Pour les pts de compétences, 5 pts à Oblivion en TAP quand il sera né svp, merci (:
Luni choisi un paddock encore assez vert et entra avec Merry. Elle referma la porte et se dirigea vers le milieu afin de retirer le licol et mettre un peu de musique. Contre tout attente, l’entier ne partit pas comme un fou mais il resta auprès de la cavalière. Celle-ci le caressa et lui donna une friandise. Elle commença alors à marcher et fut suivi par le beau pie qui chercha alors à fouiller dans la poche de sa veste. « Tu es gourmand mon tout beau. » Elle se mit alors à courir en faisant un appel de langue et Merry accéléra et partit au galop avant de s’arrêter net et il se roula. Quand il fut relevé, il s’ébroua et revint vers la jeune femme. Elle le caressa et lui montra une friandise qu’elle mit à côté de sa joue.
Quand l’entier approcha sa bouche, Luni fit le bruit d’un bisou et lui donna la friandise. Elle recommença plusieurs fois puis elle testa juste de faire le bruit qu’elle répétait, et Merry approcha ses lèvres et toucha la joue de la jeune femme. Elle le récompensa une nouvelle fois en le caressant. Elle se mit alors à courir et joua avec l’étalon pendant quelques minutes. Luni finit par faire marcher Merry quelques instants puis elle lui remit le licol. Elle lui redemanda alors un bisou, ce qu’il fit sans hésitation. Elle le caressa et ils rentrèrent aux écuries.
Objectif : apprendre le bisou à un cheval
Misspalikoa
Cavalier pro - niv. 0
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Ven 23 Nov - 22:22
objectif validé +1 en confiance +2 en TAP
2
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Sam 24 Nov - 15:50
Oblivion & Luniwüen Faërie Domaine du Manoir
Pré-débourrage
Luniwüen arriva au domaine de bonne humeur. Elle avait trouvé un super endroit pour pouvoir réaliser son rêve de spectacle. Elle s’entendait merveilleusement bien avec les propriétaires, ils avaient la même vision de l’équitation qu’elle et surtout, ils avaient été très enthousiastes à l’idée de la troupe de spectacle de Luni. La jeune femme avait un grand sourire aux lèvres et s’apprêtait à rendre visite à ses chevaux, déjà arrivés au domaine. Elle fit un tour pour visiter les installations avant de se rendre dans la sellerie. Elle fit au passage une petite caresse à Merry et à Veilig en leur donnant quelques friandises chacun. Elle entra alors dans la sellerie, les odeurs de cuirs lui parvinrent immédiatement pour son plus grand bonheur. Elle prit son sac de pansage ainsi qu’un petit licol et alla voir Oblivion.
Cela faisait quelques jours qu’il était arrivé au domaine pour son sevrage, et à le voir gambader dans le pré avec UltraChic, Luni se dit que les deux poulains acceptaient visiblement bien la séparation avec leur mère. Le fait d’être à deux devait aussi beaucoup les aider. Oblivion était plus petit, mais il ne manquait pas de se faire remarquer. Il galopait sans cesse et essayait d’attraper tout ce qui passait à porter de sa bouche. Luni sourit en s’approchant du paddock et appela le poulain par son nom. Le petit appaloosa releva la tête en attendant la jeune femme parler et s’approcha joyeusement de la porte du pré. « Eh bien, tu n’es pas sauvage du tout petit bonhomme. » Elle avança doucement sa main vers lui, il la sentit et s’y frotta comme pour réclamer quelques caresses. Elle entra alors dans le pré et continua à s’occuper du poulain. Il restait toujours près d’elle et jouait avec les poches de son manteau.
Pendant ce temps, Luni la caressait, et essayait de le toucher un peu partout, ses épaules, son dos, sa croupe, son ventre, ses jambes. Rien n’inquiétait Oblivion, au contraire, il se tortinait dans tous les sens tellement il appréciait les grattouilles de la cavalière. Elle continua à le caresser et le gratter un peu partout puis elle prit alors la brosse douce et la fit sentir au poulain. Il ne broncha pas et regarda Luni comme s’il l’implorer de continuer ses massages. Elle passa alors la délicate brosse sur son corps. Elle essaya ensuite avec le bouchon, puis ensuite l’étrille puisqu’il appréciait de plus en plus ce moment. Il étirait son encolure et faisait de belle grimace, il savourait vraiment le pansage ! Luni lui fit alors un pansage complet pour tester, et tout se passa extrêmement bien.
