Je décide commencer la ballade a pied. J'avais suivie le chemin le plus a droite en sortant du Haras. Nous longions un immense champs, devant nous, mon jeune berger allemand reniflait partout, courant d'un bout à l'autre du chemin. Au début Okarina l'avait regardé faire, puis elle s'était désintéresser de lui et ce concentra sur le paysage malgré le faite qu'on ne voit presque rien.
J'arrive a une intersection, j'en profite pour monté sur la belle et l'engage au petit trop sur le petit chemin de gauche. Le chemin donnait la vue sur un pré ou je pouvais entrevoir la silhouette de plusieurs chevaux.
On continua de trotter une bonne dizaine de minutes avant de repasser au pas pour traverser la route en toute sécurité. un panneau m'indiqua que la plage n'était plus très loin. Le ciel commençait a s'éclairer et avec un peu de chance je verrais le lever du soleil. Je trouve Okarina bien détendu et profite du moment pour lâcher les rênes laissant la jument aller où bon lui semblait.
Nous traversons une autre route avant d'apercevoir la mer étendu a perte de vue. La barbe releva la tête bien haute. Je la dirigea vers l'entré de la plage.Le soleil commençait tout juste a pointait le bout de son nez. Il n'y avait pas encore de sable mais au moment ou elle posa un sabot dans le sol je la senti ce tendre. je la rassure en la caressant et la talonna pour l’inciter a continuer.
Dès qu'elle fut habituer au contacte du sable, je pus la laisser rêne longue. Sirius lui, courrait à en perdre la tête. il sauta même dans l'eau! Je dirige doucement Okarina vers la mer, celle-ci est plutôt calme a part quelque vague. la jument baissa la tête au dessus de l'eau et renifla.
Je la laisse faire, ne voulant pas la braquer. elle fit un pas pas mais recula bien vite quand l'eau toucha son sabot.
Je rigole et la rassure. En revanche quant elle vit Sirius y aller franchement, elle n'hésita plus une seule seconde et posa les quatre fers dans l'eau. Je la lance au trot, puis quittant doucement le bord de mer. Je la lance au galop, Sirius commença a faire la course et la jument si prêta au jeu. Après cinq minute de galop, je la ralentit et repasse au pas. Je profite de l'aurore et flattant l'encolure de la pommelé. Le retour ce passa dans le calme.
Nous étions repasser par le même chemin, on a croisé une dame et son chien, et Sirius en a profiter pour jouer avec. J'arrive dans la cour du haras et je rend compte que cela fait plus de trois heures que nous étions partie. il est maintenant neuf passait. Je ramène Okarina au box sans descendre de son dos.
Je m'engage sur le chemin en terre, direction la forêt, petit à petit les arbres immenses au couleur de feu prirent place dans le paysage. Rendant la robe d'Okarina encore plus belle qu'à l'accoutumée.
Nous avançons dans un pas tranquille. Les feuilles mortes virevolté au grès du vent, tout autour de nous. La brise légère fessait voleter les crins blanc de la barbe ainsi que mes cheveux.
A cette heure avancé de la journée, j'aurais peut être là chance d'apercevoir les animaux peuplant la forêt. Je talonne doucement les flancs de la belle pour partir au trot. Je lâche les rênes, laissant la jument choisir le chemin qu'elle voulait. Je me laisse bercer au rythme du trot.
Okarina repassa d'elle-même au pas avant de d'arrêté, levant les oreilles en direction d'un endroit bien précis. Au premier abord je ne voyais, puis le silhouette d'un cerf ce découpa.
Je reste quelque temps a l'observer Je reprends les rênes et demande a Okarina de repartir. Les oiseaux chantait et volait au dessus de nous. J'aperçus une petite rivière en contrebas. J'écarte m'a rêne droite coupe a travers les arbres. Sortant des sentiers balisés.
Après plusieurs minutes a descendre le talus de feuille morte, je laisse la jument boire a sa guise, elle entra un peu dans l'eau. Qui pourtant était de basse température. De la où je me trouvais, je pouvais apercevoir quelques poissons mangeaient des insectes qui avait le malheur d'être sur leurs passage. Une brise secoua les arbres, et les feuilles les plus anciennes tombèrent. Certaine atterrirent sur l'eau créant une onde.
Je caresse doucement l'encolure de la barbe en regardant ce magnifique spectacle. je la sort de l'eau et repris notre route. Je pars au trot et continue mon chemin dans le calme et la quiétude. Une intersection s'offrit à moi, je ne m'arrête pas et continue sur le sentier de gauche. Le soleil de novembre jouait à cache-cache parmi l'épaisse couche de feuille des arbres encore bien garnis. Je croise sur ma route un vieux monument, une statue de pierre recouverte de mousse.
Je l'observe quelque temps et continue mon chemin. Regardant loin devant moi pour savoir si le chemin était libre pour que je puisse lancer Okarina au galop. Elle fila comme me vent, les crins fouettant l'air, fessant volé les feuilles rouge orangé tapis sur le sol. On fit peur a des petits lièvres qui ce trouvais sur le bas côté. Je me redresse et fini par repasser a un pas dynamique.
Ayant un peu mal à la jambe, je retire mes étiers et les croises sur le devant de la selle, je finirais la ballade rênes longue et sans étriers. Il est temps de faire demi -tours, le soleil n'allait pas tarder à ce coucher pour bientôt laisser place à la lune. Je repasse devant l'étrange statue, quelque oiseau avait décidé d'en faire leur perchoir.
Le soleil déclinait petit à petit créant une magnifique palette de couleur rosé dans le ciel parsemé de nuage tous aussi de coloré. La nuit pris place, rendant la vision plus difficile mais je fessais confiance à l'ancienne randonneuse pour nous ramener au Haras.
Un hibou hulula me fessant sursauté, je voyais et entendait la forêt sous un nouvelle angle. Je souris contente de cette petite ballade. Les lumières du haras m'indiquèrent que nous étions arrivés et que la ballade allait toucher à ça faim. Une fois arriver dans la cours, je m'étire et descend pour ramener Okarina dans son box après l'avoir bien brossé et chouchouter. Malheureusement ce fut l'heure de la quitter, il commençait a faire tard et Sirius m'attendait à la maison.
La température avait nettement chuté cette semaine, si bien que j'ai du remettre des gants pour ne pas perdre mes pauvres doigt durant la ballade. J'avais laissé Okarina suivre le chemin sans tenir les rênes. Sirius marchait devant nous en trottinant, reniflant les différentes odeurs qui passaient sous son museau.
La sooty palomino avait l'encolure bien basse, les oreilles bien en avant. Nous quittons le chemin principal pour prendre un petit sentier séparant deux immenses champs.
Dans le champ de gauche ce trouvait un grand troupeau de mouton, Okarina, curieuse passa son encolure par dessus la petite barrière non électrifié. Elle essaye de sentir les petits animaux, un mouton plus petit que les autres vînt a sa rencontre.
