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Mar 20 Déc - 22:57
E v e n e m e n t 9 ; . . .. ... . .. ... ... . .. .. . . .. . . . ... .....
écurie : graisser les sabots d'un cheval avec de la graisse turquoise. manège : monter un cheval aux trois allures.
Maintenant que je me suis occupée du cheval qui m'avais été attribué pour la journée, je retourne au tableau d'affichage et inscris mon à coté de celui d'un des chevaux qui n'ont pas encore été sorti aujourd'hui, c'est ainsi que je m'inscris afin de m'occuper de Corona. Toujours le kit de pansage en main, je rejoins le box de la jument et est très surprise de voir une grande et jolie jument pommelé. Je l'appelle par son nom et elle vient à moi. Nous faisons connaissance deux minutes et je me décide à la sortir du box. Je dégage l'espace de pansage et m'empare du licol pour aller lui enfiler. Je me sens vraiment toute petite à coté d'elle, je n'ai pas l'habitude de m'occuper de chevaux aussi grands! Après lui avoir bouclé le licol, je passe devant et demande à la jument de sortir mais elle n'y semble pas décidée. J'insiste mais toujours rien, la pommelé ne veut pas sortir. Me sentant observée, je me retourne et aperçois un palefrenier en train de sourire. Honteuse, je continue de demander à Corona de sortir, mais rien n'y fait.
- Il faut lui curer les pieds avant, elle ne sort jamais tant que cela n'est pas fait. Finit-il par dire avant de retourner à ses occupations.
Je souris timidement et le remercie, mais il aurait quand même pu me le dire plus tôt! Je lâche la longe et prends le cure-pied, revenant dans le box et décrottant un à un les sabots de la BWP. Une fois fait, mademoiselle ne fait plus de caprices et me suis docilement jusqu'à l'attache. Je soupire tout en faisant un nœud. Je commence par appliquer du démêlant sur ses crins, comme ça il aura le temps d'agir pendant que je m'occuperai de sa robe. La belle grise se laisse panser alors que je passe le bouchon et la brosse douce en revue, pas besoin de l'étrille pour cette fois-ci, sa robe est suffisamment propre. Je termine par démêler ses crins légèrement plus foncés que sa robe et me permets ensuite de la laisser cinq minutes seule, le temps que je revienne de la sellerie avant un chariot comportant le minimum pour une séance de dressage. De retour auprès de Corona, je constate qu'elle n'a pas bougé et la félicite alors en lui offrant un morceau de sucre qu'elle fait craquer sous ses dents. Sur ce j'enroule des bandes bleu marine autour des antérieurs de la jument et lui dépose un tapis de même couleur ainsi qu'un amortisseur et la selle sur son dos. J'ajuste le tout et sangle progressivement. Avant de lui enfiler la bride, je fixe mon casque sur ma tête et enfile mes gants, prenant ensuite les rênes en main, direction le manège.
Au manège, je vérifie le sanglage, remonte sur mes rênes et me hisse en selle. Corona attend sagement que je lui demande de prendre le pas, ce que je fais après avoir enfilé mes deux étriers. Vu les températures basses d'aujourd'hui, je marche la BWP assez longtemps pour qu'elle puisse correctement échauffer ses muscles. Environ dix minutes plus tard, je lance la jument au trot. Elle se pose aussitôt sur la main et se déplace d'un trot fluide et élégant, ce qui est très agréable. J'en profite d'avoir un cheval bien dressé sous la selle afin de prendre garde à ma position. Je détends d'avantage la pommelé en lui demandant d'abord des cercles pour ensuite enchaîner avec des voltes et des serpentines, ce qui nous permet de changer de main et ainsi de travailler de façon équivalente des deux mains. A l'écoute, Corona travaille proprement et ne fait pas un pas de travers, je me permets donc de lui demander des exercices un peu plus complexes. Je l'installe sur un cercle à main gauche et lui demande petit à petit qu'elle rétrécisse le cercle sans changer des hanches, mais bien sûr je n'ai même pas besoin de lui rappeler, elle exécute l'exercice sans accrocs. Je lui demande alors l'exercice inverse en réagrandissant progressivement le cercle jusqu'à retourner marche et large le long de la piste. J'enchaîne ensuite avec une épaule en dedans. Au début je dois demander assez mal, parce que la jument se fait timide et ne réalise pas parfaitement la figure. Mais lorsque je m'applique un peu plus, Corona se déplace en épaule en dedans sur une demi longueur de piste, ce qui lui vaut mes félicitations. Je change de main par une diagonale et recommence les même exercices qu'avant, toujours aussi bien réalisés de la part de la jument. J'allonge ensuite les rênes de quelques centimètres, ce qui permet à Corona de descendre son encolure. Plusieurs foulées plus tard, je la repose au pas et lui laisse le temps de marcher avant que nous ne galopions. La séance ne sera pas très longue, mas largement suffisante pour aujourd'hui. Cinq grosses minutes plus tard, je remonte sur les rênes et relance Corona au trot sur la longueur avant de dessiner un cercle en C. Bien arrondie, la jument se déplace avec aisance. Je m'assieds souplement dans ma selle et demande le galop. Corona s'élance et galope de manière souple. J'attends de trouver mon confort avant de lui faire prendre le chemin de la piste et d'ainsi galoper le long des murs. Sans sortir de la mise en main, Corona se laisse guider sur un nouveau cercle où cette fois-ci je change de main, lui demandant de changer de pied en l'air tout en même temps. Décidément parfaitement éduquée, la jument change de pied et galope de nouveau en cercle avant de prendre la longueur du manège. J'effectue encore un ou deux changements de pied en l'air et me décide de la laisser là dessus pour aujourd'hui, elle m'a beaucoup donné pour notre première séance elle et moi! Je la laisse trottiner à son rythme, rênes mis longues et repasser au pas d'elle même quelques minutes plus tard. Je flatte généreusement son encolure et la laisse souffler le temps qu'elle a besoin avant de l'arrêter, mettre pied à terre, la féliciter une seconde et de retourner aux écuries.