Luni rangea ses brosses et passa ses mains le long de ses quatre jambes afin de le préparer au cure-pied. En lui disant « donne » elle essaya de prendre ses pieds un à un. Il ne comprit pas tout de suite et revint lui donner quelques coups de têtes pour réclamer des caresses. Luniwüen recommença sa demande et cette fois le poney leva son pied. La jeune femme toucha avec ses mains les pieds du poulain. Celui-ci se retourna en se demandant ce que la jeune femme était en train de faire, sans bouger pour autant. Elle fit de même avec tous ses pieds, puis elle renouvela l’exercice en curant vraiment ses pieds. Elle félicita alors le poulain par de bonnes caresses ainsi qu’une petite friandise.
Luni prit alors le petit licol dans ses mains et le fit sentir au poulain. Elle l’approcha alors de lui et lui fit des grattouilles avec pour lui faire comprendre que ce n’était pas un objet mauvais pour lui puis elle l’approcha de sa tête. Elle lui mit la muserolle autour de la tête et la frotta dessus, puis la retira et félicita. Elle fit de même avec la têtière derrière les oreilles, et comme le poulain n’eut aucune mauvaise réaction, elle lui enfila vraiment. Elle bougea le licol sur sa tête sans l’accrocher puis elle finit par le boucler. Le poulain ne bronchait pas, et n’attendait qu’une chose, des caresses, ce que Lui ne pouvait refuser vu la bonne volonté du petit appaloosa ! Elle accrocha finalement la longe au licol, et même principe, elle gratta le poulain avec celle-ci, puis elle le félicita avec une petite friandise.
Luni prit la longe dans ses mains et s’avança doucement dans la direction opposé d’Oblivion tout en l’appelant par son nom. Quand il sentit une pression s’exercer sur lui, il eut un mouvement de recul en se braquant un peu. Pour autant, Luni ne cessa pas et continua à l’appeler. Le poulain s’avança alors un peu vers elle et celle-ci le félicita avec des caresses. Elle recommença et cette fois, le poulain la suivit. Ils firent ensemble le tour de la pâture, tout en le caressant en même temps et le félicitant à la voix. Elle lui demanda ensuite de temps en temps de s’arrêter sans tirer sur la longe, ni venir la bousculer, et Oblivion restait bien à sa place, très sagement. Elle finit par le ramenait près de l’abris de la pâture et lui retira le licol. Elle continua à le caresser généreusement. Elle lui donna quelques friandises, lui fit un petit bisou sur le chanfrein et finit par s’éloigner du paddock. Elle était très fière de lui.
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Sam 24 Nov - 23:33
Débourrage achevé! 5
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Jeu 13 Juin - 18:14
Andiamo, Lost in the Echo & Aloy Kenway Domaine du Manoir
Le début d’une nouvelle vie.
J’étais enfin sortie de l’hôpital, après plusieurs semaines. Je ne me sentais pas au mieux, mais le fait d’être de retour à la maison me faisait un bien fou. Mes chevaux me manquaient énormément, et je n’avais cessé de m’inquiéter pour eux, bien que je savais que les filles s’en étaient très bien occupées. Valiant avait occupé beaucoup de mes pensées, mais sans savoir pourquoi, j’appréhendais de le retrouver. J’avais gâché sa saison de concours, et l’avais probablement traumatisé puisqu’il refusait à présent qu’on touche sa crinière, là où je l’avais attrapée dans la chute, dernier souvenir que j’avais de l’accident. C’était difficile de me remémorer tout ça, j’avais les larmes aux yeux à chaque fois.
Ce qui me faisait mal, ce n’était pas la chute en elle-même, mais plutôt les semaines difficiles et douloureuses qui avaient suivi. J’étais très faible, encore sous l’effet des opérations et des médicaments, et n’avais pas la force d’affronter le regard de mon gris pour l’instant. Pourtant, je me dirigeais machinalement vers les écuries. Cette odeur de foin, des chevaux, des cuirs… Ça m’avait beaucoup manqué. Je caressai ma selle mixte de la main gauche, mon poignet droit étant encore sous atèle. Je garderais des séquelles. Ma belle selle. Elle sentait le cuir graissé, odeur que j’adorais. Une larme coula pourtant le long de ma joue. Je n’allais plus rien pouvoir en faire de cette selle, car, sur ordre des médecins, je ne pourrais plus jamais monter à cheval…
Je refusais pourtant d’abandonner mes chevaux, bien trop attachée à eux. Mais, il fallait se rendre à l’évidence, je devrais tout de même leur trouver un autre cavalier. Les filles étaient déjà bien trop occupées avec leurs chevaux, j’allais devoir vendre les miens. Cette idée sonnait presque comme de la torture dans ma tête. Moi qui avait toujours aimé les chevaux, rêvé d’être propriétaire, rêvé d’atteindre le haut niveau. J’avais à peine effleurer ce rêve que tout c’était écroulé comme un château de carte. Mais c’était la meilleure décision pour eux. Ils avaient tous un merveilleux avenir dans la compétition, et ça serait affreusement égoïste de les garder pour moi dans mon état.
