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Sam 2 Juil - 19:32
Poséidon & Roxanne


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Sam 2 Juil - 19:32
Le 02.07.2022
Roxanne & Poséidon


Début au box…

Séance de pony-games dans la carrière. Cavaliers et poneys trépignent sur la ligne de départ du slalom. Le sable vole sous les sabots des chevaux qui trottent ou, pour les plus hardis, galopent. Rires, quelques cris. Euphorie de ceux qui gagnent, joie bon enfant de ceux qui perdent. Sourires. Papi est heureux : les photos seront belles.


L’intensité des rayons du soleil avait diminué à l’approche de la soirée et, bien qu’il fît encore jour, l’atmosphère était plus légère qu’elle ne l’avait été dans la journée. Roxanne appréciait cette fraîcheur relative tandis qu’elle marchait dans le rectangle herbeux, Poséidon à ses côtés. Elle le mena sur des courbes variées et demanda quelques arrêts. L’étalon se montra très docile et attentif, n’attendant jamais une seconde demande pour céder. Sauf lorsqu’il s’agissait de conserver l’activité du pas. La jeune femme comprit vite que ce serait là le principal problème du percheron, qui semblait ne posséder qu’une faible impulsion naturelle. Voilà un point sur lequel il faudrait travailler, songea-t-elle. Ce qui lui fit réaliser qu’elle comptait réellement se lancer dans une aventure avec ce cheval.
Elle vint piquer légèrement et de façon électrique derrière l’épaule du gris du bout de son stick. Poséidon sursauta à peine, se redressa un peu et mit un peu plus d’énergie dans son pas lourd. Roxanne le félicita immédiatement, le fit marcher ainsi sur encore une longueur de carrière puis l’arrêta pour ressangler. Fanny vint lui faire la courte échelle tandis que Frank restait de l’autre côté de la lice, son regard attentif posé sur son cheval. Juchée au sommet de la montagne qu’était le percheron, la jeune cavalière eut la sensation d’être plutôt au sommet du monde. Le sol lui semblait bien loin. Elle prit une profonde inspiration avant de souffler longuement, jusqu’à vider ses poumons de tout leur air. Elle se sentait exaltée et détendue à la fois. La largeur du dos de sa monture lui promettait confort et équilibre, la hauteur de son corps vertige et envol. Elle était le lien entre le ciel et la terre.

Elle adressa un sourire lumineux à Fanny, qui le lui rendit avec un air complice et rejoignit Frank à la lice. Roxanne avait le champ libre pour découvrir de quoi l’étalon était capable. Elle prit le temps de régler ses étrivières, de chercher à l’arrêt sa place sur le dos large, inhabituel pour elle et de prendre ses rênes, détendues pour les premières minutes. Puis elle ferma ses jambes avec énergie en un mouvement vif, bref, mais surtout petit. Poséidon se mit en marche lentement, lourd dans son pas. Comme en main, il n’avait aucune impulsion et tombait sur ses épaules. Roxanne décida de lui laisser un peu de temps pour la découvrir sur quelques voltes et lignes droites. Elle irait chercher les postérieurs après. Elle fut heureuse de constater que, même en début de détente, sans contact franc, le percheron tournait correctement. Avec l’équilibre que lui apporterait un peu plus de moteur dans les postérieurs et un petit travail d’incurvation, il serait probablement plus agile que sa stature ne le laissait penser. L’arrêt ne posait aucun problème non plus, il était effectué immédiatement suite à la demande. Roxanne passa une main douce sur l’encolure du cheval et murmura un : « c’est bien mon grand, c’est super ça ». Et d’une pression de jambes, elle le fit repartir au pas.

