Box de Oups my Darling

17/03/19

Oupsi venait d'être seuvré, et il était donc temps de passer à son pré-débourrage. Pour ce faire j'avais récupéré tout ce dont j'aurais besoin : un licol, une longe pour poulain et la boîte de pansage.  Je prenais également des friandises qui serviraient de récompenses et peut-être d'encouragement, puis je rejoignais d'un pas franc le box où la petite bai vivait depuis peu. Sa voisine était une autre de mes pouliches née le même jour qu'elle, Fantasize, mais je m'occuperais d'elle plus tard. Je me rendais donc au box de la bai et l'appelais par son nom, afin de la prévenir de mon arrivée et donc ne pas la surprendre. J'entrais alors, Oupsi se leva d'un bond pour venir s'approcher de moi. Je déposais mes affaires sur la porte et commençais par la caresser sur le chanfrein. La pouliche plissait à demi les yeux de plaisir, je souriaiset décidais donc de poursuivre directement sur la manipulation!

Je commençais par la caresser au niveau de la tête, puis je laissais filer mes doigts le long de ses oreilles, de son encolure, de sa crinière et de son poitrail. Très câline et proche de l'homme Oups my darling ne se montrait pas du tout soucieuse, au contraire elle avait l'air d'adorer les caresses! Je poursuivais donc avec ses épaules, le garrot, l'intérieur des antérieurs et les antérieurs. Je terminais avec le ventre, les flancs, le dos, le creux des reins, la croupe, l'intérieur des cuisses et les postérieurs. La pouliche baie plissait les yeux et s'appuyait sur ma main, signe qu'elle voulait des grattouilles. J'exécutais ses ordres et finalement lui donnais une friandise. Au final je me plaçais à son côté et laissais glisser ma main le long de son antérieur pour lui demander de me le donner. Elle ne comprit pas tout de suite, je répétais donc ma demande en faisant en sorte de ne pas la brusquer ou la déstabiliser, et après un certain nombres de tentatives elle me laissa prendre son pied. Je l'accompagnais au sol et lui tendais aussitôt une friandise qu'elle savoura. Je répétais à deux reprises ma demande, pour m'assurer qu'elle avait bien comprit, puis recommençais les gestes avec postérieurs et le second antérieur, finissant par lui donner une autre friandise. Très satisfait d'elle je décidais donc de poursuivre avec le pansage.

J'attrapais la boite de pansage et l'ouvrais devant la petite bai qui tendit son nez pour venir découvrir ce qui se cachait à l'intérieur. Je la caressais en la laissant faire, puis attrapais l'étrille en caoutchouc avant de la lui montrer. Je la laissais voir et sentir la brosse avant de commencer à l'étriller tranquillement, faisant des cercles sur son petit corps tout fin. Elle semblait apprécier  bien qu'observant avec la plus grande attention le moindre de mes mouvements. Je souriais et lui grattouillais le garrot avant d'en finir avec cette brosse. Je reposais alors la brosse et en tirais la brosse dure, que à nouveau je montrais à Oupsi avant de la passer sur son corps. Je m'appliquais à la dépoussiérer au maximum, cela serait plus confortable pour elle. De son côté Ouspi semblait bien apprécier ce moment, après tout elle était proche de l'homme et câline comme pas deux, alors cela ne m'étonnais pas qu'elle apprécie le pansage. Je finissais son petit corps avec la brosse douce, là je m'appliquais à bien nettoyer son ventre et ses membres, la baie toujours aussi sage qu'avant. Je terminais le pansage par les sabots, j'attrapais mon cure-pied et laissais glisser ma main le long de l'antérieur de la miss que je lui demandais de me donner. Elle bougea un petit peu pour trouver l'équilibre avant de me le céder, je curais alors en vitesse en faisant attention à ne pas toucher les parties fragiles et sensibles du pied, puis le reposais. Je flattais son épaule et recommençais avec les trois autres membres avant de lui donner une friandise.

Elle la mâchouilla tranquillement tandis que je rangeais la boîte sur le côté et attrapais le licol pour poulain. Je le présentais à Oups qui tendit son petit nez pour venir le voir et le sentir de plus près. Je la laissais faire, et rapidement elle tenta de mettre son petit nez dedans, surement pour imiter sa maman. Je souriais et la laissais faire avant de lui enfiler délicatement le licol que j'attachais à la bonne taille pour éviter qu'il ne la blesse ou ne glisse. Je lui tendais alors une friandise qu'elle dévora, en oubliant presque le licol. Amusé je la caressais puis attachais la longe pour l'inviter à me suivre d'abord dans le box. Au début Oups my darling ne semblait pas comprendre ce que j'attendais d'elle, gardant les membres fermement plantés dans le sol. Je l'encourageais avec une friandise et la pouliche suivit sans plus attendre. Je lui tendais une friandise et commençais par lui demander de me suivre et de s'arrêter, la reprenant quand elle me dépassait ou me laissais distancer. Je félicitais beaucoup et au final elle sembla assimiler le principe. Je lui faisais faire ensuite quelques changements de directions dans le box avant de l'emmener promener dans le haras. La bai semblait ravie de sortir un petit peu, marchant à mon côté en se montrant attentive à tout ce qui l'entourait, encore plus lorsque nous croisions des chevaux! C'est après une quinzaine de minutes que je décidais de la ramener au box, je lui retirais alors le licol et lui tendais une nouvelle friandise, très content d'elle, avant de m'assurer qu'elle ne manquait de rien et la laisser se reposer, la prochaine fois que je l'embêterais ce sera pour son débourrage!

