Après avoir déjeuner dans une des nombreuses salles de pause des écuries, je filais aux écuries récupérer un cadeau personnalisé pour Silver que j'avais commandé dès son achat. Il me tardait tellement de lui enfiler que je courrais presque jusqu'à son paddock. J'avais tout de même penser à remplir mes poches de diverses friandises avant de quitter la sellerie. J'arrivais rapidement à la porte en bois de son enclos que j'ouvris brusquement. Tirant brutalement le gris de ses occupations, je l'entendis souffler fort. Oups, j'aurais du tempérer mon action... Confuse, je ralentis mon allure, pour le calmer et pour ne pas glisser aussi. Lorsque ses yeux sombres se posèrent sur ma silhouette, le calme le gagna et il s'avança dans ma direction, les oreilles pointées vers l'avant. Je m'arrêtais, le laissant progresser avec plus d'aisance que je n'en avais. J'en profitais pour sortir deux - trois bonbons que je n'eus pas le temps de lui donner car, une fois suffisamment proche, le bout de son nez s'engouffra sous mon bras pour récupérer ce que j'avais dans la main.
Quel coquin ! Je lui fis d'énormes caresses près d'une de ses oreilles alors qu'il engloutissait son dû. Je fis tomber le licol de mon épaule et lui montrait. Sur un des montants, sur une plaque en métal gris, on pouvait apercevoir son nom gravé en caractères majuscules, Silver. Il était bleu roi et la muserolle était tressée mêlant le blanc et le bleu canard. L'étalon me laissa lui enfiler et un profond sentiment de joie m'envahit lorsque je découvris l'essai. Les couleurs ressortaient tellement sur sa robe grise ! Je saisis la longe de la même couleur que le licol et nous quittons le paddock.
Je l'installais à l'aire de pansage à l'extérieur des écuries, le climat était doux. Je le laissais quelques instants seul pour aller chercher ma boîte de pansage laissée à l'intérieur. Je sortis quelques secondes à peine après mon entrée, le mâle n'avait pas bougé d'un instant, m'attendant. Quel comportement exemplaire ! Je le félicitais en passant ma main sur son encolure, remontant de son épaule vers sa joue que je me mis à grattouiller tendrement. Je posais enfin mon matériel à quelques mètres de son arrière main, parallèle à sa position. Comme il y avait quelques gourmandises à l'intérieur, je ne voulais pas que le curly porte toute son attention à la vider plus qu'à mon pansage. Je lui passais un spray démêlant sur sa queue puis je sortis le cure-pied et me mis à son antérieur droit. Je fis glisser doucement ma main le long de son membres et, à peine sur son boulet, l'étalon me donna son sabot que je pus nettoyer soigneusement. Je vérifiais que ses fourchettes s'étaient bien remises, car lui aussi, comme Black Jack, avait eu un souci lors de la visite d'achat, mais beaucoup moins prononcé. Je lui passais tout de même un coup de spray pour m'assurer que ses pieds restent en bonne santé. Je renouvelais l'expérience sur ses quatre sabots et pris un bouchon en main.
Je retirais la couverture imperméable que le mâle avait sur le dos, la suspendant sur le reste de la barre d'attache. Je ne voulais pas abîmer sa robe particulière et souhaitais la protéger un maximum, même si je savais pertinemment que sa race était très rudimentaire et robuste face aux aléas climatiques. Je me mis à panser son corps, ôtant l'excès de poussières de son dos et la boue sur ses membres noires. Je passais quelques longues à décrotter ses poils mais je parvins à y arriver au bout. Je terminais par ses crins que je démêlais sans mal puisque le produit avait bien agi. Je lui mis son tapis bleu roi, lui aussi inscrit à son nom, et lui enfilais ma selle classique, que j'utilisais rarement puisque je ne savais pas vraiment monter cette équitation. Je remontais les étriers et les bloquais pour ne pas qu'il gêne l'étalon. Je fixais la sangle d'à peine quelques trous. Je lui retirais son si beau licol pour lui attacher autour du cou avant de me munir d'un filet à mors simple que je lui mis sans difficulté. Je pris son maigre toupet et le passa par dessus le frontal. Je détachais les rênes, sans utilité pour notre activité, les remplaçant par une longe noire et longue. J'enfilais ma paire de gants en cuir noir et mit un chapeau de cowgirl sur ma tête blonde. Nous étions enfin prêt !