Cette fois cependant, elle ne le laissa pas s’effondrer sur ses épaules. Du bout du stick, elle toucha son flanc droit, en arrière, presque au niveau où il rejoignait le postérieur, tout en mettant des jambes de l’arrière vers l’avant. Il lui fallut insister, se faire plus électrique, toucher, comme le disait Fanny, « après la peau, le muscle, puis l’os ». A la troisième demande, Poséidon sembla sursauter un peu, comme s’il ne s’était pas attendu à une telle énergie et détermination de la part de sa cavalière, et effectua quelques foulées de trot. Roxanne flatta l’encolure en le félicitant à haute voix : elle avait senti dans la poussée du départ au trot que l’étalon avait trouvé ses postérieurs, et c’est tout ce qui importait pour l’instant. Elle profita du fait qu’il ait transitionné de lui-même pour faire quelques voltes au trot. Elle se trouva particulièrement bien installée à cette allure, surtout durant les quelques foulées où le gris conserva son impulsion. Ensuite, il se fit un peu plus lourd sur son mors en retombant dans un trottinement sans énergie. La jeune femme repassa au pas, puis alla de nouveau chercher les postérieurs. Cette fois-ci, Poséidon n’eut besoin que de deux demandes et resta au pas. Roxanne le félicita longuement de la voix et d’une rapide caresse sur le col. Lorsqu’il faisait l’effort de pousser sur ses postérieurs, il était étonnamment léger… malheureusement, il retombait très vite. Tout cela nécessiterait un important travail de fond.

Satisfaite de ce qu’elle avait obtenu, la cavalière ne chercha plus à embêter l’étalon avec ses postérieurs. Il ne s’agissait pas de le braquer lors de la séance d’essai. Elle se contenta d’évoluer avec lui au pas et au trot puis, sur une large volte, de demander un départ au galop. Il lui fallut s’y reprendre à trois fois – elle aurait juré que ses jambes étaient moins efficaces car elles ne parvenaient pas à envelopper complètement les flancs du percheron. Lorsqu’il prit enfin le galop, son manque d’équilibre rendit l’allure lourde et ralentie, mais la jeune femme se contenta d’accompagner sans rien demander sur quelques foulées, puis de repasser au pas. Elle flatta l’encolure épaisse et rejoignit du haut de son destrier les deux observateurs accoudés à la lice. Elle leur fit part de ses impressions, qu’ils confirmèrent tous deux. Mais elle ne leur dit pas l’état de profonde sérénité et de confiance absolue dans lequel elle était.

Pour clore l’essai, Roxanne guida le percheron hors de la carrière improvisée pour faire un rapide tour de la propriété, au pas, le but étant simplement de vérifier qu’il ne chauffait pas dans les grands espaces et qu’il ne craignait pas les objets du quotidien tels que les poubelles ou le linge étendu. Comme elle s’y attendait, il conserva sa cadence tranquille en passant la porte, ne jeta pas un regard au linge ni aux poubelles, dressa à peine une oreille au cri d’alerte d’un rouge-gorge. Sa cavalière le sentait toujours attentif à elle, elle avait la sensation qu’il était également attentif à son environnement, mais rien ne semblait l’effrayer.

En mettant pied à terre dans la cour, elle souriait. Il faudrait que la visite vétérinaire se passe bien, mais ensuite, elle deviendrait propriétaire du massif percheron au regard de chaton.
etoly
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Dim 3 Juil - 10:07
Un bien brave cheval ce Poséidon

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Dim 7 Aoû - 11:16
le 07.08.2022
Roxanne & Poséidon

L’adolescente est accoudée à la lice de la carrière. Sur le sable, évolue un cheval bai monté par Fanny. De temps en temps, le cheval s’arrête. La cavalière remet des jambes, et caresse longuement dès qu’il fait un pas. Son visage est éclairé d’un sourire. Elle aime ces moments, ces premières montes sur le dos d’un poulain vif et hésitant. Elle regarde l’adolescente aux cheveux d’un roux sombre et voit dans ses yeux la même passion. Elle lui dit : « Un jour, c’est toi qui débourreras mes poulains. » La fille sourit, surprise et flattée. Elle a hâte que ce jour arrive. Avec les conseils de Fanny, elle sait qu’elle pourrait tout apprendre à un cheval, un jour.


