Je rentre dans l'installation et m'arrête au centre. J'enlève la longe, étant dresser pour rester en place, je ne prend pas la peine de la tenir le temps de préparer l'exercice. Remettant la longe et la prenant mieux en main. Je demande a Okarina de d'écrire un cercle autour de moi. Elle s'effectue, curieuse. Après cinq minutes dans un pas actif, je lui demande le trot. Elle hésite un peu avant de partir a l'allure voulu. Je lui demande ensuite de s'arrêter petit à petit. Après mure réflexion, je ne lui mettrais pas les élastiques du moins pas pour aujourd'hui. Je lui fait changer de sens et refait la même chose. Pas puis le trot. Après dix minutes, je l'amène sur les barres au sol. Je suis plutôt satisfaite d'elle, elle lève bien les membres. Je fis de même mais dans l'autre sens. J'enlève les barres et mis a la place une petite croix. Je fais faire a Oka deux tours de trop puis un tours de galop avant de lui faire sauter l'obstacle. Elle sauta parfaitement bien. Si bien que je décide de lui rajouter une autre croix. Elle les sauta les doigts dans le nez. J'hésite a lui monter au moins un obstacle mais jugeant avoir assez travaillé pour aujourd'hui je la laisse souffler. Je quitte le rond, je regarde l'heure. J'y serai resté une bonne demi-heure. Je rentre au box et fît un pansage complet avant de la mettre au repos.
J e me place au centre en prenant au passage la chambrière accroché à droite de la porte. Je fais partir le camarguais sur un cercle à main gauche de dix mètre. Pour aujourd’hui je ferrai que du pas et du trot. Pour reprendre tranquillement le travail et de ne pas le brusquer. Je le laisse marcher librement, sans le contraindre à quoi que ce soit. Je lui demande un pas un peu plus actif par la voix. Clair et précis, il releva un peu l’encolure après lui avoir demandé une deuxième fois l’ordre. J’oublie qu’il n’a pas beaucoup travaillé depuis assez longtemps. Après plusieurs minutes de pas bien actif, je lui demande le trot. Il ne me comprit pas, je pris donc la chambrière et la fis claquer derrière lui en lui donnant l’ordre : Trotter par la voix. Il partit rapidement, son fer ne le gênant pas, en revanche il baissait la tête sans que je n’utilise les élastiques. Je lève la longe pour le faire ralentir. Bien décidé à lui faire faire des transitions pas/trot trot/pas. Je le félicite au moment où il effectua ma demande. Je continue de le faire marcher puis ensuite de lui demander le trot. Et ainsi de suite, puis juchant qu’il avait assez tourné à main droite. Je change la longe de main ainsi que la chambrière. L’étalon comprit directement qu’il fallait changer de sens. Il le fit donc de lui-même sans que je n’eu besoin de faire un mouvement pour. Une chose de moins à lui apprendre. Je le relance au trot quelques tours, je le laisse aussi prendre de l’espace, décrivant maintenant un plus grand cercle. Je lève la main tenant la longe et le fais repasser au pas en lui donnant l’ordre vocal : au pas ! Il comprit le système assez rapidement. Je fis donc la même chose pendant de longues minutes. Au bout de quinze minutes à alterner il finit par enregistrer correctement mes demandes. Hésitant encore quand je lui demandais pas la voix mais ça ce fera avec le temps. La demi-heure passa rapidement et je dus quitter le rond pour laisser la place à la personne qui attendait dehors dans le froid. Je ramène l’étalon a son box, et lui enleva le surfaix, qui finalement n’avait servit a rien. Je passe un coup de brosse vite fait ainsi que de cure pied avant de lui remettre sa couverture. Je lui dépose plusieurs bisous sur les naseaux avant de le quitter.
Au programme aujourd’hui, rendre service à l’une de mes amies. Trois ans auparavant, sa jument, Okarina, avait donné naissance à une superbe poulain. Aujourd’hui pré-débourré et habitué à l’homme, il était temps de commencer son débourrage. Mon amie m’avait demandé de m’en occuper et j’avais accepté. Elle m’avait expliqué que Sisco, le jeune étalon en question, était d’un caractère plutôt facile, doux et gentil, bien qu’un peu craintif envers les inconnus. Il était temps de faire connaissance.
Lorsque j’arrivais dans les écuries des propriétaires, je trouvai rapidement les boxes des trois chevaux de mon amie. Leurs noms étaient inscrits sur une plaque. Je m’approchai doucement de la porte de Sisco, de manière à ce qu’il ait le temps de me voir venir. Je vis rapidement un cheval doré aux jolies pommelures. Il tenait décidément beaucoup de sa mère, une splendide barbe de la même couleur.
« Coucou Sisco ! Moi c’est Roxane. Tu ressembles beaucoup à ta mère, tu sais ? »
J’ouvris doucement la porte du cheval et glissai dans l’ouverture. Néanmoins, je ne cherchais pas à approcher du cheval. Il viendrait seul. Ce serait le meilleur moyen pour qu’il n’est pas peur de moi, que je le laisse faire. Et de fait, sa curiosité prit le dessus et il vînt rapidement me voir. Je lui tendis la main afin qu’il fasse connaissance avec mon odeur. Puis je caressai son chanfrein doré en plongeant mon regard dans ses yeux sombres. Le jeune cheval s’ébroua. Je lui frottais doucement le front et il appuya sa tête contre ma main. Je caressai Sisco quelques minutes puis je ressortis du box. J’emmenai le harnachement au rond de longe du domaine puis retournai à la sellerie ou je pris le nécessaire pour longer le cheval. Une fois ce dernier pansé, je lui mis le licol et le conduisis au rond de longe, dont je refermai la barrière de bois derrière nous.
Je détachai le licol de Sisco et le balançai doucement sous la barrière. Je pris le filet et le présentai au jeune cheval doré qui m’observait, curieux. Effectivement, comme on me l’avait dit, il semblait doté d’un bon caractère. Avec délicatesse, je me plaçai pour lui mettre le filet et introduisis un doigt dans sa bouche pour qu’il l’ouvre, ce qu’il fit sans résistance.
« Tu es chatouilleux, dis moi ! »
Sisco se mit à mâchonner son mors à aiguilles, tandis que j’attachai la muserolle et la sous-gorge. Je laissai la première relativement lâche, afin qu’il s’habitue sans trop ressentir de contrainte. Placide, il s’habituait doucement à l’effet du nouvel équipement, sans bouger. Je le caressai pour le féliciter. Doucement, je passai la longe de huit mètres dans l’anneau du mors gauche et, en passant la courroie sur la nuque du cheval, j’attachai la longe à l’anneau du mors droit. Doucement, je tendis la longe, afin qu’il me suive, ce qu’il fit. Nous marchâmes quelques minutes. Le palomino restait vraiment calme. Je le ramenai près de la barrière puis je lui présentai le tapis de selle. Il huma ce dernier avant de s’en désintéresser. Il m’observait, curieux. Je touchai le cheval avec l’objet, le caressant d’un côté puis de l’autre. Puis je glissai le tapis sur le dos du cheval, d’avant en arrière puis d’arrière en avant, avant de le placer au bon endroit. Sisco tourna la tête pour toucher le truc sur son dos, puis il se secoua. En riant, je replaçai le tapis puis présentai la selle au cheval. Le palomino l’observa sans crainte. Je la posai délicatement sur son dos. Je changeai de côté puis je descendis la sangle avant de revenir du premier et de sangler doucement. Sisco coucha les oreilles et releva la tête mais ma voix calme et quelques caresses le convainquirent de ne pas bouger. Je le félicitai.
