Terrain de cross & TREC • Pryam

O

utdoor fun

Kayce & Kingsland

Événement #27 › Franchir une combinaison d'au moins trois obstacles (+10pts de cross pour Rainbow Dash)
L’air est doux, le soleil se cache derrière d’épais nuages gris, annonciateurs du mauvais temps à venir. Un avertissement de pluie est en vigueur pour l’après-midi, c’est pourquoi Kayce est sorti de bon matin pour entraîner son étalon KWPN bai foncé. Il serre la sangle de la selle de cross country posée sur le dos musclé de Kingsland, puis met le pied à l’étrier. D’un mouvement agile, il se hisse sur sa monture, pose ses pieds dans les étriers et rassemble ses rênes. Un claquement de langue encourage l’étalon à prendre le pas, et d’une main habile, le cavalier le mène en direction du terrain de cross situé dans une clairière derrière les paddocks des chevaux. Ils y arrivent près d’une dizaine de minutes de pas plus tard, prêts à s’échauffer convenablement. Le jeune homme stimule le bai d’une pression des mollets qui lui fait prendre un trot de travail. L’aire de jeux gazonnée est bordée par un chemin de sable, où évolue présentement le couple. Plusieurs dénivellations, tantôt fortes, tantôt plus petites, ponctuent le terrain de cross. Aujourd’hui, c’est la première expérience pour le KWPN sur un parcours d’obstacles naturels, et le propriétaire lui a concocté un entraînement simple sur une combinaison de quelques obstacles.

Près de dix minutes de trot plus tard, l’allure de Kingsland fait sa place à un galop soutenu, confortable. Kayce s’y adapte en un claquement de doigts et pose une main près de la base de l’encolure du bai pour le caresser un instant. L’amplitude dans son allure se fait de plus en plus souple, témoignant de ses muscles complètement réchauffés. Le cavalier jette un coup d’oeil circulaire et trouve, deux cent mètres plus loin, un énorme billot de bois isolé. L’obstacle, de mémoire, est placé à une hauteur d’un mètre, facilement franchissable pour le KWPN. L’homme ouvre sa main gauche en rêne d’ouverture et bloque l’épaule du cheval de sa main droite, et le dirige d’une main de maître devant l’obstacle de bois naturel, que Kingsland franchit sans effort. Les deux complices atterrissent dans l’herbe de l’autre côté, où après trois foulées, Kayce fait reprendre le trot, puis le pas à l’étalon. Le duo reprend son souffle cinq minutes, tout en s’approchant tranquillement d’une combinaison d’obstacles intéressante aux yeux du cavalier. Une rivière peu profonde est bordée d’un contrebas à l’entrée et d’un obstacle isolé à sa sortie. Doucement, le jeune homme marche vers l’eau, où Kingsland y entre sans problème, allant même jusqu’à faire des éclaboussures avec ses membres antérieurs. Le propriétaire lui caresse l’encolure, et jette un coup d’oeil circulaire, où il imagine une courbe large les menant à une haie, puis une dizaine de foulées plus loin, une table de picnic en guise d’obstacle large.

Kayce rassemble ses rênes, puis presse les mollets contre la cage thoracique de l’étalon KWPN qui prend le trot et sort de l’eau joyeusement. Le cavalier lui fait décrire un cercle de vingt mètres, puis pousse sa monture dans un galop de travail, qu’il soutient sans effort. D’une indication claire et directe, le jeune homme mène l’étalon bai dans une ligne droite vers le contrebas. Fidèle à lui-même et sans crainte, l’étalon s’élance au-delà de l’obstacle construit d’un gros billot de bois et monté sur une structure de souches, pour atterrir dans l’eau, arrosant l’homme par la bande. Un sourire se dessine sur les lèvres du cavalier, qui maintient l’allure de travail de son cheval pour traverser la rivière en cinq foulées et sauter des pierres sculptées. Ils se réceptionnent de l’autre côté sur la terre ferme et décrivent une grande courbe vers la gauche, qui les mène à une haie. Le bai arrive un peu perpendiculaire à l’obstacle, ce qui ne l’empêche pas de le franchir d’un bond et d’accélérer l’allure à la demande de son cavalier. Ce dernier, levant les yeux vers la table de picnic, sait qu'il ne leur reste que huit foulées à faire pour franchir cet obstacle large. À l’abord, Kayce claque la langue et pousse Kingsland avec ses talons, l’encourageant. L’étalon plane au-dessus de la table quelques secondes, puis atterrit de l’autre côté dans une douceur irréelle.