Un sourire attendris étira mes lèvres, les deux êtres ce touchèrent le museau, je décide d'immortalisé ce moment en prenant une photo d'eux. Malheureusement Sirius commençait sérieusement a s'impatientait et fessais des allers et retours entre nous et la fin du chemin pour me faire comprendre que nous devions y allers.
Je soupir et reprend mes rênes a contre cœur. Nous continuons donc notre routes vers la forêt, le petit mouton nous avais suivis jusqu'a ce que nous traversions la route, les animaux on bien plus de compassion et de sentiments que nous le pensons. Je caresse affectueusement l'épaule de la belle et joue quelque temps avec les crins blancs.
Le pas actifs dans lequel Okarina marchait nous mena vers l'orée de la forêt, j'y rentre longeant la route vide de voiture. Tant mieux, certains conducteurs ne fessaient pas attention au cavalier sur le bord de la route.
Le chemin public arriva dans mon champ de vision, j'écarte ma main droite et dirige la barbe vers celui-ci. Je siffle Sirius qui lui avait continué tout droit, le chien revient en courant et ce remis devant ouvrant la marche.
Durant la traversait du chemin nous croisons quelque marcheurs qui s'arrêter et me demander si ils pouvaient caressait ma jument. Ce fut donc une séance de câlin pour la belle et quelque fois pour le jeune Berger allemand. Le pauvre.
Nous nous dirigions maintenant vers un sentier nous permettant de rejoindre la montagne. Je profite du moment pour lancer la belle au trot histoire de la réchauffer et moi aussi en passant.
Après plusieurs minutes de trot en équilibre. Je demande à la jument de galoper sur les derniers mètres de chemin. Je pouf de rire en voyant Sirius tombé la tête la première dans un petit trou. Je ralentis donc pour repasser au pas rapidement. Nous étions arrivés au pied de la montagne, je m'engage sur le chemin en serpentin. Les cailloux roulé sous les sabots de la randonneuse, j’étais en équilibre jusqu'à arriver sur un plateau. Des petits buissons remplissais le paysage, je passe au travers et descend la pente parsemer de petit rocher. On voyait que la barbe connaissait son boulot. Pas une seule fois sans trébucher, choisissant d’instinct le bon passage.
Je reste admirative devant la souplesse de la jument dans certain moment. Bon je ne parle pas de Sirius qui s'épuisait à courir das tout les sens et sautais par dessus les buissons et gros rocher. Il va ce faire mal s’il continue ainsi! je soupire et décide de couper le chemin en montant une pente, Je talonne la belle et me met en équilibre pour l'aider à gravir.
J'arrive sur un petit chemin où il est impossible de coupé au travers. le chemin était fait en espèce de petit cailloux, c'est une voie de communication fait pour les randonneurs.
Après une bonne heure à suivre le chemin balisé, je me retrouve tout en haut de la montagne. Je reste bouge bée devant la beauté du paysage. D'ici on pouvait apercevoir la mer.
Une bonne partit de la montagne était entourée par la forêt, juste à côté de moi ce trouvait un refuge. Celui-ci était magnifique assez grand pour accueillir au moins cinq personnes, il était en bois vernis et semblait nouveau. Je le contourne et continue mon chemin. Je repère un sentier qui me redescendra vers la forêt sans trop de difficulté.
J'y amène la jument tranquillement. Le sentier ce trouvait être en roche bien glissante, pour ne pas gêné la jument, je mis pied à terre. Je remonte les étriers et laisse la jument avancé seule, tandis que je passais par mon propre passage. Nous descendîmes sur plusieurs mètres avant de pouvoir remonter à cheval. Durant la descente Sirius c'était laisser aller et avait dévalé la pente en courant, il nous attendait un peu plus loin. Ce chien allait me tuer un jour.
Mon ventre gargouilla bruyamment, il allait être midi. Bah je mangerais au Haras! Nous continuons notre périple au travers des buissons et des marches de rocher. Heureusement que j’avais des chaps car j’aurais dit au revoir à mes mollets. Nous passons sur un large chemin longeant le bord de la falaise. Il ne fallait pas avoir le vertige !
Ce chemin duras sur une bonne centaine de mètres avant de finir sur une petite route. Un virage pour être exacte, juste en face se trouvait un passage mais après mure réflexion je décide de passer ailleurs. Merci au marcheur qui passait par là et qui m’avait indiqué un chemin plus praticable situé un peu plus en remontant la route.
Effectivement hormis un tuyau en béton il n’y avait rien plus sur ce petit chemin de terre. La forêt commençait à reprendre du terrain et bientôt je fus arrivé dedans. J’éternue et remarque un petit flocon passait devant mes yeux. Je clin des yeux plusieurs fois pour être sûr. Des multitudes de flocons tomber sur les crins de la barbe et tous autour de nous.
Je lâche les rênes et regarde avec émerveillement la neige s’installer petit à petit. Je souris telle une enfant le jour de noël.
Je lance Okarina au trot pour lui dégourdir les pattes, je remarque que Sirius s’amusait a manger les flocons, je ris doucement et lui demande de venir pour ne pas le perdre de vue. Finalement sur la dernière ligne droite avant le Haras, je presse mes talons dans les flancs de la jument et demande un départ au galop. La sooty s’exécuta avec joie. Nous filions comme des flèches à travers la forêt.
Mais je dus la ralentir pour repasser au trot en rentrer dans la cours du Haras qui commençait à être recouverte d’un manteau blanc.
Anna venait d’arriver, elle monta sur le dos de sa jument. Je lui demande donc comment elle à réussi à arriver en retard alors qu’elle était à cru. La réponse ne tarda pas à arriver, Je souris et la taquine un petit peu. La pauvre rougis fortement avant de changer de sujet en me demandant où je voulais aller. Ce fut la plage qui gagna, depuis le temps que je rêve d’aller à la plage à cheval. Soit j’y suis déjà allé en ballade mais pas entre amis. C’est donc côte à côte que nous nous engageons sur le chemin menant au champ. La route pris la place du champ et je dus me placer derrière Anna pour ne pas gêné les conducteurs. Je lâche un peu de rêne et laisse Quality rêne longue. C’était assez marrant de voir que durant les balades je montais de façon western. Anna avait carrément lâche ses rênes, fessant complètement confiance à sa monture, après tout Okarina était une jument de randonné. Devant nous Sirius trottinait gaiement, il faisait même des allers et retours entre moi et devant. Ce chien était une vrais perle rare, intelligent comme le voulait sa race et d’une gentillesse à toute épreuve. Sauf quant il avait décidé de faire les quatre cent coups. Là il devenait un véritable démon, ce chien regorgé de surpris en tout genre. Mon amie tourna sur le petit sentier à sa droite, nous longions maintenant un bord de champs, la neige était bien présente sur ce chemin, rendant le paysage magnifique. Le camarguais regardait partout. La route n’était pas glissante pour un sous et c’est donc avec plaisir que j’accepte la proposition d’Anna qui était de faire un peu de trot histoire de réveiller les chevaux. Je presse les talons et me laisse entrainer doucement. Je remarque que Quality ne chauffer pas et rester sagement derrière son amie. Je le caresse l’encolure toujours au trot. Nous repassâmes au pas à la fin du chemin pour traverser la route tranquillement. La plage n’était plus très loin, je pouvais le sentir en observant le gris, il avait relevé la tête et fixer un endroit au loin. Et puis le berger Allemand devenait encore plus fou, courant partout et dans tous les sens. Je fais traverser la dernière route à l’étalon avant d’entrer dans le couloir de sable, la mer s’ouvrit à nous, d’un bleu pur et calme. Je fais avancer doucement Quality sur le sable fin et doré. Un pur régale pour les yeux, je raccourcis mes rênes et amène le gris sur le bord de plage dans l’optique de lui faire trempé les pieds.