« C’est parti pour la longe ! »
Je me saisis de la chambrière puis j’allai me placer au centre du rond de longe, le barbe sur mes talons. Je me déplaçai vers ses hanches et l’obligeai à se décaler à mon approche. Sisco s’écartait petit à petit. Je lui donnai l’ordre vocal associé à la marche afin de l’y habituer. Petit à petit, ses mouvements ressemblèrent à un cercle. Je lui rendis un peu de longe. Il marcha droit jusqu’à sentir une résistance et s’installa sur le cercle. Je le félicitai. Au début, il tenta de revenir vers moi mais quelques secousses sur la longe, légères, le poussaient à rester à sa place. Je lui demandai l’arrêt et Sisco voulut revenir vers moi, réflexe chez beaucoup de chevaux. Je secouai doucement la longe pour qu’il reste à sa place et il se remit au pas sur le cercle. Je le laissai faire quelques pas, puis demandai à nouveau l’arrêt. L’étalon cessa le mouvement puis me regarda, perplexe. Je le félicitai et redemandai le pas. Il ne réagit pas. J’agitai un peu la chambrière et Sisco reprit l’allure demandée. Je le félicitai à nouveau. Il me paraissait prometteur ce jeune, il comprenait vite et associait correctement les ordres et les idées.
Une fois qu’il eut bien marché, je demandai le trot avec l’ordre vocal que j’utilisais habituellement pour mes chevaux. Sisco ne comprit pas trop ce que j’attendais, j’agitai doucement la chambrière et l’étalon accéléra un peu brutalement, avant de s’installer dans le trot. Un peu rapide, mais tout de même le trot. Je le félicitai puis travaillai un peu sur les transitions, jusqu’à ce que le palomino réponde parfaitement. Je le repassai au pas, puis à l’arrêt. Je m’approchai de lui et je lui tendis un bonbon pour chevaux, avant de descendre les étriers. Il s’habituerait comme ça à les sentir, et ça ne lui ferait plus peur. Je changeai la longe de côté puis en utilisant les mêmes ordres qu’à main gauche, j’installai Sisco sur le cercle à main droite, au pas. Je lui fis faire quelques transitions au pas et à l’arrêt. Un peu hésitant au début, le barbe prenait de l’assurance au fur et à mesure des exercices. De temps en temps, je voyais de l’incertitude dans ses yeux mais aucune crainte. Mon amie avait vraiment fait des merveilles avec son premier poulain !
Une fois le pas bien acquis, je tentai le trot. Sisco voulut courir mais je réaffirmai mon autorité avec fermeté et l’étalon fila droit. Il se déplaçait bien et il était plutôt léger. Restait à voir s’il le serait tout autant avec un cavalier sur le dos. Je lui fis faire de nombreuses transitions, de manière à ce qu’il assimile bien les ordres. Coopératif, le palomino réagissait de plus en plus vite à mes demandes. Je décidais ensuite d’introduire le galop, les étriers pendant ne semblant aucunement gêner le cheval. En réponse à mon ordre, Sisco accéléra le trot jusqu’à tomber dans le galop. Je le félicitai puis, comme aux deux autres allures, je lui fis travailler les transitions. Je le repassai au pas et le changeai de main, avant de recommencer. Une fois que j’estimai qu’il avait bien travaillé, je le fis marcher un moment en longe. Il transpirait beaucoup et manquait d’endurance, mais ça viendrait avec le temps. Je ramenai Sisco dans son box et retirai le harnachement avant de bien m’occuper de lui.
J’avais croisé il y a peu la propriétaire de Sisco, le jeune étalon barbe palomino dont je réalisais le débourrage. Je lui avais rendu compte des progrès fulgurants de son poulain qui, si tout se passait bien, devrait bientôt être prêt pour la grande aventure. C’est vers lui que je me dirigeai à présent, ayant la ferme intention de continuer voire terminer son débourrage. Il apprenait vite et était très coopératif, son bon caractère aidant particulièrement.
Dans la sellerie, je pris tout le matériel dont j’aurais besoin puis me rendis au box de l’étalon. Sisco sembla content de me voir, il frotta doucement sa tête contre mon épaule alors que je le caressai de mon autre main.
« Coucou toi ! Tu es prêt à recevoir un cavalier ? »
Je pansai rapidement l’étalon puis le harnachai, avant de me rendre au rond de longe avec lui. J’attachai la longe de huit mètres à l’anneau du mors histoire de longer un peu Sisco, avant de monter sur son dos pour la première fois. Je me plantai au milieu du rond de longe et demandai le pas à l’étalon qui, se souvenant fort bien de l’exercice, pris un bon pas actif, tête haute et oreilles pointées devant lui. Je le laissai marcher un tour et demi, avant de lui faire faire des transitions. Ainsi, il serait attentif pour la suite. J’introduisis le trot puis, une fois échauffé, je lui fis faire quelques tours de galop. Je le changeai de main et lui fis faire la même chose. Ce jeune étalon me plaisait bien, son caractère était vraiment bon mais en même temps, il avait un peu de sang, je ne devais pas le pousser en permanence. J’arrêtai Sisco puis je détachai la longue longe. Je balançai cette dernière sous la barrière du rond de longe afin que l’étalon ne puisse pas se prendre les pieds dedans puis je caressai l’encolure dorée.
