Box de Taegen

16.05.18

domaine du valhalla - écurie

493 mots

→ objectif : Faire un pansage entier à un cheval en lui ôtant un maximum de poils morts possibles

Si Tedrick avait acheté Taegen ce n'était en rien pour ses quelconques aptitudes en dressage, en cross ou encore en saut, quoi que ces deux dernières n'étaient pas très présentes, non, ce qu'il avait vu en achetant cet hongre géant, c'était ses capacités à faire de lui un extraordinaire cheval de promenade. Oui, Tedrick aimait l'extérieur, que ce soit une courte promenade ou une longue randonnée, et il était résistant, endurant et très calme en extérieur, le cheval d'extérieur parfait!

Il l'avait acheté deux semaines auparavant mais ne s'en était pas tellement occupé, le laissant s'acclimater à sa nouvelle maison en le laissant au boxe ou au pré, mais aujourd'hui il comptait bien le mettre à profit! Pas pour monter, cette fois-ci se serait simplement un pansage dans le but de lui retirer le plus de poils morts possibles, l'hiver était terminé mais il était costaud et la non vue d'une brosse n'avait pas aider, ainsi ils devraient s'armer de patience pour en venir à bout, autant l'un que l'autre.

Récupérant le licol et la longe de l'hongre ainsi que sa boîte de pansage qu'il laissa à l'air de pansage, il rejoignit le paddock où il logeait. Préférant agir ainsi il était avec les juments, après tout n'étant plus en mesure de se reproduire il ne risquait pas d'y avoir un cocktail des prés.

L'hongre était très imposant comparait aux deux ibériques et poulains qui broutaient près de lui, mais sa gentillesse le rendait totalement inoffensif, il l'appelait tranquillement par son prénom et pu voir ses oreilles se pointer dans sa direction, néanmoins il ne le rejoignit pas, après tout leurs relations n'étaient pas assez longue pour cela.

Le gris laissa l'humain l'approcher sans se questionner, et une fois à côté se laissa licoler puis guider jusqu'à l'air de pansage sans broncher, mais manqua à quelques reprises d'écraser les oreilles de son humain qui le réprimandait gentiment sur le fait qu'il soit trop collant.

Attaché à l'anneau Ted lui offrit une friandise et quelques caresses qui laissèrent s'envoler un paquet de poils blancs gris, puis il n'attendit pas pour passer l'étrille américaine sur le corps de Taegen qui se laissa faire gentiment. L'homme y mit beaucoup d'attention, il voulait débarrasser au mieux le cheval des poils morts hivernaux qui parsemaient son corps.

Après l'étrille américaine il passait la brosse dure sur les parties charnues avant de s'attaquer à la brosse douce, celle que préféraient la plupart des chevaux d'ailleurs! Pour la tête en revanche il utilisait la brosse de tête, pas besoin de plus d’explication, et cura les sabots avant de démêler les longs crins et fanons de l'hongre.

Les choses n'étaient pas évidente, il était épais et très emmêlé, il avait même des feuilles dans son toupet, mais une fois tout propre Tedrick était plus que fier de son travail, il offrit donc deux carrés de sucre à l'hongre et le ramena au paddock où il le laissa rejoindre les juments tranquillement.

19.06.18

domaine du valhalla - écurie

1204 mots

Taegen, tel était le nom du grand étalon shire que j'avais acheté sur un coup de tête lors d'un marché aux chevaux. Pour être honnête cet étalon m'avait tout de suite plus, déjà par sa carrure, mais également par son regard doux et son caractère protecteur et sensible, c'était un cheval très gentil naturellement, et parfois c'était agréable de s'occuper de chevaux de cette trempe, qui ne sursautaient pas pour rien, n'explosaient pas en l'air et faisaient des démonstrations de force, non, lui faisait partit de ses gentils chevaux qui vous apprenaient à monter en toute confiance.

Pour lui, je ne voyais pas un cheval de dressage, un cheval de cross ou d'endurance, juste un bon copain de promenade et randonnée, un partenaire de travail à pied et un ami à quatre membres pour faire plus court, un cheval avec qui je pourrais m'amuser en le faisant profiter d'une vie tranquille et sereine.

