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Jeu 23 Mar - 21:00
Débourrage 2/3 – Longe aux trois allures
Mileka & Tedrick
23/03/17
Aujourd'hui, je revenais voir Mileka. Notre dernière séance avait été plutôt pas mal, aujourd'hui j'espérais avoir une jument tout aussi sympathique. Nous avions déjà vu le port du harnachement, nous passions aujourd'hui à la longe. Je me rendais à son boxe avec son licol et ma longe de travail ainsi que de ma boîte de pansage et l'appelait joyeusement par son prénom. Elle dressa les oreilles dans ma direction mais se renconcentra vite sur sa mangeoire. J'haussais les épaules et rentrait avec elle dans le boxe. Je mettais une main sur sa croupe et remontait doucement vers le garot pour ne pas la surprendre en m'approchant d'elle par derrière. Elle retira sa tête de la mangeoire et se tourna dans ma direction. Tout en la caressant je lui parlais d'une voix douce.
• Hello toi, tu me reconnais? Aujourd'hui aussi on vas un peu travailler, puis je te laisserais tranquille.
Mileka avait semblé m'écouter et tournait une oreille dans ma direction en replongeant le nez dans sa mangeoire en m'ignorant royalement. Mais rapidement elle abandonna cette dernière pour à nouveau me prêter un peu d'attention. Tout en continuant à lui parler, j'ouvrais ma boîte de pansage et commençais à la panser vite fais bien fais. Ce n'est qu'une fois totalement propre que je lui mettais le licol et la longe de travail pour la sortir du boxe et la guider jusqu'au rond de longe où nous travaillerons.
Une fois arrivé sur les lieux, j'ouvrais la porte et vérifiais que personne n'occupait l'espace avant d'entrer et de fermer derrière nous. Mileka semblait tendu et inquiète à cause de ce nouveau lieux et sursautait au moindre bruit qui pouvait la surprendre. A force de caresses et de mots doux, elle sembla se détendre un peu et je commençais à lui faire faire le tour à pied du rond de longe. Très attentive à tout ce qui l'entourait, elle s'effrayait parfois toute seule mais après une bonne quinzaine de minutes, elle se calma finalement. Progressivement je commençais à m'éloigner d'elle, d'abord d'un pas puis d'un mètre, mais à chaque fois qu'elle me sentait s'éloigner, Mileka se décallait pour revenir me coller ou s'arrangeait pour me faire face. Je me rapprochais donc pour la refaire marcher sur le cercle et m'éloignais à nouveau progressivement. Je me rapprochais doucement du centre et Mileka, un oeil et une oreille dans ma direction, tentait de se rapprocher. Je la chassais pour qu'elle comprenne qu'il fallait rester sur le cercle et finalement, elle comprit ce que j'attendais d'elle et marcha dans un cercle plus ou moins propre. Je la félicitais oralement et la faisais marcher ainsi à main droite sur plusieurs tours. Elle avançait d'un bon pas, ni trop lent ni trop rapide et faisais attention à mes moindres faits et gestes, plus que mes paroles. J'attrapais la chambrière qui était à mes pieds et la tenait dans ma main. Je la félicitais oralement puis lui demandait le trot. Elle mit quelques temps à réagir mais il me suffit d'ouvrir ma main en me tournant vers ses postérieurs tout en claquant de la langue pour qu'elle se redresse et réagisse. Mileka partit d'abord vite, se redressant subitement et faisant de rapides foulées, avant de se calmer toute seule et de trotter la tête un peu basse, les oreilles se balançant avec des foulées plus tranquille. Je la félicitais oralement et la laissait trotter sur quelques tours. Son tracé était de plus en plus propre et elle revenait moins vers moi. Je faisais quelques transitions trot – pas et pas – trot de temps en temps avant de la repasser au pas puis à l'arrêt. Elle ne s'arrêta pas sur le cercle et revînt vite vers moi mais je la caressa et répéta les même gestes à l'autre main avec une jument tout aussi sympathique. Puis je tentais le galop. Après avoir bien trotté main gauche, je demandais un galop. Elle accéléra un peu en trébuchant maladroitement avant de prendre un bon galop, je la laissais se défouler un peu avant de la repasser progressivement au trot puis au pas et finalement à l'arrêt, et après quelques caresses je la remettais au galop à l'autre main. Après quelques tours, je la repassais aut trot en lui demandant l'allure en baissant un peu la voix. Et progressivement raccourcissait le cercle jusqu'à l'arrêter plus ou moins dessus. Je la caressais et lui offrais un carré de sucre avant de la ramener à l'écurie où je la désellais et panser pour finalement la laisser tranquille.
