H ier soir, après ma balade en montagne, j'étais rentré chez moi un peu fatiguer, je dois dire. Mais par habitude ou plutôt une sorte de rituel. Je m'étais posé devant mon ordinateur pour regarder les ventes de chevaux et j'avais remarqué qu'une vente aux enchères allait avoir lieu aujourd'hui à une bonne heure de route du Haras.
Je pèse le pour et le contre et, finalement, me voilà au haras a sept heure du matin avec ma voiture pour prendre un van; Peut-être allais-je avoir un vrai coup de cœur pour un des chevaux en ventes comme avec ma belle Ocarina. J'avais donc pris un filet de foin, des protections de plusieurs tailles au cas où. On ne sait jamais!
J'accroche le van aux couleurs du haras avec l'aide d'une amie, Mélina, qui c'était proposer pour venir m'accompagner. Bon ok, soit elle rester seule chez moi avec le chien soit elle venait. Car oui elle avait débarqué hier soir, tard dans la nuit. J'avais de suite accepté qu'elle vienne, car elle est une très bonne amie. Nous avons fait un an d'équitation ensemble. Elle avait arrêté, il y a longtemps pour des raisons personnelles qui l'ont poussé à partir. Maintenant, elle ne monte que très rarement.
Cela fait plusieurs années que je ne l'avais pas vu, elle était partie faire des études en Espagne. Elle n'est revenue qu'hier en débarquant chez moi. Elle avait coupé les ponts avec sa famille quelques années plus tôt.
Je m'installe dans la voiture et Mélina s'installa cotée passager. Je rentre l'adresse du lieu dans le GPS, qui m'indiqua plus d'heure dix de route. Il ne faut pas oublier aussi que je tracte un van.
Nous arrivons sur les lieux des enchères après une heure cinquante de route. Deux heures de route quoi. Je sortis de la voiture et m'étirai longuement. Le long trajet n'est pas pour moi.
Mélina fit pareil, je ferme la voiture et nous nous dirigions vers l'entrée. J’avais vraiment l'impression de faire tâche. Car comparer à nous, les autres personnes étaient très bien habillés. D'ailleurs je me sentais dévisager de toute part.
Je souffle un bon coup et décide d'ignorer littéralement les regards choqué de ces riches qui pètent plus haut que leurs popotins. Nous rentrons dans l'immense bâtiment pour nous installer sur les gradins. Au milieu de la salle ce trouvait une piste faite de sable. Nous n'étions qu'une petite trentaine de personnes.
À neuf heures pile, les enchères commencèrent par un magnifique frison. Tout aussi magnifique que son prix. Les chevaux défilèrent, tous diffèrent mais aucun ne semblait m'intéresser. Le présentateur annonça le numéro soixante-six, je me redresse sur mon siège, pour voir arriver un étalon camarguais qui devait à peine de dépasser les cinq ans. Au premier coup d'oïl, je pus apercevoir un défaut d'aplomb, mais rien de catastrophique à mon goût. Mais ce ne fut pas le cas des autres.
Il se fit huer et critiquer. L'étalon ne comprenant pas ce qui se passait commença à perdre son sang-froid et à paniquer. Par un pour excès de colère, je siffle un bon coup. Je réussis à faire taire une bonne partie de la salle. Les enchères pour ce cheval commençaient à 500 euros.
- Je vous le prends Ma phrase résonna, et une dame ce mit à parler:
- Vous ne tirez rien de ces canassons. Sa voix était remplie de sarcasme. Et je n'y prête guère attention me retenant de lui en mettre une. Mais d'autre renchérir la phrase, répétant tous que ce cheval finirait à l’abattoir. Je lève mon carton, signifiant que je le prenais. Le groom eu du mal à contrôlé le beau camarguais pour sortir de la. Je soupir.
- Viens Mélina on s'en va. Ça pue la stupidité ici! Dis-je à mon amie en descendant les marches direction les box. J'arrive dans la partie réserve au acheteur, je ne leur prête pas la moindre attention et me dirige vers le propriétaire du gris. Je lui serre la main et signe les papiers d'achat.