Point du Anna : Après plus d’une demi-heure de route nous étions finalement arriver sur la plage, je m’éloigne un peu de Mélina, la laissant faire ce qu’elle voulait. Moi je suivis Sirius qui s’amuser à sauté un peu partout sur le sable. J’approche la barbe sur le bord de l’eau et continue de longer la mer sur la droite, rejoignant moi amie qui avait fait comme moi. Je lui propose de faire un bon petit galop, et pourquoi pas de faire la course. Quality c’étant bien habitué à son fer. D’ailleurs j’ai remarqué que son petit défaut d’aplombs s’atténuer doucement. Je l’ai vu quant Mélina marchait à côté de moi. Nous nous tenions côte à côte, toujours sur le bord de mer, pour aider un peu les chevaux à galoper. Je raccourcis les rênes et donne le top départ. La réaction des chevaux fut immédiate, Okarina qui d’habitude était plutôt cool pépère me fit un bon en avant. Je ne compris pas trop mais on filait comme des flèches sur le sable, je me retiens de tomber en m’accrochant à la crinière. L’adrénaline me prit l’estomac et je rigole de bonheur, je pouvais sentir les muscles de ma jument sous moi. J’encourage ma jument, Quality reprenais du terrain, nous dépassant juste avant l’arrivé. Je ralentis la sooty palomino pour repasser petit à petit au pas. J’avais un sourire énorme collé sur le visage. Mélina aussi d’ailleurs, elle faisait une dance de la joie sur le camarguais qui transpirer un peu. Il n’avait pas l’habitude de faire ce genre de chose. Nous repartons vers le Haras au pas, Quality avait assez fais de chose pour aujourd’hui il méritait de ce reposer. Une fois rentré au Haras, j’enlève le filet à la barbe et la rentre dans son box. Je lui offre des caresses et friandises. J’attends quelques minutes que Mélina finisse de s occuper du gris avant de la ramener chez elle.
Codage par Libella sur Graphiorum
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Ven 29 Déc - 15:21
Pour Okarina et Quality: + 2 balade
+ 3
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Mar 2 Jan - 0:30
Imprévu
Je venais de laisser Storm lorsque je croisa Anna un peu affoler. Elle m’explique alors qu’elle s’apprêtait à faire une balade que Okarina était prête mais que Sirius avait encore fait des siennes et qu’elle devait partir en urgence. Elle me demande si je pouvais faire sortir Okarina à sa place. J’accepte. Mon amie me remercia puis disparue aussitôt.
Je rejoins alors Okarina. Celle-ci en effet était totalement prête. Je la caresse doucement.
« Alors ma belle ça va ? Je suis désolée Anna a dû partir, mais ne t’inquiète pas on va quand même la faire cette balade. Je suis sur qu’on va bien s’entendre toi et moi. »
Je la détache et sors des écuries. Une fois dehors je vérifie la sangle qui est au maximum, descend les étriers. J’enfile ma bombe et monte. Les étriers sont à la bonne longueur. Je la caresse et avec une petite pression demande le pas.
Ça change beaucoup de Storm. Elle était plus large et un peu plus petite. Tout était différent. On longea le haras avant de s’enfoncer dans la forêt sur un chemin en terre. Je continua tranquillement au pas pendant dix bonnes minutes avant de la faire trotter un peu. Elle a de très bonne réaction, elle est parfaite pour les ballades. Je repasse ensuite au pas.
Le chemin débouche sur une route que je traverse prudemment. Devant moi se dressait une grande étendu d’herbe. Je laissa okarina manger un peu. En attendant je pris mon téléphone et envoya un message à Anna lui demandant comment aller Sirius.
Je caressa okarina et avec une petite pression elle se remit à marcher. Je la fit trotter puis prendre un petit galop. Je pris un grand virage pour faire demi tour. Elle ralentit d’elle même lorsque nous arrivons au point de départ. je la fis repasser au pas. Je longe la route depuis les champs un peu en contre bas. Je la fis trotter un peu puis repasser au pas pour retraverser la route. Je rejoint ensuite un chemin un peu goudronné. Un peu plus tard, c’est le haras qui se dessinait au bout de cette route.
Je caressa Okarina pour sa conduite plus que parfaite. Avant de rejoindre les écuries et de descendre. Anna ne m’avait toujours pas répondu. Je pris alors une photo avec Okarina et le lui envoie.
J’attache son licol autour de son encolure et lui enlève son filet. Je la caresse, lui donne une friandise et lui remet son licol correctement. Je lui enlève ensuite sa selle avant d’aller ranger ses affaires. Elle ne m’a rien préciser à propos d’elle une fois qu’elle doit rentrer au box. Je la remet donc dans son box et si y a besoin je reviendrais. Je la caresse avant de la laisser tranquille et de dire « A une prochaine fois. »
etoly
Spécialisation élevage - niv. 0
Messages : 8184 Inscription : 23/10/2014 Age : 31
info Trèfles: (311/600)
Sam 13 Jan - 21:02
+ 2 en balade
+ 2
Ton code de mise en page fait buguer le forum ici aussi je te demande donc de le retirer
Okarina a passé les 100 points elle vieillit d'un an
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Mar 16 Jan - 22:31
Le commencement
Je quitte doucement le haras observant chaque réaction de Sisco, celui-ci regardais tout autour de lui. Il avait l’encolure droite, les oreilles pointait partout, chaque chose l’attirer.
Je le laisse renifler certaine chose et broutait les quelques brins d’herbe qui sortait de la neige. Je me demandais même comment il en restait.
Je m’engage vers le chemin menant à la forêt, je ferais qu’une petite boucle. Histoire de commencer à lui montrer l’extérieur sans le braquer.
Sisco réagit bien à la demande et tourna correctement. Je le caresse pour le félicité et avance sur le chemin enneigé.
Sisco avançait d’un pas tranquille, bien qu’un peu hésitant sur certain moment. L’étalon restait parfaitement calme même lorsqu’il glisser à cause des plaque de verglas cachait sous la neige.
J’écarte ma rêne droite pour prendre un petit sentier. J’encourage le palomino à avancer un peu plus vite en pressant doucement mes talons dans ses flancs.