Fier du travail de sa monture, le cavalier propriétaire lui fait reprendre le pas, sans manquer de lui caresser longuement l’encolure pour le féliciter. Le KWPN respire fort et son pouls est rapide, ce qui pousse le jeune homme à descendre en glissant doucement, puis il abaisse sa sangle de deux trous. Il marche aux côtés de l’étalon bai foncé quelques minutes sur le terrain, tout en lui tapotant l’épaule gauche, avant de reprendre le chemin de terre battue qui mène au bâtiment principal, un peu plus d’un kilomètre plus loin. Ils y arrivent avec un pouls régulier, ce qui encourage Kayce à prendre soin de sa monture lui-même. Les deux complices se rendent à l’aire de préparation et Kingsland y est attaché correctement. Le propriétaire retire l’équipement de sa monture et allume le boyau d’arrosage. Il passe l’eau sur tout le corps pour retirer l’excédent de sueur de sa monture et termine avec un couteau de chaleur. Il mène finalement Kingsland dans un paddock près de l’écurie, où il pourra profiter de l’extérieur avant la pluie prévue en après-midi.

[ 868 mots ]

V

oliamo insieme

Kayce & Kingsland

Événement #27 › Réaliser une séance axée sur les obstacles de volée (+2pts concours pour Kingsland)
Leur retour sur le terrain de complet aujourd’hui est marqué par un soleil éclatant. La robe bai de l’étalon KWPN saisit les rayons et fait danser ses muscles saillants sous ceux-ci. Les oreilles du cheval pivotent à la vue du parcours extérieur et son pas se fait plus pressé. Le cavalier sourit face à cet élan de réjouissement, et en profite pour mettre sa monture dans un trot rythmé et régulier. Le duo évolue quelques minutes au trot en ligne droite et sur de grandes courbes, sans que le cavalier ne soit exigeant sur la mise en main. Ce dernier place ensuite ses aides pour demander un départ au galop, que Kingsland exécute sans demander son reste. Quinze minutes ont passées depuis leur arrivée sur le terrain de cross et Kayce sent enfin son cheval attentif et totalement disponible pour le travail. Il rassemble ses rênes et place l’étalon bai sur le mors correctement, puis il le fait repasser au trot. Ils enchaînent quelques transitions inter et intra allures afin de vérifier le contrôle et la réactivité, ainsi que des courbes plus ou moins serrées et des lignes droites pour vérifier l’incurvation et la rectitude. L’étalon est bien en impulsion et s’enroule bien autour des jambes de son cavalier, et ce aux trois allures.

Satisfait de la détente effectuée, le propriétaire désire maintenant augmenter l’amplitude du mouvement des articulations de sa monture vers le haut. Quelques troncs au sol servent de barres naturelles et ceux-ci sont espacés de trois mètres, donc il y a suffisamment de place pour trotter ou galoper entre eux. Comme ce sont des troncs d’arbres, ils sont plus hauts qu’une barre au sol, ce qui est parfait pour l’échauffement que Kayce cherche à faire. Il lance Kingsland au trot bien droit sur les cinq arbres qui se succèdent, exercice qu’il enchaîne ensuite au galop, puis au trot, pour terminer en les passant au pas. Il est maintenant temps pour eux de poursuivre avec l’augmentation de l’amplitude du mouvement des articulations vers le côté. Le cavalier pousse son cheval sur le premier tronc, exécute un déplacement latéral vers la gauche pour éviter le second, fait un déplacement latéral vers la droite et le remet au centre pour passer le troisième arbre. Il le pousse ensuite vers la droite pour éviter la quatrième barre et termine en le ramenant vers la gauche pour franchir le dernier tronc. Bon joueur, le KWPN se prête à l’exercice avec entrain, ce qui achève leur échauffement au sol.