J'avais acheté ce cheval sur un coup de colère, mais il est vrai que je ne savais pas ce que j'allais en faire. Seul le temps nous le dira. Le monsieur nous donna aussi les affaires de Quality, voilà comment s’appelait ce petit bout de cheval. Je donne les affaires à Mélina et prend par la longe le camarguais qui c'était calmé. Je découvris un cheval docile et gentil. Il monta parfaitement bien dans le van, je le caresse avant de sortir du van et de le fermer.
Je monte dans la voiture et me dépêche de quitter ce lieu, durant tous le trajet l'étalon fut d'un calme olympien. Malgré le faite que je roulais lentement. Nous arrivons au Haras deux heures et demie plus tard.
Pendant le trajet ma jeune amie avait appelé le haras pour leur demander de préparer un box pour le gris. Elle avait aussi appelé le véto.
Sur place, Henri mon vétérinaire m'aida à sortir le jeune Camargue du van. Le palefrenier avait préparé le box juste à côté d'Okarina, J'irais le remercier à l'occasion. J'attache le cheval à l'anneau tendit que Henri l’occulta de long en large et en travers. Moi pendant ce temps la je me diriger vers la sellerie ou je fis de la place pour mettre les affaires que je vais devoir changer, d'urgence au vue de leur état pitoyable. -Ce cheval est en bonne santé hormis les fourchettes pourries. Me dit le véto quant je reviens vers eux. J’acquisse et le paye comme il ce doit. J’appellerais le véto tout à l'heure pour qu'il puisse passer voir et changer les fers de mes deux chevaux. Je rentre l'étalon dans son nouveau box et pars du Haras avec Mélina. Il me rester plusieurs chose à faire chez moi.
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Sam 9 Déc - 19:47
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Mer 13 Déc - 13:33
Seul le temps nous le dira
Durant la ballade avec Nihal, j'ai pus remarquer que le petit défaut d'aplomb de Quality d’exécuter certaines de mes demandes correctement.
J'avais donc passait toute la soirée à essayer de trouver une solution adéquate au petit camarguais. Et la seule solution qui me paraissait juste et envisageable pour le petit gris était le ferrage spécial.
Heureusement pour moi le maréchal devait passer au haras dans la journée mais il ne savait pas précisément à quelle heure il pouvait passer. Il n’avait pas mal de chevaux à voir avant d'aller voir venir voir Quality et Okarina.
Je devais donc attendre avec Quality tandis que Mélina aller monter ma barbe. Je le lui avais proposé car la jument n'avait pas beaucoup travaillé c'est dernier temps et puis ça lui permettrais de ne pas s’ennuyait et de devenir une loque.
Je profiterais du faite d'être avec le gris pour le brosser et à apprendre à le connaitre un peu plus. Et pourquoi ne pas lui faire aussi visiter le haras en attendant. Je sortis de la maison en compagnie de Mélina et Sirius, qui avait tous un cinéma pour venir avec nous.
Je démarre la voiture une fois tous ce beau monde installé, nous arrivons quelque minutes sur le parking du haras. Je descends suivis par la rousse et le berger allemand. Ensemble nous nous dirigions d'un pas commun vers les écuries réservés au propriétaire. J'embrasse sur le bout du nez mes deux chevaux.
Mélina partit directement à la sellerie chercher de quoi brosser les deux. Sirius la suivis, curieux. Elle revient quelque instant avec deux boites. On en avait déposé une hier soir.
Sirius s'approcha du petit nouveau en s’appuyant sur la porte du box pour essayer de voir à l'intérieur. Je souris face à la curiosité du noir. L'étalon renifla deux minutes avant de s'en désintéresser totalement.
Mélina me tendit une boite de pansage que je pris s'en hésitait et rentre dans le box du camarguais. Je dépose mes brosses au sol et en sors l'étrille. Je la passe de façon circulaire sur tous le corps. Passant bien sur le ventre pour enlever les bouts de pailles accroché.
J'en profite pour le caressé afin de l'habituer à moi. J'entendis un couinement de derrière la porte qui me fis sursauter. Quality releva la tête de son foin, intriguer par ce bruit. Je m'avance pour voir Sirius avec une tête de battu, les yeux larmoyants.
