurs chevaux. Plus qu'à récupérer le noir au paddock! Je me dirigeais donc tranquillement vers les prés où Alibaba était très occupé à jouer avec Lucky et By Icon. Il me fallut plusieurs tentatives pour attirer son attention afin qu'il remarque ma présence et que le petit groupe s'approche de moi. Une caresse sur le nez de chacun puis j'accrochais la longe au licol que l'étalon portait déjà, et le guidais jusqu'à l'air de pansage. 

Alibaba me suivait docilement, content qu'on s'occupe de lui. Je l'accrochais donc à la place que je m'étais réservé entre les chevaux qui commençaient à être sellé, puis entamais un bon pansage tranquille et efficace pour lui rendre le brillant de sa robe noire. Je démêlais ensuite ses longs crins sombres et curais ses sabots, il était magnifique. J'étais content, comme les autres chevaux et poneys partaient, j'avais tout l'espace pour moi. Pendant le pansage, Alibaba avait commencé à découvrir l'équipement à côté de lui avec curiosité. C'était la première fois qu'il pouvait le voir et le sentir de si près, et il parut très intrigué. 

J'attrapais en premier temps le tapis orange et le lui présentais, le laissant sentir, voir et toucher l'objet jusqu'à ce qu'il soit détendu et convaincu qu'il n'y avait pas de danger. Je lui offrais quelques caresses sur le nez puis ouvrais le tapis. Mouvement instinctif de recul de la part de l'étalon qui ne s'attend pas à ça, puis il s'approcha pour bien examiner l'objet à nouveau. Petit à petit, j'ouvrais et refermais plus vite le tapis, jusqu'à ce que cela ne le surprenne plus, puis le récompensais avec une friandise. Très bien, je posais délicatement le tapis sur son épaule et le caressais un peu avec. Il regardait l'objet avec incompréhension mais se laissais faire, et finalement je posais le tapis sur son dos. Je le félicitais d'une caresse sur l'épaule et passais ensuite à la selle. Plus grosse, plus imposante, Alibaba mis plus de temps à bien la sentir et la regarder avant d'oser la toucher un peu du bout des naseaux, je le félicitais et la glissais délicatement sur son dos avant de sangler de deux trous puis d'offrir une friandise à Alibaba qui regardait avec intensité le passage de sangle. Je le laissais s'habituer puis lui présentais la dernière étape de cette partie du débourrage, le filet. Je lui présentais l'objet qu'il analysa sous toute les coutures. Puis, une fois bien en confiance, je sortais mon pot de miel et en tartinais le mors que je lui présentais ensuite. Aléché par l'odeur du sucre, il le prit en bouche sans se poser de question et, trop occupé à lécher et mâchouiller le bout de métal et son liquide sucré coulant dans sa bouche, ne remarqua même pas que j'attachais la sous-gorge et la muserolle. Je le laissais profiter de son plaisir sucré avant de le détacher et de l'inviter à me suivre. Il hésita un peu mais fis avec moi le tour de l'écurie sans mal. Contente de lui, je le ramenais ensuite à l'air de pansage où je le désellé et lui offrais deux friandises pour sa patiente et son effort, avant de le ramener au paddock avec ses copains, puis de ranger les affaires et de rincer le mors. 

10/03/19

Cela faisait quelques temps déjà que je recherchais activement un jeune cheval, mais pas n'importe lequel, non, celui-ci s'appelait Aladdin du Valhalla, un ancien bébé de chez moi que j'avais perdu de vu après son débourrage. Il m'avait manqué je devais l'avouer et je n'avais cessé de le chercher, jusqu'à ce que je tombe sur une annonce de vente, son annonce. Je n'avais pas attendu une seconde avant de contacter le vendeur, et finalement je m'étais rendu sur place pour découvrir le bel étalon qu'il était, avec ce caractère si doux qu'était le sien. Il ne m'avait pas fallut longtemps pour signer les papiers de vente et le faire rapatrié aux écuries, et justement il devait arriver aujourd'hui même. Je passais donc la matinée à tourner en rond, attendant avec impatience son arrivée, jusqu'à ce que j'entende le crissement des roues dans la cour du domaine. Il ne me fallut que quelques secondes pour discuter avec le conducteur et me diriger vers la porte du van que j'ouvrais avec délicatesse pour découvrir le bel entier qui tournait la tête pour voir qui arrivait. Je me glissais à l'intérieur et le détachais avant de l'inviter à reculer sur la rampe pour atteindre la terre ferme.

Il ne fallut pas longtemps pour que l'entier me reconnaisse, les oreilles bien devant et avançant sa tête pour réclamer une grattouille, que je lui offrais avec grand plaisir, ravi de revoir mon vieux copain. Il était un fils d'Aladdin, mon ancien cheval que j'avais vendu il y a peu. Je le grattouillais au niveau du garrot et m'éloignais du van pour faire marcher un peu l'entier noir, le faisant dégourdir ses membres tandis qu'il redécouvrait le domaine dans lequel il était né. Je lui faisais faire un petit tour du haras en passant par le paddock. Il reconnut bien vite deux vieux camarades qu'il avait côtoyé un moment avant de partir, By Icon et Liquor Lips. Quand nous passions près de leurs paddocks les deux baies trottinaient vers nous en se collant à la clôture, pourtant Icon n'était pas des plus sociables, loin de là. Je le faisais ensuite brouter quelques minutes avant de l'inviter à me suivre pour le ramener à l'écurie.

Je n'attendais pas plus pour le rentrer dans le box que j'avais aménagé pour lui, son nom gravé sur une plaque en bois collé sur la porte. Je retirais la fine couverture ainsi que les protections de transports, et reculais de quelques pas pour tout poser près de la porte. Alibaba tourna en rond avant de gratter la litière de son antérieur et finalement se rouler avec plaisir dedans. Amusé je le laissais faire, et protégé mes yeux lorsqu'il se relevait et s'ébrouait, faisant voler du foin dans tous les recoins, certains brins de paille encore coincés dans ses crins. Je les retirais à la main avant de m'assurer une nouvelle fois que son abreuvoir marchait. Je le laissais quelques instants en tête à tête avec son box pour aller ranger son équipement de transport et lui ramener un seau de granulé qu'il entendit arriver de loin, et ce n'était pas le seul d'ailleurs!

• Vous avez déjà eu votre ration bande de goinffre!

Valiant hochait la tête avec enthousiasme mais quitta bien vite l'ouverte du la porte lorsqu'il comprit que ce n'était pas pour lui, déçu. J'allais lui tendre une friandise de compensation en lui caressant le chanfrein avant de revenir à Alibaba. Il m'avait manqué et j'espérais qu'il restait longtemps cette fois, puis je décidais de le laisser se reposer, il avait eu plusieurs heures de voyages et avait besoin de repos. Une petite friandise et je tournais les talons, heureux de ces retrouvailles.