Je continue de faire avancer le barbe au travers des buissons et autres arbustes sur notre passage. J’arrive sur un fossé, me demandant comment Sisco allait passer.
Je raccourcis mes rênes, et le dirige vers les fossés. Si au début il ne voulait pas passé, je réussi à le faire avancer.
Il avancer pas à pas. Je le laisse faire m’équilibrant comme il faut pour ne pas le gêner. Par chance le chemin qui suivit n’était pas ensevelie sous la neige. J’en profite donc pour faire trotter l’étalon. Après plusieurs demandes foireuses, Sisco me comprit ce que je voulais de lui. Je me redresse et lui redemande le pas sur quelques mètres avant de repartir au trot. Durant une bonne partie du chemin, j’alterner entre le pas et le trot.
Il comprit rapidement le système et effectua de belle transition. Je lui tapote l’épaule pour le félicité, je tourne sur le chemin de gauche pour revenir sur le grand chemin principal.
Le barbe avait maintenant l’encolure basse et marcher tranquillement ne ce souciant plus de rien, je commence à rentrer doucement au haras. Cette petite ballade m’avait beaucoup plus, je rentre le palomino dans son box pour le desseller et le brosser. Je fini par le quitter pour aller ranger ses affaires dans la sellerie.
Je lui dit au revoir avant de partir du haras le sourire aux lèvres.
J’arrive devant Mélina, je la salue en lui souhaitant un joyeux anniversaire. Elle finit de régler ses étriers et je pus talonner la barbe.
Okarina prit le pas en levant la tête. Mais la baissa rapidement en jouant sur son mord. Je me place à côté de mon amie et de son futur cheval.
Nous sortions du Haras pour nous diriger vers la plage. Le chemin par lequel nous venions de prendre était différent de celui que nous prenions d’habitude. Un peu de changement ne faisait pas de mal à personne.
Je laisse Okarina rêne longue, elle baissa la tête et avança d’un pas assez rapide. Puis, du coup elle releva la tête et ce retourna sa tête vers l’arrière. Je suivis son mouvement et regarda dans la même direction.
Je fus surprise de voir le jeune homme que j’avais rencontré il y a quelque temps. J’arrête ma jument et l’attend. - Salut ! tu vas dans qu’elle direction ? Lui demandais-je une fois Adrien à ma hauteur. - Aucune idée, je laisse mon cheval choisir le chemin. Me répondit-il.
Je réfléchie et lui propose de venir avec nous. Plus on est fou plus on rit. - Pourquoi pas, il est vrai que je ne connais pas les différents chemins de ballade.
C’est donc a trois que nous nous engagions sur le petit sentier enneiger. Mélina prit la tête du groupe, nous menant tranquillement. Sirius lui aussi devant s’amuser à sauter dans la neige et à la manger.
Point de vue Adrien :
Je venais de quitter le haras, qui n’était plus qu’un petit point à l’horizon. Je m’engage sur un petit chemin que je ne connaissais pas. Je tenais assez court Aladdin qui chauffait heureux de sortir un peu.
Je remarque à un tournant que j’avais suivi les deux jeunes filles. La barbe tourna sa tête dans la direction de l’hanovrien qui la regarda avec curiosité.
Je fini par le rattraper et la jeune propriétaire me proposa de les accompagnés à la plage. J'accepte sa demande, ne sachant pas où j'allais.
Nous nous engagions sur un petit sentier sur le bord d’une gouille qui ne nous permettait pas de reste côte à côte. C'est donc la jeune rousse qui passa en première et moi derrière elle.
Ça ne plaisait pas trop au noir qui couchait sans cesse les oreilles. Mais je le recadre pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas vraiment le choix.
Le chemin sur lequel nos devions aller était coupé par la route. Mélina s’arrêta en plein milieu faisant s’arrêtait les voitures.
Je fais trottiner l’étalon pour descendre le petit contrebas m’engageant sur un passage fait de terre et de sable. Me retrouvant en premier je suivis les instructions d’Anna qui me disait où passer.
Je laisse Aladdin sentir le sol. Je le fais accélérer en le voyant ralentir. L’étalon releva bien haut la tête, sur les indications des deux jeunes filles je pris le chemin le plus à gauche.
Une autre route nous séparait de la plage. Cette fois-ci nous attendions au passage piéton avant de nous engager. Aladdin trotta sur le chemin de sable avant d’atterrir sur la plage en elle-même. Le chien me suivait de prés.
Point de vue Mélina : Nous arrivons enfin sur la plage avec l’autre prétentieux. Je ne l’aimais pas mais alors pas du tout. Je fais trotter le camarguais pour rattraper ma meilleur amie. Quality avait l’air heureux d’être là et je pouvais sentir son envie de galoper. Je le caresse et lâche mes rênes, je savais que même si il avait envie de partir à fond, il ne le ferrait que si je lui demandais et puis j’avais totalement confiance en lui.
J’observe l’horizon, regardant les vagues venir s’écraser contre le sable blanc. Je presse me talons dans les flancs du gris pour me diriger vers la mer.
Je fais tremper les sabots de Quality tandis que les deux autres cavaliers me rejoignaient. Anna proposa de trotter un peu pour détendre les chevaux.
Nous acceptons sa proposition, je laisse l’étalon rênes longue. Nous trottions sur une bonne centaine de mètre avant de nous arrêter.
C’est la que qu’Adrien demanda si nous pouvions faire un petit galop. J’accepte de suite. Cette fois-ci je raccourcis mes rênes et me prépare à galoper.
Le galop commença, Quality était au meilleur de sa forme et me fis de belle accélération. Je le ralentis et repasse doucement au pas.
Les autres firent de même. Je commencer à repartir quand Anna m’interrompu dans ma lancer. - Mélina ! Attend, il faut que je te dise quelque chose d’important !
Je me retourne et l’insiste à continuer de parler.
- J’ai donné Quality… je blanchie et la regarde. A toi…
Euh bug… repeat please. Je n’en crois pas mes oreilles. Je lui fais les grands me demandant si ce n’était pas une blague. Mais son sourire éclatant me confirma que non.
Des larmes coulèrent le long de mes joues, je me penche sur l’encolure de Quality, qui était maintenant le mien. Je ne sais pas combien de fois j’ai remercié Anna pour ce cadeau si magnifique.
Mais en arrivant au Haras j’avais encore des larmes surtout en voyant que la plaque en dessus du camarguais avait été changé par mon nom.
On m’avait ouvert le meilleur cadeau d’anniversaire du tous les temps. Je descends de cheval et pars serré Anna dans mes bras après avoir dit au revoir à Adrien qui c’était moqué de moi durant tous le reste de la ballade.
Je pars desseller le gris avant de le chouchouter comme il ce doit. Anna avait fini de s’occuper de sa jument. Nous repartîmes ensembles.
Je traîner des pieds en allant vers les écuries de propriétaires. Je ne savais pas quoi faire de ma journée et par habitude je m'était diriger vers le haras dans l'espoir d'y trouver quelque chose à faire.