Je soupir longuement avant de lui ouvrir, et lui fait comprendre qu'il ne doit pas chouiner. Je laisse la porte du box ouverte et seulement fermer d'une chaîne.
Je retourne à mes occupation ne me souciant guère de Sirius qui s'installer dans u coin de la stalle. Je reprend mon pansage en prenant le bouchon, je dépoussière la robe grise du camarguais qui continuer de manger.
Je passe ensuite aux crins, il va me falloir mon spray démêlant pour enlever le tas de nœuds. Je sors du box et me dirige vers celui de gauche, où ce trouvait la barbe. Je sus que Mélina avait fini le pansage depuis longtemps en voyant ma jument garnis.
Il est vrai qu'hier soir je lui avait dit que je débourrer ma petite Okarina à l'attelage et qu'elle n'avait fait que le port du harnais et le travaille en longe. Il lui rester à apprendre à ne pas avoir peur de tracter quelque chose. Et comme la jeune fille savait le faire elle c'était proposé de finir le débourrage. Elle m'enlever une épine du pied.
Je chope le spray tandis que mon amie sortit la sooty palomino. Et je re rentre dans le box de Quality. Je lui présente le produit et lui pulvérise sur la crinière. Je passe doucement le peigne dedans. J'eus un peu de mal à me débarrasser des nœuds mais après plusieurs passage les sac de nœud partirent petit à petit.
Je fis la même chose pour les crins de sa queue, par chance il y avait peu de chose à enlever comparer à la crinière. Je fini sur les pieds, pas trop sale dans l'ensemble.
Je pars chercher un licol, le bleu foncé est le seul qui me restait pour l'instant. Je lui enfile plutôt facilement. Quality avait plongé le museau directement dedans. Il voulait sortir. Je souris et lui parle pour le félicité de son acte.
Je le sortie et je commence ma visite par le reste de l'écurie. Je continue par celle du club, Quality regardais tous autour lui, curieux et heureux de voir de nouvelle têtes. Je le dirige vers la carrière où, malgré le temps frais, plusieurs cavaliers sautaient.
Je laisse le temps à l'étalon de regardait et de manger quelque brins d'herbe avant de continuer notre chemin vers le rond de longe. Je fini par longer le manège et m'arrête pour le laisser broutait l'herbe qui avait survécu à la neige.
Dommage que la neige n'avait pas tenu longtemps. Je n'avais pas eu l'occasion de voir le haras sous la neige. Mais j'ai de beau espoir de fêter noël sous la neige. Je regarde l'heure et voit que nous somme dehors depuis plus d'une heure.
Je décide de rentrer au box pour ne pas manquer le maréchal. J'ai bien fait de revenir car il arriva dix minutes plus tard. J'envoie rapidement un message à Mélina pour qu'elle ramène Okarina le temps que le monsieur examine l'étalon.
Après avoir observer et manipuler le postérieur gauche, il se redressa. - Si vous décider du lui mettre un fer correcteur d'ici deux mois il n'aura qu'un léger défaut. - Très bien. Mettez lui un fer de correction. Quel discipline pourra t'il effectuer avec son fer? lui demandais-je.
- Tant qu'il aura son fer il pourra faire toutes les disciplines hormis le saut, m’explique t"il. il pourra sauter une fois son fer retiré.
J’acquisse et le laisse s'occuper du gris. L'étalon resta très sage durant la pose de son fer, un vrai amour de cheval. Il risque néanmoins de boiter quelque temps, il faudra donc que je le laisse au repos quelque jours avant de reprendre tranquillement le travail.
Je le rentre dans son box et le recouvre d'une couverture polaire. Car il fait bien froid. Je sortie une friandise que l'étalon avala goulument. Il essaya d'en prendre une autre en farfouillant dans mes poches, je rigole et le caresse.
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etoly
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Sam 16 Déc - 21:01
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Mar 26 Déc - 12:46
Un peu de travail
V oilà presque trois semaine et demi que le maréchal était passé pour le problème d’aplomb du camarguais. J’avais laissé à Quality le temps de s’habituait à son nouveau fer, je l’avais sortie plusieurs fois dès le troisième jour de convalescence. Il ne boitait plus s’étant fait au fer.