Bien au chaud dans l'allée des boxes, j'attache Corona a l'attache après lui avoir retirer sa bride que je nettoie aussitôt à l'aide d'une lingette humide. Je lui ôte ensuite la selle et tout se qui s'en suit et les rangeant de suite sur le chariot. Je passe rapidement un coup de bouchon sur sa robe, surtout qu'elle n'a pas transpiré, avant de lui remettre sa chemise pour la nuit qui s'annonce plutôt fraîche. Je continue de lui enlever son matériel en débobinant les bandes autour de ses antérieurs pour ensuite les enrouler correctement en m'aidant de la porte de son box pour les maintenir à hauteur. Je donne un coup de bouchon sur les jambes et les sabots de la jument avant de lui curer les pieds et d'y ajouter une couche de graisse bleu turquoise, certes assez spécial, mais très nourrissant pour les sabots, la couleur n'y change pas grand chose. Je m'applique à ne laisser aucune surface du sabot non graissée, passe une lingette sur ses yeux et ses narines pour ensuite lui donner les deux derniers morceaux de sucre qu'il me reste. Je la récompense tout en la félicitant et en grattant son encolure du bout de mes doigts. Finalement, cette séance m'aura fait beaucoup de bien! Je rentre la jument au box et prends soin de lui retirer son licol, refermant sa porte derrière moi et allant ranger tout ce que j'ai emprunté à la sellerie, espérant pouvoir repasser d'ici quelques jours.
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Mer 21 Déc - 12:44
+ 3 points en soins + 3 points en confiance
+ 3 points en dressage
+ 5
+ 1 cadeau vert + 1 cadeau bleu
Whappa
Spécialisation élevage - niv. 0
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Mer 21 Déc - 22:55
E v e n e m e n t 9 ; . . .. ... . .. ... ... . .. .. . . .. . . . ... .....
écurie : faire boire un cheval dans un seau noir. manège : sauter un oxer aux couleurs de la France.
Comme promis, je revenais voir Corona, cette jolie jument pommelé qui m'avait vraiment plu lors de mon premier passage aux écuries événementielles. J'avais pu voir qu'elle se débrouillait bien en dressage, en encore, le mot débrouiller est une image, j'avais donc maintenant envie de savoir ce qu'elle pouvait donner en saut d'obstacles. Elle pouvait être tout aussi formidable comme elle pouvait être une vraie jument de dressage et alors ne pas savoir lever ses pieds pour un sous! Je vais directement à la sellerie en arrivant sur place afin de ne pas devoir refaire un aller et retour pour venir chercher l'harnachement. Quand j'arrive au box de la jument, je tente de me faire reconnaître et l'appelle par son nom, prostrée devant sa porte. Curieuse, Corona vient rapidement à moi et il lui faut moins de cinq secondes pour sentir la friandise que je lui ai amener à travers mon blouson. Prise en flagrant délit, je n'ai pas d'autre choix que de sortir la carotte de ma poche et de lui donner. Pendant qu'elle termine de manger, j'entre dans son box et comme la veille, lui enfile son licol et lui cure les sabots avant de sortir, la jument sur mes talons. Je l'attache et passe ma main sur sa douce encolure. De nouveau, je m'équipe de mon démêlant et asperge sa crinière ainsi que sa queue. J'enchaîne ensuite en nettoyant sa robe, quoique pas bien sale depuis hier, je passe rapidement le bouchon et la brosse douce derrière pour terminer par démêler ses crins, toujours aussi soyeux que la veille. Cette fois-ci j'ai opter pour un ensemble gris foncé avec des guêtres et des protèges boulets en guise de protection. Je les installe sur les membres de la jument qui se laisse sagement faire, ayant surement l'habitude que l'on s'occupe d'elle. Je dépose mon tapis, l'amortisseur et la selle sur son dos et dégarotte avant de sangler en utilisant une bavette cette fois. Lorsque je retourne au chariot pour m'équiper à mon tour, Corona tourne la tête vers moi et m'observe d'un œil plein de vie, ou du moins c'est l'impression que j'en ai. Je souris et lui caresse le bout du nez, terminant d'enfiler ma paire de gants pour ensuite lui donner son mors qu'elle prend facilement et attacher les deux trois boucles de la bride. Tout comme hier, nous prenons le chemin du manège, là où un petit parcours d'obstacles que j'ai monté plus tôt nous attend.
A la vue des obstacles montés en piste, la jument se redresse et pointe les oreilles en avant. A premiers abords elle a l'air de connaître, je souris. Je l'arrête quelques mètres plus loin et me mets en selle suite à avoir vérifié le sanglage. Bien assise dans mon siège, je demande à la jument de prendre les pas, rênes mi-longues, nous rejoignons la piste. Il fait moins frais que la veille, je n'ai donc pas besoin de la marcher excessivement longtemps avant de prendre le trot. Deux à trois tours de piste plus tard, je reprends les rênes et joue aussitôt avec mes doigts, Corona venant se poser sur ma main sans se poser de question. Je la félicite de la voix et attends de rejoindre la longueur pour lui demander le trot d'un pressement de mollet. Afin de correctement l'échauffer, je ne tourne pas bêtement le long des murs mais opte plutôt pour des cercles, des huits de chiffre et des demi voltes. Toujours à l'écoute, Corona procède de manière souple et exécute tout ce que je lui demande à la perfection. J'enchaîne ensuite avec des transitions trot-pas, trot-arrêt et arrêt-trot auxquelles la pommelé répond à la seconde près. Je la félicite d'une petite tape sur l'encolure et tente maintenant les transitions dans l'allure. Je pars sur une diagonale pour changer de main et lui demande un allongement qui mets peu de temps à venir, quoique beaucoup moins agréable que son trot originel. En arrivant de nouveau sur la piste, je la reprend doucement et nous retrouvons un trot moyen. Sur la prochaine longueur, je la rassemble un maximum jusqu'à la laisser reprendre son trot à la fin de la ligne droite. Je continue à faire ces exercices pendant une dizaine de minutes, obtenant des résultats de plus en plus convaincants jusqu'à retourner au pas et la laisser souffler. Lorsqu'elle a correctement reprit son souffle, je l'installe sur un cercle à main gauche au trot et mi demande un départ au galop précis. Nous travaillons ainsi sur le cercle avec la bonne incurvation et je lui demande de changer de cercle, et donc de pied, à plusieurs reprises. Ne voulant pas la fatiguer plus que nécessaire pour la suite de la séance, je lui redemande le trot et lui laisse entendre son encolure, repassant ensuite au pas le temps de souffler avant de commencer à sauter.
