PsychoShinigami - MANEGE [corbeille - 2016 / 2020]

06/01/19

Lorsque le couple entra dans l'installation quelques regards curieux se tournèrent vers eux. L'endroit n'était pas très bondé mais un cours de quatre cavaliers avait lieu et vu la taille du manège, ça ne poserait pas de problème. De plus, c'était une bonne expérience pour Valiant puisque c'était la première fois qu'il allait être monté avec d'autres chevaux et il verrait bien comment il se comporterait. Sans plus attendre il le dirigea donc vers un endroit inoccupé, puisque le groupe évoluait en cercle, et ressangla avant d'attraper une chaise et de l'utiliser en guise de montoir pour se hisser sur son dos aussi souplement que possible en le préservant.

Perché là haut il attendit quelques secondes avant de remonter sur ses rênes et presser les flancs de l'étalon qui prit le pas. L'étalon s'exécuta et se mit au pas sur la piste. Il n'était pas spécialement concentré, gardant toujours un oeil sur les autres chevaux. Tedrick savait que l'entier avait quelques petits soucis avec les autres chevaux. Il était plutôt du genre territorial et remettait les autres à leurs places, mais bon, tant qu'il le tenait occupé tout devrait bien se passer.

Après quelques tours de pistes au pas il demanda un premier changement de main avec une demi-volte, que l'étalon exécuta. Malheureusement pour lui il passa près d'un cheval et fit un écart en battant l'air avec la queue. Tedrick le remit au travail et lui fit faire plusieurs changements de main avant de revoir les transitions vers l'arrêt.

Puisqu'ils l'avaient déjà vu il décida de se passer du mur du pare-botte et lui demanda un premier arrêt sur la piste, ramenant largement les rênes vers lui en disant "oh oh...". Après quelques foulées l'étalon s'arrêta, il le félicita donc d'une caresse chaleureuse sur l'épaule et pressa ses flancs pour lui demander de reprendre le pas. Il s'exécuta et après quelques foulées lui redemanda l'arrêt de la même manière.

Lentement l'étalon s'immobilisa, à nouveau Tedrick lui caressa l'épaule et répéta l'exercice à de nombreuses reprises. Lorsque l'étalon fut suffisamment à l'aise il quitta la piste et lui demanda quelques arrêts dans des endroits aléatoires tout en esquivant les autres chevaux, vu la manière dont l'étalon reculait les oreilles dès qu'un autre cheval arrivait.

Au final la séance était suffisante, l'étalon avait bien travaillé et il n'allait pas l'embêter plus longtemps, autant finir sur quelque chose de bien. Il immobilisa l'entier et se laissa glisser à terre avant de désangler de deux trous et de remonter les étriers. Suite à ça il lui tendit une friandise et lui caressa le chanfrein avant de le guider jusqu'à l'écurie où il pourrait s'occuper de lui.

Ecurie

06/01/19

Arrivé dans le manège Harley arrêta la blanc et ressangla avant de mettre un pied dans l'étrier et de se hisser sur son dos. Elle caressa et remonta sur ses rênes avant de presser ses flancs pour lui demander de prendre le pas. Comme l'endroit était vide elle en profita pour prendre tout l'espace et le laissa marcher pour l'échauffer, lui demandant quelques transitions intra et extra allures ainsi que des changements de main.

Une fois bien échauffé au pas elle lui demanda le trot et répéta les mêmes exercices, y comprit des transitions vers l'arrêt. En toute honnêteté Roméo se montrait un peu mollasson mais c'était bien souvent le cas. C'était un cheval plutôt mou après tout, ça contrastait bien avec Cartoon qui était beaucoup plus speed. Quoi qu'il en soit, une fois bien échauffé au trot, finit par lui demander de prendre le galop.

L'hongre traîna les pieds mais s'exécuta, prenant un petit galop de croisière. Elle claqua la langue contre son palais pour le motiver, il accéléra un petit peu avant de ralentir de lui même. Elle soupira et le repassa au trot en caressant. Elle le laissa alors trottiner avant de lui demander un dernier galop à l'autre main. Tranquillement elle le repassa ensuite au pas et rejoignit la piste pour le laisser marcher. Elle doubla dans la largeur et le laissa marcher jusqu'au centre de la piste et placer ses aides pour lui demander une cession à la jambe vers la droite.

