Ce mercredi matin il faisait beau mais plutôt bon pour le début de saison. J'avais prévu aujourd'hui d'aller accueillir mon nouveau poulain, enfin nouveau... nouvellement sevré car il était fils d'une de mes juments, de Comète plus particulièrement, un jolie welsh noire. J'avais moi-même choisi le box du poulain, bai clair, une robe aux beaux reflets fauve et caramel fondu. Il avait fait presque immédiatement battre mon cœur et j'avais décidé de son nom, Shabada. Un petit filou, un démon avec une bouille d'ange.
Je m'étais donc vêtue d'un jean et d'un léger sweat complété d'une petite veste en polaire sans manche avant de me rendre au haras. La voiture laissée sur le parking je me dirigeais d'un pas rapide vers mon domaine. J'offrais une caresse à Nessy, mon étalon welsh, le papa de mon poulain, avant de m'avancer. Presque au bout de l'allée un autre hennissement me fit sourire, Midnight me regardait de son regard chocolat tendre avant de se tourner vers le box voisin, ou à ma demande on avait installé le petit jeune. Je passais doucement mes doigts sur le nez de mon barbe avant de m'approcher de la porte de Shabada.
Il ne me remarque pas, concentré sur un reflet de soleil sur un brin de paille, bondissant légèrement quand la litière bougeait sous son mouvement. J'éclatais de rire et il se tourna soudainement vers moi, me jaugeant d'un œil critique avant de me reconnaitre et de hennir doucement, comme interrogatif de ma réaction. Sans crainte j'entrais dans le nouveau domaine de ma petite beauté qui me laissa faire sans bouger. Je m'approchais et posais délicatement ma main sur son encolure sans qu'il bronche, j'avais déjà réussi dans le pré ou il avait passé les premiers mois de sa vie à le toucher un peu partout sans qu'il s'en préoccupe.
Pour vérifier je passais délicatement mes mains sur lui partant de l'encolure, longeant le rachis, puis sur les croupe et avec précaution les fins postérieurs. Pas de protestation, je passais sur les postérieurs avant de remonter sur l'encolure et de le gratter au niveau de la nuque, en haut du toupet, il appréciait ça, pour preuve malgré l'infime pression que j'exerçais il céda au niveau de la nuque en poussant un petit soupir de bien-être. Je continuais mes petits caresses encore un moment avant de faire un rapide aller-retour a la sellerie pour prendre quelques brosses.
Je me stoppais devant la porte observant Sha' qui avait apparemment encore un de ses coup de folie pour une raison mystérieuse. Je l'appelais et lui parlais calmement, jusqu'à ce qu'il revienne à la raison et s'immobilise, debout au milieu du box, la tête haute le blanc des yeux visibles et le souffle court. Sans cesser de parler doucement j'entrais. Je posais mes brosses au sol et m'agenouillais. Petit à petit la lueur de peur absolue s'évanouit dans les yeux bruns et il s'approcha de moi.
Pour le récompenser je lui offrais une rondelle de carotte sortie d'une de mes poches. Je caressais une nouvelle fois son petit corps avant de prendre le bouchon et de le lui montrer, il le huma un moment avant de me jeter un regard en coin et... de me le piquer pour le lancer à l'angle opposé du box. Je le grondais à mi-voix, me retenant d'exploser de rire.
Je récupérais ma brosse, lui montrait brièvement avant de la poser sur son dos et de la faire glisser vers ses reins. Tournant l'encolure dans un angle bizarre il se contorsionna pour me regarder recommencer, sans pour autant faire mine de s'éloigner. Je passais la brosse sur tout son corps alors qu'il se relâchait progressivement, j'enchainais avec la brosse douce dont le contact délicat sur sa peau fine le fit soupirer.