Un peu plus loin à leur droite est fixée une haie d’un mètre, et c’est en marchant que le duo se dirige par là. Kayce prend le temps de la présenter à son étalon, qui la renifle avant d'agripper un morceau de vert du bout des dents. Le jeune homme éclate de rire et remet Kingsland dans un cercle au trot de travail, puis le pousse en ligne droite vers la haie. D’un claquement de langue, il le pousse au galop une dizaine de foulées avant l’obstacle pour que le cheval prenne le temps d’évaluer la distance versus la hauteur. D’un seul bloc, les deux complices franchissent l’obstacle naturel et se réceptionnent de l’autre côté sans accroc. Une idée passe dans la tête du jeune homme, et s’y loge confortablement. Les obstacles de volée sont un défi en soi, car ils nécessitent un abord de près et un grand plané, en plus d’une bonne vitesse d’approche. Le cavalier jette un coup d’oeil aux alentours et ses yeux se fixent sur une table, bancs inclus. L’obstacle est plus large qu’un oxer régulier sur un terrain de saut, mais moins qu’un spa, et pour commencer, c’est exactement ce que recherche le jeune homme. Il fait décrire à Kingsland une grande courbe, pour ensuite se placer en équilibre sur ses étriers. Kayce maintient l’équilibre horizontal du grand étalon, tout en maintenant son buste légèrement vers l’avant. Le cavalier dégage son regard au-delà de l’obstacle, et plus la zone d’abord arrive, plus il s’approche de sa selle.

Les antérieurs de l’étalon se soulèvent et il plane de longues secondes avant de se réceptionner de l’autre côté. Immédiatement, la main du cavalier vient se placer à la base de l’encolure du bai et il le caresse de longues secondes. Le jeune homme laisse son cheval reprendre son souffle et il profite de l’occasion pour trouver un autre obstacle, un peu plus large que le premier cette fois, souligné par une fosse remplie d’eau. L’attitude assurée du cavalier en direction vers l’obstacle fait prendre confiance au cheval qui n’hésite même pas devant le plan d’eau et plane, prenant soin d’être en pleine extension pour ne rien toucher. Dès leur arrivée de l’autre côté de l’obstacle, Kayce continue son chemin vers un piano à trois marches, que les deux complices montent sans effort. Un plateau de terre battue les mènent vers un dernier obstacle de volée, plus impressionnant que les deux premiers. Celui-ci est composé d’une haie qui s’élargit sur un billot de bois et la profondeur de l’obstacle mesure un peu plus de trois mètres. Le cavalier prend une grande respiration et enfonce ses mollets dans la cage thoracique du cheval, lui demandant de prendre un galop plus rapide. Kingsland s’ébroue et allonge sa foulée joyeusement.

Malgré le travail soutenu, il est encore généreux et la puissance dont il est doté est découplée. Ses antérieurs se soulèvent au-delà de la haie et le cavalier se couche sur son encolure, rapprochant son bassin de sa selle, dégageant les épaules de son étalon pour qu’il ait toute l’amplitude dont il a besoin pour franchir l’impressionnant obstacle. Sa force mentale à toute épreuve les mène de l’autre côté de l’obstacle et ses postérieurs frôlent à peine le billot de bois à la sortie. Le choc de la réception fait tomber le cavalier dans l’encolure de son cheval, chose qui est habituelle à l'obstacle. Trois foulées après la réception, Kayce repasse son KWPN au trot, puis au pas où il lui permet d’allonger l’encolure et de reprendre son souffle. Il jette un rapide coup d’oeil à sa montre qui lui indique qu’ils sont sur le terrain depuis une bonne heure déjà et qu’il est temps pour eux de reprendre le chemin du domaine. L’homme dirige son cheval sur le chemin de terre battue, et ce dernier ne se fait pas prier. Il sait pertinemment ce qu’il l’attend, soit une bonne douche et une tonne de friandises avant de pouvoir se prélasser dans son paddock.