crédit : PsychoShinigami
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Sam 29 Avr - 13:18
+ 1 point en soins
+ 3 points en longe
+ 3
Misspalikoa
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Lun 25 Fév - 17:28
Débourrage 1/2
BL 4 Calamity & Aspen
25/02/19
Quelques temps auparavant on m'avait contacté pour m'occuper du débourrage d'une jeune jument de 3 ans nommée BL 4 Calamity, issue d'un judicieux croisement. Il était désormais tant pour elle comme pour moi de nous y mettre, et d'après ce qu'on m'avait apprit sur elle, les choses promettaient d'être sportives. En effet, Calamity était assez sanguine et très grande d'après sa propriétaire, ce qui compliquait un peu la tâche. Mais j'avais l'habitude de monter tout type de chevaux, y comprit des chevaux compliqués, et cela ne me faisait pas peur, au contraire, j'avais hâte de voir ce qu'elle avait dans le ventre. Je rejoignais donc d'un pas tranquille le domaine de Hus auquel elle appartenait, et cherchais quelques brefs instants dans l'allée avant de la trouver. Il y avait beaucoup moins de chevaux que dans le domaine du Valhalla, c'était vrai, mais au moins je connaissais l'emplacement de chaque cheval. Lorsque je trouvais enfin la jolie jument je m'approchais lentement en l'appelant par son nom pour la prévenir de mon arrivée.
Rapidement la jument baie passa la tête par la fenêtre de son boxe, me regardant arriver, les oreilles pointées en avant, très curieuse. De toute façon on m'avait prévenu qu'elle aimait être le centre de l'attention et que je n'avais pas l'intention d'aller voir un autre cheval qu'elle. Je tendais lentement la paume de ma main, qu'elle vient aussitôt sentir avec curiosité. Je la laissais faire, afin qu'elle m'identifie et se mette en confiance, puis commençais à la caresser chaleureusement, ce qu'elle sembla apprécier. Je souriais, amusé, et continuais de la grattouiller tandis qu'elle plissait les yeux de plaisir. C'est après un petit moment passé à la caresser et commencer à faire connaissance que j'attrapais le licol et la licolais. Elle se laissa faire, puis je l'emmenais à l'air de pansage ouverte, après tout un grand soleil brillait dehors dans le ciel et il faisait chaud! Je l'attachais alors et commençais la panser sans plus attendre, nous avions une grosse séance qui nous attendait, et il était parfaitement inutile de s'attarder sur des bêtises, bien que je faisais tout de même en sorte qu'elle soit belle et brillante, d'autant qu'elle aimait bien qu'on s'occupe d'elle à ce que je voyais.
Après une petite quinzaine de minutes où j'avais pu nettoyer et faire briller sa robe, démêler ses crins et curer ses sabots, je décidais de commencer sans plus tarder notre séance avec le port du harnachement. J'avais ramené tout ce dont j'avais besoin, prêté par sa très gentille propriétaire qui m'avait fournit tout le matériel, mis à part ma boîte de pansage et ma bombe évidemment. J'attrapais alors le tapis en tissu bleu un peu délavé à force de lavage et d'usure, puis le montrais à la demoiselle baie qui tendit rapidement son nez pour venir voir et sentir ce que je lui apportais de plus près. Très intéressée elle passa un petit temps à l'analyser et s'assurer qu'il ne représentait aucun danger, et finalement, je pu doucement le déposer sur son dos. Elle frissonna au contact du tissu mais se laissa faire, plutôt brave. Je lui murmurais des mots doux et des paroles d'encouragement en caressant tandis que je lui tendais une friandise qu'elle ne put pas me refuser. Je souriais, amusée, puis recommençais, cette fois-ci avec la selle. Je commençais donc par lui montrer sous toutes les coutures et la laisser voir; sentir et toucher autant de fois qu'elle le voulait, après tout mon but était de la débourrer pas de la traumatiser en la brusquant. C'est seulement lorsqu'elle se sentit prête que je déposais la selle sur le tapis, dégarottais délicatement et sanglais de quelques trous. Rapidement Calamity s'était retourné pour voir ce que je pouvais bien faire, puis s'était détendu sous les caresses et mots doux. A nouveau je tendais une friandise qu'elle dégusta, puis je finissais le port du harnachement avec le filet. Ce dernier était le plus différent des deux autres, néanmoins elle resta très calme et, comme avec les deux précédents, l'observa et le toucha jusqu'à ce qu'elle soit rassurée vis à vis de lui. Je souriais et le posais le temps de délicoler la géante et d'attacher le licol autours de son encolure. N'étant pas très grande du haut de mon mètre 75, j'espérais pouvoir chopper la tête de Calamity, sinon il me faudrait ruser. Je prenais mon courage à deux mains et récupérais le licol en essayant d'attraper sa tête. Ce fut difficile, mais finalement et à l'aide de ma boîte de pansage, je réussi cette dure épreuve. Je chatouillais alors la commissure de ses lèvres d'une main tandis que je lui présentais le mors de l'autre. Elle ouvrit rapidement la bouche et se mit à mâchouiller la barre en fer tandis que j'attachais la sous-gorge et la muserolle dès que ses oreilles furent mise en place entre le frontal et la têtière. Je souriais, satisfaite, et passais les rênes par dessus ses oreilles avant de descendre de ma boîte, détacher le licol et emmenais la géante jusqu'au rond de longe, équipée de ma bombe, mes gants, longe de travail et chambrière.