L'hongre agita les oreilles et croisa membres en se déplaçant latéralement tout en restant vers l'avant. Elle eu du mal à tenir les fesses du blanc qui dérapaient légèrement, néanmoins après quelques essais elle réussit à régler le problème après quelques tentatives infructueuses, et caressa Roméo. Elle le fit changer de main à quelques reprises pour bien le travailler des deux côtés, et puisqu'il travaillait bien, le laissa souffler sur la piste.

Après quelques tours elle pressa ses flancs et lui demanda de prendre le trot. Il s'exécuta dans une allure confortable et pas très rapide, et rapidement lui demanda un doublet dans la largeur avant de, au centre, demander une cession, un coup à droite un coup à gauche. A nouveau l'étalon s'appliqua dans une allure tranquille.

Comme l'étalon avait bien travaillé elle décida d'arrêter là dessus. Elle le laissa marcher, tête en bas pour bien étendre sa ligne de dos, et l'immobilisa avant de descendre et désangler d'un trou. Après avoir remonté ses étriers elle passa ses rênes par dessus sa tête et l'invita à la suivre jusqu'à l'écurie où elle allait bien s'en occuper.

Ecurie

07/01/19

Arrivé dans l'installation, Tedrick ressangla le jeune étalon avant de se mettre en selle aussi souplement que possible à l'aide d'un montoir pour préserver le dos du gris. Il caressa avec vigueur l'étalon et resta en suspens quelques secondes avant d'ajuster ses rênes et de lui demander le pas qu'il prit plutôt rapidement. Il caressa et commença par le laisser marcher tranquillement sur la piste pour l'échauffer, lui demandant quelques changements de main seulement.

Une fois bien échauffé il demanda quelques arrêts. L'étalon s'appliqua à répondre au mieux aux demandes de son cavalier, bien plongé dans le travail, d'autant qu'aucun cheval n'était présent pour le tirer de sa concentration. Si les arrêts n'étaient pas au carré et n'étaient pas toujours immédiat Valiant ne cessait de progresser depuis sa première monte, et Tedrick n'en était que plus fier! Il lui demanda donc quelques arrêts bien espacés pour éviter de le lasser, et après un petit moment où il avait concentré la plupart de ses demandes sur les arrêts, décida de revoir un peu avec lui les transitions pas-trot trot-pas.

Toujours sur la piste il pressa les flancs de l'étalon qui prit un trot énergique et aérien. Un beau modèle en soit! Il le laissa trottiner sur la piste. Un peu vicelard sur les bords l'entier tenta de faire l'imbécile en donnant un coup de dos et faisant un écart. Ni une ni deux Tedrick le remit à sa place avant de lui faire reprendre la piste. Rapidement et pour l'occuper il lui demanda quelques transitions pas trot et trot pas.

Au début l'étalon rechignait un peu à ralentir l'allure, mais il comprit bien vite à ses dépends qu'il y avait un temps pour faire ce qu'il voulait, et un pour travailler. La séance se poursuivit plus calmement, et l'étalon n'étant pas en mesure de suivre une séance de 1 heure, il décida d'en arrêter là. Il caressa et le laissa marcher sur la piste pour souffler avant de l'immobiliser et mettre pied à terre.

Là il tendit une friandise au gris qui ne put la refuser, et passa les rênes par dessus ses oreilles pour le guider vers l'écurie où il aurait droit à quelques caresses, probablement quelques friandises, et un bon pansage!

Ecurie

12/01/19

Arrivé dans l'installation je commençais par lâcher le poney pour aller monter un petit croisillon à 30 centimètres. Le poney en profita pour me suivre où que j'aille, et une fois l'obstacle installé je décidais de jouer de cela. Dans un premier temps je me contentais de marcher un peu partout, suivit du shetland, puis me mit à trottiner. Rapidement le petit hongre pressa l'allure et me suivit en faisant des petites foulées de poney juste adorables. Je finissais même par courir un peu partout, accélérant l'allure pour le faire galoper. Joueur, les oreilles en avant, le poney se mit à galoper derrière moi en laissant échapper un doux hennissement.