Je décidais de m'arrêter la pour aujourd'hui les soins au pied et le licol seraient pour une prochaine fois, il ne servirait a rien de vouloir aller trop vite, alors que Shabada faisait les chose avec bonne volonté. Je lui offrais une autre friandise, ramassais mes affaires, posais un baiser sur ses petits naseaux veloutés avant de sortir du box. Je savais que je reviendrais vite pour le voir et lui apprendre de nouvelle chose, j'avais confiance en lui, nous deviendront vite une paire.
Aujourd’hui j’avais prévu d’avancer sur le débourrage de mon petit welsh, Shabada, à ma dernière visite, il avait appris les brosses, aujourd’hui je comptais lui apprendre le licol et si j’en avais le temps j’aurais aimé lui curer les pieds. C’est donc licol poulain en main ainsi que cure-pied et friandises dans mes poches que je m’avançais vers le box de mon petit. A mon arrivée, je posais le licol dans l’allée avant de m’accouder a sa porte, accompagnant mon geste d’un léger claquement de langue contre mon palais, il leva vivement la tête de sa litière de paille, quelques brins encore dans la bouche pour poser son regard curieux sur moi.
Je souris et il s’approcha de la porte sous mon regard attendri. J’effleurais son chanfrein du bout des doigts et c’est avec empressement qu’il accentua la pression écrasant le haut de sa liste fine au creux de ma paume offerte. Je le caressais comme ça quelques minutes avant de me glisser a l’intérieur du box. Le petit me regarda faire et j’eus à peine le temps de m’accroupir qu’il s’approchait de nouveau de moi.
Je lui offris une friandise avant de passer mes mains sur tout son corps. Sha’ se laissa faire appréciant la caresse. Je terminais, ma main droite posée, enroulée autour du boulet de son antérieur gauche. Tirant légèrement sur le fanon et le poussant avec mon épaule je le forçais a reporter son poids et il replia la jambe. Immobile et surement surpris il me regarda quelques secondes, ses yeux sombres ne me quittant pas. De ma main libre je caressais son épaule et le félicitais à voix basse.
Après une poignée de seconde je relâchais son membre et lui offrais une friandise. Je recommençais avec les autres pieds, les prenant et demandant un simple soutien. Je le félicitais à chaque fois. Je recommençais l’opération et cette fois utilisais délicatement la pointe de mon cure-pied pour nettoyer le dessous de ses minuscules sabots. Les quatre pieds faits je donnais une autre friandise a mon poulain avant de me relever, étirant mes jambes ankylosées par ce long maintien de la position accroupie.
Je récupérais le licol posé au sol et m’approchais du poulain pour le lui montrer. Il le jugea d’un regard prudent avant de s’approcher pour le renifler. Quand il s’en désintéressa je libérais une de mes mains et lui caressais doucement la tête. Il s’offrit avec bonne volonté au contact et avec des gestes doux je lui passais le petit harnachement. J’eux a peine le temps de finir de boucler la têtière qu’il bondissait, comme fou. Connaissant ses vives réactions je reculais, près de la porte et le regardais s’agiter, lui parlant à mi-voix pour tenter de l’apaiser.
Il fallu près d’un quart d'heure de cajolerie orale pour que le petit bai retrouve un semblant de calme. Un peu rassurée je le quittais le temps d’aller chercher un bouchon et une brosse douce. A mon retour il s’était remis a joué avec sa paille, comme si de rien n’étais et avais même si j’en jugeais par les brins dorés dans sa crinière essayé de se rouler.
Je m’accroupis de nouveau près de lui et lui montrais les brosse avant de commencer mon ébauche de pansage, brossant puis lustrant sa robe chatoyante, je retirais à la main la paille de ses crins d’ébène puis lui offrait avec délicatesse un petit massage qu’il sembla apprécier puisque je le sentit se détendre sous mes mains, allongeant l’encolure vers le sol en soupirant de bien être.