Alors que je marchais tranquillement dans l'allée de l'écurie une idée germa dans mon petit cerveau. J'allais sortir Sisco en ballade dans les champs, un petit trotting ne lui fera pas de mal.
Je me dirige lentement vers la sellerie pour aller chercher les affaires du petit barbe. Je sors de la sellerie quelques minutes plus tard chargé comme une mule.
Je dépose le tout sur le porte-selle, je rentre dans le box de l'étalon et commence un pansage complet avant de le seller.
Je mets ma bombe et fait sortir le palomino de son box pour aller vers le montoir. Je vérifie la sangle avant de descendre les étriers et de grimper sur le dos du Barbe.
Un petit coup de talon et hop voilà Sisco partie au pas. Je règle les étriers et reprends les rênes dans les deux mains.
Je dirige l'étalon vers la sortie de haras, j'attendrais d'être dans les champs pour commencer à trotter. J'observe le palomino qui lui regardais les alentours, curieux.
Il marchait d'un pas assez rapide sans pour autant partir au trot. Je lui laisse un peu de rêne.
J'engage le palomino sur un petit sentier le long de la route. Le chemin était sec malgré la pluie qui était tombé il y a quelque jours.
Je me redresse sur ma selle et demande à l'étalon de ralentir un peu, ce qui sembla ne pas lui plaire. Sisco était peut être un amour sur patte mais il ne fallait pas oublié qu'il était jeune.
Je réussi néanmoins à lui faire adopter une allure plus calme. Je lui caresse l'encolure distraitement. Je continue le chemin en prenant le tournant à droite, j'arrête l'étalon au niveau du passage piéton.
Après avoir regarder à droite et à gauche, je pus engageais le jeune Barbe pour traverser la route et ainsi rejoindre le champs en face.
Sisco baissa la tête et réussi à attraper quelque touffes d'herbe. Je tire un bon coup sur mes rênes pour lui relever la tête et reprendre notre route.
Je raccourcis les rênes et presse mes talons dans les flancs du jeunot qui partit au trot sans hésiter. S'élançant sur le chemin du champs.
Sisco avançait rapidement sans pour autant faire n'importe quoi. J'aurais presque parier qu'il allonger le trot.
Pour un premier trot je décide de ne faire qu'un petit tour du champs avant de revenir au haras. Sisco n'avait pas beaucoup d'endurance pour l'instant et je ne voulait pas l'épuiser.
Je me rassoie dans ma selle et demande au barbe de repasser au pas, il le fit presque automatiquement. Je le félicite, il avait une oreille pointait dans ma direction écoutant chacune de mes paroles et l'autre écoutait les sons au alentour.
Il ne semblait pas sur l’œil, par moment celui-ci baissait la tête pour attraper quelque brins d'herbes ce trouvant sur son chemin. Je soupir devant tant de gourmandise.
Sisco avait bien repris sa respiration et je pus reprendre le trot. Avec toujours autant d'énergie le jeune s'élança avec joie sur le chemin. Je fais le contour du champs avant de le quitter et ainsi de repasser au pas tranquillement.
J'observe un peu l'étalon, il avait bien transpirer et sa robe était recouverte de sueur m'indiquant qu'il fallait que l'on arrête pour aujourd'hui. Avec de l'entraînement et de la rigueur son endurance augmentera petit à petit.
Je reprend le sentier longeant la route et refais le chemin inverse, j'arrive rapidement au haras. Je descend de cheval une fois arriver dans la cour et dessangle pour le laisser souffler.
Je le ramène dans son box et m'occupe de lui en retirant la sueur collé sur sa belle robe palomino. Je le chouchoute avant de le quitter.
Point de vue Anna: Honnêtement en me levant ce matin, j'ai eu envie de partir en balade! Prenant Sirius au passage, je sors de la maison et monte dans la voiture.
J'arrive au haras; il n'est que huit heure dix. Sirius sortie du côté conducteur, partant en courant vers les écuries. Je fais de même mais en marchant plus tranquillement.
Je fini par rejoindre mon chien, qui s'amuser devant le box de la Barbe. Je pouffe de rire avant d'aller dire bonjours à Okarina et au autres chevaux en ma possession.
Je pars chercher à la sellerie de quoi brosser et seller Okarina. J'étais suivie de près par Sirius, intrigué par ce que je faisait, je sors de la sellerie avant de poser le tous sur la porte du box.
Je m'infiltre dans le box de la jument, je lui fait un bon pansage complet avant de la seller comme il faut. Je me prépare également avant de sortir la jument du box.
Elle me suivis au montoir sans que je ne la tienne. Je vérifie la sangle et descend les étriers en grimpant sur le dos d'Okarina. D'une simple pression des mollets, je fis partir la sooty palomino, elle savait parfaitement que nous allons en balade et ce dirigea d'elle même vers la sortie du haras.
Sirius trottina devant nous, je fini de régler mes étriers tandis que je surveillais le berger allemand du coin de l’œil. Je prends les rênes dans une main.
Je décale la jument pour la faire marcher le long de la route, sur le trottoir. Okarina marchait d'un pas actif, l'encolure bien détendue et les oreilles bien en avant.
Je longe la route pendant plusieurs minutes encore avant d'écarter ma rêne gauche et d'engager la barbe dans un tout petit champs ouvert de part et d'autres.
La jument suivi le chemin créer par les passants au fil du temps. A force de passer par là, la terre avait formé un petit fossé montrant un chemin à suivre.
Je laisse Okarina suivre le fossé pendant que j’observai le paysage défiler devant mes yeux. La neige avait laisser place au jeune herbe et au douce température malgré le faite que nous somme qu'en février.
Nous traversons le deuxième champs passant un petit fossé pour atterrir dans un long chemin en serpentin à l'espace restreint.
Restant assise, je presse mes talons dans les flancs sooty de la barbe. Elle releva la tête et s'élance au trot un peu trop lent à mon goût, je lui donne un gros coup de talon pour la réveiller.
C'est fois-ci la jument accéléra le trot, je l'accompagne dans ses mouvements. Le chemin ce fit plus large et nous passons devant quelque vieux chevaux qui broutaient librement.
Ayant marre de trotté, je fini par faire revenir au pas la belle Okarina. Je lui caresse l'encolure avant de l'amener sur des petites bosses naturels.
Je me penche en avant dans la monté pour aider la barbe à monter. Une fois arrivé en haut, je reprends les rênes et oblige la sooty à garder la même allure.
Elle réussi parfaitement l'exercice sur les trois autres bosses. Je la félicite et reprend le sentier longeant un prés avec deux-trois chevaux.
Curieuse Okarina tourna la tête dans leur direction. Je l'oblige néanmoins à continuer d'avancer, elle finit par abandonner et continua sa route. Nous passons un petit pont avant de passer au travers de buisson.