Aujourd'hui c'était ce que je comptais faire, une petite promenade dans les bois en compagnie de ce géant gris. Vivant au pré je commençais par aller chercher mon matériel et l'équipement de l'étalon que je disposais sur mon chariot, et dieu ce qu'il était pratique, je ne me voyais vraiment pas faire des allés retours chargé comme un boeuf.

Rapidement je laissais le chariot à l'air de pansage, me réservant une place, au cas où un cavalier souhaiterait y attacher son cheval, d'ailleurs c'était la dernière place qu'il restait, alors autant la prendre dès maintenant!

Les affaires en place je me mettais en direction des paddocks pour retrouver Taegen. Ce dernier étant l'unique hongre du domaine, je l'avais placé dans le paddock des quelques juments qui vivaient là, au moins il n'était pas tout seul et ne risquait pas de se battre avec les étalons, même si je me doutais que ce n'était pas ce gros nounours qui allait chercher les ennuis.

Taegen était là, broutant paisiblement dans l'immense enclos où il se dorait au soleil en compagnie de Pride et Bambi qui restaient près de lui. Il y avait bien une ponette, Unicorn, qui initialement était avec eux, mais elle avait à son côté un poulain et avait donc été déplacé auprès des poulinières, afin d'éviter les problèmes entre le petit et les plus grands, ils étaient plus en sécurité avec les autres juments et poulains de son âge.

Tranquillement je me glissais entre les deux planches en bois de la clôture, et avançait d'un pas lent vers le petit groupe restreint d'équidé, aucun d'eux ne s'enfuit en me voyant arriver, contrairement à certains encore entiers.

Lorsque j'appelais l'hongre par son nom ce dernier tourna ses oreilles dans ma direction en se redressant, visiblement intrigué qu'on l'appel. Il était vrai que je n'avais pas vraiment eu l'occasion de venir m'en occuper et peut-être était-il encore surpris de venir me voir aller le chercher. Il se laissa tout de même licoler sans broncher, baissant même la tête pour m'aider, j'attachais alors l'objet et lui offrais une grosse caresse sur le chanfrein avant de l'inviter à me suivre.

C'était délicat, vu sa carrure, de lui faire passer la porte, mais il se manœuvrait plutôt bien. Si en général je faisais pivoter le cheval pour que je puisse me retourner complètement et fermer la porte, avec Taegen c'était moins simple, je devais lui faire faire un quart de tour à reculons dans l'allée pour qu'il ne puisse pas gêner, je fermais alors et l'emmenais jusqu'à l'air de pansage un peu plus haut dans le haras.

Taegen était certe gentil mais il ne regardait pas toujours où il mettait ses sabots et je manquais de me faire écraser l'orteil un certain nombre de fois, bon, après tout le géant ne le faisait pas exprès, je ne lui en voulais donc pas trop et faisait d'autant plus attention à mes pieds.

Arrivé à destination j'attachais le grand à l'anneau, il paraissait ridiculement grand à côté de ses voisins d'anneaux, en effet à notre droite se trouvait un pottok et à gauche un poney français de selle, mon gris frisant le mètre 80 les autres cavaliers nous échangeaient des regards perplexes. Par chance je faisais sa taille et il n'était pas si compliqué pour moi de le panser, prêtant attention à chacune des parties de son corps musclé et robuste, cherchant à faire fuir poussières et tâches brunes.

Une fois l'hongre tout propre je le sellais, j'admet avec quelques difficulté. Pour m'aider j'avais une sorte de petit tabouret qui servait de montoir, avec lequel je posais le tapis brun, accompagné rapidement de la selle mixte noire en synthétique que je sanglais comme je pouvais. J'étais heureux d'avoir acheté des affaires sur-mesure pour cet immense nounours, celles des chevaux que j'avais n'aurait pas convenu, je finissais alors par lui mettre sa bride, un mors simple à double brisure avec des branches assez épaisses, le plus doux possibles en somme.