Délestant ma monture de son attache au cou, nous prions le chemin de la carrière, puisque le rond de longe était déjà utilisé à cette heure-ci. Silver me suivait respectueusement, sans me dépasser. C'était un bon garçon. Nous arrivions bientôt à la carrière vide où nous prenions possession d'un quart de l'espace. Je me mis au centre de mon bout de piste, écartant ma main gauche pour indiquer la direction à prendre à l'étalon, suivi d'un claquement de langue. Il se mit au pas, un peu bourru. L'allure était cadencé et je le laissais s'échauffer doucement, sans le brutaliser. Ma main suivait son avancée et je ne le quittais pas du regard, concentrée. Un cercle, puis deux, trois... Je laissais mes pensées divaguer au fil de ses foulées. J'étais sereine, lui aussi. Quatre, cinq... Un appel de langue et le voici au trot avec un démarrage assez lourd. Il se ressaisit et prit une plus grande amplitude, la même que son pas. Je le laissais trotter sur plusieurs cercles, sans rien lui demander d'autre. La selle suivait ses mouvements et les étrivières tenaient le choc. Je lui demandais enfin le galop, après quelques minutes écoulées. Il s'élança rapidement, démarrage tout aussi brutale, puis il se mit à balancer des coups de cul joyeux, sans accélérer son allure. Un rire cristallin s'échappa de mes lèvres, le curly avait besoin de se défouler visiblement ! Je le laissais s'exprimer encore quelques bonds avant que celui-ci ne se canalise lui-même pour galoper plus sereinement.
Ma main se fit plus dure, contraignant le mâle à ralentir son allure pour repasser au trot, où il souffla quelques minutes encolure basse, le nez au sol, puis au pas, redescendant complètement en pression. Je le laissais marcher quelques minutes avant de l'arrêter complètement pour venir le féliciter grandement avec quelques caresses et sucres. Nous changeons ensuite de main et renouvela le même exercice, sans montées en l'air cette fois-ci. Je clôturais la séance par de grandes grattouilles sur l'encolure et le poitrail avant de rejoindre l'aire de pansage et la douche.
Note : Les cadeaux personnalisés font souvent chavirer le cœur des amants, alors pourquoi votre équidé n'aurait-il pas le droit au sien aussi? Licol ou tapis de selle, vous décidez de graver un cadeau à son effigie et l'utilisez dans l'une de vos séances de travail, qu'elle soit montée ou non. (1 saillie gratuite)
Nos pas étaient en cadence, se suivant et jouant leurs propres mélodies sur les graviers du chemin de la carrière. Nous étions calmes et sereines, attentives aux moindres gestes de notre partenaire. Je lui donnais une tendre caresse sur l'encolure alors que nos pieds foulaient le sable mou de la piste. Je me dégageais de ma radio, la télécommande dans la poche, puis je nous positionnais au milieu de l'installation. Basculant les rênes au dessus de son garrot, je m'accrochais à son pommeau de selle pour m'aider à me hisser sur son dos délicat, en prenant de l'élan avec une jambe. Je réussis au premier essai, secouant amoureusement avec mes doigts les crins blancs de ma douce. J'enfilais mes étriers et allumais la musique.
Glissant chaque rênes dans mes paumes, appuyées par mes doigts, ma langue vint claquer mon palais pour lancer la pie au pas. Les oreilles en avant, elle semblait attentive et sereine. Le son ne semblait pas l'importuner. Je l'élançais dans un pas cadencé et souple. Mon attention portait sur chacune de ses foulées, chacune de ses réactions. On ne pouvait pas laisser place à l'imprévu avec Bird, car elle pouvait nous échapper à tout moment. Je la calais sur une volte à main droite, la laissant marcher à sa guise. Quelques cercles et nous changeons de main. Je fis la même chose, sans pression. Puis, je fis claquer un son entre mes lèvres rosées et la Paint Horse partit au trot. Aérien. Ses allures n'étaient en rien comparables à celles de mes deux gros, plus légères, plus féminines. J'agrandis ma volte et ses foulées, essayant de lui demander d'incliner légèrement son port de tête vers l'intérieur avec mon poids du corps. Je la laissais ainsi sur trois ou quatre cercles avant de faire une diagonale pour nous changer à nouveau de main, gardant l'allure. Elle s'appuya immédiatement à l'intérieur dès la sortie du changement, anticipant ma demande. Je lui grattouillais le garrot légèrement, en essayant de bouger le moins possible mes aides.