J'avais installé une ligne de trois verticaux aux couleurs criardes le long d'un mur. Les deux premiers étaient espacés de deux foulées et entre le deuxième et le dernier se trouvait une foulée. J'avais ensuite monté un oxer aux couleurs de la France sur la diagonale opposée à ma ligne de sorte à ce qu'enchainer l'oxer et le premier vertical représente une ligne brisée en cinq foulées un peu longues cette fois-ci alors que ma ligne était assez courte. Rien de bien compliqué, juste un peu de technique aux niveaux des foulées, il faut vraiment pouvoir avoir un cheval accordéon, tantôt le rassembler, tantôt lui faire allonger des foulées sans pour autant perdre son impulsion. Pour l'échauffement, je démarre au galop et viens sauter le premier vertical en cercle à main gauche. Il devait mesurer septante centimètres à tout cassé, mais ça serait suffisant pour notre échauffement. Corona n'est pas bien compliquée à manipuler et ses abords viennent quasiment tout seuls, j'ai juste à suivre le saut. Ca se voit, elle a du métier. J'enchaîne ainsi plusieurs fois le petit vertical sans faute avant de repasser au trot et de changer de main afin de faire de même à droite. Les deux premiers passages se font parfaitement mais lors du troisième je chipote un peu trop en ayant jugé l'abord trop court et la retient, ce qui nous fait faire un petit saut que Corona me sauve toutefois. Je reviens alors une dernière fois pour corriger mon erreur et une fois le saut correctement effectué, je la repasse au trot quelques instants avant de venir sauter l'oxer tricolore de nonante centimètres environ, une fois à chaque main. Je prends cette fois-ci une ligne droite pour aller jusqu'à l'obstacle, j'installe la jument dans un bon galop et attends sagement mon saut que la jument calcule parfaitement. Je la félicite et reviens une fois à l'autre main, devant prendre une courbe plus serrée cette fois à cause du mur qui nous détermine une limite. Je reste bien en arrière dans le tournant et prends garde à ne pas me pencher vers l'intérieur de celui-ci, ainsi, les foulées s'ajustent à la distance et Corona s'envole au dessus du petit oxer. Une fois encore, je flatte généreusement son encolure et la laisse souffler cinq minutes avant de commencer le petit parcours que je nous ai mijoté. Après avoir marché, je lance Corona au galop suffisamment tôt et nous nous élançons sur le premier vertical que j'ai pris la peine d'augmenter, ainsi que tout les autres obstacles, à un mètre. Je ne chipote ni dans mes jambes ni dans mes mains et suis le mouvement du bassin. Bien calculé, nous faisons une espèce de saut en cloche sur le premier obstacle, ce qui nous laisse suffisamen de place derrière pour placer nos deux foulées. Je ne touche à rien et laisse Corona me montrer ce qu'elle sait faire. Nous terminons le triple sans avoir fais d'erreur ni même effleuré une barre. Je n'ai pas le temps de réfléchir que je dois déjà guider la jument au prochain obstacle, prenant le tournant serré tout en agissant de la même façon que précédemment lorsque je suis venue dessus. Corona saute l'oxer d'un peu loin, faute de distance et accélère ainsi dans la ligne brisée, mettant quatre foulées au lieu de cinq, déjà qu'elles étaient censées être longues! Je suis tout de même le saut et la retravaille après, changeant de main afin de recommencer. De nouveau, nous gérons plutôt bien l'entrée sur le triple et ne rencontrons pas de problème pendant, vient alors au tour de l'oxer. Je reste bien à ma place et retiens légèrement la pommelé. Nous arrivons avec un contrat de foulées correct et Corona lève ses membres pour passer au dessus des barres. Je reste ensuite à ma place tout en donnant un peu de bassin, dessinant une ligne brisée le plus précisément possible et nous plaçons nos cinq foulées comme il se doit. Je repasse au trot ensuite et caresse l'encolure de la jument, la laissant souffler quelques minutes avant d'essayer l'exercice dans l'autre sens. Une fois remise d'aplomb, je lance la BWP au galop à main gauche et commence par le premier vertical avec un sait ni trop loin ni trop prêt. Viens ensuite l'oxer, je sens la jument ralentir et l'aide alors de mon bassin et d'un claquement de langue afin qu'elle y place bien ses cinq foulées et non cinq et demi! Attentive à mes demandes, Corona a exactement fait ce que je lui demandait et nous n'avons pas rencontré de problèmes sur l'oxer. Je la retiens en suite un peu plus, enchaînant obstacle, une foulée, obstacle, deux foulées, obstacles et Corona me montre son talent en s'appliquant à cet exercice, ne faisant aucune erreur. Je la félicite tout en relâchant les rênes et la laisse bien souffler cinq grosses minutes. Je repasse ensuite au pas et déssangle d'un trou, la laissant souffler encore quelques minutes avant de retourner aux écuries.
De retour aux stalles, je ne perd pas de temps pour la déséquiper et lui donnant un rapide coup de bouchon sur sa robe à peine humide. Je décide de la laisser quelques temps à l'attache le temps que je nettoie son matériel pour ensuite lui faire les pieds. Je passe la bavette et les protections à la lingette et opte pour le passage sous le robinet pour le mors de la bride qui est assez sale. Lorsqu'elle entend le bruit de l'eau couler, Corona se redresse en tournant son attention vers moi et commence à gratter de l'antérieur gauche.
- Tu as soif ma belle? Lui dis-je.
Sans plus attendre je dépose la bride maintenant propre sur le chariot et pars à la recherche d'un seau pour proposer à boire à la jument. Par chance, j'aperçois un seau noir non loin de là. Je l'emprunte et fais couler de l'eau dedans avant d'aller le présenter à la jument qui n'hésite pas à plonger des lèvres dedans et à boire. Je passe ma main sur son encolure tout en même temps et lui laisse suffisamment de temps pour se désaltérer jusqu'à ce que le liquide transparent ne l'intéresse plus le moins du monde. Je pars donc ranger le seau avant de m'équiper d'un cure-pied et d'un pot d'huile pour sabots. Bien gentille et surtout précieuse, Corona me donne ses sabots un à un dont j'enlève le sable pour ensuite badigeonner d'huile. Une fois terminer, je remets la jument au box avec le reste de carottes dans sa mangeoire et la frictionne un peu avec de la paille juste pour l'aspect confort et cocooning. Je dépose un baiser sur le dessus de son encolure avant de m'en aller ranger son matériel, encore une fois fière de la séance qu'elle m'a offerte aujourd'hui.
