Box de Gone Wild

J'arrive au domaine des Vauses, un grand sourire aux lèvres. Je vais de nouveau m'occuper de ma demi-pension, Gone Wild. Lui et moi, on ne se connait pas encore vraiment et il est encore assez craintif envers moi, c'est ce pour quoi j'ai opté pour une balade en main cette fois. Il fait chaud, le soleil tape fort, alors j'ai pensé qu'on pourrait aller en forêt pour profiter de la chaleur sans prendre de coups de soleil!

Je m'arrête devant le box du gris, et l'appelle d'un claquement de langue. Gone lève la tête et me regarde, inquiet. Je lui parle d'une voix rassurante, pour l'apaiser. Cela n'a pas vraiment l'air de fonctionner... Je lui tends alors ma main à plat, l'encourageant à venir me voir. Il hésite et au bout de quelques secondes il avance. Il pose son bout du nez sur ma main, avant de le retirer aussitôt. Je le félicite de ma voix. Je prends alors une friandise et la présente à ma demi-pension. Le gris regarde ma main quelques secondes, intrigué, avant de refaire un pas en avant et manger la friandise. J'en profite pour lui caresser l'encolure. Le gris frissonne au contacte de ma main, mais se laisse faire, tendu. Je le félicite à nouveau avec ma voix. Puis je prends son licol et entre dans son box. Je lui enfile facilement le licol et le sors du box. Je l'attache à l'extérieur de l'écurie, de façon à pouvoir profiter du soleil pendant le pansage. Je me saisis de mes brosses et effectue un pansage complet à Gone Wild. Une fois que toute la saleté est partie, je détache le croisé et pars vers le croisement des chemins de balade, à ses côtés.

Balade en main

Je reviens vers le domaine des Vauses, satisfaite. Cette balade s'est bien passée, c'était sympa de passer du temps avec le cheval sans penser au travail. Le croisé est d'ailleurs assez craintif mais il reste quand même gérable. Je l'attache de nouveau à l'aire de pansage et m'occupe d'enlever les rares saletés qui se sont coincé dans son pelage. Je démêle aussi sa queue et sa crinière, puis je m'occupe des pieds. J'applique également une épaisse couche de graisse noire sur ses sabots. Une fois mon pansage fini je range mes brosses. Je donne ensuite un bout de pain à ma demi-pension, puis la rentre au box. Je lui donne une dernière caresse sur l'encolure avant de partir.

J'arrive au domaine des Vauses, un grand sourire aux lèvres. Hier Rouxine m'a proposé de faire sauter Gone Wild, chose que je ne peux pas faire d'habitude pour des raisons de sécurité. La propriétaire de ma demi-pension va m'encadrer pendant cette séance, pour s'assurer que tout se passe bien. J'arrive devant le box du gris et claque de la langue.

Gone Wild lève la tête, et semble me reconnaitre. Il pointe les oreilles vers moi et, me voyant lui tendre la main, s'approche avec méfiance. Il me renifle la main, avant de retirer son museau pour m'observer. Je passe ma main sur son encolure, lui parlant calmement. Au bout de quelques secondes Gone Wild se dégage de mon emprise, pour mâchonner son foin. Je le regarde faire quelques minutes, plongée dans mes pensées. Je finis par prendre son licol, sortant de ma transe, pour me faufiler dans le box. J'enfile sans difficultés le licol au gris, et le sors du box. Je l'attache à l'aire de pansage. Je prends ensuite mes brosses et entame un pansage complet. Une fois ma demi-pension totalement propre je pars à la sellerie pour chercher ses affaires. Je selle puis bride ma monture avec soin. Je suis en avance, il me reste encore une dizaine de minutes. J'enfile mes boots et mes chaps puis mets ma bombe. Je décide ensuite de faire marcher mon cheval dans l'allée de l'écurie quelques minutes. Après avoir fait 2 allers-retours, je sors de l'écurie et resserre la sangle du cheval. Je me sers ensuite du montoir pour monter sur le dos du gris. Je règle mes étriers, puis serre mes mollets pour partir vers la carrière.