Lorsque nous arrivions alors au rond de longe, je commençais par faire faire un petit tour des lieux en main à la pouliche, autant qu'elle prenne connaissance des lieux et donc qu'elle ne se fasse pas peur pour rien. C'est seulement après plusieurs tours et la jument plus détendue dans l'installation que je l'immobilisais au centre de la piste. J'entortillais alors les rênes et installais la longe de travail. Étrangement Calamity resta assez sâge pendant que je m'en occupais, puis j'attrapais la chambrière et commençais à la pousser sur la piste. Elle recula dès lors les oreilles, mais elle s’exécuta après quelques tentatives, prenant un pas assez énergique sur la piste. Je la laissais tourner, la félicitant très régulièrement lorsque son cercle était à peu près rond et surtout quand elle avait une certaine régularité dans l'allure, c'était mieux que lorsqu'elle ne cessait d'accélerer et rallentir sans trop savoir ce qu'elle voulait. Quoi qu'il en soit je la laissais donc marcher sur plusieurs tours, le temps qu'elle réveille et échauffe ses muscles mais également qu'elle soit un peu plus à l'aise avec cet exercice tout nouveau pour elle. Une fois fait, je commençais à lui demander un tout premier arrêt, abaissant la longe et disant "ooh oooh".
Plutôt rapidement elle s'arrêta. Bien évidemment je félicitais et lui redemandais le pas tranquillement. Assez espacé nous alternions, un coup plusieurs foulées de pas, un coup l'arrêt. Même si Bl avait du mal à tenir en place, elle était très réactive et comprenait très vite ce que j'attendais d'elle. Plutôt contente je félicitais souvent et, une fois l'arrêt maîtrisé par la baie, lui demandais de prendre le trot. Elle rebondit un peu mais s'élança sans plus attendre. Je félicitais à la voix et la laissais alors trottiner autours de moi sur le cercle, comme précédemment au pas. Calamity semblait très vite à l'aise, que ce soit dans l'exercice ou même avec moi, au contraire elle n'était pas le moins du monde timide. Quoi qu'il en soit je veillais à ce qu'elle garde un bon trot et surtout à ce qu'elle reste sur la piste. Plutôt volontaire et ayant envie de bien faire je n'avais rien à redire, la géante était très appliquée sur ce que je lui demandais. Ainsi, après avoir bien trotté, je lui demandais quelques transitions descendantes et montantes simples. A fur et à mesure des demandes la jument répondait plus vite et était plus appliqué dans ses transitions. Je félicitais beaucoup et décidais de finir à cette main avec le galop. Je la laissais souffler un petit moment puis la poussais avec la chambrière en disant "Calamity, gaaalop".
Dans un mouvement de balancelle, Calamity prit le galop. Je félicitais vocalement et la laissais galoper sur quelques tours, veillant néanmoins à ce qu'elle ne prenne pas une allure trop rapide, il était inutile qu'elle s'épuise, d'autant que la séance était loin d'être finie. Après son tour je la repassais doucement au trot et félicitais beaucoup, je demandais un dernier galop à cette main avant de l'immobiliser doucement. Là je la rejoignais et lui tendais une friandise bien méritée, j'en profitais pour changer la longe de main et recommençais étape par étape les exercices, cette fois-ci à l'autre main. Toujours aussi énergique et volontaire Calamity était vraiment très sympathique à travailler! Je finissais alors par lui tendre une friandise avant de l'emmener au manège où s'achèverais notre séance.