« Alors mon grand, tu es prêt ? »
Je ressanglai sans que le barbe ne réagisse. Puis je tins les rênes d’une main et, avec douceur, j’appuyai sur l’étrier, de plus en plus fort. Sisco modifia ses appuis, assurant son équilibre, mais resta arrêté. Il me regardait curieusement. Je le félicitai puis je recommençai. Aucun mouvement cette fois-ci. Je félicitai à nouveau puis je changeai de côté et fis le même exercice. Je préférai habituer mes chevaux à l’appui des deux côtés, de manière à ce qu’ils ne soient pas surpris que je monte par la gauche ou par la droite. Ainsi, si pour une raison ou une autre j’y étais amenée, je ne risquai pas d’avoir un cheval paniqué. Même si Sisco n’était pas à moi, je réagis de même avec lui. Au pire, il oublierait l’apprentissage si mon amie ne le pratiquait pas. L’étalon resta placide. Je repassai à gauche puis, doucement, je montai en sac à patate. Sisco creusa un peu le dos, peu habitué à un tel poids sur son dos. Je le caressai puis je recommençai, d’un côté puis de l’autre, sans obtenir de réaction particulière. Je finis par mettre mon pied à l’étrier puis je me hissai sur le dos de l’étalon. Je mis mon second étrier et vérifiai la sangle. Sisco hésita puis partit au grand trot. J’eus tout juste le temps de prendre les rênes correctement. Néanmoins, je ne cherchai pas à arrêter le jeune cheval. Chacun avait ses propres réactions, autant le laisser s’habituer au cavalier à sa façon. Pour épargner son dos encore peu musclé, je m’installai au trot enlevé, tout en parlant au barbe. Peu à peu, il calma et passa dans un petit trop tranquille. Avec douceur, je m’assis dans ma selle, me redressai puis fermai mes doigts sur les rênes. Sisco, qui s’était détendu, raidit aussitôt ses muscles et secoua la tête, pour se débarrasser de la contrainte. J’accompagnais mes mouvements d’un « oooohhhh » de plus en plus grave, comme je le faisais à la longe. L’étalon hésita puis, reconnaissant l’ordre, obtempéra et repassa au pas. Je le félicitai, confirmant ainsi sa pensée.
Je recommençai pour l’arrêter et Sisco secoua à nouveau la tête avant d’obéir. Je le félicitai à nouveau. Puis je serrai les jambes, afin de lui indiquer de prendre le pas. Il fit quelques pas de côté. Je lui donnai à la voix le même ordre qu’à la longe afin qu’il comprenne, ce qu’il ne tarda pas à faire. Je fis quelques transitions arrêt-pas et pas-arrêt, avant d’introduire la direction. J’écartai la rêne du côté où je voulais tourner, au pas. Sisco hésita au début puis, lorsque je mis une légère pression de la jambe du côté où je voulais tourner, il obtempéra. Mon approbation et les félicitations eurent bientôt raison de ses hésitations et il répondit de mieux en mieux. De la même manière qu’au pas, je demandai le trot au jeune cheval et je recommençai les exercices. Transitions et directions. L’étalon comprenait vite et, malgré son jeune âge et son manque de muscles, il avait un bon équilibre et des allures plutôt confortables.
« Tu as tout pour toi, tu vas aller très loin ! » fis-je à Sisco en le caressant.
Je terminai par le galop. Je mis l’étalon au trot, sur la piste du rond de longe. Le cercle l’aiderait à partir sur le bon pied. Je tendis mes rênes, reculai ma jambe extérieure puis donnai l’ordre du départ. Le barbe accéléra le trot, d’abord timidement, puis avec plus d’assurance, et tomba dans le galop, sur le bon pied. Je le caressai puis accompagnai le mouvement. Je le laissai faire deux tours, remettant doucement des jambes lorsqu’il ralentissait, puis je le repassai au trot et lui fit faire plusieurs transitions. Je fis de même à l’autre main, avant de marcher longuement Sisco.
Je lui fis faire tranquillement le tour du Haras, au pas, afin que sa robe trempée sèche. Puis je le reconduisis à son box et je m’occupai bien de lui.
J'arrive devant le box d'Okarina dans l'optique d'aller la longer. J'avais réserver le rond de longe pour une petite heure. Je rentre dans le box de la jument qui mangeait son foin.
Je sors de mon sac de quoi brosser la sooty palomino, je commence par l'étrille que je passe de façon circulaire puis je passe au bouchon avant de terminer par le cure pied.
Je longerais Okarina en liberté et peut être en profiterais pour faire un peu de travail à pied. Je lui enfile le licol que j'avais dans mon sac. Je lui attache le mousqueton de la longe à l'anneau et la fait sortir du box.
Nous nous dirigions vers l'installation au rythme du clapotis des sabots de la barbe. Il n'y avait pas beaucoup de personne au haras ces temps si. Je rentre dans le rond suivie de près par la sooty.
Je referme derrière moi et attrape la chambrière accroché au mur avant d'amener la jument au centre du rond. Je lui retire la longe que je laisse tomber sur le sol sans un bruit. Je caresse le chanfrein d'Okarina avant de la poussé gentiment sur un cercle à droite.
Elle me regardé du coin de l’œil tout en marchant tranquillement contre le mur. Je la laisse marcher quelque minute tout en lui parlant doucement. Je change de main la chambrière, Okarina comprit et tourna sur elle-même changeant ainsi de main. Je la félicite par la voix et lui fit faire quelque tours de pas.
Je la suis, décrivant ainsi un cercle plus petit qu'elle lui transmettant mon énergie.
- Okarina! Trotter! lui demandais-je d'une voix forte.
La jeune barbe tendis son encolure et s'élança au trot. Je la félicite l'encourageant a tenir son allure. Je fini par lui faire changer de main en prenant la chambrière dans mon autre main.
La barbe donne un petit coup de cul, je souris la laissant faire. Je lui fais prendre le galop en lui donnant l'ordre vocal requis, joyeuse la jument bondit en avant. Je la laisse faire plusieurs tours de galop avant de lui faire faire quelque transition du galop au trot et du trot/pas/galop.
Je l'arrête sur le cercle et elle finit par me rejoindre au milieu. Je lui caresse l'encolure avant d'aller placer cinq plots alignés au centre du rond.
j'invite la barbe à me suivre, chose qu'elle fit sans ce poser de question. je fis un petit tour de rond avant de me diriger vers le premier plot. Je tourne autours de lui lentement tandis que la jument faisait de même. Je la félicite en lui donnant un morceau de friandise que j'avais mis dans une de mes poches.
Elle l'engloutit rapidement, je souris et reprends ma marche. Je passe le deuxième plot par la droite et à gauche pour le troisième avant de passer la quatrième et le cinquième pour rejoindre la piste.
Okarina semblait concentré et me suivait au pied de la lettre. Je m'arrête et elle fit de même, je me tourne vers elle. Je passe ma main sur sa tête et y dépose un bisous. Je refais une deuxième et dernière fois le petit slalom avant de tous ranger et de quitter l'installation.
Je ramène le jument à son box et quitte le haras tranquillement.
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Jeu 15 Fév - 19:05
+3 en longe
2
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Mar 27 Fév - 21:05
Nouvelle écurie !
Point de vue Adrien : Marchant tranquillement vers le box de l'étalon hanovrien, passant d'abord a la sellerie pour prendre un caveçon et une longe ainsi que de quoi brosser Aladdin.
Hier soir j'avais demandé a Anna, qui s'occuper de nourrir les chevaux le matin et qui donc les rentraient, si elle pouvait mon étalon dans son box.
Je rentre dans le box, avant de poser ses affaires dans un coin. Je le brosse rapidement avant de lui mettre le caveçon en cuir beige.
Je lui attache la longe sur l'anneau du milieu avant de sortir du box suivit de prés par l'étalon ébène.