Séance de saut à la carrière

Je reviens de cette séance, sur le dos de Gone. Il y a encore beaucoup de travail à faire, car le croisé est encore jeune, mais il semble avoir un bon coup de saut. De plus, quand il a compris ce qu'on attend de lui il fait de son mieux pour nous satisfaire! Je mets pied à terre et rattache Gone à l'aire de pansage. Je le desselle et range toutes ses affaires à la sellerie. Je lui fais ensuite un pansage complet et le remets au box, lui laissant un bout de pain. Je lui donne une dernière caresse avant de partir.

Je n'en reviens toujours pas. Hier, après le cours de saut, Rouxine m'a proposé d'acheter Gone Wild, ma demi-pension (et à un prix très raisonnable, en plus)! Je savais qu'elle cherchait à le vendre, mais de là à me le proposer... J'aime beaucoup le petit gris, mais d'un autre côté, acheter un cheval est un investissement considérable. C'est pourquoi j'ai décidé de me donner un peu de temps pour réfléchir. J'arrive au domaine des Vauses, cette fois j'ai opté pour une séance de longe.

Je pose mes affaires à côté du box de Gone, et prends son licol. J'appelle le croisé d'un claquement de langue, et il lève la tête pour me regarder fixement, un peu méfiant. Il finit cependant par s'approcher de moi et me renifler. Je souris, et le flatte pour le saluer. Il y a du progrès! Je me faufile dans le box et enfile habilement le licol au cheval, qui se laisse faire. Je sors ensuite Gone du box et l'attache à l'aire de pansage. Je lui fais un pansage complet, et j'y passe d'ailleurs beaucoup de temps car le coquin s'est roulé dans la boue quand il a été sorti au paddock ce matin. Je note que ses sabots ont l'air un peu secs, et qu'il faudra que je les graisse après la séance. Je flatte le cheval qui s'est tenu bien sage, et lui donne une petite friandise, en guise de récompense. Le gris pointe ses oreilles vers moi, en redemandant. Je souris et lui flatte l'encolure. Le gris est devenu moins méfiant envers moi, cela me fait plaisir. Ma main vient se placer au niveau des premières vertèbres cervicales, pour commencer un massage. Gone Wild ronfle des naseaux, et au fur et à mesure il se détend de plus en plus. Son encolure s'abaisse et ses yeux se ferment. Quand j'arrête mon massage, Gone ouvre les yeux et lève la tête, me regardant fixement. Je le flatte de nouveau et pars à la sellerie pour y chercher un caveçon et une longe de travail. J'équipe le croisé du matériel et pars vers le rond de longe, puisque le domaine des Vauses a l'avantage d'en avoir un à proximité.

Séance au rond de longe

Je rentre du rond de longe, pleinement satisfaite de ma séance. Il n'en a pas l'air comme ça, mais il a très bien été dressé, le petit! Je l'arrête à l'aire de pansage, puis enlève la longe de travail et le caveçon pour les remplacer par le licol et la longe classique. J'attache de nouveau le cheval, puis effectue un rapide pansage. Dès que j'ai fini je n'oublie pas de graisser les pieds. Je n'avais pas osé le faire avant, de peur que le sable n'enlève tout. Une fois que j'ai fini je flatte le cheval et lui donne un bout de pain. Je le rentre dans son box, et sors de celui-ci. Je finis par ranger le licol, avant de partir.

Ça y est, je l'ai fait. J'ai enfin signé les papiers. Gone Wild est enfin à moi, et rien qu'à moi. Une joie immense s'empare de moi ce matin, alors que j'arrive au haras de pado, l'endroit où mon cheval est en pension. Depuis quelques jours je nage en plein rêve. Une de mes amies m'a généreusement aidé à déplacer Gone d'écurie hier grâce à son van, donc aujourd'hui je vais pouvoir rendre visite au gris.