Je lui glissais une dernière caresse le long de l’encolure et du dos avant de me relever, de ramasser mes brosse et de sortir du box. J’avais décidé de lui laisser le licol pour aujourd’hui, qu’il s’y habitue. Il ne resterais pour ma prochaine visite qu’à lui apprendre a marcher en main et a vérifier qu’il ai compris le principe des soins des pieds, ce dont je ne doutais pas. Je rangeais le petit matériel dans ma sellerie avant de partir avec un dernier regard sur l’ensemble de mes loulous.
J’avais hier rendu visite a mon poulain welsh, avançant dans son débourrage, j’étais aujourd’hui de retour pour terminer son éducation en vu du vrai débourrage une fois qu’il serait adulte. Shabada, ma bouille d’ange avait acquis très vite les bases, il ne lui restait à apprendre que le respect en main.
J’arrivais dans le domaine en tenue pratique, il ne faisait pas très chaud, le printemps était timide, j’avais enfilé un polaire par-dessus mes habituels tee-shirt estivaux. Un jodhpur et mes bottes fourrées par égard pour mes doigts de pied complétaient le tableau. J’avais ramené mes cheveux sur ma nuque, en une tresse simple mais efficace malgré les quelques mèches courtes et ma frange biseautée qui encadraient mon visage.
Je passais par ma sellerie, jetant négligemment dans un seau quelques brosses, un cure-pied et une longe. J’avais hier laissé le licol sur la tête de Shabada, pour qu’il s’y habitue. Le seau à la main je me rendais auprès de mon bébé. A là porte je l’appelais d’un claquement de langue et il vint de son pas dansant a ma rencontre. Je lui caressais un peu la tête avant d’entrer. Il se jeta sur le seau y cherchant une quelconque nourriture, en vain évidement.
Apparemment déçu il se tourna vers moi et je décidais de commencer par ce qu’il avait déjà vu, soit le pansage, j’attrapais une étrille en caoutchouc et commençais à la passer sur son petit corps, décollant crasse et poussière sans qu’il fasse mine d’être gêné. J’enchainais sur le bouchon puis la brosse douce, jusqu’à voir sa robe caramel brillante au soleil. Je la passais encore un peu juste pour le plaisir. Je curais ensuite avec délicatesse et prudence ses petits sabots les lui demandant gentiment plusieurs fois pour être sûre qu’il avait acquis ce principe.
C’était le cas. Je m’approchais alors de sa tête et me servais du licol pour lui demander des flexions d’encolure, d’un coté comme de l’autre. Il résista au premier essai puis se laissa faire. J’attrapais alors la longe et fixais le mousqueton à l’anneau prévu. Je m’en servais pour le guider dans le box, il se laissa faire, tant que la pression n’était pas trop forte.
Contente de lui je me décidais à le sortir du box. Tenant fermement la longe d’une main j’ouvrai la porte de l’autre. Sha’ tenta de sortir immédiatement, me poussant un peu. J’assenais un coup sec sur la longe le stoppant net, surpris et le grondais, il n’avait pas le droit. Je le fis reculer avant de sortir et ensuite l’encourager à me suivre.
Tenu de plus en plus lâchement je fit plusieurs allés-retours dans l’allée de mon écurie. Shabada était parfaitement calme à mes cotés. J’osais sortir du bâtiment, l’emmenant brouter un peu d’herbe au bord des chemins de mon domaine.
J’eux bien du mal a le convaincre de cesser son festin pour rentrer au box mais il fini par y consentir et une fois dans son chez lui je lui retirais le licol, curais une dernière fois ces petits pieds avant de le laisser.
Amy était toute excitée. Son rêve était devenu encore plus magique qu’elle ne l’aurait pensé. Elle était non seulement propriétaire de non pas un mais de deux chevaux et en plus de ça, grâce à sa rencontre avec Matthew, ils avaient pu tous les deux ouvrir leur propre domaine. C’était un endroit merveilleux, très calme, rempli de verdure, et il y avait toutes les installations nécessaires à ce que chevaux et cavaliers soient dans les meilleures conditions possibles. Elle avait également déménagé et était venue habiter dans la demeure du domaine avec Matthew. Elle n’avait désormais qu’un chemin à emprunter pour arriver aux écuries qui accueillaient maintenant de nombreux chevaux, les siens, évidement, ceux de Matthew ainsi que ceux d’autres cavalières avec qui formaient un bon petit groupe. Ils s’entendaient tous très bien et c’était agréable de travailler avec des personnes aussi passionnées qu’elle.