Le toit des écuries de Fanny était en vue, caressé par les premiers rayons d’un soleil matinal d’août. Poséidon marchait de son pas lent et sûr, attrapant au vol quelques brins d’herbe ou feuilles portées par des branches basses. Sur son dos large, Roxanne profitait de la tranquillité du moment. Simplement se laisser porter sur un chemin champêtre par le paisible percheron l’emplissait de sérénité. Elle aimait aussi le voir brouter en chemin, l’air détendu. Elle avait envoyé la veille quelques photos de lui dans son pré et un portrait sur lequel il portait son licol de corde à Frank, son ancien propriétaire, qui était à l’hôpital pour une durée indéterminée. Il avait répondu dans l’heure qu’il était ravi de voir que son étalon se portait si bien et avait des yeux encore plus enthousiastes qu’avant. Ils avaient échangé quelques nouvelles, mais finalement c’est surtout Roxanne qui avait raconté. Frank préférait éviter de parler de ce qu’il vivait. La jeune femme s’était promis de passer le voir à l’automne, quand le mois d’août bien rempli serait passé. D’ici là, elle devait pourvoir à tous les besoins du gris et le faire progresser pour pouvoir raconter à Frank des choses dont il serait fier.

Fanny allait l’aider dans cette tâche en la supervisant lors d’une séance sur le plat. Avoir un regard extérieur sur son travail rassurait la jeune propriétaire. La monitrice était déjà dans la carrière quand le duo arriva, en train de ranger les derniers chandeliers qui traînaient. Les deux amies se saluèrent joyeusement, et la plus âgée loua la santé et le bien-être apparents du percheron en lui offrant une caresse sur le chanfrein. Il sembla apprécier l’attention et en redemanda en touchant la brune de ses naseaux. Elle rit et frotta de son poing fermé le front clair de Poséidon, qui ferma les yeux de plaisir. C’était une véritable peluche, il aimait les câlins de toute sorte et de n’importe qui. Il serait heureux lorsque, la semaine suivante, toute la famille viendrait à la maison et l’entourerait. Mais l’heure était au travail. Fanny cessa ses caresses et demanda : « On commence ?
- Avec plaisir ! Je l’ai marché jusqu’ici, la détente au pas est faite, mais j’aimerais bien faire encore un petit tour dans ta carrière pour qu’il s’habitue aux lieux. Et puis pour le faire trotter un peu, au passage.
- Ça marche, fais ce que tu veux, mais attention, je te surveille… » répondit Fanny avec un clin d’œil.

Roxanne savait bien que ce n’était qu’une plaisanterie de sa vieille amie, mais elle ne put s’empêcher de se sentir un peu stressée à l’idée de monter sous les yeux d’une si bonne cavalière. Elle avait certes pris de nombreux cours sous son autorité, mais maintenant qu’elle était propriétaire, elle se sentait une plus grande responsabilité et un moins grand droit à l’erreur. Elle souffla pour évacuer la tension inutile et pressa ses jambes contre les flancs rebondis de son étalon. Rênes mi-longues pour le laisser aller à son rythme et regarder autour de lui, elle le guida dans toute la carrière. Il était serein, pas le moins du monde perturbé par son nouvel environnement. Il serait définitivement un bon cheval de randonnée, surpris par rien, sûr et docile. Après cette exploration, la cavalière remonta un peu sur ses rênes pour venir chercher un contact et, de ses jambes et de son bassin, elle demanda le trot. Poséidon se contenta d’accélérer le pas. Le stick vint alors renforcer l’action des aides naturelles en frôlant le flanc, juste derrière la jambe de Roxanne. Le percheron prit aussitôt le trot, très réactif comme toujours à l’action du stick, même minime. Le couple évolua aux deux mains sur quelques voltes, puis repassa au pas et vint s’arrêter devant Fanny, qui ne l’avait pas quitté des yeux. « C’est déjà un peu mieux que quand tu l’as essayé : il a un peu plus d’allant et il est plus réactif. Mais les transitions, surtout montantes, sont toujours un peu longues et brouillonnes. Je pense qu’on pourrait travailler là-dessus aujourd’hui, si ça te va.
- Oui, je pense que c’est le premier gros chantier avec lui, et je ne suis pas sûre de m’y prendre correctement quand je travaille seule… »