Sans réfléchir, mes pas m’amenèrent devant le paddock de mes poneys, Lost in the Echo et Andiamo. Les deux se précipitèrent sur moi en hennissant, mais s’arrêtèrent sur mon atèle, plutôt interrogatif. Lost posa très délicatement son nez dessus, comme pour me montrer qu’il comprenait ce que je ressentais. Andiamo restait un peu à l’écart. Je l’appelai, alors il s’approcha presque en hésitant, le regard triste. Il était si sensible, et j’avais l’impression qu’il s’était sentis délaissé, abandonné pendant mon absence. Lost, lui, n’avait pas changé, et il était toujours aussi affectueux. Bien que jeunes, les deux poneys étaient vraiment très doux, très respectueux et se montrait encore plus attentif à moi. Ils étaient tous deux de vraies éponges à émotion, et devait ressentir que ma santé n’était pas au top.
J’avais envie de pleurer de joie de retrouver mes deux amours, mais de tristesse de devoir m’en séparer… Andiamo me faisait aussi un peu de peine, je n’avais pas le voir triste. Au diable les recommandations des médecins. Je pris le licol du palomino et lui enfilai en me jetant à son encolure. Je le caressais longuement, lui faisant également une tonne de bisous. De ma main gauche, je lui grattai le garrot pour lui montrait que je l’aimais toujours autant, et qu’il n’était pas abandonné, loin de là. Je mis également le licol à Lost in the Echo et je les attachai aux anneaux sur les poteaux en bois de leur paddock. Je pris une étrille et je fis des mouvements circulaires bien maladroit sur leur robe. En effet, j’étais droitière, mais je ne pouvais que me servir de ma main gauche, et c’était loin d’être pratique.
Je continuai avec le bouchon, puis je fini par la brosse douce. Je m’appliquai à retirer toute la boue de leur corps, et ils en avaient beaucoup au niveau des membres. Je démêlai ensuite leurs magnifiques crins qui étaient bourrés de nœuds, ce qui rendait la tâche difficile. Je me posai alors cinq minutes, à bout de souffle, me demandant comment j’allais pouvoir curer leurs pieds. Heureusement pour moi, ils étaient vraiment des amours et les donnaient tout seul. Je les coinçai entre mes jambes, un peu à la manière d’un maréchal et je curai de la main gauche, faisant de mon mieux. Maintenant qu’ils étaient tout beaux et tout propres, je décrochai leur longe et je commençai à courir vers le fond du paddock. Aussitôt, mes deux amours firent demi-tour et me rejoignirent au trot.
Je leur donnai à chacun une friandise et je continuai les jeux. Les deux poneys prenaient autant de plaisir que moi, leur regard brillait. J’étais on ne peut plus heureuse d’être avec eux. C’était là que je me sentais le mieux, entourée de mes chevaux. Je courrais, puis je faisais demi-tour d’un coup pour repartir de plus bel et m’arrêtai d’un coup. Les deux me poursuivaient, donnant même quelques ruades, se cabrant parfois. En plus de jouer avec moi, ils jouaient ensemble, essayant de se mordiller. J’allais pourtant devoir me faire à l’idée que ces jeux avec eux ne feraient plus partie de mon quotidien. Une immense douleur me parcourra le ventre, et je tombai à genou, incapable de tenir sur mes jambes. Les deux poneys accoururent vers moi, se demandant ce qui se passait. Ils me donnèrent de légers coups de tête, alors je me redressai avec du mal, prenant appui sur eux pour revenir près de la porte. Il était temps pour moi de rentrer. Je retirai le licol des deux poneys, les caressai et leur donnai une dernière friandise avant de m’éloigner en me tenant aux clôtures des paddocks.