Au début, je ne fessais qu’un petit tour, restant dans les écuries de propriétaire. Pour aujourd’hui j’irai dans le rond de longe pour commencer à le travailler tout doucement. J’avais avec moi un caveçon, un surfaixe noir et de quoi le brosser.
J’arrive devant son box, j’en profite pour faire un petit coucou à Okarina et à son fils Sisco. Je dépose mes affaires devant et entre dedans. Je le caresse longuement avant de lui retirer sa couverture polaire noire.
Je la plie comme il faut et la pose sur la porte en bois du box. Je passe un coup de brosse douce sur sa robe grise. Je démêle tranquillement ses crins blancs, je lui cure les sabots, regardant attentivement son fer spécial.
Je lui présente le surfaixe et lui sangle, ensuite je sors le caveçon de mon sac. Je lui enfile et prends une petite longe et l’attache à l’anneau du dessous.
Je prends la grande longe que je place sur mon épaule droite, il ne servait à rien de sortir avec une immense longe. Nous nous dirigions d’un bon pas vers le rond de longe.
Mais il ce trouvait qu’une personne attendais déjà devant, je réfléchie à ce que je peux faire en attendant, hormis faire le tour du Haras. C’est tous ce que je pouvais faire, j’effectue une légère pression sur la longe bleue.
Quality me suivit docilement à travers le les diverses écuries. J’aurais du en profiter pour prendre avec moi Sirius. Le pauvre chien n’était pas venu depuis longtemps, il restait avec mon amie à la maison.
Je longe le manège, laissant le camarguais essayer de trouver de l’herbe parmi la couche de neige qui recouvrait le Haras depuis plusieurs jours déjà. Il finit pas abandonner ne trouvant rien à ce mettre sous la dent.
Je tourne autour de la carrière regardant les cavaliers évoluer. Les fêtes de noël était passé, je l’avais fêté avec Mélina et Sirius. N’ayant pas de famille et elle non plus.
J’avance doucement, flânant de ci de là, regardant les chevaux dans les paddocks, le personnel travailler. Je reviens vers l’installation une heure après être juste avant que la personne ne sorte, j’avais de la chance personne n’attendais devant. La porte s’ouvrit et je découvre avec stupeur, le jeune homme du 24 décembre.
Je le salue, étant polie. Pour la première fois, il me salua. Un peu froidement mais il le fit quand même. Je rentre dedans et ferme derrière moi.
J’arrive au Haras en compagnie d’Anna et de Sirius, J’avais enfin trouvé une maison dans laquelle je me suis installé pour ne pas déranger plus Anna. Elle avait été bien gentille de m’accueillir aussi longtemps chez elle.
Mais qu’elle ne s’inquiète pas, ma maison ce trouvait une rue plus loin que la sienne. Je continuerais donc de squatter chez elle. Qu’elle le veuille ou non. C’est donc pour fêter mon déménagement que nous avions décidé de partir en ballade en forêt toute les deux.
D’un commun accord nous avions choisie nos chevaux. Anna prendrait sa belle Okarina tandis que je prendrais Quality. Je l’avoue j’ai un peu craqué sur l’étalon malgré son physique assez basique. Je dépose mes maigres affaires devant le box du camarguais.
Celui-ci dormait à moitié au centre de son box. Je claque ma langue pour le réveiller et ainsi attiré son attention sur moi. il ouvrit difficilement les yeux et me regarda un peu avant de bailler. Je tends ma main avec posé sur ma paume un bonbon.
La réaction de l’étalon ne ce fit pas attendre. Il relava la tête, les oreilles bien et avant et vînt prendre du bout des lèvres la friandise. J’en profite pour lui caresser le chanfrein, je me dirige ensuite vers la sellerie des propriétaires. Je trouve les affaires du gris facilement, comme par habitude je pose le filet noir sur mon épaule droite et la selle plus le tapis sur mon avant bras gauche.
Je piquerais les brosses d’Anna, ça me facilitera la vie. Les box de ses chevaux sont côte à côte alors autant en profitait ! Comme il fait assez bon pour un jour de décembre je décide de seller le gris en dehors de son box.