L'hongre désormais échauffé je décidais de courir vers l'obstacle que je sautais d'une grande enjambée. Le poney se prêta au jeu et se propulsa derrière le petit croisillon avec plaisir. Arrivé derrière moi il secoua la tête et balança les antérieurs tout en me suivant. Je m'arrêtais et lui faisais face, il ralentit pour ne pas me percuter et soufra un air chaud sur la main que je lui tendais. Je décidais de recommencer, trottinant vers l'obstacle que je sautais.

Rapidement Pompon accéléra le trot pour venir sauter le petit obstacle derrière moi. Je le grattouillais alors entre les oreilles et lui tendait une friandise qu'il prit avec plaisir. Je me rendais alors vers l'obstacle, toujours suivit du poney qui ne me lâchais pas d'une semelle, et montais l'obstacle de 10 centimètres, soit 40 centimètres de haut. Je m'éloignais donc et retournait sauter le petit obstacle, suivit de Pompon qui le franchissait, prenant cela comme un amusement.

Finalement je décidais d'arrêter là dessus, surtout que les trente minutes étaient écoulées. Je retirais donc la barre dans le rangement calé dans le mur du manège et plaçais les chandeliers près des autres avant de remettre la longe du poney et de le ramener à l'écurie tranquillement, très contente de notre séance d'obstacle.

Ecurie

15/01/19

Arrivé dans le manège, je commençais par ressangler l'étalon blanc qui s'impatientait déjà avant de me hisser en selle, le stoppant rapidement lorsqu'il prenait le pas de lui même. Je me plaçais bien dans ma selle, talons descendus et remontant sur mes rênes, et c'est seulement une fois prêt que je demandais à l'entier de prendre le pas. Dans un premier temps je lui demandais simplement de marcher sur la piste, sans rien demander de spécial, puis une fois bien marché aux deux mais commençais à jouer dans mes doigts en lui demandant de s'arrondir en se mettant sur le mors.

L'étalon ne tarda pas à s'exécuter et mâchouilla son mors en engageant bien ses membres sous lui et progressant sur la piste sans problème. Il ne protestait pas, il aimait s'améliorer et montrer de quoi il était capable après tout. Comme cela n'était jamais mauvais j'avais envisagé pour nous une séance de musculation, à base d'exercices de dressage qui travaillaient l'adduction et l'abduction, et qui avaient démontrés de bon résultats! Quoi qu'il en soit, une fois bien marché, je répétais la même chose au trot. Aucun soucis pour Castle Mania qui se déplaçait avec aisance sur la piste, oreilles pointées en avant et concentré sur sa tâche. Je finissais finalement avec un tour de galop à chaque main, toujours arrondi, puis le laisser souffler sur quelques tours de pas avant de commencer l'exercice.

Séance courte mais sportive, je commençais par quitter la piste dans une diagonale et lui demandais une épaule en dedans. L'étalon s'exécuta, et après trois foulées demandait un appuyer. L'étalon connaissait parfaitement l'exercice et comme toujours, le réalisait presque à la perfection. Après trois foulées je redemandais une épaule en dedans, et continuais d'alterner chaque trois foulées les deux exercices. Ces deux exercices étaient complémentaires et l'étalon s'en sortait visiblement sans encombre, toujours en mâchouillant son mors et s'appliquant pour que je sois fier de lui.

En quittant la diagonale je caressais pour le féliciter et le laissais marcher avant de lui demander une diagonale à l'autre main. A nouveau j'alternais chaque trois foulées entre l'épaule en dedans et l'appuyer. Un exercice très bien comprit par Castle Mania, si bien qu'il anticipait mes demandes sans effort et s'appliquait toujours autant qu'en début de séance. Alors je continuais d'alterner à chaque mains cet enchaînement, toujours sur des diagonales, puis décidais de le laisser souffler un petit peu, après tout c'était une séance fatiguante et sportive et il avait droit à un peu de repos.