Je me rendis pour la première fois, depuis que j'avais déplacer Aladdin dans le domaine, dans le rond de longe au paroi noir.
Je rentre dans l'installation au sable fin. Je fis chasser les hanches a l'étalon pour pouvoir fermer derrière nous.
Je me dirige vers le centre de l'installation, détachant la longe j'observe Aladdin s'élancer dans le sens inverse de moi.
Il fit des bonds prodigieux, donnait des coups de cul. Pillait avant de repartir au galop au quart de tour. Il avait ses naseaux dilaté, le regard brillant. Il trottait avec légèreté puis tourner sur lui même pour bondir en l'air dans l'autre sens.
J'observais, accoudé contre le mur du rond, l'étalon s'amuser gaiement. il fini par ce calmer en s'arrêtant sur la piste.
Je m'avance vers les barres accroché en hauteur. J'en descendit quatre que je plaçait au sol. Puis me dirigeant vers l'étalon,dont je lui rattaché la longe, je pris en passant la chambrière.
Je le positionne de façon a former un triangle avec la longe, la chambrière et l'étalon. D'une voix ferme, je lui demande le pas dans lequel il partit en pointant son oreille gauche dans la direction.
Je le laisse marcher tranquillement pour ce détendre, chose qu'il fit assez vite en baissant la tête vers le sable fraîchement retourner.
Il partit au trot à ma demande, me décalant vers lui, l'obligeant a élargir son cercle. Il passa sur les barres avec élégance et sans en toucher une.
Je le félicite puis le fait repasser plusieurs fois dans cette main avant de le faire changer de sens facilement.
Je le fis passer trois sur les barres au sol avant de faire arrêté sur la piste. Me dirigeant vers les barres tranquillement, je place quatre chandeliers de façons a avoir deux deux petits croisillons en saut de puce.
Cette fois-ci je fais partir l'étalon au petit galop qui donna un coup de cul joyeux tout en s'élançant a l'allure voulu.
Il enchaîna les deux petits obstacles en les survolant, l'encolure bien tendu. Il bondit en avant une fois les dernier saut passer. Je le reprends avec fermeté avant de lui faire changer de main.
Je lui refit passer les deux sauts, qu'il passa sans trop de difficultés. Raccourcissant la longueur de la longe, je fis ralentir par la même occasion l'étalon.
Je m'avance vers lui, une fois a l'arrêt. Je lui flatte son encolure trempé de sueur. Je le sors du rond de longe pour ramené Aladdin a son box pour lui faire retirer la couche de sueur avant de le lâcher au pré.
Je regarde l'hanovrien s'élancer du box pour rejoindre ses copains au triple galop. Je quitte le box croisant au passage Anna qui me salua en me souriant. Chose a laquelle je répondis gentiment.
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Misspalikoa
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Mer 28 Fév - 10:59
+2 en longe +1 en saut
2
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Mer 28 Fév - 11:26
Un peu de tap ne fait pas de mal
Je sors tranquillement de ma nouvelle maison pour me diriger vers les écuries pour la seconde fois de la journée.
J'y étais venu ce matin très tôt pour rentrer les chevaux, qui commencèrent a trouver leur repère et a rentré dans leur box respectif tous seuls.
Je croise, en arrivant dans l'écurie, Adrien qui en sortait. Je le salut par un sourire qu'il le rendit de suite, j'avais mis du temps a devenir son amie.
Je continue de marcher jusqu'au box d'Okarina qui mangeait d'un air absent son foin. Je l'appelais doucement pour la prévenir de ma présence.
La jument, plia son encolure et pointa ses oreilles dans ma direction. Elle hennit en le voyant avant de s'approchait de la porte du box.
Je lui caresse doucement le chanfrein avant de me glisser a l'intérieur du box. Je lui enfile le licol que j'avais accroché sur la porte la veille.
Je la sors de son box, pour ensuite me diriger vers le beau rond de longe. Je rentre a l'intérieur suivit par la jument que je lâche une fois la porte fermé.
La jument s'écarta sans violence de moi, préférant galoper a tout va que donner des coups de culs. Je la regarde faire pendant que j'installais quelques plots. Je sentis Okarina intrigué par ce que je faisait et elle fini par me suivre dans toute l’installation, j'avais disposé cinq plot dans tous le rond.
j'attrape Okarina par le licol et lui caresse doucement le chanfrein avant de me décaler vers son flanc droit. Doucement, à l'aide d'un doigt, j'exerçais une pression au niveau de ses hanches. Immédiatement elle fuit mon contact et chassa ses hanches. Je lui tapote l'encolure pour la félicité.
je continue le système plusieurs fois pour m'assurer qu'elle ai bien comprit l'exercice, je fis pareil de l'autre côté, et même s'il elle opposa un peu de résistance elle réalisa l'exercice sans trop de problème.
Cette fois-ci, je me décale vers ses épaules, d'abord un peu résistante je du appuyer un peu plus fort pour que la barbe finisse par ce déplacer. Je la récompense par une friandise qui traîner dans une de mes poches, je fis plusieurs fois ce petit exercice pour qu'à la fin Okarina se décale d'un simple effleurement.
jugeant que la sooty avait compris ce que je lui demandais, je l'envoie sur la piste d'un mouvement de chambrière, je la laisse marcher un peu sur la piste avant de lui demander d'une voix ferme le trot. La jument releva l'encolure et partit dans un petit trot.
Après l'avoir fait tourner plusieurs fois, je change de main la chambrière. Okarina, très attentive à moi comprit de suite l'information et changea elle aussi de main.
j'avance en même temps qu'elle, finalement je lui demande la pas, qu'elle reprit petit à petit avant de finir par s'arrêter sur la piste. J'attire son attention en reculant doucement, intrigué, la barbe s'avança vers moi. Les oreilles bien en avant dans ma direction, elle me suivit docilement dans le rond.
Je change de sens plusieurs fois, m’arrêtant de temps en temps pour caresser la barbe. je l'amène sur un premier plot, en premier lieu je ne fais que tourner au tour, la jument sur mes pas. Puis je l'arrête devant en me mettant en face d'elle.
Je soulève la chambrière et vient lui toucher les hanches, bougeant en même temps qu'elle, je lui fis déplacer ses hanches pour la faire tourner autour du plot. Je la félicite une fois l'exercice terminer.
Je la fis changer de plot, sous son regard curieux. Nous refîmes l'exercice tranquillement avant de refaire un autre tour du rond et de changer une nouvelle fois de plot.
A la fin de l'exercice je la félicite et commence à ranger doucement les objets que j'avais utilisé, toujours suivit de la barbe. Je sors du rond en entourant l'encolure d'Okarina avec sa longe. Elle me suivit docilement jusqu'à son box dans lequel j'ouvris la porte de derrière pour la laisser sortir au pré.