Fanny acquiesça et demanda à la jeune femme de marcher un peu pendant qu’elle installait quelques plots. En préparant ses exercices, elle annonça : « Tu auras trois portes, par lesquelles tu passeras dans un ordre défini. A chaque porte, tu feras une transition, que je t’annoncerai un peu à l’avance pour que tu te prépares. Comme tu le vois, elles sont bien espacées, donc même si ta transition n’est pas exactement entre les plots, tu as la place de travailler sur les mètres qui suivent. Mais au fur et à mesure, j’ajouterai des portes et je te donnerai les consignes de plus en plus tard, pour que ton cheval soit obligé de réagir de plus en plus rapidement à tes aides. Des questions ?
- Non, mon colonel, rit Roxanne.
- C’est ça, paie-toi ma tête, tu vas le regretter… On avait dit combien de portes, sept ?
- Non non non, trois, s’il te plaît, Fanny que j’adore !
- Mouais… va pour trois, mais attention à toi ! Bon, tu commences par celle qui est en A, sur laquelle tu arrives au pas à main gauche, puis tu fais une diagonale pour prendre celle qui est en H, tu restes sur la piste jusqu’en B, tu doubles dans la largeur, tu passes la porte en E à main gauche et tu reviens à la première, et cetera ! C’est parti, en route ! »

Roxanne sourit. Elle n’allait pas s’ennuyer lors de cette séance. « Allez, mon vieux, ça va déménager aujourd’hui ! » lança-t-elle à l’attention de son étalon. Puis d’une pression de jambes, elle lui fit prendre le pas. Elle alla chercher ses postérieurs, de sa jambe et de son stick, pour essayer de faire monter l’impulsion. Fanny, depuis le centre du rectangle, lui cria : « Ne t’embête pas trop pour lui faire bouger sa croupe, il va y être obligé par l’exercice. Si tu arrives à lui donner de l’impulsion dès le début, tant mieux. Sinon, tant pis. » La jeune femme acquiesça, mais profita quand même du temps qu’il lui restait avant la porte pour chercher plus d’activité et, à sa grande joie, l’obtenir. « Au trot à la prochaine porte ! » Elle se fit plus énergique dans son attitude et, au passage des cônes, donna des jambes et toucha de son stick le flanc gris. Si le percheron ne passa pas immédiatement au trot, il le fit néanmoins plutôt rapidement et se laissa guider vers la porte suivante. « A la prochaine, tu repasses au pas ! Et recule-moi ces jambes, s’il te plaît, ça t’équilibrera et ça simplifiera la compréhension de toutes tes aides pour ton cheval. » La cavalière hocha la tête, concentrée, et bascula son bassin pour mieux placer ses jambes. Elle savait que c’était son principal défaut à cheval, et qu’elle n’y pensait pas assez quand elle travaillait seule. Monter sous le regard attentif d’une monitrice d’équitation ne pouvait être que bénéfique.

Poséidon se montrait lourd, il fallait presque le porter pour entretenir le trot. Les premières portes furent passées dans des transitions pas-trot, trot-pas, ainsi que des arrêts depuis le pas. Roxanne se sentait déjà fatiguée, les jambes lourdes de demander autant, quand Fanny lui demanda un arrêt depuis le trot. Il fut effectué plutôt proprement, bien entre les deux cônes. La jeune femme flatta l’épaisse encolure pour féliciter sa monture puis, ayant reçu l’ordre de repartir directement au trot, elle donna des jambes une fois, de la façon la plus électrique qu’elle pouvait, en y ajoutant en même temps le stick, un peu plus vivement qu’elle n’en avait l’habitude. Elle ouvrit des yeux surpris lorsque le percheron prit soudainement un trot soutenu, et caressa aussitôt en riant. « Eh bien, tu vois que quand tu veux, tu peux jouer les flèches !
- Ah, tu l’as réveillé, ça y est ! s’exclama Fanny avec un large sourire. On va pouvoir commencer à bosser sérieusement. »