J'arrive dans un immense champs, je fais tourner ma jument a droite coupant le champs. Sirius ce mit a courir dans tous les sens. Comme depuis le début de la balade je suis l'espèce de sentier fait par le temps. J'arrive sur le bord de la route où je tourne a droite en direction du haras.
Je quitte le bord de la route pour rentrer dans un très grand champs. Je profite de la ligne droite pour lancer la jument au galop. Elle s'élança rapidement faisant dégager de la poussière, seul le bruit de ses sabots touchant le sol parvenais à mes oreilles.
Le bout du champs arrive vite et je dus faire ralentir Okarina. Elle s'arrêta doucement ce dirigeant d'elle même vers la sortie du champs. Je lui laisse un peu plus de rêne tandis que nous rentrions dans la cour du haras, je descend de la jument pour la raccompagné dans son box.
Je lui retire toute ses affaires que je range directement dans la sellerie. Je lui donne une petite friandise avant de m'occuper un peu d'elle. Je fini par la quitter pour aller m'occuper d'un autre.
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Jeu 15 Fév - 19:21
+ 2 en balade
2
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Mer 21 Fév - 10:40
J'arrive au haras accompagné de Sirius, le chien ne sortait pas beaucoup c'est temps si. Je le laisse sortir de la voiture et courir vers les écuries. Je fini par le rejoindre moi aussi mais tranquillement.
Je dépose ma bombe devant le box d'Okarina qui avait la tête dehors. Je lui grattouille derrière les oreilles avant de partir.
Je me dirige vers la sellerie pour prendre seulement les brosses, je reviendrais chercher le reste après. Je rentre directement dans le box de la jument, déposant la boîte de pansage dans la mangeoire.
Je brosse rapidement la barbe, retirant toute la poussière ce trouvant sur sa robe. Je lui cure rapidement les sabots avant d'aller chercher la selle et le filet d'Okarina. Je la selle rapidement avant de la sortir du box.
Je me rends au montoir où je vérifie la sangle de la jument avant de descendre les étriers et de monter les marches en bois. Je place mon pied dans l'étrier et grimpe sur le de la jument.
Je presse légèrement mes mollets et je sentis Okarina partir au pas, d'un simple mouvement de rêne je dirige la belle vers la sortie.
Doucement nous quittons le haras, engageant la barbe sur le sentier longeant le haras. Les fers au contact du sol résonnèrent dans mes oreilles, créant une douce mélodie en moi, nous quittions le sentier pour passer de l'autre côté de la route.
Nous continuons tout droit, je laisse Okarina marcher en longue rêne, tandis que je surveiller d'un œil distrait Sirius pour ne pas qu'il fasse de bêtise.
J'écarte ma rêne gauche pour prendre un chemin menant en forêt. Okarina mangeait quelque brins d'herbe par si par là. Ignorant largement le chien qui essayait d'attirer son attention.
Je souris avant de reprendre les rênes en main, pressant mes talons dans les flancs de la jument qui reprit un pas plus actif. Je fini par lui faire prendre le trot, m'amusant à lui faire des transitions pas/trot. Trot/pas la jument était très réactif s’exécutant parfaitement.
Le chemin s'enfonça petit à petit dans l'immense forêt. Sirius courrait au travers des arbres, je le laisse s'amuser doucement tandis que je faisait accélérer la barbe sans pour autant la laisser prendre le trot.
La jument ce plaça petit à petit, je fis une pression sur le ventre de la jument à l'aide de ma jambe gauche. Fermant ma rêne gauche j'ouvris la droite, je sentis la barbe ce décalé petit à petit croisant légèrement les antérieures.
Je la félicite en arrêtant la cession à la jambe, je profite de la grande ligne droite pour lancer la jument au petit galop et faire une transition galop/pas, le faite d'être en extérieur ne m'aidait pas a contrôler la vitesse d'Okarina.
Je la fais repasser au pas au tournant, il était trop dangereux de galoper dans ce virage en raison des nombreux randonneurs ce promenant ici. J'incurve doucement la jument en profitant de la courbe.
Okarina épousa parfaitement le virage et je lui fis faire un départ au galop une fois le virage passait. Je la laisse galoper à sa guise avant de la ralentir de nouveau pour l'engageait sur un plus petit chemin.
Ce petit chemin nous ramena au haras, je rentre dans les écuries toujours perché sur la jument. Je quitte son dos a contre cœur en rentrant la jument dans son box. Je la desselle avant de quitter le haras avec le berger allemand
Point de vue Adrien: Arrivant de très bonne heure au domaine du Lys, j'avais dans l'espoir de croisé Anna pour l'aider à nourrir les chevaux. Elle le faisait tous le temps.
Mon intuition était bonne car je la vit sortir de chez elle en compagnie de son fidèle chien: Sirius. Je ne prends pas la peine de m'annoncer car le jeune berger Allemand couru vers moi l'air joyeux. Je le réceptionne durement, avant mettre un genou à terre et de papouiller Sirius.
- A croire que tu n'est pas assez câliner!, s'exclama une voix claire.
Je relève la tête pour regarder Anna arriver en posant ses mains sur ses hanches, je laisse échapper un rire avant de me redresser doucement saluant la jeune fille. Surprise de voir quelqu'un à cette heure là je répondis à sa question muette.
Un sourire illumina son visage et nous nous dirigions ensemble vers la sellerie, elle attrapa la brouette remplie de grain et me tendit un doseur que je remplit de grain avant de sortir de la sellerie.
Tranquillement nous donnions la ration à chaque cheval avant de rejoindre le pré des chevaux. Comme attiré par des aimants, les chevaux c'était rapproché de leurs box et il ne restais plus qu'à leur ouvrir la porte.
- Tu veux partir en balade avec moi, demandais-je à Anna en me tournant vers elle tandis qu'elle rentrais Ariel. - Avec plaisir! s'exclame t'elle joyeuse. Je vais chercher le harnais de Sirius.
Elle disparue sur ces mots, je hausse les épaules et me dirige vers la sellerie pour aller prendre les affaires d'Aladdin, je prends mon temps pour qu'il finisse de manger tranquillement. Je profite du faite que l'étalon mange pour le brosser tranquillement
Je pus le seller une fois qu'il ait terminer ses grains, je le sortit du box. Je l'amène au montoir à la sortis de l'écurie. Je vérifie le sanglage avant d'apercevoir mon amie arriver avec sa jument barbe et son fidèle chien Sirius, elle monta à son tour et nous pûmes partir.
Côte à côte nous sortions du haras sans réelle destination, Aladdin marchait tout en essayant d'attraper quelque touffe d'herbe qui longeait le long du haras. OKarina elle ce contentais de marcher, l'encolure détendu, sa cavalière avait lâché ses rênes depuis la sortit du haras laissant sa jument me suivre.
Sans prendre gare nous nous étions diriger vers les grands champs qui menait à la plage, traversant la grande route, je propose à la brune de trotté un peu histoire de réveiller nos montures. Sirius courrait gaiement autour de nous et bondissait de droite à gauche.