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Mer 28 Fév - 11:28
+2 en TAP
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Sam 3 Mar - 10:46
Débourrage Nyx 1/2
Point de vue Inconnu : Les poulains de l’élevage avaient bien grandit devenant de magnifique bête. Aujourd’hui je commencerai par le débourrage de Nyx en commençant par lui faire porter l’harnachement avant de le longer en douceur.
J’arrive devant son box armé d’un licol blanc et d’une longe. J’ouvris son box pour en ressortir quelque instant plus tard, l’étalon sur mes talons. Je le recadre plusieurs fois en allant à l’air de pansage.
Nyx ne faisait pas attention et m’avait marché plusieurs fois sur le pied, une fois arriver au lieu de pansage, je l’attache fermement à une des anneaux accroché au mur. Je le brosse rapidement pour lui enlever la couche de poussière et de saleté qu’il avait sur sa robe.
J’avais, juste avant d’aller chercher le jeune selle français, déposer ses affaires au sol. En premier lieu, j’attrape le tapis avant de lui présenté. Nyx huma tranquillement l’objet que je lui tendais avant de lui passer le tapis sur tous le corps.
Il s’habitua au contact de l’objet, je lui pose l’objet sur le milieu de son dos quand ses oreilles arrêtèrent de bouger dans tous les sens. Je lui déplace doucement le tapis vers son garrot, je rajoute par-dessus le beau tapis… un simple amortisseur en mousse.
Je le félicite en sortant une friandise qu’il engloutit sans demander son reste, je me penche en avant pour prendre la selle au sol et la montrer à l’Alezan qui l’a regarda à peine, préférant chercher les friandises caché dans ma poche.
Je lui pose sur le dos comme si de rien était, je récompense néanmoins d’une caresse sur le chanfrein avant de faire tomber la sangle de la selle. Nyx ne réagis pas plus que ça hormis de tourner la tête pour voir ce qui l’avait touché.
Je prends la sangle d’une main avant de soulever le quartier de la selle pour commencer à sangler. Par chance l’étalon ne gonflait pas le ventre et je pus le sanglais aux deux premiers trous, ne voulant pas le gêner dès la première je lui laisse la selle ainsi.
Je le félicite avant de lui détacher son licol pour lui passer autours de son encolure. Je me place à ses côté pour pouvoir lui enfiler doucement son filet en cuir noir. J’introduis un doigt dans la commissure de sa bouche et profite du fait qu’il l’ouvrit pour lui donner le mord.
L’étalon surpris du contact froid du mord, ce mit à le mâchouiller tandis que j’attacher la muserole et la sous-gorge. Je le félicite en lui donnant un peu d’avoine chose qu’il adorait autant qu’une friandise. J’attrape la grande longe et l’enfile autours du filet avant de lui prendre les rênes. Peu habituer a être ainsi harnacher Nyx hésita un peu avant de s’élancer au pas derrière moi.
Je le fais rentrer dans le rond de longe avant de refermer derrière nous, ensemble nous parcourons l’installation pour laisser le selle français découvrir ce nouveau lieu. Une fois cela fait et que l’Alezan ce contentais de me suivre, j’attrapais la chambrière poser à côté de la porte.
Je lui montre l’objet avant de m’écarter doucement de lui pour me placer vers ses hanches, je l’empêche de venir me rejoindre. Je fis doucement claquer la chambrière derrière lui en lui ordonnant l’ordre : « Nyx marcher ».
L’étalon s’élança dans un pas actif qui ne me surprit guère au vue de son patrimoine génétique, je le laisse marcher sans le contraindre à faire autre chose hormis le repousser quand il revenait vers moi à l’aide de petit coup de longe.
Petit à petit je lui fis rétrécir le cercle avant changé de main la longe et la chambrière, je coupe la route à l’étalon qui fit un demi tour en bondissant en avant, le calme pour qu’il repasse tranquillement au pas, chose qu’il fit rapidement.
Je le laisse faire deux tours de pas avant de secouer la chambrière et lui demander le trot. Il secoua vivement la tête avant s’exécuter en douceur. Je le félicite le laissant tourner autour de moi quelque fois.
Je fini par lui demander gentiment le galop, chose qu’il ne comprit pas au début me forçant à claquer plusieurs fois la chambrière derrière lui, Je pus constater avec plaisir que Nyx avait de très belle allure légère et fluide.
Je l’arrête progressivement avant de le stabiliser a l’arrêt tranquillement, je m’avance vers lui et lui retire la longe pour le prendre par les rênes, je le raccompagne à son box avant de le desseller et de le chouchouter un peu avant de le quitter.
Point de vue Inconnu : Après avoir quitté le jeune Nyx me voilà devant le box de la jeune Avalanche qui avait très bien grandi, devenant une magnifique pure race espagnole.
J’entre dans son box avec son licol noir, je lui enfile pour ensuite la sortir de son box, curieuse la jument me suivit jusqu’à l’air de pansage. Elle observait les alentours en marchant puissamment, je l’attache à l’anneau.
Son hennissement me fit sursauter, je rigole avant de lui présenter le tapis d’un noir de jais, elle huma avant de donner un coup de nez sur le tapis. Je souris avant de lui poser en douceur sur son dos. Je la laisse s’habituer au contact du tissu avant de lui mettre l’amortisseur.
La jument ne réagit pas plus que cela mais je la félicite en lui donnant une friandise qu’elle engloutit sans demander son reste. J’attrape maintenant sa selle que je lui présente avant de déposer délicatement sur son garrot.
Je fis tomber la sangle de l’autre côté sans que la jument ne réagisse plus que ça, je lui flatte l’encolure en lui parlant sans discontinue. Je me penche pour attraper la sangle avant de sangler en douceur, Avalanche ce décala pour essayer de voir ce que je faisais mais j’accompagne son mouvement.
Une fois sanglé je lui retire son licol pour le mettre autours de son encolure, j’attrape le filet posé au sol et lui passe les rênes par-dessus la tête. Je passe un doigt dans la commissure de ses lèvres pour pouvoir lui mettre son filet en cuir noir.
Elle ce mit à mâchouiller doucement le mord tandis que je la détacher, je l’amène tranquillement au rond de longe dont je pris le temps pour lui faire faire le tour. Je prends la chambrière une fois la longe placé sur la jument.
Je la fis partir en cercle d’un mouvement de chambrière et d’un ordre : « Avalanche marcher ! » Tranquillement la jument ce mis en cercle autours de moi sans chercher à revenir au centre.
Une seconde fois je fis claquer la chambrière en lui demandant en même temps le trot par la voix, la PRE fit une foulée de galop avant de prendre l’allure voulue. Je la félicite par la voix avant de la laisser trotté tranquillement.
Puis pour la troisième et dernière fois je fis fouetter l’air avec la chambrière en même que j’annoncer ma demande par la voix d’un : Avalanche ! Galop ! ». Puissamment la jeune jument s’élança dans un galop rapide.