Je me dirige vers les écuries de propriétaires, qui sont par ailleurs sublimes. J'avance joyeusement vers le box de mon cheval, mon sac de brosses à la main. Je ne vais pas travailler cette fois, j'ai juste prévu une petite sortie au paddock. Je sors Gone de son box et l'attache en face. Je lui fais un pansage complet, pour qu'il soit bien nickel. Je vais lui graisser les sabots après la sortie au paddock, par contre. Une fois que j'ai fini mon pansage j'entame une séance de massage et gratouilles, en m'attardant sur les première cervicales. Il s'agit, en effet, de la zone où le croisé semble apprécier le plus les gratouilles. Gone semble plus à l'aise avec moi qu'au début, presque toute la crainte s'est effacée de son beau regard sombre, même si je sais que je n'ai pas encore acquis toute sa confiance. Au long du massage, le gris a fermé les yeux et baissé la tête, signe qu'il est parfaitement décontracté. Sa lèvre inférieure, elle aussi, est décontractée et ses oreilles sont immobiles. Je finis mon massage par une caresse le long de l'encolure, puis je pars vers les paddocks réservés aux propriétaires. Je lâche mon cheval dans celui le plus vert, et le regarde partir au petit trot dedans. J'esquisse un petit sourire amusé, avant de fermer la barrière. Je reviendrais le chercher ce soir.

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Je me dirige de nouveau vers les paddocks des propriétaires, pour y chercher mon cheval. Il fait encore un peu frais la nuit, donc je préfère ne pas le laisser au paddock pour la nuit car il est tondu. J'entre dans le paddock et l'appelle par son nom. Le gris lève la tête et me regarde, remuant les oreilles. Je continue de l'appeler, avançant vers lui. Gone fait quelques pas hésitants vers moi, une fois qu'il s'est bien assuré que c'est lui que je venais chercher. En même temps, qui d'autre aurais-je bien pu chercher? Je lui enfile son licol et rentre aux écuries. Le gris s'est bien roulé, et il est tout crasseux à présent! C'est donc après un bon pansage complet que je lui enduis les sabots d'une épaisse couche de graisse noire. Satisfaite du résultat, je fais rentrer le croisé dans son box et lui donne un bout de pain. Je sors du box et le flatte une dernière fois, avant de partir pour le parking.

Après avoir acheté Gone Wild, j'ai de moins en moins eu le temps de venir m'en occuper, puis j'ai dû passer un an à l'étranger pour mes études. J'étais chagrinée de devoir m'en séparer, mais je ne pouvais pas le laisser s'ennuyer dans les écuries de propriétaires non plus. C'est pourquoi je l'ai revendu au club. Cependant, avec mon retour, j'aurai de nouveau l'occasion de m'en occuper. Je ne sais pas encore si je vais le racheter, cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vu! Pour l'instant les directrices m'ont proposée de le sortir régulièrement en échange de petits services.

Je m'avance donc dans les écuries du club. Le haras a un peu changé, depuis un an, mais les endroits me restent très familiers. Cela me met à l'aise. Je suis au mieux les instructions que m'avait dit la monitrice en arrivant: écurie intérieure, un box vers le fond à droite. J'arrive enfin devant le box de Wild. Je pose mes affaires et l'appelle. Il lève les yeux vers moi et m'examine nerveusement. Je lui parle et essaye de le caresser, mais le cheval se recule vers le fond de son box. Il semble ne plus me reconnaître du tout. Ce n'est pas grave, je suis prête à recommencer du début. Pour y aller en douceur, je reste devant son box, à lui parler, pendant quelques minutes afin qu'il se décontracte. Dès qu'il semble un peu plus relaxé je m'empare du licol bleu rayé que j'ai acheté pour l'occasion, l'ancien étant un peu vieux et usé. J'ouvre lentement et silencieusement la porte du box. Le gris lève brusquement la tête et remue craintivement ses oreilles. Je lui tends ma main, en continuant de lui parler calmement. Il attend plusieurs secondes, puis étend l'encolure pour fourrer rapidement son museau dans ma main. Je le félicite avec ma voix et m'approche de lui. Wild lève sa tête en me voyant avancer d'un pas vers lui. Je fais un deuxième pas vers lui afin de me trouver à côté de lui. Le croisé pointe ses oreilles vers moi et garde sa tête haute. Je lui donne une petite caresse pour le rassurer, mais cela a l'effet inverse puisqu'il frémit. J'attends donc sans rien faire à côté de lui, jusqu'à ce qu'il se calme. Il finit par baisser un peu sa tête et se détendre légèrement. Je lui présente alors le licol, pour ensuite le lui mettre.