Toujours côte à côte, la jeune fille talonna sa jument qui partit rapidement dans un petit trot, je fis pareil et rattrapa la jeune cavalière. Nous trottions longtemps sur le petit chemin de terre sèche avant de nous arrêté pour traverser une nouvelle route séparant le champs de la plage.
Je mène Aladdin sur le passage piéton suivit d'Anna qui traversa juste derrière moi, j'écarte ma rêne gauche et amène l'étalon dans un couloir de sable protégeant certaine plantes. J'arrive en premier sur la plage, les sabots de l'hanovrien s'enfoncèrent dans le sable fin, l'obligeant à approfondir son pas.
Je laisse l'étalon marchait dans le sable, je le dirige néanmoins vers le bord de mer là où le sable était dur, la jument barbe nous rattrapa en trottant Aladdin et moi.
-Une petite course ça te tente? me demanda Anna qui n'avait pas parler depuis le début de la balade sauf pour rappeler à l'ordre Sirius.
Un petit sourire narquois étira mes lèvres, j’acquisse avant de raccourcis mes rênes obligeant l'étalon à se stopper pour que la cavalière puisse se mettre à ma hauteur. Elle lança le décompte et une fois le top annoncer, je donna un puissant coup de talon à l'étalon qui s'élança en bondissant en avant au galop.
Je donne des rênes à l'étalon qui donna un puissant coup de cul avant d’accélérer à nouveau creusant un bon fossé en moi et Anna. Mais je sentis celle-ci poussait sa jument, qui augmenta ses foulées peut désireuse de perdre, la tête d'Okarina apparue dans mon champs de vision, le jeune chien peiner à nous suivre.
Petit à petit la jument nous rattrapa sans difficulté et lorsque la course ce termina, j’acceptai ma défaite. Malgré l'âge plus grand de sa barbe, elle avait encore de la puissance dans les pattes. Je félicite la gagnante avant de reprendre tranquillement le chemin du retour au pas longeant doucement le bord de mer, trempant les sabots de nos chevaux.
Le chemin du retour ce passa dans le plus grand calme, laissant nos deux chevaux au pas. Les contours du Haras ce dessinèrent à l'horizon signant la fin de notre balade. Nous rentrons dans l'immense haras, puis nous dirigeons nos chevaux vers le Domaine d'Anna.
Nous dessellons les chevaux pour ensuite les brosser avant de les lâcher dans le pré. Nos deux chevaux s'élancèrent de leur box au petit galop pour rejoindre le petit troupeau, qui broutait au loin. Je souris à Anna avant de lui souhaiter une bonne journée lui proposant de refaire une ballade dans les jours avenir. Et c'est le sourire aux lèvres qu'elle accepta ma proposition avant de rentrer chez elle.
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Ven 2 Mar - 10:30
+2 en balade pour les deux chevaux
2
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Sam 17 Mar - 23:07
Viens on s'en va
Point de vue Taisen:
Lampe torche allumer, GPS activé. Je suivais doucement le bord de la route, insultant copieusement chaque voiture qui passait un peu trop près de nous. C'est personne n'avait aucun respect pour la vie d'autrui, par chance Winter ne bronchait pas plus que ça.
Poudre dormais paisiblement au rythme des pas de l'étalon, ne ce souciant guère d'être sur un cheval ou enfermé dans un espace restreins. Sans tenir les rênes, Winter marchait doucement la tête balançant de droite à gauche au même rythme que ses pas.
Je baillais à m'en décroché la mâchoire, jugeant avoir assez avancer pour cette nuit, j'engage l'étalon sur un chemin de terre sèche. Rapidement je trouvais un arbre où je pus attacher l'étalon pour la nuit, lui retirant tous son équipement, je lui donnait sa ration avant de préparer mon lit de fortune.
Je me réveillais au petit matin en sentant les rayons du soleil sur mon visage, je m'étire un bon coup avant de me lever tranquillement. Tout en brossant le jeune criollo, je pris mon petit déjeune avant de me remettre en selle. Nous passons par diverse chemin et village, rencontrant par moment des randonneurs.
Dix heures sonnait, j'étais encore bien loin du haras de pado où ce trouvait ma cousine Anna, elle aussi détesté par notre adorable famille. Endurant, Winter ne semblait pas fatiguer pour un sous, je lui flatte l'encolure avant d'écarter ma rêne gauche pour lui faire prendre le bord de la route.
l'encolure bien basse, l'étalon pie, reniflait le sol par moment pour choper quelque brins d'herbe ce trouvant sur son passage. Le nez en l'air je manque de peu de me prendre une pancarte m'indiquant l'entrée d'un petit village fort sympathique. Je rentre directement au cœur de ce petit village sous les regards curieux de personne présente sur mon passage.
je souffle d'agacement, ignorant leurs regards. Je repère du coin de l’œil une fontaine d'eau potable, je raccourcis mes rênes et fait prendre la nouvelle direction au pie qui ce jeta presque sur l'eau.
Une fois désaltérer, nous pûmes reprendre notre route. Pour être plus tranquille, je décide de longer le bord de mer. D'après le GPS le haras ce trouvait pas très loin de la plage, l'air marin me chatouilla les narines manquant de me faire éternuer. Fidèle à lui même, le jeune criollo avança tranquillement dans le sable augmentant la vitesse de ses foulées à cause du sable fin.
Midi passa rapidement, je quitte la plage seulement pour rentrer dans un village histoire de trouver une boulangerie. Je reprends la route en mangeant mon sandwich au jambon beurre. Je suivit à la lettre les indications du GPS qui me fit de nouveau quitter la plage.
Pour éviter de perdre mon pauvre GPS qui ne connaissait pas les routes de campagne je décide de suivre la route, prenant soin de me mettre le plus loin possible des voitures. Les contours d'un immense bâtiment fit son apparition en même temps que la voix du GPS m'indiquant que j'étais arrivé.
Honnêtement j'avais peur de la réaction d'Anna en me voyant débarqué à l'improviste chez elle. Je rentre dans le haras, observant chaque détail. Je dois bien avouer que l'endroit est plutôt pas mal, je repère bien vite un panneau indiquant le chemin à prendre pour aller à telle où telle Domaine.
Les sabots du criollo frappèrent le sol en rythme me menant au domaine du Lys, une silhouette ce dessina doucement devant moi au fur et à mesure que j’avancais vers l'entré du Domaine. Je déglutie en reconnaissant Anna qui m'attendait de pied ferme. - Qu'elle ne fut pas ma surprise en recevant un appel de ma chère et tendre tata m'annonçant que tu étais partie de chez toi. m'engueule t'elle a peine arrivé à ma hauteur. Trois ans que je n'avais plus aucune nouvelle d'elle! c'est vraiment une pimbêche ta mère!