Je la laisse faire avant de la regarder tourner autours de moi, je fini par la faire repasser au trot en levant un peu la longe en lui demandant. Bientôt je l’arrêtais sur la piste avant de la rejoindre, je la ramène dans son box et de la quitter.
Point de vue Mélina : Suite à un commun accord avec Tedrick, j’avais acheté la petite Brume dont j’avais fait le pré-débourrage il y maintenant 2 ans et demi.
Aujourd’hui la petite pouliche était fin prête à être débourrer, j’avais suivit une formation pour pouvoir le faire sans risque pour moi et la jument.
C’est donc armer des nouvelles affaires de la pie que j’arrive devant son box, je l’avais rentré du pré un peu plus tôt dans la mâtiné. Je rentre dans son box pour la brosser rapidement, elle avait de la boue partout et il me fallut plus d’une demi-heure pour tout enlever.
Je soupire de soulagement avant d’enfiler le licol à la jeune jument pie et de la sortir de son box, intrigué de sortir par là, je l’attache à l’anneau.
Toute souriante, je prends le tapis noir que j’avais posé sur la porte du box avec la selle. Je me place de façon à ce qu’elle me voit parfaitement, j’ouvre et ferme le tapis plus ou moins rapidement.
Brume sursauta avant de fixé le tapis, je lui présente avant de le poser sur son dos et de la bouger plusieurs, curieuse et débordante d’énergie la jument essaya de se tourner pour m’observer.
Je la laisse faire continuant tranquillement de lui placer le tapis correctement son garrot, je prends le protège dos que je mets par-dessus. Je félicite la jument avant de prendre la selle en cuir noir, j’avais choisie une selle pas trop lourde.
La croisé, huma la selle avant de renâcler le sol. Je lui pose délicatement sur son dos avant de m’écarter, la jument ce secoua et manqua de faire tomber la selle, que je retiens in extrémiste.
Je la sangle en douceur pour ne pas brusquer la jument qui ce laissa faire comme si de rien était, je lui offre de multiple caresse pour la récompense. Je fini par lui enlever son licol pour lui mettre autours du cou.
Je prends son filet en cuir sombre avant de réchauffer un peu le mord froid, chose qui devait être très désagréable pour eux. Je me place à côté et vient lui chatouiller la commissure de ses lèvres avec un de mes doigts.
La jument ouvrit la bouche sentant l’intrus, j’en profite pour lui mettre le filet et d’attacher la sous-gorge et la muserole. D’instinct Brume ce mit mâchouiller son mord en me regardant, je lui donne une friandise avant la détacher et de laisser tomber le filet. Doucement je l’amène vers le rond de longe, je la fais tourner sur elle-même pour fermer la porte. Avant de lui mettre la grande longe, je lui fis faire le tour de l’installation sous son regard plus que curieux.
Je fini par l’amener au centre pour lui mettre la longe, d’un mouvement de chambrière je l’envoie sur la piste, hésitante elle fini par faire ce que je demandais. Je dus néanmoins la repousser plusieurs fois à coup de longe.
Je la laisse marcher en cercle quelque temps avant de lui claquer gentiment la chambrière derrière elle en lui demandant d’une voix claire l’ordre : « Brume trotté ! » Docile et un peu posé la jument pie prit l’allure voulue.
Je félicite d’une voix douce la croisé avant de la laisser faire plusieurs tours de trot. Je la ralentis doucement pour la faire repasser au pas. Je change de main la chambrière avant de bloquer la route de la jument qui pivota. Je l’arrête pour changer la longe de sens avant de la faire repartir doucement au pas.
Je la félicite quand elle étendit son encolure vers le sol puis je lui redemande le trot qu’elle prit avec plus de facilité. Après trois petit tour dans la même allure, je fis claquer une nouvelle fois la chambrière en lui donnant l’ordre : « Brume ! Galop ! ».
Un peu forcé la jument bondit en avant et pris le galop en donnant quelque petit coup de cul, je rigole un peu avant de la laisser galoper quelque minute. Puis, à l’aide de ma voix je la fis doucement ralentir. Je la garde à l’arrêt sur la piste avant de la rejoindre.
Je lui caresse le chanfrein avec énergie avant de la faire quitter le rond de longe, j’étais fière d’elle. Je la ramène dans son box puis la laisse rejoindre à fond ses amis broutant au loin.
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Sam 3 Mar - 12:08
+10 en débourrage pour Nyx, Avalanche et Brume
6
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Sam 3 Mar - 18:09
Débourrage Millénaire 1/2
Point de vue Adrien Impossible de résisté en voyant cette annonce. Ce jeune jeune étalon m'avait tapé dans l'œil. J'en avait parlé a Anna qui avait accepté ma demande avec le sourire. Ce n'est pas comme si le domaine n'avait pas de place!
Millénaire est donc arrivé il y a trois jours seulement et aujourd'hui j'allais m'occuper de son débourrage.Arrivant au domaine, je fis une halte par la sellerie pour prendre toute les affaires du pur sang. Puis me dirigea vers son box, je dépose les affaires sur le porte selle.
J'attrape le licol et rentre à l'intérieur. Le jeune étalon, qui pourtant ne m'avait presque jamais vu, s'approcha de moi et quémanda des caresses. Je lui frotte le chanfrein avant de lui mettre son licol et nous sortions tout les deux du box, je l'attache à l'anneau avant de le brosser rapidement.
Puis attrapant doucement le tapis, je lui présente. Millénaire joua de ses lèvres pour essayer de choper le tapis, je l'écarte à temps avant de lui posé sur le dos. Sans aucune réaction de la part du pur sang, je pose l'amortisseur avant de prendre la selle.
L'étalon la sentie sous toute les coutures avant d'essayer de jouer avec, je souris avant de la déposer délicatement sur le garrot du gris. Sans vraiment réagir, Millénaire ce contenta de me regarder en pliant son encolure et pointant les oreilles dans ma direction.
Je le félicite par une caresse avant de le sangler gentiment de quelque trous. Une fois cela fait je détache le licol pour lui mettre autours du cou. Je prends le filet et passe les rênes par dessus la tête avant de lui ouvrir la bouche à l'aide d'un doigt venant le chatouiller à la commissure des lèvres.
Je profite du faite qu'il ouvre la bouche pour lui enfiler avec gentillesse le filet, l'étalon s'ébroua avant de se mettre à mâchouiller son mord. Je fini de lui attacher la muserole et la sous-gorge avant de le détacher complétement, je l'amène au rond de longe du domaine.
Une fois à l'intérieur je le fis marcher à mes côtés avant de rejoindre le centre, je lui enfile la grande longe avant de prendre la chambrière. Doucement je fis claquer la chambrière derrière lui, docile il s'écarta de moi sans rechigner, petit à petit il réussi à faire un beau cercle, marchant vivement et en regardant un peu partout autour de lui.