Je sors du box, suivie par le pas énergique de Wild. Le croisé connaît l'endroit et me suit d'un pas sûr, sans pour autant baisser sa garde. Je l'attache et sors mes brosses pour commencer un bon pansage complet. Le gris vit au box mais cela ne l'empêche pas de bien se salir, surtout lors de ses sorties au paddock! Je saisis donc l'étrille américaine, que je passe sur les parties charnues pour en enlever les plaques de boue. Malheureusement Wild est sensible, et dès que la brosse entre en contact avec son flanc j'assiste à un magnifique écart de la part du gris. Celui-ci me regarde avec des yeux ronds. Je lui tends l'étrille américaine afin qu'il l'examine, et qu'il se rende compte qu'elle n'est pas dangereuse ni quoi que ce soit. Le croisé la regarde avec attention, puis détourne la tête. Je prends ça pour un signal, et pose d'abord la brosse sur son flanc. Wild frémit. Je m'arrête, puis après quelques secondes commence à le brosser délicatement. Dès que le gris s'est habitué à la sensation je le brosse normalement, faisant tomber efficacement toute la saleté incrustée dans le poil. Je passe ensuite au bouchon, m'attaquant à ses membres et à la poussière logée partout sur son corps. Le cheval est toujours un peu nerveux, mais semble se détendre au fur et à mesure. Je passe rapidement la brosse douce sur le corps, et c'est là que vient la part délicate: lui brosser la tête. Je me positionne à côté de sa tête et lui présente la brosse douce. Il la renifle un peu avant de s'en lasser. Doucement, je saisis intuitivement le montant du licol de la main gauche, et de la main droite je pose la brosse sur sa joue. Wild se tend et lève légèrement la tête. Je le rassure avec quelques murmures, et commence à lui brosser progressivement la tête. Je cible juste les endroits sales, et essaye d'être efficace tout en évitant de l'effrayer. Plusieurs fois, le gris lève la tête hors de ma portée car je me suis montrée trop brusque, et je laisse alors glisser le montant du licol entre mes doigts pour ne pas l'effrayer encore plus. Finalement j'arrive à enlever toutes les impuretés sur sa tête. Satisfaite, je prends la brosse à crins. Je démêle méticuleusement la crinière, puis la queue. Comme Wild est craintif, je prends des précautions pour éviter de me faire botter. Heureusement cela n'arrive pas, et bien que le résultat soit loin d'être parfait, j'ai réussi à enlever la paille et la boue fixés dans les crins. Je finis par le cure-pied. Le gris me donne docilement ses sabots et je n'ai aucun mal à les nettoyer de toute la terre qui y est coincée. J'en profite pour appliquer une couche de graisse noire, afin de finaliser mon pansage.