Je souris en reconnaissant bien là Annan elle vouait une profonde haine à une bonne partie de la famille si ce n'est pas la famille entière. - J'ai préparer une chambre et un box pour vous deux. Laisse le au box pour aujourd'hui.
je hoche la tête ne voulant pas la vexer, elle me conduisit jusqu'au écurie me montrant ou ce trouver le nouvel habitat de Winter. Qu'elle ne fut pas ma surprise en découvrant que les box donnait accès à un immense où une petite dizaine de chevaux évoluer tranquillement.
je desselle l'étalon avant de le laisser découvrir ce nouveau lieu à son rythme pour aller ranger ses affaires dans la belle sellerie ce trouvant à l'entrer de l'écurie.
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Dim 18 Mar - 13:58
+2 en promenade
2
Invité
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Dim 18 Mar - 22:13
Une sortie pour apprendre à ce connaîitre
Point de vue Anna: c'est toute excité que je me dirige vers les écuries de propriétaire pour retrouver Storm, le jeune Oldenbourg d'une amie que venais de prendre en demi-pension.
Pour notre première fois j'avais décider de le sortir en balade avant de commencer l'entraînement, je rentre dans son box et commence à le brosser, retirant toute la boue qui le recouvrai avant de pouvoir le seller d'un ensemble bleu turquoise.
Je mets ma bombe avant de le sortir de son box, je l'amène au montoir où je réglais la sangle. Pied à l'étriller je grimpe sur le dos du pie qui s'élança directement au pas. Tout en le dirigeant vers la sortie du haras je me mit à régler la longueur des étriers.
Je quitte le haras sous le pas actif de Storm qui s'impatientait de plus en plus. Je prends à droite en quittant le haras, direction la forêt. Les sabots de l'étalon claquait contre le bitume créant une douce mélodie au creux de mes oreilles, je presse doucement mes talons pour faire prendre le trot.
Suivant tranquillement le long de la route, sur le trottoir, Storm trottait allègrement secouant par moment sa tête de haut en bas. Je le fis repasser au pas en voyant arriver le passage piéton, je me redresse et l'arrête à hauteur du passage. Regardant à droite et a gauche, je pus traverser en toute tranquillité.
J'engage l'étalon sur le chemin principale menant à diverse sentier au cœur de la forêt, malgré les pluies torrentiel du mois de Mars, la terre n'était pas boueuse à mon plus grand bonheur. Comme tout à l'heure, je relance l'étalon au petit trot, profitant de l'air frais fouettant mon visage.
Je ralentit l'allure passant à côté d'un couple de retraité en randonnée, je les salut avant de reprendre un trot plus actif. Je repasse au pas en m'engageant dans un petit sentier caillouteux. Je laisse l'étalon marchait longue rêne en évitant du mieux que je pouvais les branches basses.
Je fini par sortir de ce petit sentier pour déboucher sur un chemin plus ou moins large. J'en profite pour faire quelque transition pas/trot, réactif, l'étalon réagissait rapidement à mes demandes non sans bondir de joie de temps à autres.
Je le reprends par moment tout en restant au trot, bientôt les contours du haras ce dessinèrent à l'horizon. Repassant au pas je rentre dans la cour du haras où je mis pied à terre. Je ramène l'étalon a son box, lui flattant l'encolure avant de lui retirer son harnachement pour le laisse tranquille.
Point de vue Alexy : Je quitte une bonne fois pour toute l'écurie en sortant par l'entrée principal sous les claquements des fers de Step sur le béton. Je laisse glisser les rênes du bout des doigts, Step avancer d'un pas tranquille observant par moment ce qui nous entourait.
Je marche le long de la route pendant une bonne dizaine de minute avant de prendre un chemin sur la gauche en prenant soin de vérifier si il n'y avait pas de voiture. Ce chemin s’engageait dans un sous bois, il était plutôt large ce qui laisser la possibilité d'être à plusieurs.
D'une simple pression des mollets, l'étalon partit au petit trop baissant bien la tête, je trotte suivant le chemin en observant les alentours. Mais pour ne pas me perdre je décide de revenir vers la route, j'avais pas vraiment envie de me perdre dans la forêt.
Je sors donc du sous bois en prenant un tout petit pont, un peu regardant J'encourage Step qui fini quand même par passer sans trop de soucis. Je le félicite en continuant sur le petit sentier en terre sèche, je longeais un pré où broutait une dizaine de chevaux.
Certain, curieux, s’avancèrent pour venir à notre rencontre. Le canadien s'arrêta pour les humer, puis regardant l'heure je lui fais reprendre la route. J'arrive enfin sur le bord de la route, Je laisse l'étalon trotté un petit peu avant de reprendre le pas.
Un panneau m'indiqua que le haras de pado était encore à une bonne heure de route, je hausse les épaules laisse les rênes pendre le long de l'encolure de Step. J’espérais vraiment que je m'entendrais bien avec les autres cavaliers du Domaine, je n'étais pas quelqu'un de spécialement amical.
Mais d'après la propriétaire il n'y avait pas beaucoup de personne, six pour être exact. Elle m'avait envoyer quelque photo du Domaine et honnêtement j'avais hâte d'y être. Les box étaient grand avec un accès directe à un immense pré, Step serait parfaitement heureux là bas.
Je rentre dans la ville, suivant les panneaux je repère quelque endroit assez sympathique. A l'aide d'une grand-mère je pus enfin apercevoir les contours du haras. Qui je dois avouer est immense! Je rentre par la cour où plusieurs cavaliers entraient et sortaient. J'observe la structure, admiratif, je talonne Step qui c'était arrêté au milieu du chemin, je le dirige vers les pancartes.
Voyant où ce trouvait le Domaine du Lys, je fini par longer les écuries du club et des propriétaires sous le regard curieux des personnes si trouvant, murmurant sur notre passage le nom de mon cheval. L'étalon canadien était connu des concours il n'était donc pas rare qu'il soit reconnu.
Le portail décoré finement d'une multitude de Lys en fer forgé entra dans mon champs de vision, la porte de droite était ouverte, ce qui me laisser la possibilité de rentrer et c'est ce que je fis. Je m'avance découvrant ce magnifique endroits que je n'avais vus seulement au travers d'une photo.
Une fois devant les écuries, je remarque qu'une jeune fille attendait quelque chose. Son visage s'illumina en me voyant et elle s'approcha de moi toute souriante.
- Bonjour tu dois être Alexy ! Je suis Anna la propriétaire des lieux! Ce présente t'elle. Le box de Step Hight est prêt ainsi qu'une ration de grain.
- Je m'attendais à quelqu'un de plus vieux , m'exclamais-je sans émotion.
Elle rigola en secouant sa tête pendant que je m'était pied à terre, je la suivit jusqu'au nouveau box de l'étalon et je la laisser ensuite me faire faire le tour du Domaine. Elle fini par retourner à ses occupations me souhaitant la bienvenue, je fis de même mais pour pour aller desseller le canadien.
Une fois brosser et sa ration terminer, j'ouvris la porte arrière de son box et le laisser sortir pour rejoindre les autres chevaux curieux de voir une nouvelle tête. Je pars ranger ses affaires avant de quitter tranquillement le domaine.
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