[ 1080 mots ]

Événement #28 › Participez/encadrez une séance de TREC (10pts de saut pour Otto)
La deuxième semaine du stage d’été se déroule dans la joie et la légèreté. Deux enfants présents durant la première semaine sont encore parmi la nouvelle cohorte, ce qui enchante l’adolescente qui prend de plus en plus ses aises en tant que figure d’autorité. La veille, l’organisation d’une course d’orientation, dont son patron a pu bénéficier et l’a chaudement félicitée d’ailleurs, a enchanté les enfants qui se sont baladés à travers monts et vallées pendant près de deux heures pour trouver toutes les peluches cachées dans l’itinéraire planifiée. Aujourd’hui, il est temps pour les jeunes de passer à la phase deux de l’apprentissage d’une épreuve de TREC: le parcours en terrain varié. Pour ce faire, l’utilisation du terrain de cross du domaine lui est nécessaire et sera parfaitement adapté après les quelques ajouts qu’elle lui réserve. Ash revient à l’écurie en même temps que les enfants font leur arrivée, le timing est parfait. La brunette salue tout le monde et expose son plan, récoltant au passage des applaudissements et des rires contagieux. Elle claque dans ses mains pour indiquer à tout le monde qu’il est maintenant temps d’aller récupérer sa monture et de se préparer pour l’activité. Pendant que chaque jeune va chercher le cheval qui lui est attribué, l’adolescente en profite pour aller chercher son poney également et le mener dans l’aire de préparation où tout le monde la rejoindra.


Une douce petite main s’écrase sur mon chanfrein et me fait sortir de ma rêverie. J’ouvre les yeux rapidement et constate que c’est mon humaine habituelle qui est là. Je me détends sur-le-champ, profitant de l’affectueuse caresse sur ma peau délicate. Un montant du licol, c’est comme ça qu’elle appelle ce truc pour me mener, passe sur ma nuque et je plonge le nez dans l’ouverture entre les deux mains de la brunette. La porte du box s’ouvre devant nous et je m’engage docilement derrière elle dans l’allée principale. L’humaine me mène d’une main experte jusqu’à une aire ouverte où se trouve plein de cordes attachées au plafond. Je me retourne à sa demande et elle attache habilement chaque côté de mon licol à deux cordes. Me voilà ainsi coincé, pensais-je. La fille, Ash je crois, ce mot est revenu très souvent autour de nous et ce n’est pas mon nom, me quitte et à peine eus-je le temps de faire quelques pas d’impatience qu’elle est de retour à mes côtés en me caressant le corps à l’aide d’un outil en caoutchouc. Je savoure ce moment délicieux, qui se termine bien trop tôt à mes yeux, au moment où quelques compagnons nous rejoignent. Les différents chevaux et poneys sont attachés de la même façon que moi, et j’en salue quelques-uns en renâclant. Délicatement, je sens le tapis et la selle se poser sur mon dos, puis la sangle me serrer le ventre. J’ouvre la bouche à la demande de ma cavalière pour prendre ce morceau toujours si froid. Il se réchauffe graduellement au contact de ma bouche et je n’y prête bientôt plus attention du tout. Puis, nous partons tous à la file indienne vers des contrées lointaines…