Pendant cette demi-heure passée avec le croisé, l'équidé est tout le temps resté tendu et aux aguets. La monitrice qui m'avait indiqué l'emplacement de son box m'avait prévenue: son caractère craintif s'est accentué avec le temps, et elle n'avait pas exagéré. Je n'ai pas envie de le brusquer, donc je m'en tiendrai là pour cette fois. L'équidé a besoin de s'habituer à moi. Mais la prochaine fois, je compte bien le longer afin de voir à quel point il a évolué. Je lui tends un sucre, qu'il saisit rapidement, puis je lui donne quelques caresses sur l'encolure. Je le détache ensuite et me dirige vers son box. Sur le chemin du retour nous croisons un autre entier, de robe baie, avec lequel Wild ne semble pas s'entendre. Le bai veut intimider Wild, et celui-ci répond nerveusement en piétinant et en menaçant l'autre équidé. Je reprends le cheval d'une voix ferme mais calme, tandis que la cavalière qui accompagnait le bai gronde son compagnon. Je m'excuse rapidement puis me dépêche de passer, pour éviter que le croisé ne s'énerve encore plus. Celui-ci a repris sa marche rapide, et son air angoissé. Je le fais entrer dans son box, puis lui enlève le licol. Wild ne me quitte pas des yeux, perturbé par ma présence. Je lui donne une dernière petite caresse sur l'encolure avant de sortir du box. Je range toutes mes affaires, et pars vers le parking.

Aujourd'hui j'ai décidé de longer Gone Wild, je veux voir comment il a évolué pendant ma longue absence. J'arrive au haras, et me dirige directement vers la sellerie pour y récupérer mes affaires. Je prends des brosses, le licol de Wild et une longe de travail. Je pose toutes ces affaires en face du box de l'entier, et l'appelle d'un léger claquement de langue.

Le gris m'avait entendu venir, il se retourne pour me faire face et m'examine craintivement, en bougeant ses oreilles dans tous les sens. Je lui parle d'une voix calme, et ouvre la porte du box. Wild recule d'un pas. Je m'arrête, et lui tends ma main. Le gris prend un air indécis, puis s'avance pour me sentir la main. Je le félicite d'une voix rassurante et me place à côté de lui pour lui enfiler le licol. Cela ne pose aucun souci, et je fais sortir Wild du box pour l'attacher en face de celui-ci. Je retire sa couverture, et la pose sur la porte du box, bien pliée. Le gris n'a pas été sorti au paddock depuis la dernière fois que je l'ai vu, il est donc très propre. Je passe rapidement le bouchon, puis la brosse douce. Pour nettoyer la tête, je fais d'abord sentir la brosse au cheval, puis l'approche doucement de sa joue. Wild garde une attitude haute, et cherche parfois à fuir le contact avec la brosse, mais je m'arme de patience et de douceur, et je parviens à lui brosser cette partie du corps. Je félicite le cheval avec un morceau de pain sec et une caresse sur l'encolure, puis démêle rapidement ses crins et cure ses sabots. Pas grand-chose à faire de ce côté-là non plus, vu que l'équidé est resté au box. Une fois que j'ai terminé je troque la longe classique de Wild pour ma longe de travail, et me dirige tranquillement vers le rond de longe, tâchant de rassurer le plus possible le gris.

Nous rentrons à l'écurie après cette courte séance. Le cheval a vraiment bien été pris en main, il s'est montré très sage pendant toute la séance. Je remplace la longe de travail par la longe classique, et enlève rapidement le sable incrusté sur les membres et le ventre de Wild. J'essaye de ne pas le chatouiller, mais c'est assez compliqué étant donné de la sensibilité du gris. Cela me vaut quelques écarts. Pour me faire pardonner je donne à Wild une carotte entière, coupée en morceaux au préalable pour qu'il ne prenne pas l'habitude de mordre. Le gris a l'air très intéressé par ce que je lui propose, et se rue dessus, avec des yeux pétillants et des oreilles pointées vers la friandise. Je lui caresse l'encolure en même temps, pour tenter de l'habituer à moi. Dès qu'il a fini de tout manger, je le détache et l'emmène jusqu'à son box. Je lui donne une dernière caresse avant de sortir et de fermer la porte derrière moi, à regret. J'aurais aimé rester plus longtemps, mais j'ai d'autres choses à faire.