Comme pour m'aider Taegen avait baissé la tête et c'était laissé brider sans montrer le moindre signe de protestation, un vrai amour! Je lui offrais alors un bonbon, content de lui, et me préparais ensuite, commençant par enfiler mes chaps que je zippais en vitesse avant de mettre ma bombe que j'attachais et d'enfiler mes gants.

Taegen et moi étions tous les deux prêts à partir, sans plus attendre je le détachais et l'emmenais en main jusqu'à la cour du haras où je commençais par le ressangler, sans qu'il ne bouge en plus de ça, pour ensuite chercher un montoir et me mettre en selle, avec quelques difficultés je devais l'admettre.


La balade avait certe été courte mais Taegen avait eu chaud et transpirait, je commençais donc par le déseller pour ensuite poser les affaires sur le chariot, je décidais ensuite de le détacher et de l'emmener à la douche, afin de le rincer ce qui lui permettrait d'être rafraîchit.

L'étalon suivit tranquillement jusqu'à l'installation, suite à quoi je l'attachais à l'anneau et attrapais le tuyaux le plus proche, orientant le jet vers le sol je commença par allumer l'eau afin d'ajuster le jet, je le dirigeais ensuite vers les fanons de l'étalon qui furent vite trempé, et progressivement je remontais jusqu'aux épaules et à la croupe, sans oublier le poitrail.

Doucement, sans brusquer les choses, je rinçais la totalité du corps de l'étalon, ventre à part, ne souhaitant pas augmenter les risques de colique. Comme il faisait bon, au lieu de l'emmener sécher au solarium je décidais de le prendre avec moi pour brouter un petit peu au soleil.

L'hongre ne passait pas inaperçu, de par sa taille et sa carrure, de nombreux cavaliers se retournaient en nous voyant ou parler à voix basses à leurs amis à propos de mon cheval, mais ça m'amusait, et puis même s'il paraissait imposant comme ça il était tout simplement un amour, alors je me fichais de l'avis des autres.

Après une petite demi-heure l'étalon était totalement sec, tranquillement je lui retirais le nez de l'herbe et l'emmenais avec moi jusqu'au paddock où je le faisais entrer avec la jument, et sans plus attendre le délicolais pour le laisser filer, enfin marcher en direction des autres. Sans perdre de temps je m'éloignais alors, ayant plusieurs choses à faire au haras.

24.06.18

domaine du valhalla - écurie

484 mots

Taegen c'était le gentil géant qui avait rejoins mes écuries un petit mois plus tôt, ensemble nous faisions beaucoup de balade, ce qui semblait pas mal lui plaire, mais pour cette fois je décidais de faire quelque chose d'un peu différent, une séance de jeu tous les deux, à pied. Cela permettrait de laisser libre cour à sa créativité pour une fois, car il était vrai que nous ne laissions pas beaucoup de place à elle lors de nos rapports avec les chevaux.

Pour commencer je rejoignais la sellerie où je récupérais ma boîte de pansage et le licol du gris, je déposais le tout devant la porte de son boxe avant d'aller le chercher au paddock où il était paresseusement couché sur le flanc, profitant du soleil pour se dorer la pillule. Je profitais tranquilement de se spectacle quelques secondes avant d'entrer dans le paddock, vite accueillit par les autres chevaux, Taegen ne perdit pas de temps et se releva un peu lourdement avant de se joindre au petit groupe de juments et de jeunes.

Après un petit salut à tout le monde je m'approchais de Taegen qui fit quelques pas vers moi, je le caressais alors longuement avant de le licoler tandis qu'il baissait la tête pour m'aider, et finalement je finissais par l'emmener avec moi jusqu'à l'écurie où j'allais prendre soin de lui.

Attaché à l'anneau je commençais par ouvrir ma boîte et passer l'étrille en caoutchouc sur son corps musclé et solide, avec ce genre de tank l'attelage était une nouvelle possibilité de discipline à essayer, mais es-ce que cela plairait vraiment à Taegen de tracter quelque chose de lourds derrière lui? Sachant qu'il avait de plus quelques difficultés à tourner, surement due à sa souplesse, je n'étais pas bien sûr que cela conviendrait parfaitement, en revanche la souplesse et l'agilité était quelque chose que je pourrais travailler avec Taegen, cela ne serait que plus utile!