Parlant d'une voix très claire, je lui demande le trot en même que je fouetter l'air avec la chambrière, il bondit en avant redressant son encolure. Ses allures étaient belle et légère, je le laisse tourner quelque tours tranquillement avant de lui demander clairement l'ordre: "Millénaire! Galop" tout en claquant gentiment le fouet derrière lui.
Enjoué, le pur sang s'élança gaiement au petit galop, me donnant au passage un petit cul de cul heureux. Je l'observe galoper joyeusement autour de moi. Puis je lui redemande le trot, chose que l'étalon comprit vite, après quelque transition au pas et au trot je décide de l'arrêté.
Flattant doucement son encolure je lui retire la longe, je le ramène doucement à son box avant de le lâcher. Millénaire s'élança dans le pré au grand galop donnant de magnifique coup de cul la tête entre les antérieurs.
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Sam 3 Mar - 19:22
+ 10 en débourrage
3
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Dim 18 Mar - 9:26
Débourrage Nyx 2/2
Point de vue Inconnu : Après de longue vacances bien mérité il était temps pour moi de finir le débourrage des 3 ans. Prenant les affaires de Nyx je me dirige vers son box où l'étalon m'attendais sagement. Je le selle tranquillement, sifflotant un air marin sous l'oreille attentive du selle français.
Une fois parfaitement seller, je le fis sortir de son box pour l'emmener au rond de longe comme la dernière fois. Je lui fis faire le tour de l'installation avant de venir au centre du rond. Sage, l'étalon ne bougea plus une seule oreille. Délicatement je le ressangle avant de descendre les étriers.
Je m'amuse à les bouger dans tous le sens sous le regard curieux de l'étalon. Je le félicite d'une caresse avant de faire pareil avec la selle, toujours aucune réaction. Je prend en main l'étriller pour m’appuyer de tout mon poids dessus, un peu surpris Nyx ce décala d'un pas sur le côté.
je le rassure pour ensuite faire la même chose de l'autre côté, une fois sur que l'étalon ne bougerait plus je le félicite par une bonne caresse sur l'encolure. J'attrape un bout de crins caramel de Nyx avant de mettre mon pied dans l'étrier, je me hisse sans pour autant m'assoir dans la selle.
Gentiment, je sautille sur l'étrier me penchant un peu en avant pour ne pas que la selle ne tourne. Comme beaucoup de chevaux, le selle français fis un pas en avant bien vite arrêter par mes soins. Je descend et fais la même chose de l'autre étrier.
Une fois tranquille, je passe ma jambe par dessus la selle et m'assoie complètement dans la selle, je règle mes étrier tranquillement avant de donner un coup de talons dans les flancs de l'alezan tout en lui demandant le pas par la voix.
Nyx ce mit en mouvement rapidement prenant un bon pas, je le félicite avant d'aller chercher la piste. Je fis plusieurs tours de piste a cette main avant de me redresser et de ramener les rênes vers moi, il me fit quelque pas hésitant avant de s'immobiliser.
Je lui flatte l'encolure avant d'écarter ma rêne droite pour le faire changer de sens, une fois cela fait je refais le même exercice mais en incluant des arrêts de temps en temps. Toujours au pas je le fais changer de sens a plusieurs reprise à l'aide de doublets ou demi-cercle.
Je pus constater que l'étalon avait de belle allures et une bonne flexibilité. L'arrêt et le pas acquis je demande à Nyx le trot, qu'il prit rapidement en relevant vivement la tête. Après quelque tour de sens à main droite, je lui fais décrire une volte pour reprendre la piste à main gauche.
Je le fais repasser au pas par moment, l'habituant doucement au changement d'allure, le selle français réagissait très bien au nombreuse demande que je lui faisait. Ce brave cheval allait me manquer, jugeant que l'étalon avait compris le trot je lui demande la galop.
Hésitant, je lui redemande plusieurs fois avant qu'il ne bondisse en avant dans un galop bancale, au fur et à mesure des tours de piste il prit un peu plus d'assurance. Chose que je félicité d'une bonne caresse sur son encolure, petit à petit je le fis ralentir pour finalement l'arrêter au centre.
Je descendis de son dos pour le dessangler de plusieurs trous, sa future cavalière devait venir le chercher dans le courant de la semaine prochaine avec une autre jument. Je le ramène a son box pour prendre soin de lui avant d'attaquer un autre débourrage.
Point de vue Adrien Le temps c'était écouler depuis que Millénaire était arrivé au Domaine et surtout depuis que j'avais commencé son débourrage. Il était maintenant venue l'heure de le monter.
J'arrive devant son box, vide, je souffle en pestant contre moi même. J'avais légèrement oublier de prévenir Anna de le laisser dans son box. J'attrape son licol noir et passe de l'autre côté du box pour m'aventurer dans l'immense près des chevaux, certain petit curieux s'avancèrent vers moi pour quémander quelques caresses.
Finalement, Millénaire s'approcha de moi tranquillement, je lui passe le licol et nous pûmes rentrer au box. Je le selle rapidement pour ensuite enfiler ma bombe. J’emmène l'étalon jusqu'au rond de longe, une fois à l'intérieur, je referme derrière nous.
J'installe le pur sang au centre avant de le ressangler, chatouilleux il me donna un petit coup de museau sans pour autant me mordre. Je le repousse gentiment avant d'agripper la selle et de la secouer dans tous les sens, sans broncher Millénaire m'observais du coin de l’œil.
Je lui flatte l'encolure, fière de lui. Je descend les étriers et fais la même chose qu'avec la selle, j’entrechoquai les étriers qui firent sursauté l'étalon.
Je souris avant de le rassurer et de refaire plusieurs fois l’exercice jusqu'a temps qu'il s’habitue au bruit. Je pose un pied dans l'étrier et fis mine de monter. Je saute sur l'étrier en me penchant en avant, pas surprit pour un sous, le gris resta parfaitement calme.
Je le félicite puis refais le même exercice sur l'autre étrier. Même réaction de la part de l'étalon, je décide d'en finir et de m'assoir dans la selle. Puissamment, l'étalon ce secoua pour essayer de me faire descendre. Je le rassure en réglant mes étriers à la bonne longueur.
D'un petit coup de talons, Millénaire s'élança au pas. Je le récompense par la voix en allant sur la piste, je le laisse marcher doucement faisant plusieurs tours de rond. Je me redresse en ramenant les rênes vers moi, ne comprenant pas trop, le pur sang mis quelque foulées avant de s'arrêter.
Je le relance au pas et l'arrête une nouvelle fois, je répète cet exercice une bonne dizaine de fois avant que l'étalon passe à l'arrêt d'une simple pression des rênes. Je lui flatte vivement l'encolure avant de le faire changer de sens en écartant la rêne gauche.
Je le laisse marcher quelque minute avant presser mes talons pour faire partir le gris au trot. Joyeux, celui-ci s'élança gaiement à l'allure voulu, je le félicite et le laisse tourner en changeant par moment de sens. Je le fais repasser aussi au pas de temps à autre.