Je dépose le matériel sur le porte-selle à droite du box, je sors du sac d’Anna le licol bleu du camarguais. Je rentre à l’intérieur sans prendre la peine de fermer, je lui enfile son licol et le sors du box pour l’attacher à l’anneau prévu à cet effet la. Je lui enlève sa couverture et la plie pour ensuite la déposer sur la porte du box.
Je pris la boîte de pansage et la place entre les deux chevaux pour que l’on puisse prendre les brosses sans faire trop d’aller et retour. Je commence par les sabots, je pose ma main sur le haut de ses membres et je la fait glisser pour que le gris me donne docilement ses sabots.
Je lui cure tranquillement, il ce laisser faire dormant encore à moitié. Je me redresse une fois les quatre faits. Je repose le cure-pied et attrape l’étrille qui n’était pas disponible au début. Par chance ou plutôt grâce à la couverture, l’étalon n’était pas très sale.
Je fini donc rapidement le pansage avant de placer sur le garrot le tapis bleu et l’amortisseur en mousse. Je fais de même avec la selle, je la sangle directement à fond. Je m’attaque ensuite au filet en cuir noir. Pour m’aider je passe mon bras droit ses deux oreilles pour venir choper la têtière, j’accroche la sous-gorge et la muserole.
Je prends ma bombe de mon sac et détache Quality pour me diriger avec lui au monitoire. Je descends les étriers et grimpe sur le dos du gris. Je me décale pour laisser l’accès au marche et entendis Anna et sa jument.
P Point de vue Anna : J’arrive au haras de bonne heure, le maréchal ferrant aller passer pour retirer le fer spécial à mon petit camarguais, que j’allais bientôt offrir à Mélina.
C’est deux là s’entendait à merveille et je voulais le meilleur pour mes chevaux. Me voilà donc à huit heure devant le box du gris qui dormait à moitié.
Je rentre doucement dans son box en ouvrant le loquet. Je m'approche de l'étalon le réveillant en passant. Il bâilla à s'en décrocher la mâchoire. Il secoua sa crinière, je le caresse doucement le chanfrein, je le quitte quelque instant pour aller chercher de quoi le brosser et l'attacher.
J'ouvre en grand son box et le ferme qu'à l'aide de la chaîne. Je reviens la boîte de pansage dans une main et le licol dans l'autre. Je rentre dans le box en passant par dessus la chaîne manquant de empiéger dedans. Je dépose les brosses sur la mangeoire.
Je lui retire sa couverture, je commence par faire les sabots et fais rapidement la crinière qui n'étais pas si grade que ça. Je prends ensuite le bouchon histoire de lui enlever poussière .
Le bruit caractéristique d'une camionnette ce fit entendre, je me penche pour faire dépasser ma tête du box. Quality fit de même, je regarde le maréchal ce garer et sortir de sa voiture.
Je met le licol à Quality et sortie du box pour l'attacher à l'anneau, je pars à la rencontre du professionnel. Il examina le sabot et la patte du camarguais avant de me confirmer que son problème d'aplomb était quasiment réglé.
J'avais deux-trois heure de libres devant moi, je me dirige donc vers la carrière pour observer les cavaliers évoluer tranquillement malgré le froid mordant.
Deux heures plus tard
ça y est, le brave Quality en avait fini avec son fer spécial, il avait maintenant un fer tous neuf comme les autres. Je paye le monsieur et rentre le gris dans son box. Je le papouille avant de lui remettre sa couverture et de le quitter.
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Mar 16 Jan - 20:04
Un jour spécial
P our mon anniversaire Anna m’avait proposé de faire une petite ballade pour le fêté avec les chevaux. J’avais de suite accepté sa proposition, nous avions prévue de partir du haras vers dix heures.
J’arrive au haras une demi-heure, je pars chercher les affaires de Quality, j’avais demandé à Anna si je pouvais le monté car j’avais un énorme coup de cœur pour lui.
Et pars chance elle avait accepté, je pars dans la sellerie prendre le reste des affaires du camarguais, c’est-à-dire de quoi le brosser. Je remarque qu’Anna ce trouve d’ici en surprenant Sirius me suivre.
Mais en sortant de l’installation le chien sur mes talons, je manque de percuter quelqu’un. Il s’agissait d’un garçon que je n’avais encore jamais vu ici.