Je la fis rester sur le même nombre de cercles avant de commencer à lui demander à le rétrécir puis à l'agrandir plusieurs fois, veillant à ce que son appui soit toujours le même. Elle se laissa diriger, répondant correctement à mes indications. Quel bonheur ! Satisfaite, je lui demandais à nouveau une diagonale pour changer de main, pour recommencer le même exercice à l'autre, le nez toujours sur l'intérieur. Je finis par ralentir la belle demoiselle, le corps chaud et la plaçais sur un grand cercle. Un claquement de langue profond et elle partit au galop du pas. Je la laissais se détendre sur quelques foulées puis, je lui demandais d'accélérer son allure au milieu du cercle avant de brutalement s'arrêter à la fin de celui-ci. Elle souffla bruyamment, repartant au pas pour se détendre après l'effort. Je lui laissais les rênes longues un instant pour lui permettre de détendre son cou et je repris le travail en lui réclamant de nouveau le galop. Sans accélération, sans autres demandes. Elle se détendit, le nez bas et l'encolure étiré. Je lui laissais suffisamment de mou pour lui permettre de se soulager au maximum, tout en profitant de sa cadence soutenu et agréable. La musique nous entraînait et elle semblait caler ses foulées sur le rythme. Au troisième cercle, je la fis ralentir puis reprendre le pas quelques minutes avant de lui demander la même chose à l'autre main. Elle s'exécutait sans mal, appréhendant même mes demandes avant que celles-ci soient précises. En fin de séance, je la laissais sur un pas doux, les rênes longues, profitant de l'allure pour me laisser glisser sur son encolure où mes bras l'entourèrent. Mon coup de cœur pour l'ingénue se confirmait encore une fois, même deux ans et demi après son achat...
Je mis le pied à terre lorsque je jugeais la bicolore presque froide. Je mis de nouveau sa sangle à un trou et éteignais la radio. Je pris quelques sucres dans la main et lui offris généreusement. Caressant le bout de ses naseaux, je détachais sa sous-gorge et sa muserolle, relâchant toute pression sur sa tête. La Paint étira immédiatement sa mâchoire, visiblement satisfaite de retrouver un peu de liberté.
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Sam 13 Fév - 17:15
Sympa cette séance en musique!
objectif validé + 4 pts en reining + 8
Silver prend 11 ans
cadeau màj
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Ven 12 Mar - 3:36
ft. Blue Ivy
L'école des grands...
De bon matin, Kirsten prépara ses choses pour se rendre au domaine de Nightfall Meadow afin d’aller continuer le débourrage d’une pouliche Criollo du nom de Blue Ivy. Appartenant à la propriétaire de Black Jack, le père de la douce Precious, Ambre avait demander à la jeune femme si elle pouvait lui donner un coup de main pour finaliser l’apprentissage des bases de la pouliche. Le duo en serait déjà à leur troisième séance montée, la longe et l’harnachement lui ayant été montré plus tôt. Les deux dernières séances avaient étés assez mouvementées, la jument ayant un caractère bien tremper, réussissait très bien à faire comprendre à la jeune femme quand quelque chose la dérangeait, néanmoins, Kirsten avait quand même réussit à s’asseoir sur la belle Criollo pour faire quelques tours de piste afin d’évaluer ou elle en était dans son cheminement. N’acceptant à peine le cavalier, la jeune femme avait donc commencer à lui montrer les commandements de base, Ivy se rebellant, de temps à autre, contre les demandes de sa cavalière.
Après avoir avaler vite fait son déjeuner, la jeune femme attrapa son équipement western, puis alla le déposer dans la boîte de son pick up avant de prendre place sur le siège conducteur et de se diriger vers le domaine de son amie. Quelques kilomètres plus loin, la jeune femme s’engagea dans l’allée du domaine, roulant tranquillement afin d’admirer les quelques pensionnaires de la place, repérant rapidement le beau Black Jack, un des coup de coeur de la jeune femme. Kirsten gara sa camionnette puis en sortit rapidement afin d’aller chercher ses choses dans la boîte de son Silverado et pris la direction des écuries pour aller y déposer ses affaires. Son équipement soigneusement déposé dans l’aire de pansage, Kirsten passa devant le box d’Ivy pour y attraper son licol et une longe, direction la prairie de la belle Criollo. La jument broutait tranquillement, ne se préoccupant guère de ce qui l’entourait. La jeune femme poussa la barrière de la prairie puis pris soins de la refermé convenablement avant de se diriger d’un bon pas vers la criollo qui releva la tête en voyant l’humaine venir vers elle. Les oreilles couchées vers l’arrière, elle allongea l’encolure vers la jeune femme en faisant mine de vouloir mordre. Tout doux Ivy, lui lança la jeune femme en s’arrêtant un instant. Le caractère d’Ivy n’impressionnait aucunement la jeune femme, habituée à se faire malmenée par son beau Trey, elle s’était développer une carapace face au caprice des chevaux plus caractériel comme elle. Kirsten resta sur place quelques minutes, puis reprit son chemin en direction de la pouliche, qui se contenta de tourner la tête, avec les oreilles à demi couchées, cette fois. Esquissant un sourire de victoire, même si elle savait très bien que ce n’en était pas vraiment une, la jeune femme enfila son licol à la jument, puis ensemble, elles se dirigèrent vers l’écurie.