Finalement je recommençais quatre séries de ce même exercice, toujours sur des diagonales, deux à chaque main, et l'étalon commençant à transpirer et fatiguer, décidais d'en arrêter là. Je lui rendais donc les rênes et l'encourageait à venir baisser la tête pour étirer sa ligne de dos et le laisser souffler un peu, avant de l'arrêter et de me laisser glisser à terre. Je flattais son encolure et désanglais d'un trou avant de remonter les étriers et de le guider vers l'écurie.

Ecurie

19/01/19

Arrivé dans le manège Roxanne regardait tout autours d'elle, curieuse et démontrant son envie de découvrir l'endroit. Je lui faisais donc faire quelques tours à pied autours de la piste pour qu'elle prenne connaissance des lieux sans prendre peur au cour de notre séance, puis l'arrêtais au centre du manège où je commençais par vérifier la sangle, juste au cas où. Je claquais ensuite les étrivières, faisait de grands gestes autours de lui et mettait le pied dans l’étriller en m'appuyant dessus pour voir ses réactions. A mon grand plaisir Roxanne était plus curieuse qu'inquiète et ne réagit donc presque pas à mes gestes, bien qu'ils n'étaient pas vraiment naturels pour la belle alezane. Je félicitais alors et prenais les deux rênes dans la main avant de mettre le pied à l'étriller et me hisser sur son dos. Là haut je caressais, fier d'elle, et ajustais mes rênes avant de presser ses flancs pour lui demander de prendre le pas.

La jument s'exécuta, avançant avec énergie, oreilles toujours en avant et mâchouillant son mors. Je caressais beaucoup et l'encourageais toujours en lui montrant que ce qu'elle faisait était bien. Dans un premier temps je gardais l'alezane sur la pistes sans rien demander de particulier, me contentant de la garder au pas, ce qu'elle fit. Elle n'était pas aussi énergique que précédemment en longe mais elle gardait tout de même ce côté vif qu'elle avait et je ne pouvais qu'être content de la voir si motivée. Ainsi, après avoir beaucoup marché aux deux mains je commençais à introduire quelques figures de manège simple comme des doublets, des diagonales, des voltes et des cercles. A l'écoute et soucieuse de bien faire Roxanne se montrait parfaite, n'ayant rien à lui redire! Et puisque le pas et la direction était acquis je décidais de commencer à voir les arrêts.

A l'aide du mur du pare-botte et de l'ordre vocal mis en place précédemment à la longe je lui demandais un premier arrêt. Attentive la jument s'arrêta en quelques foulées et s'immobilisa. Je caressais beaucoup et félicitais d'une friandise avant de lui redemander le pas. Je la laissais marcher sur plusieurs mètres sans vraiment l'embêter plus que cela, puis je redemandais un arrêt, toujours à l'aide du pare-botte dans un premier temps. Nous répétions à de nombreuses fois l'exercice, toujours espacé de plusieurs foulées de pas pour ne pas la blaser, et plus les demandes étaient fréquente plus vite elle réagissait, toujours avec l'envie de faire bien les choses. Je félicitais alors et vu que les freins étaient acquis décidais de lui demander le trot.

Je pressais alors ses flancs et lui demandais de prendre le trot, ce qu'elle fit. Pour le moment elle ne s'équilibrait pas vraiment mais cela viendrait plus tard au fur et à mesure du travail, pour le moment il était question de lui apprendre à avancer et ralentir ainsi que s'arrêter sur la demande du cavalier. Je l'accompagnais donc au trot enlevé et me contentais de la faire trotter sur la piste, comme au pas, veillant à ce qu'elle garde l'allure et, une fois à l'aise aux deux mains, lui demandais quelques transitions pas-trot ainsi que des figures de manège simple. A nouveau aucun soucis pour l'alezane qui répondait correctement aux demandes, encouragé par les mots doux et les friandises que je lui tendais fréquemment.

