PLAYCOOL & AMBRE
JOUR 2
PAS À PAS13h00 Comme à tous les vendredi c'était après-midi de congé au travail pour moi debut de week-end. Sur le siège arrière j'avais préparé les vêtements et boots d'équitation. Le trajet en partant du travail avait semblé si court. La douleur était moindre que la dernière fois en regardant les infrastructures.
Aussitôt arrivé Aussitôt changer dans la salle de toilette. Je me dirigea vers le box de la jument grise son sac de pansage à la main. De la ripe plein la queue me laissait croire qu'elle c’était reposer tous récemment. Il faisait beau à l’extérieur donc je commença par la sortir dans une des prairies disponible. Après quelques steppes et plusieurs minutes de broutage. Je profita du calme pour la panser en liberté. Retirant les brins de ripe de sa queue à la main pour ne pas arracher ses crins inutilement.
14h30Le pansage réalisé du mieux que je pu nous repartîmes de l’enclos le sac de pansage en bandoulière direction les sentiers. Calme et courageuse, la petit jument me suivi dans les sentiers sans bronché. Comme pour les installation, les chemins étaient tous bien identifiés. Nous passâmes prêt du terrain de trec je caressa l’encolure de la jument.
« peut être qu’un jour nous viendrons ici ensemble qu'en pense tu. »
Pour tous réponse la jument renâcla une énorme boucher d’herbe fraîche a la bouche. À quelle moment avait-elle bien pu avoir l’occasion de brouter ?
15h50 Cela fessait déjà un bon moment que nous marchions je sentais dans le pas de Play que la balade commençait légèrement à l’agacés. Nous étions sur le chemin du retour, depuis quelques instant déjà un beau footing de sable devant nous. Je claqua 2 fois de la langue et me mise a jogger pour écourté notre promenade. La jument partie plein cul queue en panache me dépassant rapidement la laisse se tendit stoppant sa course lui faisant faire volte face.
« WOOOH Doucement »
La jument ronfla et souffla dans l’air la queue toujours en panache me faisant face. Je caressa son bout de nez jusqu’à temps qu’elle se calme puis décida de seulement marcher.
16h10 de retour aux écuries je lui cura les pieds ramassa les crottins de son box et rassembla son foin dans un coin. Dans sa mangeoire je déposa une carotte et une pomme que j’avais soigneusement couper en morceau juste avant.
« À demain ma belle »
16h30