Après l'étrille en caoutchouc je prenais la brosse dure que je passais sur toutes les parties charnues de son corps, pour finir avec la brosse douce avec lequel je frottais sur ses membres dans l'espoir de les nettoyer, en vain. Les fanons étaient vraiment quelque chose de diffficile à entretenir! Finalement, et vu la chaleur ambiante, je décidais de curer ses sabots, de démêler ses crins puis de l'emmener à la douche où je shampooinais et faisais lustrer ses blancs fanons.

Rapidement Taegen fut tout propre, je lui offrais quelques friandises, pour sa patience et sa coopération, suite à quoi je l'emmenais dans le rond de longe que j'avais réservé pour une petite séance de jeux tous les deux.


Lorsque nous revenions je prenais le temps de bien brosser Taegen, il c'était roulé et par conséquent était plein de poussière, je curais aussi ses sabots, plus par habitude qu'autre chose, puis l'emmenais au paddock où je le lâchais afin qu'il puisse retrouver les autres.

20.08.18

domaine du valhalla - écurie

410 mots

Ma journée avait été plutôt chargé, j'avais de plus en plus de poulains aux domaines et ça faisais plus de paperasse à remplir mais aussi moins de temps pour moi et plus de débourrage en somme, mais j'étais prêt, après tout c'était un mal pour un bien!

Avec Taegen j'avais envie de faire une petite séance de travail à pied tranquille, nous en avions déjà fais quelques unes dans le passé et jusqu'à présent tout c'était toujours très bien passé, il connaissait déjà la jambette et le campo, nous verrions ensuite suivant ses capacités et envies les prochains tours que je lui apprendrais.

Armé de ma boîte de pansage, de son licol et de mon stick je le rejoignais au boxe et découvrais un étalon somnolant, afin de ne pas le surprendre je lui parlais d'une voix douce et entrais tranquillement.

Encore un peu endormi le shire vînt tout de suite quémander des caresses et des papouilles que je lui offrais avec grand plaisir, après tout comme résister? Et la séance câlin achevé je commençais à le panser.

C'était compliqué car l'hongre était grand, seulement il se montrait vraiment très coopératif et m'aidait en baissant la tête, j'avoue, je trichais et me hissais sur ma boîte de pansage, mis à part ça je ne galérais pas trop! Je terminais par curer ses pieds avant de le licoler.

Gentil comme tout Taegen baissa la tête de lui même, je lui offrais alors une friandise et attrapait mon stick avant de l'emmener jusqu'au rond de longe où notre séance du jour aurait lieu!


De retour à l'écurie je commençais par rentrer le gris dans son boxe avant d'attraper mon cure-pied pour les lui nettoyer, au cas où un petit cailloux ou une saleté ce soit glissé dessous et puisse le blesser, puis je l'emmenais avec moi brouter près de la carrière.

Ce partageait l'endroit une fille qui longeait son bai sur une moitié de carrière, et une second qui montait son alezan pour une séance de plat, les deux chevaux se partageant l'endroit sans vraiment faire attention à l'autre, Taegen lui ne se posait pas de questions et broutait avec enthousiasme l'herbe verte à ses sabots.

Après une quinzaine de minutes je décidais qu'il était temps pour nous de retourner au boxe, je laissais alors le gris entrer avant de le délicoler et de vérifier qu'il ne manquait de rien pour ensuite le laisser un peu tranquille, après tout il le méritait!

24.08.18

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468 mots

Il faisait beau dehors et j'avais envie de sortir pour une petite balade en forêt, et pour cette sortie j'avais prévue d'emmener Taegen, afin qu'il prenne l'air un petit peu, cela ne lui ferait que du bien! J"avais donc réuni l'équipement du géant gris et les miennes avant de me rendre devant son boxe où le gris somnolait paisiblement.