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Jeu 22 Déc - 10:50
+ 3 points en soins + 3 points en confiance
+ 4 points en obstacle
+ 8
+ 1 cadeau bleu + 1 cadeau rouge
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Dim 23 Juil - 22:20
- galoper a cru sur la plage avec son cheval
D'habitude mes journées c'était : je vais en cours, je rentre, je prends mes affaires d'équitation, je vais au Haras, je fais un cours avec Flex et je retourne a la maison mais aujourd'hui c'était quasiment pareil, a un détail près. Le cours terminé je ramena Flex a la barre d 'attache et je la dessella et la pansa puis la ramena dans son boxe. Il me restait du temps libre, du coup je voulais aller voir les chevaux de l'écurie du nouveau centre équestre. J'arrive, et je tombe devant une jolie jument grise. Elle s'appelle Corona et elle est magnifique. Je la sors de son boxe, je la brosse, la peigne et lui donne des friandises. Je monte au club-house pour demander si je peux faire un balade avec Corona et avec de la chance la réponse est oui alors j'appelle mon père et je lui dis que demain j'irais au Haras. Je vais voir ma sœur qui était en train de ranger ses affaires et je lui dit que demain j'irais au Haras. Notre père arrive et nous rentrons a la maison car il commence a se faire tard . J'ai vraiment hâte a demain pour faire ma balade a la plage avec Corona. Je m' endors tranquillement en pensant à la journée de demain.
Je me réveille toute excitée a l'idée de monter Corona. Je regarde mon réveil il est 9 heures du matin et je commence a me préparer. Je vais au salon et même ma sœur n 'est pas encore prête. Je prends mon petit déjeuner et je tanne ma sœur pour quelle aille se préparer . Elle arrive dans le salon en tenus ,on va chercher nos affaires et nous partons pour le Haras . On arrive là-bas et j' emmaine mon père au club-house . Il règles la balade et il repart en nous souhaitans une bonne journée. Je pars vers les boxes de Flex et j' arrive devant . Je dit bonjour a Flex , je lui fait un gros bisous et je lui dit que aujourd' hui sa ne sera pas son tour. Je sort Corona de son boxe , je lui passe le licol , l' attache , la brosse , la nourri et la selle. Je monte sur elle est vais d' abord dans la carrière et je l' échauffe . Une fois l' échauffement terminé nous sortons de la carrière et nous partons en direction de la plage . On arrive sur la plage et elle commence a trotter puis a galoper . Je lui enlève la selle et le tapis et je commence a galoper a cru. Elle se dirige vers l' eau et nage dedans. Les heures passe très vite , nous faisont plein de chose ensemble : on saute ,on galope ,on retourne dans l' eau et voici que la journée se termine petit a petit . Nous rentrons au club et je descend de Corona pour la désceller . Je l' attache au licol que j' avais laissé accroché me matin même. Je la déscelle , la lave, la brosse , la nourrit et lui donne encore et toujours des friandises . Je la ramène au boxe . Je bichonne un petit peu Flex et Corona et repart chez moi . Ce soir je suis très fatigué , je ne dîne pas je vais directement me doucher , me brosser les cheveux et les dents et part me coucher .
Rouxine
Admin sudiste
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Mar 25 Juil - 11:47
Il faudrait juste que tu détailles un peu plus la mission, mais je te la valide quand même
+1 en confiance +2 en soins +1 en balade
+3
Validation d'une mission "HAMAC"
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Ven 28 Juil - 12:44
Rencontre avec Corona
J'avais décidé le matin en sortant de mon mobil-home de passer la journée aux écuries d'été. Je venais déjà de m'occuper de deux chevaux. J'avais même eu le temps de prendre une pause midi pour manger mon pique-nique. Je revenais aux écuries d'été à la recherche d'un cheval à sortir. Alors que je regarde un par un les chevaux, mon choix se pose sur Corona, une magnifique jument BWP grise. Je rentre dans le box et caresse la jument, essayant de trouver son point faible. Cette dernière semble très sociable et me laisse la toucher sans reculer. J'attrape le licol et le mets à la belle grise. Je la sors du box et l'accroche à l'anneau d'attache à côté de la porte du box. J'ouvre ma caisse de pansage et commence par passer l'étrille américaine pour enlever un maximum de poussières. Je ne brosse que sur les parties charnues puis échange cette brosse contre un bouchon. Je le passe sur tout le corps en pansant dans le sens du poil. Je veille à ne laisser aucune trace de boue séchée ou de poussière. Une fois que la robe de la BWP brille, je saisis une brosse à crins et démêle le toupet, la crinière et la queue afin qu'il ne reste plus aucun nœud. Je repose cette brosse et empoigne un cure-pied. Je prends les quatre sabots de la jument chacun leur tour et effectue toujours la même chose : je gratte avec la partie métallique sur la sole pour enlever les résidus de paille et brosse pour tout enlever. Je finis de nettoyer chacun des pieds de la jument sans encombre et repose le cure-pied. Je termine le pansage en passant un coup d'époussette pour faire briller la robe grise de Corona. Je m'absente le temps d'aller chercher un filet. Je le mets à la jument et l'emmène jusqu'à un montoir. Comme elle me paraît docile, je décide de partir en balade à cru sur la plage.
