Prairie- Valhope

En sortant de l’écurie un poteau contenant plusieurs flèches indiquait les différentes directions pour chacune des installations. Je pris donc la direction des prairies. Derrière moi suivait docilement la petit jument grise nous marchâmes sur un joli chemin de sable quelque  instant avant de percevoir les paddocks.  Il avait très peu plut  ses dernières donc le terrain ne devrait pas être trop boueux.
Sur ma laisse je sentis une tension me tirant vers la droite et par le fait même  stoppant ma marche.  La petite jument  qui jusqu’à présent avait décidé d’obéir sans obtempéré  avait décidé qu’elle voulait brouter. Je l’observai manger quelque boucher avant de tirer à mon tour de mon côté.

‘’ Aller vient, suit-moi  on est presque rendu au paddock. Tu vas pouvoir manger autant que tu le souhaite.’’

Elle quitta sa bouché tant bien que mal  obéissant, les joues remplit de la délicieuse herbe.
J’ouvris la barrière y pénétra accompagnée de la jument qui avait profité d’une autre bouchée pendant que j’effectuais la tâche puis entra à son tour. La porte refermée, Je caressai son chanfrein puis détacha sa laisse.

La jument se roula dans la seule parcelle de sable du paddock puis partie plein cul ruade après ruade.  Elle finit par stopper ses acrobaties et piqua le nez dans l’herbe pour poursuivre la dégustation entamé durant le chemin de l’allée.  

« Elle est magnifique n’est-ce pas» Je sursautas  me retournant vers la voix elle se présenta c’était finalement la responsable qui était arrivé. Je lui expliquasse que finalement je ne pourrai pas la prendre en demi-pension que ce n’était pas sa faute ni celle des lieux. M’excusant,  je n’avais pas voulu lui faire perdre son temps.  Les salutations fût faite, elle me rassura que si je changeais d’avis j’étais toujours la bienvenue. La responsable repris le chemin vers les écuries et je m’apprêtais a sortir du paddock quand un souffle chaud vint souffler contre ma main. Je me retourna face à la jument grise qui avait quitter sa séance de brouettage pour me rejoindre. Je caressa le bout de son nez les larmes aux yeux depuis de début mes nausée n’était nul autre que les larmes que je ravalais. J’essuya mes larmes une sourire  en coin j’avais compris que c’était un mal nécessaire je devais continuer si je voulais pouvoir recommencer normalement un jour c’était le moment ou jamais. Je quittai le paddock en courant rattrapant la responsable.

« J’ai changé d’avis je vais la prendre»  
Aussitôt ses mots prononcer il y eut un contrat de demi-pension signé et un cours pour évaluer mes compétences. Je rentrai la jument dans son box après presque deux heure de liberté. Un brossage s’imposait