03/04/19

Aujourd'hui j'avais décidé de partir un petit peu en extérieur avec Oups my darling, pas une longue balade, pourtant une sortie de 15/20 minutes environs. Même si elle était habituée à sortir à pied ça serait sa première balade montée, surtout que depuis son débourrage nous n'avions fais que du plat et du travail en longe, donc j'espérais que le fait d'aller se balader lui ferait plaisir. J'aurais préféré que nous sortions avec un autre cheval expérimenté mais : Isaac passait la journée avec Mettaton, Aspen s'occupait de Greenwashing qui venait de rentrer au domaine et Kristen était en arrêt, bref : j'étais tout seul. Peu importais, je récupérais l'équipement de la jument grise avant de la rejoindre devant la porte de son box. Fidèle à elle même elle se montra tout de suite curieuse et amicale en mon égard, je lui offrais donc une caresse sur le bout du nez et entrais pour commencer à tranquillement la préparer en sifflotant, plutôt détendu et impatient de m'occuper de mes protégés aujourd'hui!

Je commençais donc à la panser, m'appliquant pour la rendre aussi propre que possible. Même si elle aimait que je la panse elle semblait ne penser qu'à une chose : sortir et je la comprenais bien! Je finissais donc aussi vite que possible avec l'étrille en caoutchouc que je reposais alors dans la boîte avant d'en tirer la brosse dure que je commençais à passer sur les parties charnues. Oups semblait plutôt contente, le contact lui était agréable après tout! Je souriais et faisais mon possible pour la dépoussiérer au mieux et retirer les poils morts, le printemps arrivait et même si il faisait encore froid, le temps ayant encore perdu de sa beauté pour un ciel gris, ses poils de nounours tombaient. Je finissais son corps avec la brosse douce et me promettais de la tondre bientôt! Je curais ensuite ses pieds et démêlais ses crins clairs avant de commencer à la seller.

J'attrapais mon tapis blanc bordé de noir et le déposais sur le dos de la jument grise avant de l'ajuster et de poser ma selle de dressage en cuir noir. Je sanglais de quelques trous après avoir dégarotté, et flattais son épaule. Malgré son jeune âge elle avait vraiment un corps compact que je ne retrouvais pas souvent chez sa fratrie, cela lui donnait un air atypique aux côtés de ses demi-frères et soeurs qui, au contraire, avaient tendance à être des chevaux fin. Quoi qu'il en soit je poursuivais mon affaire en la bridant avec son filet en cuir noir à mors en caoutchouc double brisure, un mors aussi doux que possible en somme! Je ne voyais pas l'intérêt d’utiliser des mors compliqués sur des chevaux jeunes, sans parler des mors de bride que je n'appréciais pas du tout. Quoi qu'il en soit j'essayais simplement d'avoir un mors aussi doux que possible adapté à chacun de mes chevaux, et généralement en caoutchouc pour mes petits jeunes à la bouche sensible! J'attachais tranquillement sous gorge et muserolle puis mettais ma bombe, mes gants et passais les rênes par dessus les oreilles de Oupsi, direction les chemins de balade!


De retour à l'écurie je rentrais tranquillement la miss dans son box et la désellais tranquillement, elle bailla et s'ébroua, visiblement contente de ne plus avoir de selle ni de mors dans la bouche. Je lui tendais alors une friandise qu'elle sembla savourer avant de lui passer un petit coup de brosse douce et de cure-pied. Suite à ça je a licolais et l'emmenais au paddock où elle retrouva ses copines.

29/04/19

Après Sans Arrêt il me fallait sortir Oups my darling, pour la grise c'était obstacle et vu son âge j'avais donc prévu une séance simple, d'autant que pour le moment nous ne sautions pas beaucoup pour permettre à son corps de grandir normalement. Quoi qu'il en soit je commençais par récupérer les affaires de la grise dans la sellerie avant de la rejoindre au box où elle finissait sa ration du matin. Je lui laisser le temps de terminer tranquillement avant d'entrer pour commencer à la préparer tranquillement. Je ramenais dès lors ma boîte de pansage vers moi et l'ouvrais pour en tirer l'étrille en caoutchouc avec laquelle j'étrillais son corps pour en retirer un maximum de poussière. Je m'appliquais à la rendre aussi propre que possible avant de poursuivre avec le bouchon puis la brosse douce. Madame était plutôt calme et semblait un peu endormie par le massage que lui procurait la brosse. Je continuais alors mon pansage avec le cure-pied puis je démêlais ses crins avant de commencer à la préparer.

J'attrapais son tapis blanc à liseré noir et le déposais sur le dos de la jument avant d'y ajouter ma selele d'obstacle en cuir noir. Je sanglais le tout et posais les protèges tendons et boulets noirs. Habituée aux protections Oups se laissait faire sans protester, je finissais par la brider avec son filet simple et attachais sous-gorge et muserolle pour ensuite admirer mon oeuvre. Je me préparais alors à mon tour, mettant ma bombe, mes gants et mes chaps, suite à quoi je l'emmenais directement vers la carrière où nous allions bosser toutes les deux!


Rentré à l'écurie je commençais par déseller la jument avant de lui tendre une friandise qu'elle sembla savourer avec plaisir. Je lui offrais ensuite un petit passage de brosse douce qu'elle eu l'air d'apprécier, puis je curais ses sabots pour retirer le sable et le possible crottin de la carrière. Je la licolais ensuite et l'emmenais au paddock où je la lâchais avec ses copines.