Encerclées par la mer Objectif : galoper à cru sur la plage avec son cheval
J'emprunte le chemin qui mène à la plage. Nous venons déjà de marcher pendant une dizaine de minutes pour aller des écuries d'été à ce sentier alors je demande le trot à Corona pour continuer à l'échauffer. Avant d'arriver sur la plage, je repasse au pas. Nous passons les dunes qui séparent le chemin boisé de la grande surface de sable. Une fois sur la plage, la belle grise accélère le pas, les oreilles dressées vers l'avant. J'avance vers la mer en tenant la jument pour l'empêcher de passer à l'allure supérieure. Le vent souffle gonflant les vagues qui viennent s'écraser sur la plage, laissant des traces d'écume. Je me rapproche progressivement et fais entrer la jument BWP dans l'eau. Je la laisse marcher au bord de l'eau pour tremper ses pieds. Les vagues viennent se claquer sur les membres de ma monture mais celle-ci ne prend pas peur et continue à avancer en regardant droit devant elle. Nous nous éloignons petit à petit du chemin d'accès à la mer. Comme Corona me semble pleine d'énergie, je lui donne quelques coups de talons pour la faire partir au trot. Je dois la retenir pour ne pas me faire emmener sur la plage. Elle trépigne d'impatience, attendant que je la lâche mais je ne cède pas et continue à trotter tranquillement sur la plage. Je repasse la jument au pas et regarde derrière moi. Je n'aperçois même plus la grande dune que nous avons grimpé plus tôt pour accéder la plage. Nous nous sommes vraiment éloignées. Je croise plusieurs chevaux et leurs cavaliers qui profitent eux aussi de la plage. Le soleil se reflète sur la mer et dans les petites mares d'eau salée qui se sont formées plus loin sur la plage. Je passe dans certaines pour que ma monture puisse se mouiller les sabots.
Nous explorons toujours plus la plage quand je m'aperçois que la mer commence à monter. Je fais demi-tour et commence à trotter pour retourner au chemin qui mène au Centre Équestre de la Côte Bleue. La mer commence à se rapprocher de nous alors je demande à Corona de remonter sur la plage en vérifiant que le terrain nous permet toujours de trotter. N'apercevant toujours pas la dune que nous devons franchir pour reprendre le sentier boisé, je demande à ma monture de galoper pour rentrer au plus vite. Une sensation de liberté m'envahit alors que je galope à cru sur la plage, le vent soufflant dans mes cheveux mi-longs. La mer monte encore et encore, venant chatouiller les sabots de la belle grise. Il n'y a aucune issue sur le côté de la plage, le seul passage étant la grande dune. Je lui demande d'accélérer un peu plus. Nous terminons notre course folle les pieds dans l'eau. Cette dernière est soulevée par les sabots de la jument BWP, éclaboussant mon visage et mes vêtements. Nous arrivons enfin près de la dune que nous devons franchir pour rentrer. Je ralentis progressivement ma monture. L'eau arrive maintenant à ses genoux. Nous nous engageons dans les dunes puis dans le chemin pour retourner au haras d'été.
Retour au box
Nous revenons dans l'allée des chevaux de l'écurie d'été. Je mets pied à terre et tapote chaleureusement l'encolure de Corona. Nous sommes rentrées de justesse avant d'être encerclées par la mer. J'enlève le filet de la belle grise et la rentre au box. Je vérifie qu'elle ait tout ce dont elle a besoin et la caresse pour lui dire au revoir. Avant de partir de l'écurie d'été, je passe par la sellerie et range la bride à sa place.
Rouxine
Admin sudiste
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Dim 30 Juil - 16:53
Original comme galop, ça change !
+2 en soins +2 en course
+5
Validation d'une mission "HAMAC"
Invité
Invité
Sam 17 Mar - 13:44
Rencontre avec Corona
( j'écris comme si elle écrivait dans son journal intime )
Nouvelle journée ensoleillée au haras , c'est pour ça que j'ai décidé d'aller voir ma nouvelle demi-pension que mes parents m'ont offert hier soir à mon anniversaire. Cela fait 6 ans que je monte maintenant , mais je n'ai jamais eu de cheval pour moi seule.Et comme hier j'ai eu 13 ans , mes parents ont décidé de me faire un très belle surprise ,qui est très réussi d'ailleurs. Même si la jument, oui c'est une jument qui est âgée de 9 ans et est de race BWP , est juste ma demi-pension pour le moment je suis déjà très heureuse. Mes parents ont dit que si le courant passait bien ils me l'acheteront et la mettront dans le manège de mon grand père qui est à trois cent mètres. Donc j'ai suis partie la voir aujourd'hui pour faire une première approche avec elle.
En arrivant au club , je me suis dirigée vers l'écurie pour trouver ma jument.Je suis passée devant différentes races,tailles ,caractères de chevaux , des grands,des petits , des appaloosa , des pour sang arabe , des gentils et des craintifs, pleins de chevaux différents.En avançant encore plus je suis arrivée devant un box avec inscrit sur un petite plaquette Corona, je me suis approchée du box pour voir a quoi ressemble ma nouvelle jument.Elle est grise avec des tâches plus foncée, une très jolie robe en d'autres mots , elle doit faire un peu près 1 mètre 55 au garrot, franchement elle a l'air super à vu d'oeil.Elle est calme, posée, mes parents m'ont dit que c'était une championne de dressage et sautait déjà le mètre 20 , à vrai dire je ne suis pas une championne de dressage mais elle va peut être m'apprendre beaucoup de chose, par contre le saut j'adore ! L'ancien propriétaire à dit aussi qu'il faut bien la travailler et la brosser correctement tout les jours si on veut qu'elle sorte un jour ... Après l'avoir observé et lui laisser le temps de m'observer j'ai ouvert le loquet et je suis entrer dans son box.Je lui ai tendu mon bras pour qu'elle me sente un peu puis je le suis approchée d'un pas en cherchant dans ma poche un petit bonbon pour chevaux que j'avais préparé exprès pour elle puis je lui est présentée en ouvrant bien la paume de ma main,elle le pris tout de suite et l'a avalé en une bouchée.Je me suis mise à la caresser sur le coup pour qu'elle s'habitue encore un peu à moi avant d'aller chercher une bac avec des brosses , quand je suis revenue près de son box elle m'a laissé passer pour que je sache entrer.J'ai pris une brosse dur pour commencer , je me suis mise alors à brosser son cou plein de terre ,elle en était d'ailleur couverte , je crois qu'elle était au pré avant que j'arrive. Je frotta assez fort pour enlever la terre mais pas au point de la blesser ,tout en cantonnent une petite chanson il faut savoir que c'est ma deuxième passion après l'équitation , je l'a vis se détendre un peu et fermer à demi les yeux.Quand j'eus enfin fini son cou je passa à son dos ,garrot et ventre qui eux était presque noir , elle qui n'aime pas être sale la franchement... Comme je n'arrivais pas à tout faire partir j'ai pris une étrille en fer et je me suis mise à fer des petits cercles pour enlever le reste de la terre , je chantonnais et étais tellement concentrer sur Corona que je ne vis pas arriver mon grand père qui est propriétaire du club.