Je le salue gaiment, sauf qu’il ne fit que hocher la tête et me contourna. Encore un mal polie pourri gâté ! Je continue ma route sans me soucier plus que ça.
Je commence à préparer mon cheval, j’ouvre la boîte de pansage et sors l’étrille. Il n’avait pas beaucoup de saleté donc cette brosse passa rapidement. Je passe au bouchon, je fais des mouvements de haut en bas lui enlevant de la poussière.
Je passe sur son flanc gauche et continu le brossage. J’éternue avec la tonne de poussière qui ce dégager de l’équidé. Je repose le bouchon et prends le cure –pied. Je lui prends en premier lieu l’antérieure gauche en faisant glisser ma main le long de sa patte.
Il me les donna de lui-même, je le félicite et le caresse de long en large. Profitant de chaque moment avec lui. L’étalon me souleva le bras pour que je continue mes caresses. Je souris avant de lui accorder sa demande.
Néanmoins il fallait que je me dépêche de finir de le seller, sinon j’allais me faire appeler Arthur par Anna, je pose donc le tapis bleu azur et l’amortisseur au niveau du garrot du camarguais avant d’y mettre la selle.
Je la sangle au maximum et lui enfile son beau filet en cuir noir. Je boucle la sous-gorge et la muserole. Je mets ma bombe et sors du box avec Quality sur mes talons. Je me dirige vers le montoir, je descends les étriers et me hisse sur le dos du gris.
H Qu’elle ne fut pas surprise quand Anna m’a gentiment proposé de mettre mes deux chevaux dans son domaine. C’est donc toute joyeuse que je me dirige vers le box de mon tout premier cheval : Quality. Un magnifique camarguais au physique pourtant plus que banal.
Je me dirige dans un premier lieu dans la sellerie pour en ressortir quelque minute plus tard muni d’une boîte de pansage et d’un beau licol bleu roi.
Je rentre dans le box de l’étalon et lui enfile son licol juste après l’avoir gratouiller joyeusement en dessus du cou. Je le sors de son box puis me dirige tranquillement vers son nouvel habitat, je me repère à l’aide des pancartes nouvellement mit a jour.
Domaine du Lys
Je suis enfin arrivé à destination, Quality répondit à un hennissement me faisant sursauter. Je fis au loin une silhouette venir dans notre direction. Je souris quand je reconnu Anna, qui semblait l’air presser. Je la salut rapidement avant de continuer m’a route tiré par un étalon curieux.
Je rentre dans les écuries magnifiques. Faite en bois sombre, le toit dépasser un peu nous permettant de nous abritait en cas de pluie. Sur chaque porte de box ce trouvait une plaque ayant pour inscription le nom du cheval en question et de son propriétaire.
Je les scrute pour trouver le nom du mien. L’écurie formait un u parfait avec en son milieu quatre autres box plus ou moins grand avec la sellerie et un petit hangar contenant déjà une belle calèche.
Le box de Quality ce trouvait être le cinquième en partant par l’entré droite de l’écurie, et qu’elle ne fut pas ma surprise quand je remarque que les box ouvraient sur une belle étendu verdoyante a souhait de quoi dégourdir les pattes de nos chers compagnons.
J’apprécier beaucoup ce détail. Pour moi les chevaux ne sont pas vraiment fait pour rester dans un box même si je dois l’avouer certain équidé s’y plaisait bien.
Je fais rentrer le camarguais dans son box en paille fraîche et le laisse observer son nouveau chez lui. Ah ma joie, il tourna sur lui-même avant de s’allonger lourdement sur le sol avant de ce rouler. Après s’être bien roulé, je rentre à mon tour à l’intérieur muni de mes brosses.
Je souffle devant toute la paille que j’allais devoir enlever, je m’arme de l’étrille et commence par faire de large cercle sur le ventre, passant bien en dessous pour retirer toute les saletés.
Une fois cela fait je passe aux autres brosses avant de terminer par lui démêler les crins. Je lui offre une bonne friandise avant de sortir pour aller chercher la petite Brume qui ce trouvait être une jeune pouliche acquise il y a peu.
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Ven 23 Fév - 17:49
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