Lors de l’arrêt suivant du duo, la monitrice ajouta deux portes. Le trajet s’en trouvait un peu modifié, et surtout le temps entre chaque transition serait plus bref. Il y avait notamment une ligne droite d’environ cinq ou six mètres. C’est à l’entrée de cette ligne droite que, après quelques portes passées dans les habituels trot-pas, pas-arrêt, arrêt-trot et inversement, Fanny cria soudain : « Gaaa-lop ! » Roxanne n’eut pas le temps de réfléchir. Elle plaça ses aides et demanda la transition avec énergie, sans se poser de question, sans réfléchir au fait qu’elle n’avait galopé qu’une fois avec lui, lors de l’essai, et qu’il lui avait fallu suer pour obtenir cette allure. Heureusement qu’elle n’y pensa pas, car cela lui permit d’être entièrement détendue et dans l’instant, et d’assister à un départ au galop fluide de la part de son cheval d’ordinaire si lourd. Après quelques foulées rythmées et souples comme des vagues qui conduisirent le couple à la porte suivante, ils repassèrent au trot.

Poséidon était presque méconnaissable. Cet exercice de transitions rapprochées l’obligeait à une réactivité parfaite et captait son intérêt, le rendant réceptif à la moindre demande et bien plus actif qu’à son habitude. Sa cavalière n’en revenait pas : à la fin de la séance, le stick ne lui était plus nécessaire, une pression de jambes suffisait à faire transitionner son étalon. Elle adorait les sensations qu’elle découvrait, du haut du mètre soixante-dix-neuf de sa monture, quand elle pouvait se laisser porter par ses allures bien plus souples et plus légères que sa masse ne le laissait deviner. En repassant au pas à la fin de la séance, Roxanne entoura de ses bras l’encolure de son entier et la serra fort, un sourire émerveillé sur les lèvres. Fanny riait. « Dis donc, pour un cheval que tu ne voulais pas même voir au début, il est sacrément entré dans ton cœur !
- Il est merveilleux, il est prêt à apprendre n’importe quoi, on dirait même qu’il adore ça ! Regarde comme il dresse les oreilles et comme ses yeux pétillent depuis qu’il a commencé à bien s’équilibrer dans les transitions !
- C’est vrai qu’il a l’air de s’amuser… Tu sais, tu pourrais peut-être en faire quelque chose en dressage : il a de jolies allures et il est volontaire.
- Et il aime qu’on lui porte de l’attention, ajouta Roxanne en souriant. Quand je le monte dans le village et que les gens nous regardent, il se redresse et je te jure qu’il courbe un peu l’encolure !
- C’est un sacré bonhomme que tu as trouvé là…
- Oh oui ! »

Les deux amies se séparèrent sur des rires et des remerciements de Roxanne à Fanny pour les progrès qu’elle lui avait permis de faire. Comme promis, elles travaillaient ensemble à l’entrée d’un cheval dans le monde de l’équitation, essayant de trouver les points sur lesquels elles pouvaient miser pour le laisser s’exprimer librement. Et comme promis, c’était une tâche que Roxanne adorait. Rênes longues, caressant continuellement l’encolure de Poséidon, elle le laissa la porter jusqu’à leur logis. Le percheron était tranquille, l’œil satisfait des caresses qu’il recevait.
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Lun 8 Aoû - 17:26
Pour une première fois monté avec Poséidon, ça c'est vraiment bien passé! Il y a encore des réglages à faire, mais je suis sur qu'ils vont faire des miracles ensemble!

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