Amy était souvent la première à aller voir les chevaux le matin. Elle ouvrit la grande porte des écuries et se dirigea dans la sellerie. Elle prépara les rations des chevaux dans des mesures qui étaient composé de floconnées avec des fibres. Elle ajouta pour chaque cheval des compliments s’ils en avaient besoin et y mêla quelques millilitres d’huile Isio4 qui apportait beaucoup de vitamines et qui permettait aux aliment de mieux « glisser » dans le système digestif des chevaux et améliorait donc leur digestion. Elle alla alors distribuer les rations de chacun dans les boxes, mais aussi dans des seaux pour les chevaux qui étaient en pâture. Elle distribua ensuite le foin pour chacun des chevaux en respectant les doses recommandées par le nutritionniste. Pendant qu’ils savouraient leur déjeuner, Amy s’employa à balayer les écuries, retirer les crottins des boxes et des paddocks, vérifier tous les abreuvoirs.
Cela lui prit un bon moment et certains chevaux avaient déjà fini de manger. C’était le cas de Sha, étalon Welsh de 3 ans. Il avait passé la nuit en pâture avec Saturne, les deux jeunes du domaine. Le bai était récemment arrivé et attendait d’être débourré. Amy alla alors chercher un licol dans la sellerie et entra dans la pâture. Les deux chevaux s’approchèrent d’elle et chacun reçu des caresses ainsi que quelques friandises, pour leur plus grand plaisir. Elle mit alors le licol autour de la tête de Sha et le fit sortir en veillant bien à ce que Saturne reste à l’intérieur du parc. La jeune femme amena l’entier dans les écuries alors que celui-ci commençait à hennir pour appeler son ami. « Là, Sha, c’est tout, tu le retrouveras tout à l’heure. » Elle le fit entrer et l’attacha à l’air de pansage.
Amy prit les brosses qui étaient dans un petit panier sur sa droite et entama avec l’étrille américaine. Poney dehors égale poney boueux. Elle la passa doucement sur son corps afin de retirer les plaques de boue collées à ses poils. Elle prit ensuite un bouchon pour continuer son nettoyage et insista sur les membres du poney qui elles aussi étaient pleins de terre. Heureusement, tout était sec et ce fut plutôt facile de tout retirer. Amy prit alors une plus petite brosse pour la tête de Sha et continua ensuite avec la brosse douce afin de retirer toute la poussière. Amy démêla ensuite les crins du poney et cura ses pieds, avec du mal tant ils étaient sales. « C’est super pour toi d’être dehors toute la journée, mais pas pour le pansage ! Pas vrai petit bébé ? » Elle le caressa et lui fit un bisou sur le chanfrein. Une fois le poney impeccable, Amy lui mit des guêtres et des cloches aux antérieurs et lui mit des bandes de travail aux postérieurs. Elle détacha alors le poney et l’amena dans le rond de longe.
Amy attacha le poney à l’air de pansage et le brossa. Elle prit l’étrille afin de retirer les marques de transpirations, puis un bouchon pour les jambes et enfin la brosse douce pour retirer la poussière. Elle redonna un coup sur ses crins puis y mit un baume nourrissant afin préserver leur qualité. Elle appliqua de l’onguent sur ses sabots qu’elle venait de curer. Elle caressa longuement son poney qui lui fit volontiers un câlin. Elle lui gratta le garrot et il parut apprécier car il fit de petites grimaces avec ses lèvres. Amy lui donna quelques friandises et elle le ramena dans son pré avec son ami Saturne. Une fois lâché, Sha partit en trottant afin de jouer avec celui-ci, puis après quelques instants, ils se mirent tous les deux à brouter sagement. Amy sourit et retourna dans l’écurie afin de balayer l’air de pansage.