Kirsten pansa rondement Ivy avant de lui mettre l’équipement western sur le dos. Elle lui mit également des guêtres et des cloches au pattes avant pour protéger ses membres, avant de finalement lui mettre son filet. La jument ne broncha pas, laissant la jeune femme l’harnacher à sa guise. Kirsten caresse l’encolure d’Ivy, puis lui demanda de la suivre, d’un claquement de langue, jusqu’à la carrière extérieure. La Criollo suivit la jeune femme sans faire d’histoire, son calme semblait cacher quelque chose, comme si elle mijotait un mauvais coup pour la suite… Le duo s’arrêta dans un coin de la carrière, Kirsten prit ses rênes dans la main gauche, puis de la droite, elle resserra la sangle convenablement pour éviter que la selle tourne. Ivy piqua les oreilles puis lança un coup de nez en direction de Kirsten et vint se heurter à la main de la jeune femme qui bloqua une éventuelle morsure sur sa hanche gauche. La criollo se secoua la tête de haut en bas, puis revint à la charge. Suffit ! lança la jeune femme d’un ton ferme. Kirsten termina ses ajustements, puis passa les rênes sur l’encolure de la jument avant de mettre le pied gauche à l’étrier. Sous le poids de la jeune femme qui s’apprêtait à se hisser sur le dos de la pouliche, celle-ci se mit à avancer, forçant Kirsten à remettre le pied à terre puis la faire reculer de quelques pas, revenant à leur point de départ. Ivy se montra tenace, et la jeune femme dû répéter cet exercice plusieurs fois avant de finalement réussir à s’asseoir sur la Criollo sans embûche.
A peine assise dans la selle, et ses étriers mis, que la jument se mit à avancer. La jeune femme rassembla doucement ses rênes pour indiquer a la jument d’arrêter. Tout en brassant la tête de mécontentement, Ivy s’exécuta et la cavalière caressa son encolure pour la féliciter. Ivy était une jument avec beaucoup de caractère, mais qui avait su se montrer très volontaire dans la dernière séance quand Kirsten l’avait mis un peu plus à l'ouvrage. La jeune femme lui indiqua donc, a l’aide d’un claquement de langue, de se mettre au pas. Pendant une bonne dizaine de minutes, le duo se promena dans la carrière, Kirsten multipliant ses demandes de changement de direction et la Criollo se montrant de plus en plus légère dans ses réponses, au grand plaisir de sa cavalière. Avant de lui donner une petite pause, Kirsten fit faire des figures huit à la jument, puis lui demanda un arrêt en s’asseyant bien profondément dans sa selle tout en prenant une légère tension dans les rênes. Fidèle a elle même, Ivy hocha la tête avant de s’éxécuter, la jeune femme relâchant aussitôt sa tension puis lui tapota l’encolure avant de reprendre doucement ses rênes pour la faire reculer de deux pas. Très lourde dans les mains de la jeune femme au début, celle-ci décida de répèter quelques fois l’exercice pour atteindre une légèreté de mouvement un peu plus acceptable de la part de la pouliche.