Je rigole, nous suivons tous Ash qui nous mène dans un champ gazonné rempli d’obstacles en tout genre. Surexcité, je piaffe d’impatience aux côtés de mon humaine qui me calme d’une voix apaisante. Elle vérifie ma sangle, prends le temps de vérifier que toutes les montures des petits humains sont correctement harnachées et elle monte sur mon dos. Je sens la tension dans ma bouche augmenter quand elle regroupe ses rênes et ses mollets se pressent dans ma cage thoracique, m’invitant à prendre le pas. Ravi, je m’exécute en bondissant vers l’avant, ce qui me vaut un avertissement d’une voix ferme. Je reprends complaisamment mon allure et ma cavalière m’échauffe aux trois allures sur le terrain inégal. Je lance quelques ruades ici et là pour manifester mon bonheur de me retrouver ici à ce moment précis. Certains de mes compagnons m’imitent et se font gronder fortement, alors que j’ai la chance d’avoir une cavalière compréhensive et silencieusement je la remercie pour ça. Une fois bien échauffé, j’arrête au centre d’un cercle formé par les autres duos à la requête de mon humaine. Je ne bouge pas d’un sabot alors que je l’entends débiter des explications sur ce que nous allons faire.


Quand la jeune fille sent que son poney est finement échauffé, elle lui somme d’arrêter et invite les stagiaires à se regrouper. Les enfants forment un cercle autour du duo et l’adolescente commence à débiter ses explications. Les obstacles de cross seront exploités, en plus des difficultés qu’Ash a fabriquées et montées avant l’arrivée des enfants. Une barrière bordée de frites en mousse, un corridor de formé de vieux pneus et une bâche bleue sont disposés de part et d’autre du parcours naturel. La brunette termine ses explications et pousse son poney au trot pour faire une démonstration. Joueur, Don’t Think Twice lance une ruade heureuse avant de prendre l’allure requise par sa cavalière qui le mène vers le premier obstacle, un contrehaut, suivi d’un plateau et d’un contrebas pour revenir sur le plancher des vaches. La cavalière félicite sa monture à l'atterrissage et s’engage au galop vers la bordure maraîchère, puis vers la barrière de frites en mousse. Les oreilles du palomino s’agitent et la voix douce de sa cavalière semble le rassurer puisqu’il s’engage sans hésitation dans la difficulté. Ash le félicite et lui fait prendre le pas à la sortie où le corridor de pneus les attend. Ils s’arrêtent devant et l’adolescente presse un talon. Le poney fait demi-tour, puis s’engage de reculons dans le corridor à l’écoute de sa cavalière.

Fière, la brune lui fait faire demi-tour et reprend son chemin vers la bâche bleue. Hésitant, le welsh ralentit l’allure à l’abord de l’obstacle de plastique, puis reprend sa contenance aux claquements de langue de son humaine. Le poney soulève ses sabots et renâcle la tête vers le bas avec le bruit causé par la toile de plastique sous son poids. La brune le récompense de longues caresses à la base de son encolure et se dirige vers la dernière difficulté : l’immobilité. Un cercle peint en blanc dans l’herbe indique au duo qu’il soit s’immobiliser en son centre, ce qu’ils font sans problème. L’adolescente prend une grande inspiration, puis expire en se laissant glisser sur le côté gauche du palomino. Interrogateur, Don’t Think Twice tourne la tête en sa direction, et la brune sort du cercle à reculons, conservant ses mains devant elle. Le poney fait un pas vers l’avant, mais d’une voix ferme sa propriétaire exige l’arrêt. Elle compte jusqu’à cinq secondes puis revient dans le cercle couvrir son compagnon de baisers et de câlins. Quelques applaudissements retentissent derrière elle, et Ash se dirige vers le groupe de jeunes qui l'attend, impatients de participer à leur tour. Les enfants et leurs montures s’engagent sur le parcours tour à tour, passant ainsi l’avant-midi à s’amuser et à franchir les difficultés.

[ 1175 mots ]