+ 10 en débourrage + 2 en confiance + 1 en soins + 6
maj
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Jeu 14 Mar - 23:21
Petite séance de remise en forme
Lady & Mélodie
Lady et Mélodie entraient dans le rond de longe. Lady équipée d'un surfaix, d'un enrênement Pessoa, plus axé vers un travail "correct" en longe, et une paire de bandes de polo. Mélodie, elle, avait en main une longe de travail, une chambrière et une paire de gants. La jument baie, impeccablement propre, se tenait aux côtés de la jeune femme, qui en arrivant au centre se plaça correctement pour inciter la jument à décrire un cercle afin de réaliser une détente en longe sans enrênement branché. En plaçant sa main gauche vers la gauche et un peu relevé, Mélodie ouvrait un passage imaginaire pour la jument ; elle leva légèrement sa chambrière pour pousser la jument sur son cercle. Lady vint se placer naturellement sur la piste et marchant d'un bon pas, souple et énergique. Elle laissa la jument s'échauffer doucement, déliant gentiment ses muscles, un peu déconfits par sa gestation dernière. Elle laissa la jument marcher trois bonnes minutes avant de demander un départ au trot, avec le même code physique, mais un différent pour la voix. Lady fit un petit mouvement en avant et s’élança au trot avec souplesse. Toujours régulière dans ses allures, Mélodie n'avait quasiment rien à faire, mis à part surveiller que la jument ne change pas d'allure elle-même. Finalement, après quelques minutes de trot, la jeune femme demanda le galop à Lady, qui changea d'allure dans les instants qui suivirent la demande. Toujours volontaire, la jument se pliait aux bonnes volontés de son cavalier. Mélodie laissa la jument galoper sur une petit dizaine de cercle avant de la repasser au trot puis au pas, avant de changer de main pour recommencer. Comme la jument était équipée d'une alliance, sa cavalière n'avait pas besoin de changer la longe de position pour changer de main. Mélodie fit la même chose à cette main-là, c'est-à-dire une détente de longe rapide. Plusieurs minutes plus tard, Mélodie demanda l'arrêt à la jument, elle vint se placer à ses côtés et fit une caresse sur l'épaule de la jument avant de brancher l'enrênement en position basse.
Mélodie vint se replacer au centre du rond de longe et envoya la jument sur un cercle au pas en veillant à l'engagement des postérieurs et à ce que la jument ne rentre ou ne sorte pas ses postérieurs du cercle, ce qui pourrait venir blesser le dos de Lady plutôt que de l'aider à travailler dans le bon sens. Mélodie félicitait Lady à la voix, car elle se débrouillait vraiment bien pour une première avec cet enrênement, d'autant plus que certains chevaux pouvaient être perturbé par la corde entourée de moumoute derrière leurs postérieurs, mais cela ne semblait pas déranger Lady. Mélodie entrecoupait le pas par des transitions au trot toujours en surveillant les postérieurs de la jument. La cavalière fit changer la jument de main au bout d'une dizaine de minutes dans les deux allures que sont le pas et le trot, la jeune femme préférait me pas galoper avec cet enrênement pour le moment, car cela demandait une certaine musculature dans le dos que Lady n'avait pas encore. Elle recommença le travail au pas entrecoupé par du travail au trot comme précédemment avant d'arrêter Lady pour finir la séance avec du pas et un enrênement sur une position moyenne. Mélodie incita la jument à bien engager et à ne pas baisser la tête de trop pour contrer l'exercice. Suite à cinq minutes de pas à main droite, la cavalière demanda la même chose à main gauche. Elle félicitait grandement la jument qui réalisait cet exercice à merveille. Une fois, les cinq minutes de pas à main gauche écoulée, Mélodie arrêta la jument et vint la caresser et débrancher l'enrênement de la jument qui avait une pellicule d'écume sur le poitrail et sur les jarrets. Mélodie offrit une friandise à la jument, qui la prit sans hésiter, avant de rentrer au domaine où la cavalière pansa Lady afin de retirer toute la transpiration et la poussière du corps de la jument. La jeune femme amena ensuite la jument dans son pré pour qu'elle puisse profiter des grands espaces avec ses copines.
enrênement pessoa et ses positions :
Misspalikoa
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