Je raccourcis un peu mes rênes avant de faire partir difficilement l'étalon au galop, pas très à l'aise Millénaire s'élança dans un petit galop. Je lui fis faire quelque petite transition trot/galop avant de m'arrêter là pour aujourd'hui, je descend de son dos et le ramène à l'écurie pour m'occuper de lui avant de le lâcher avec les autres.
Point de vue Mélina : Sur excité comme une petite puce, je me dirige, les bras chargé et le sourire aux lèvres, vers le box de la jolie croisé. Celle-ci m'attendait en mangeant sa ration de grain. Je rentre dans son box pour la brosser en attenant qu'elle finisse de manger, les tâches de boues quittèrent sa robe pour lui donner une blancheur impeccable.
Une fois sa ration terminer ainsi que son brossage, je pus la seller tranquillement. Je lui fis quitter son box pour nous diriger vers le rond de longe flambant neuf. J'ouvris la grande porte avant de faire tourner la jument sur elle-même et de refermer derrière nous.
Je lui fis faire le tour de l'installation avant de la faire s'arrêter au centre. Dans le plus grand calme je descendis les étriers pour ensuite les bouger dans tous le sens. J'empêche Brume d'avancer, ne supportant pas rester sur place, Je continue de jouer avec les étriers en les faisant croisé ou retomber sur le ventre de la jument.
Elle sursauta mais ne chercha pas a fuir, je la félicite par la voix avant de prendre la selle et de la secouer vivement. La jeune croisé ne réagis pas et ce contenta d'essayer de bouger t'elle une petite pile électrique. Je souffle en la retenant pour la je ne sais combientième fois.
Elle fini par comprendre que je ne la laisserais pas faire un pas de plus et ce contenta de souffler, j'appuie de tous mon poids sur l'étrier habituant la jument à supporter un poids. Je fais la même chose avec l'autre étrier avant de prendre une poignée de ses crins et de me hisser en douceur. M'appuyant contre la selle, je me mit à sautiller sur l'étrier, surprise la jument ce mit en mouvement et je fus contrainte de mettre pied à terre.
Je l'arrête afin de refaire le même schémas, s'habituant petit à petit je pus finalement me mettre sur la selle. Réactive Brume partit au trot sans que je ne lui demande. Je la laisse faire, la laissant partir, petit à petit la croisé ce calma et je pus la faire repasser au pas.
Néanmoins je la félicite en reprenant un peu mieux mes rênes pour la mener sur la piste à main gauche. La jument marcha activement sur plusieurs tours avant de l'arrêté. Hésitante elle me fit quelque pas avant de prendre l'arrêt, je lui caresse doucement l'encolure pour la félicité avant de la talonner et de la faire changer de main.
Le trot arriva bien au plus grand plaisir de la pie qui ce donnait à cœur joie dans cette allure. Je souris avant de changer de temps à autre de sens ou d'allure. Je pouvait sentir sous ma selle la puissance de Brume qui ne demandais qu'a exploser, elle ferait une bonne jument de Trec avec de l'entraînement.
Pour les dernières minutes qui me restait avant de devoir repartir chez moi, je donne un bon coup de talon dans les flancs blancs de la jument. Sans attendre elle bondit en avant faisant une grande foulée de galop, elle tournait rapidement dans une allure effréné. Je la reprend un peu lui ralentissant le galop, après quelque petit tour je la fis repasser doucement au trot puis au pas avant de finir au centre du rond complètement arrêté.
Je descend en la félicitant, puis tranquillement je la ramène au son box pour m'occuper d'elle pour ensuite la relâcher dans son près. Je suis du regard la flèche blanche s'élancer au galop vers ses copains.
Point de vue Inconnu : Après avoir quitté le jeune Nyx me voilà devant le box de la jeune Avalanche. Je rentre dans son box avec ses affaires que je posais sur la porte du box en attendant qu'elle soit toute propre. Je fini par la seller tranquillement avant de la mener au rond de longe.
Refermant la grande porte en bois, je plaçais la PRE au centre du rond sous son regard curieux. Je la ressangle de quelque trous sous les désaccord de la jument. Une fois cela fait, j'agrippe la selle et la secoue vivement dans tous les sens possible. Sans bouger pour me fuir, Avalanche me regarda curieusement ce demandant bien ce que je faisait.
Tout en restant accroché à la selle, je fléchis les genoux et saute pour me mettre en sac à patate sur le dos de la jument qui ce laisser faire. Je descend et la félicite comme il ce doit en lui flattant son encolure doré, je fais la même chose de l'autre côté avant de descendre les étriers.
Je le fis claquer entre eux; chose qui surpris la jument en lui faisant faire un petit pas de côté. Je la rassure pour ensuite reprendre la où j'en était. Je m'amuse à lui faire tomber les deux étriers sur son ventre et la les lancer gentiment sur sa selle, l'habituant doucement.
Puis je pris des mains l'étrier droit pour m'appuyait de plus en plus fortement dessus, Avalanche modifia ses appuies contrainte par la poids, je refis la même chose de l'autre côté avant de mettre un pied à l'étrier. Je monte et descend plusieurs fois tout en sautillant légèrement dessus.
La jeune jument fit deux-trois pas en avant, je lui attrape les rênes pour la faire arrêté. Une fois la jument stabilisé je pus continuer tranquillement l'exercice. Jugeant la PRE parfaitement calme je passe ma jambe droite par dessus la selle, m’asseyant confortablement dedans.
Je règle les étriers et ajuste mes rênes avant de donner un petit coup de talon dans les flancs de la PRE. Docilement elle comprit l'ordre et s'avança doucement vers la piste. je laisse les rênes pendouiller le long de son encolure la laissant libre dans ses mouvements.
Je l'arrête par moment afin de lui apprendre à s'arrêter d'un simple mouvement de rêne. Il me fallut un peu de temps et de patiente pour que la jument comprenne ce que je lui demandais. Une fois le pas acquis ainsi que l'arrêt, je presse de nouveau mes talons dans ses flancs et lu demande en même temps par la voix l'ordre vocal du trot.
Comprenant rapidement, elle releva vivement la tête et ce hissa en avant pour prendre l'allure voulu. Je la félicite en me plaçant par moment en équilibre ou assis.
Je change pas mal de fois de sens pour l'habituer à tourner, je fis aussi quelque transition pas/trot et parfois quelque arrêt. La jument réagissait très bien à mes diverses demandes. Je la félicite avant de souffler un bon coup et de donner un bon coup de talon dans ses flancs.
Comme un ressort, je sentis les membres d'Avalanche ce mettre en mouvement rapidement. Elle s'élança vivement dans un bon galop donnant des petits coups de cul joyeux. Je la laisse faire l'accompagnant dans ses foulées divines, petit à petit je la fis revenir au trot, au pas puis enfin à l'arrêt. Je lui flatte l'encolure avant de descendre et de la ramener dans son box pour lui retirer tous son équipement.