Comme elle n'était pas encore très endurante et qu'elle travaillait bien je décidais alors de lui demander le galop, je la plaçais donc sur un large cercle de 20 mètres, et attendait qu'elle soit dans un bon trot pour placer mes aides du départ au galop, qu'elle ne connaissait pas encore, et lui demandais de prendre l'allure supérieur, l'accompagnant et la poussant avec le bassin. Roxanne s'exécuta alors, je veillais à ce qu'elle ne tombe pas dans le cercle pour qu'elle ne se déséquilibre pas, puis après quelques tours félicitais en la laissant reprendre le trot. Je la laissais donc souffler et après plusieurs tours de trot redemandais le galop. A nouveau l'alezane partie avec plaisir, et je cirais ma selle pour l'accompagner, tout en l'encourageant. C'est après deux tours que je la laissais souffler et en profitait pour lui faire changer de main à l'aide d'une diagonale, puis la remettais sur un cercle de vingt mètre, cette fois-ci à l'autre main, où je redemandais à nouveau deux tours de galops.

Décidant d'en arrêter là je caressais beaucoup et tendais une friandise à Roxanne une fois l'arrêt complet. Elle savoura pendant que je me laissais glisser à terre et désanglais d'un trou. Je remontais également les étriers pour éviter qu'ils ne tapent contre ses flancs puis caressais beaucoup avant de la ramener à l'écurie où je la désellais avant de lui passer un coup de brosse et de cure-pied, puis la lâchais au paddock avec ses copines.

24/01/19

Lorsque nous arrivions dans le grand manège bien couvert j'étais ravis de voir que personne n'était encore présent. Je laissais donc la jument le temps de monter un petit croisillon de 50 centimètres environs, pas bien haut mais largement suffisant pour un premier saut, puis la retrouvais. Roxanne c'était tout de suite intéressée à ce que je trafiquais et s'avança, oreilles bien en avant et l'oeil vif. Je souriais et ressanglais avant d'attraper une chaise et de me hisser en selle aussi souplement que possible.

Perché sur le dos de la croisée je caressais et remontais sur mes rênes, puis je pressais ses flancs en lui demandant le pas, l'encourageant d'un appel de langue. Dans une foulée énergique elle s'élança, marchant sur la piste avec enthousiasme, elle aimait faire plaisir et c'était très vite montrée vive en selle, ce qui n'était pas un défaut, au contraire, en tout cas pas pour moi. Je caressais alors et commençais à lui demander quelques transitions vers l'arrêt, afin de revoir les arrêts.

Une fois bien dans le travail je lui demandais de trotter enlevé, et l'accompagnais dans ses grandes foulées. Elle se montrait très énergique, comme toujours, mais aussi très à l'écoute avec une vrai envie de bien faire. Je félicitais et l'encourageais d'un appel de langue, puis une fois prête, lui demandais de prendre le petit galop sur la piste. C'était d'autant plus agréable depuis que Roxanne s'équilibrait et était unis dans son galop.

Une fois bien échauffée je l'emmenais au trot vers l'obstacle, la gardant bien droite. Elle hésita mais un petit encouragement des mollets suffit à la faire passer. Elle prit le galop deux foulées avant son saut mais s'élança avec joie de l'autre côté de l'obstacle. Peu importe si elle prenait le galop avant son saut, l'important était qu'elle franchisse l'obstacle. Je caressais l'alezane, ravis, puis la laissais souffler avant de recommencer le passage à quelques reprises.

Toujours aussi joyeuse Roxanne s'élançait avec plaisir derrière l'obstacle. Je veillais tout de même à la garder droite derrière l'obstacle, je souriais et décidais d'en arrêter là. Nous avions franchit quatre ou cinq fois cet obstacle mais c'était suffisant, d'autant pour son tout premier obstacle franchit! Je caressais alors et la laissais souffler, rênes longues. Puis, une fois récupéré, me laissais glisser à terre. Je désanglais alors d'un trou et remontais les étriers avant de ramener la petite princesse à l'écurie.

Ecurie