-Salut ma petite fille ,lança t il , je vois que tu as fait la connaissance de la belle Corona !
Corona en entendant son nom rouvrir les yeux et avanca vers mon grand père, je souris mon grand père a toujours eu un don avec les chevaux tous l'appreciaient même les plus craintifs , enfin il l'apprécie mais pas au point de trop s'approcher.
-Salut grand père, ai-je fis tout en continuant à brosser Corona mais cette fois ci de l'autre côté , oui elle est super !
Mon grand père souris puis parti voir les autres chevaux , les chevaux c'est sa priorité, ma grand mère est morte il y a un an et maintenant il passe tout son temps à l'écurie.Je n'ai jamais osé lui reparlé de grand mère de peur qu'il soit mal.Après qu'il soit partit et que j'eus finis de faire le haut du corps de Corona je repris la brosse dur et passa à ses jambes.Je frotte la première très fort donc elle se reçu la et peu donc je la rassura avant de me remettre à le brosser moins fort.A la fin quand j'eus finis de la brosser je pris une autre brosse mais cette fois-ci douce , et je recommenca à la brosser tout en cantonnent des petits airs , je l'a carassa de temps en temps et elle ferma complètement les yeux cette fois ci , elle a vite confiance je crois , il ne faut pas qu'elle tombe sur quelqu'un sans coeur pour pas qu'elle devienne craintive , méchante alors que là elle est tout le contraire. Je pense à ce que je pourrais faire demain en arrivant au club,comme on est le week-end je viendrais tôt pour avoir beaucoup de temps avec elle. Quand j'eus finis à nouveau de faire tout son corps avec la brosse douce je pris le cure-pied et je posa ma main sur sa jambe la fit descendre tout le long de celle-ci et quand je fus arriver près du sabot je claqua la langue en tirant sur la petite touffe de poile qui se trouve derrière le sabot ( je sais pas comment sa s'appelle ) et elle me le donna directement je vis pleins de terre et soupira un peu , hier j'avais déjà super mal au dos je vais avoir encore plus mal maintenant ! Je commença à enlever la terre en faisant attention à pas toucher sa fourchette pour pas lui faire mal. Quand j'eus finis le premier je fis la même chose pour les trois autres , et à la fin quand j'eus terminé le dernier je n'avais plus de dos ça c'est sûr ! Et pour terminer je pris la brosse pour la crinière et commença à la démêler à fond puis genre cinq minutes plus tard sa crinière n'avait plus de noeud donc je fis sa queue tout en me mettant bien sûr le côté, elle a une super longue crinière donc je pris les ciseaux et la coupa un peu pour ne plus qu'elle traîne à terre. Je me reçu la quand j eus terminer et la trouva splendide, sa robe sans plus aucune tâches, sa crinière complètement démêler ainsi que ça queue et ses sabots ... c'est à se moment la que je remarqua que j'ai oublié quelque chose, de lui graissée les sabots , je rangea toutes les brosses ramena le bac dans la sellerie et pris de la graisse avant de revenir près de ma jument. Je me pencha et commença à lui graissé d'abord la fourchette puis fis l'extérieur du sabot je redis ça trois fois avant d'avoir complètement finis.Je pris la graisse et alla la ranger puis je viens dire au revoir à Corona je ferma correctement le box et la caressa puis lui donna une friandise avant de partir pour revenir demain.
P.S:Désolé pour les fautes je suis franchement pas la plus douée en orthographe et je connais pas par coeur toute les parties du corps du cheval donc j'ai essayé d'expliquer au mieux.
etoly
Spécialisation élevage - niv. 0
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Sam 17 Mar - 15:44
Par pitié on te le disait déjà sur ton ancienne partie mais utilise un correcteur orthographique il y en a plein sur google qui en plus sont gratuits, ça serait beaucoup plus agréable à lire si il ne fallait pas constamment essayer de déchiffrer pour comprendre quel mot tu as tenté d'utiliser
+ 2 en soins + 2 en confiance
+ 3
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Mar 7 Mai - 15:12
Corona & Aveline Tenebris Domaine du Manoir
Apprendre à se connaitre
Mon petit Face my Fears étant encore poulain, j’étais à la recherche d’un cheval de sport avec qui je pourrais m’éclater en concours, et j’étais tombé amoureuse de Corona, une grande jument BWP que j’avais alors ramené au domaine du Manoir. Elle s’entendait d’ailleurs très bien avec mon noir avec qui elle partageait son paddock depuis son arrivé. Je lui avais déjà fait quelques soins depuis son arrivée, sans trop l’embêter pour que, dans un premier temps, elle s’habitue tranquillement à son nouvel environnement. Pas stressée, elle s’y était vite accommodée et paraissait très agréable à vivre, aussi bien au paddock qu’en box d’ailleurs, même si elle faisait de temps en temps ressortir son petit côté princesse qui me faisait beaucoup rire.
J’avais donc décidé aujourd’hui de la monter pour la première fois, et faire un exercice qui normalement ne devrait pas être trop difficile pour elle si j’en croyais son niveau. Je pris donc un beau licol en cuir noir recouvert de moumoute et me dirigeai vers la belle grise. Rien qu’à entendre son nom, elle s’approcha doucement de moi, alors je lui tendis une petite friandise pour la récompenser. Je la licolai puis l’emmenai à une aire de pansage, ce qui devait sûrement être l’endroit préféré de la jument. Je pris mon étrille et je m’attelai à faire des petits cercles sur la robe un peu poussiéreuse. J’enchainai avec mon bouchon et finis avec la brosse douce pour rendre la jument impeccable.