J'entrais avec lui et lui offrais une petite caresse qu'il sembla apprécier avant d'ouvrir ma boîte de pansage et de commencer à l'étriller. Taegen adorait qu'on le brosse et plissa les yeux, tête basse en profitant simplement, et tout en le brossant je lui parlais tandis qu'il semblait m'écouter, les chevaux écoutaient toujours plus que les humains en tout cas.

Je continuais le pansage avec la brosse dure puis douce tandis qu'il se montrait tout aussi sage et détendu, de mon côté je prenais mon temps pour le rendre tout beau, en plus ça lui faisait plaisir! Et je terminais en lui curant les pieds qu'il me donna sans problème.

Le gris tout propre je m'apprêtais à poser le tapis quand l'envie de monter à cru prit le dessus, je reposais donc le tapis sur la porte et attrapais seulement le filet en mors simple que je lui enfilais, sans résistance de sa part, je le félicitais et mettais ma bombe avant d'aller reposer le tapis et la selle dans la sellerie puis de revenir vers le gris, je mettais ensuite mes gants et ouvrais la porte.

Attrapant les rênes j'invitais Taegen à me suivre dans l'allée avant de l'emmener dans la cour où j'allais pouvoir me mettre en selle, probablement avec quelques difficultés vu sa taille!


De retour de notre balade je le ramenais d'abord dans l'écurie pour le débrider et lui enfiler son licol, puis je l'emmenais vers les douches pour le rafraîchir un petit peu. Comme nous étions seul je le plaçais à la douche centrale et l'attachais assez lâche à l'anneau, puis j'attrapais le jet et ouvrais le robinet, orientant le tuyaux vers le sol.

L'eau jaillit d'abord un peu fort fort, puis perdit en pression, pile comme il fallait, je l'orientais ensuite vers les membres épais de Taegen qui piétinait un peu, surpris, je lui parlais pour le réconforter, puis je remontais doucement vers les épaules, je recommençais avec les postérieurs que je mouillais d'abord avant de remonter vers la croupe.

Sans plus attendre je mouillais également ses fesses, son poitrail et son encolure avant de finir avec le dos et les flancs, et cela semblait beaucoup lui plaire! Il aimait particulièrement cela en réalité! Et comme il était trempé je passais brièvement le couteau de chaleur pour ne pas qu'il prenne froid, ce serait bête, avant de le lâcher au paddock avec les juments et les pouliches afin d'être dehors avec les copains!

03.11.18

domaine du valhalla - écurie

286 mots

Ces temps-ci j'avais bien envie d'aller à l'extérieur, tant que le temps me le permettait encore, et rien de mieux que sortir à deux. Pour ce faire j'avais invité Lenny, qui allait me rejoindre avec son jeune clydesdale, en soit ça serait une sortie entre chevaux lourds puisque j'avais prévu d'emmener avec moi Taegen, le cheval de balade par excellence en soit.

Même si ce serait délicat j'avais décidé de le sortir à cru, je rejoignais donc la sellerie pour récupérer son filet et ma boîte de pansage, puis je le retrouvais au boxe. Après quelques caresses amicales entre les oreilles je commençais à le panser avec énergie, il était poussiéreux et je voulais qu'il soit resplendissant!

Une fois propre je curais ses sabots puis me mettais en quête de démêler ses crins qui formaient un paquet. C'est après une tonne de démêlant et une patience innommable, autant de ma part que de celle du gris, je pouvais m'affirmer fier de mon travail.

Je commençais alors à le brider, par chance l'étalon était un amour et baissait la tête, bien que je sois de taille moyenne-grande. Je le félicitais d'une grattouille et enfilais mes gants ainsi que ma bombe avant de l'emmener dans la cour.

Là je cherchais activement un montoir, qui finalement se révéla être la barrière de la carrière, puis m'installais sur le dos de Taegen que je félicitais chaleureusement de plusieurs caresses sur l'encolure. Je saluais ensuite Lenny qui arrivait et nous pouvions nous mettre en route.


De retour à l'écurie je commençais par débrider Taegen avant de lui passer un bref coup de brosse douce et de cure-pied, puis je lui apportais sa ration du soir avant de finalement le laisser tranquille.