Il faisait enfin beau et chaud, le printemps c’était bien installé. Les arbres arboraient de nouveau de belles feuilles vertes et de nombreuses fleurs étaient sorties de terre. C’était la saison que je préférais, sauf pour un détail, et non des moindre : la mue des chevaux. Même les chevaux qui avaient été tondus cet hiver perdaient une quantité impressionnante de poils. Il y en avait partout, sur les brosses, par terre, sur les tapis, et aussi sur nos vêtements. En plus, c’était une période qui demandait pas mal d’énergie aux chevaux, ce qui était d’autant plus compliqué pour des chevaux plus âgés comme ma belle Arabesque. Donc pour les aider, et aussi pour me faciliter la tâche, j’avais décidé je tondre une fois de plus mes poneys.
J’allais d’ailleurs commencer par mon Welsh chéri, avec qui j’allais m’entrainer aujourd’hui. J’allais donc le chercher au paddock, sans oublier une bonne caresse à Oblivion, son copain de pré avec qui il passait la plupart de ses journées. En effet, ils avaient le même âge et pratiquement toujours vécu ensemble. J’amenai le poney sur une aire de pansage où je commençai à le brosser avec mon étrille, puis mon bouchon et ma brosse douce. Je curai ensuite ses pieds et démêlai ses crins pour qu’il soit tout beau. Je sortis la tondeuse, lui fit sentir, puis je la mis en route et m’approchai de son corps. Maintenant habitué, Sha ne bougea pas.
D’une incroyable patience, le poney grignotait tranquillement le foin que je lui avais accroché, sans montrer aucun signe de stress. Je m’appliquai donc à faire de grands gestes souples afin de ne pas laisser de grosses traces sur sa robe. J’avais commencé sur son dos, et voilà que j’arrivais sur son encolure, en étant passé par son épaule. Je fis très délicatement sa tête, puis je m’attaquai à sa croupe et enfin à ses membres, que je fis plutôt grossièrement dans un premier temps. Evidemment, je fis exactement la même chose de l’autre côté. J’échangeai ensuite avec la tondeuse de finition pour faire avec précision la base de sa crinière pour ne pas couper les crins avec, ainsi que les parties plus difficile de sa tête, ainsi que ses jambes, où je fus la plus délicate possible au niveau de ses tendons.
Avec mon bouchon je brossais régulièrement sa robe pour retirer tous les poils coupés, me laissant ainsi voir les différentes retouches à faire pour que la tonte soit égale et sans marques quelconques. Après presque une heure et demi de travail, je fus très satisfaite de mon travail. Je récompensai le poney avec quelques friandises et une bonne dose de caresses largement méritées. Je passai un grand coup de balai pour retirer l’impressionnante quantité de poils tombés au sol, puis je déposai un tapis bleu marine sur le dos de Sha, un amortisseur et ma selle de dressage que je sanglai doucement. Je lui mis des bandes de travail ainsi que des cloches, puis je lui mis son filet. Je pris mes gants et ma bombe et nous partirent en direction de la carrière.
De retour, je retirai le filet du poney et lui donnai quelques friandises. Je le dessellai, puis je retirai ses cloches et ses bandes de travail. Je passai alors un bon coup de bouchon sur tout son corps, démêlai à nouveau ses beaux crins noirs, puis douchai ses membres de bas en haut pour réactiver la circulation sanguine tout en massant ses tendons. Serviette en main, j’épongeai alors toute l’eau de ses membres, et nettoyai ses balzanes par la même occasion. Je le ramenai finalement au paddock où il se roula confortablement dans l’herbe avant de s’ébrouer et d’aller brouter tranquillement en compagnie d’Oblivion.
@PsychoShinigami
Objectif : tondre un cheval (10pts en cross pour Arabesque)
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