Je n’oubliai évidemment pas de nettoyer ses jolis membres fins, puis je lui curai les pieds avant de démêlai sa queue et sa crinière qui devinrent donc brillants et très doux., c’était un plaisir de passer mes doigts dans ses somptueux crins. La jument avait l’air satisfaite de son pansage, alors je commençai à l’équiper. Je lui mis des bandes de travail aux quatre membres, ainsi qu’une paire de cloches aux antérieurs, puis je déposai doucement un tapis bleu marine sur son dos, mon amortisseur ainsi que ma selle que je sanglai délicatement. Je lui mis ensuite son filet combiné auquel j’avais accroché un mors à olive en caoutchouc double brisure ainsi qu’un magnifique frontal en strass. Je mis donc mes bottes, ma bombe et mes gants, et nous prirent la direction du manège.
De retour à l’aire de pansage, je retirai ma bombe et mes gants, puis je m’occupais de la jument. Je lui retirai son filet, ainsi que sa selle. Je retirai également ses cloches et bandes de travail, puis je passai un coup de bouchon sur l’ensemble de son corps. Je démêlai une nouvelle fois ses crins. Je l’amenai ensuite brouter sur la pelouse près des écuries et j’en profitais pour masser son dos à l’aide d’une étrille avec des petites boules et un gel à l’arnica. Comme la séance avait été plutôt conséquente, je lui mis dans bandes de repos. Je massai doucement ses tendons avec un gel aidant à la récupération de ceux-ci, puis disposai des flanelles sur ses membres puis les recouvrit de bandes de repos, sans trop les serrer, juste assez pour qu’elles restent bien en place, en prenant soin de ne faire aucun pli. Je ramenai ensuite la jument au paddock en lui donnant quelques friandises ainsi qu’une fourche de foin afin qu’elle et Face my Fears puissent passer l’après-midi tranquillement en profitant du soleil.
@PsychoShinigami
Objectif : Poser des bandes de repos à un cheval (10 pts en dressage pour Arabesque)
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Mer 8 Mai - 14:25
Objectif validé! + 3 en soins + 2 en confiance 4
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Jeu 9 Juin - 21:53
introduction; Odile et Gatien ont choisit leur nouvelle monture, mais lorsqu'elle arrive aux écuries, elle ne semble pas apprécier son nouveau cavalier.
Odile & Corona
N°1
C’était le grand jour. Odile et Gatien avaient fait leur choix, la demoiselle devait arriver en fin de journée. Ils l’avaient essayé dans la région parisienne. Le jeune homme ne cachait pas sa déception. Cette grande jument délicate ne lui plaisait pas franchement, mais leurs économies mises bout à bout ne leur permettaient pas d’acheter ce qu’on appelle un « tire-cul ». Ils avaient opté pour un cheval moins cher, mais avec une marge de progression non négligeable. Odile avait longuement insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une jument et qu’au pire, ils la feraient pouliner. Les essais s’étaient plutôt bien déroulés. La jument prenait sur elle et sauvait les quelques erreurs commises par Odile, même si celle-ci n’avait pas enchaîné de parcours aussi haut depuis quelques mois. En revanche, elle ne supportait pas que Gatien hausse le ton ou la sanctionne sans la prévenir, ses réactions étaient immédiates : coup de dos, refus, cabrés. Le potentiel de la jument était indéniable, mais son caractère faisait inévitablement chuter son prix.
Ils avaient fait appel à un transporteur pour ramener Corona dans la région. Il faut dire qu’entre les soins de Blue et le travail qu’elle fournissait en plus pour se constituer de nouvelles économies, Odile n’avait pas une journée à perdre. Gatien quant à lui travaillait aux écuries pour leur permettre de bénéficier d’un tarif de pension plus avantageux. Le petit camion à pont arrière pénétra dans l’enceinte de l’écurie avec quelques minutes de retard. Odile resta en retrait alors que le jeune homme se précipita pour demander des comptes au chauffeur. Avec l’accord de ce dernier, elle se glissa dans la sellerie du camion pour caresser la belle jument grise. Elle semblait avoir voyagé sereinement et n’avait que peu transpiré. Sans prévenir, Gatien descendit le pont, Corona marqua son mécontentement en fouaillant de la queue. Elle aurait visiblement préféré qu’il s’annonce avant de la surprendre de la sorte. Il demanda à Odile de faire reculer la jument. La jeune femme préféra prendre son temps pour amorcer une descente du camion dans le calme. Jugeant que la manœuvre était trop longue, Gatien fit le tour du véhicule et empoigna fermement la longe en poussant fort la grise pour l'inciter à reculer. Corona refusa catégoriquement de bouger le moindre pied et donna un grand coup de chanfrein au jeune homme qui, par réflexe, utilisa son coude pour éviter de se cogner le dos contre la paroi de la sellerie. Celui-ci ne dit rien, mais son visage se tordait de douleur. D’un regard, Odile compris qu’il était nécessaire que ce soit elle qui fasse descendre la jument. Cette fois, Corona n’exprima aucune réticence et put reculer dans le calme. Odile discuta des dernières formalités avec le chauffeur avant de faire découvrir son nouveau box à la jument grise.
Dans son box, Corona était calme, elle avait rapidement pris ses marques et rien ne semblait l’inquiéter. Ne voyant pas Gatien revenir, la jeune femme fit le choix de brosser sa nouvelle compagne. Son attitude était totalement différente de celle de Blue. Il ne s’arrêtait jamais de bousculer et d’essayer de mordre alors que la grande jument restait immobile. Odile avait pu découvrir son corps et les détails de son poil dans un environnement serein. Visiblement comblée par le passage de la brosse douce, Corona n’avait pas bougé d’une oreille. Elle était simplement venue réclamer une friandise lorsque la jeune femme avait entamé le pansage de sa tête. Elle donnait parfaitement les pieds pourvu qu’on la prévienne et qu’on les lui demande délicatement. Odile prit plaisir à s’occuper de sa monture, enfin.
Après près d’une heure, Gatien fit une brève apparition. « Je vais aux urgences, j’ai mal au coude. » À son passage, la jument baissa les oreilles. Si elle avait été un chien, elle lui aurait probablement grogné dessus. Odile fit un bref signe de tête pour lui indiquer qu’elle se chargeait seule de s’occuper de la jument. Un instant, elle imagina que Corona se ferait justice seule et qu’elle punirait le jeune homme de tous ses comportements déplacés alors même qu’Odile ne parvenait pas à le remettre à sa place. Cet achat n’était pas impulsif, mais elle n’avait pas su lui dire non. Elle commençait tout de même à comprendre que cette grande jument grise semblait faire de cette obligation une belle expérience. Merci Corona.
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((- Pour remplacer votre cheval de tête qui a besoin d'un temps de repos, vous faites l'acquisition d'une nouvelle monture. Racontez-nous son arrivée dans votre vie. (introduction d'un cheval avec qui vous n'avez pas encore fait de résumé/nouvel achat )) + 5 pts de compétences en saut pour Blue svp
Pryam
Cavalier jeunes chevaux - niv. I
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Ven 10 Juin - 14:43
Oh Gatien je te surveille de près Heureusement, Odile semble beaucoup plus calme et Corona a l'air d'apprécier ça!
+ 2 pts de confiance + 2 pts de soins + 5
objectif validé!
Invité
Invité
Ven 10 Juin - 22:25
introduction II; Gatien tente de dompter Corona en lui offrant un pansage, malheureusement, il ne s'entend pas aussi bien qu'il l'aurait espéré avec la grise.
Gatien & Corona
N°2
Gatien n’avait que très brièvement essayé Corona. Puisqu’il était convenu entre Odile et lui que ce serait elle qui sortirait la jument dans un premier temps, c’était aussi elle qui l’avait essayé plus longuement. Lui n’avait jamais été emballé par cette grande grise, trop imposante, trop capricieuse, trop « jument de fille ». Sa mauvaise expérience dans le camion qui avait ramené leur nouvelle acquisition à l’écurie ne faisait que confirmer ce qu’il savait déjà : Odile n’avait pensé qu’à elle lors de cet achat et cette jument serait plus une source d’ennui qu’autre chose. La jument lui avait fichu le coude dans le sac, les médecins supposaient une fêlure. Il avait tout de même décidé de faire un effort et de tenter de remettre les choses à plat avec Corona.
Pas franchement coutumier des longs pansages et des câlins, l’exercice le déstabilisait un peu; d’autant plus que Corona ne semblait pas non plus franchement emballée par sa visite. Lorsqu’il s’approcha de son box, elle lui présenta ses fesses. « Charmant » . Il pénétra tout de même dans le box de la demoiselle, bien décidé à ne pas se laisser faire par ce fichu canasson. La grise tourna dans son box jusqu’à ce qu’il lui propose un bonbon. Peu serein, il préféra l’attacher à une ficelle pendue à la porte. Pour lui, cette jument était dangereuse, elle lui avait déjà fêlé le bras, il ne manquerait plus qu’elle lui casse une jambe. Il commença assez prudemment par un bouchon assez doux, de cette manière, il était plutôt certain de ne pas froisser la jument. Celle-ci semblait plutôt bien accepter le jeune homme dans son espace. Pourtant, quand Gatien se mit à bosser plus énergiquement la peau un peu fine de la grise, elle sortit les dents.
Toujours habitué à traiter les chevaux avec force, le brun se trouvait bien perturbé par la délicatesse de sa future monture. Elle ne laissait rien passer, il fallait prendre toutes les précautions possibles pour être parfaitement sûr de la satisfaire et de ne pas la froisser. Gatien avait toujours aimé les chevaux puissants, honnêtes, ceux qui ne font pas de chichi. Corona faisait, selon lui, des manières. Il pensait qu’elle avait probablement été trop choyée par son ancienne cavalière et cela l’avait rendu ingérable. Pour lui, le cheval était un outil, un instrument dont il fallait prendre soin, mais qui devait pouvoir être plié dans tous les sens pour permettre à son cavalier d’atteindre ses objectifs. Corona refusait de céder à l’humain rien qu’à pied, le jeune homme craignait qu’à cheval, la situation soit d’autant plus difficile. Il ne parvenait cependant pas à comprendre pourquoi elle semblait pardonner bien plus de choses à Odile qu’à lui. De toute façon elle cédait à tous ses caprices. Corona veut prendre son temps pour descendre ? Pas de soucis, perdons dix minutes puisque c’est la demoiselle qui demande. Gatien à l’habitude des chevaux difficile, de ceux qu’il faut mater, redébourrer, contraindre, et si ça ne tenait qu’à lui, il ne laisserait probablement pas le choix à cette jument. Elle lui décroche un coup de pied ? Très bien, un bon coup de pied dans les flancs. Elle le mord ? Parfait, une claque sur la joue. Pourtant, il se retient. Il a l’impression qu’il se laissait aller à un geste malheureux, Odile le saurait à l’instant. Elle avait une sorte de sixième sens pour ce genre de chose, et puis il est à peu près certain que même si elle ne le devinait pas, Corona se débrouillerait pour qu’elle le sache.
Gatien avait réussi à passer presque une heure en compagnie de la grise sans la froisser davantage. Leurs débuts sont difficiles, Corona n’a rien à voir avec Blue ou les autres chevaux des écuries. C’est la plus exigeante, mais c’est aussi la plus talentueuse. Gatien le sait, lui et Corona n’auront jamais d’atomes crochus, mais il envisage qu’ils puissent se tolérer à défaut de s’apprécier. Lorsqu’il s’apprête à quitter les écuries, Odile fait irruption dans l’écurie. Elle est la première étonnée de constater que le jeune homme a entièrement pansé leur acquisition commune. Elle se moque, lui dit qu’il s’adoucit, mais au fond d’elle, elle est heureuse qu’il fasse des efforts. Gatien râle, il sait qu’il faudra s’armer de patience pour comprendre les réactions de la jument, de les anticiper, et peut-être même de les atténuer. La patience, il n’en a que très peu.
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((- Votre premier contact avec votre nouvel équidé ne se passe pas tout à fait comme prévu. Son caractère est différent de votre cheval de tête et vous ne semblez pas prêt à accepter votre sort. Racontez-nous comment se déroule cette première rencontre. )) + 5 pts de débourrage à stocker quelque part svp
Kyare
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Dim 12 Juin - 20:27
Gatien a tendance à m'agacer un peu néanmoins je suis curieuse de voir comment vont évoluer les choses entre lui et Corona à l'avenir. Je pense que le caractère de la jument ne peut que lui faire du bien
+ 2 en confiance + 3 en soins + 6 objectif validénon màj
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