Kirsten laissa Ivy marcher à sa guise dans la carrière pendant de longues minutes, la laissant explorer les moindre recoins de celle-ci, mais une chose en particulier attira son attention : les barils qui était rangés dans un coin de la carrière. Kirsten la laissa s’y rendre puis analyser ces choses qui lui étaient encore étrangères. Une prochaine fois peut-être on les mettra dans le manège ma belle, chuchota t’elle à sa monture qui renâcla un bon coup avant de reprendre son exploration. Cette petite pause terminée, la jeune femme amena Ivy sur la piste pour la dernière partie de leur séance : le trot et le galop. Une fois en piste à main droite, Kirsten s'assurer qu’elle n’avait pas de tension dans ses rênes, puis à l'aide d’un claquement de langue et d’une pression des mollets, le duo s’élança au trot sur la piste. Ivy avait un trot rapide facilitant grandement le trot enlevé de la jeune femme. Elles firent quelques tours de piste, puis Kirsten attendit le prochain coin avant de couper dans le centre de la piste en diagonale pour se retrouver a l’autre bout de la carrière et maintenant en main gauche pour quelques cercles de plus. Ivy semblait apprécier ce travail physique, trottant d’une bonne vitesse et sans s’obstiner. Après leur quelques tours a main gauche, Kirsten s’assied profondément dans sa selle avant de rassembler doucement ses rênes pour demander une transition au pas à la Criollo, qui ayant bien trotter, ne se fit pas prier pour ralentir l’allure. La jeune femme laissa sa monture reprendre son souffle quelques minutes en marchant tranquillement dans la carrière, lui tapotant l’encolure pour la féliciter, avant de la ramener sur la piste une dernière fois. Encore une fois, elle s’assura d’avoir suffisamment de jeu dans ses rênes pour ne pas gêner la pouliche, se plaça dans sa selle, puis a l’aide de deux claquements de langue et de sa jambe droite, elles se retrouvèrent au galop a main gauche sur la piste. Les premières foulées furent laborieuses, la jument hochant la tête de haut en bas, la cavalière lui demanda donc un peu plus de motion avant à l'aide de ses deux jambes maintenant. La pouliche fit un bond avant de finalement se mettre à galoper normalement et à une bonne vitesse. Elles firent trois tours de piste avant que Kirsten ne lui demande un transition au trot, puis au pas, et un changement de direction pour se retrouver en main droite. Elle laissa Ivy reprendre son souffle quelque minutes, puis réitera ses demandes de ce coté-la. Sans brassement de tête, la pouliche s’élança à nouveau au galop sur la piste, son allure étant un peu plus lente cette fois probablement dû à un début de fatigue, Kirsten ne lui fit faire qu’un tour et demi de la carrière avant de lui demander une nouvelle transition au trot, puis au pas, et l’arrêt complet.
La jeune femme tapota l’encolure d’Ivy avant de mettre le pied a terre puis de relacher sa sangle de deux trou. Elle quittèrent la carrière, puis la jeune femme emmena Ivy marcher sur le Domaine pour faire redescendre la pression. Une bonne quinzaine de minutes plus tard, le duo regagna l’écurie pour retirer l’équipement du dos de la jument, puis Kirsten en profita pour lui offrir une bonne douche, l’assècha partiellement puis la ramena à sa prairie ou elle pourrait profiter du chaud soleil de l’après midi...
[1568 mots]
Misspalikoa
Cavalier pro - niv. 0
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Ven 12 Mar - 22:51
Félicitation, son débourrage est terminé!
+ 5/5 pts en débourrage (monte aux trois allures) + 4 pts en confiance + 12
Faerwin
Cavalier du Jurassique Millénaire
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Lun 12 Avr - 14:34
Premier entraînementCharleston & Nolan Jr. Note › travailler les contrats de foulée sur un double (10 pts d'obstacles pour Charleston)
D'un naturel impatient, Nolan ne voulait pas attendre la visite du vétérinaire pour monter sa nouvelle acquisition. Le jeune homme, d'habitude peu matinal, s'était levé en même temps que le soleil qui commençait timidement à réchauffer le sol givré d'une nuit froide. Il s'était préparé soigneusement, ne pouvant pas négliger un seul instant son apparence qu'il appréciait si particulièrement. Il avait quitté son domicile après avoir englouti son petit déjeuner. Passant par la sellerie, le garçon récupérait le licol en cuir de Charleston qui avait passé la nuit au chaud, bien blotti à l'intérieur de son box. Il débloquait le montant particulier de la porte de l'enclos pour pénétrer dans le cocon du grand bai brun auquel il ne tardait pas à lui enfiler le morceau de cuir pour le conduire à l'extérieur.
Sa boîte de pansage déposée sur le sol avec l'équipement de monte du Selle français, Junior pansait énergiquement la robe du cheval, lui décrottait les sabots et démêlait ses crins fournis. Il installait par la suite un tapis orange sur son dos musclé, suivi par une selle noire, aux lignes précises, l'ajustant d'une sangle bavette de la même couleur. Passant à la tête de sa monture, il libérait sa tête de son licol pour venir déposer un bonnet de guêpe orange et blanc, surmonté d'un filet avec mors à aiguilles. Détachant l'étalon, les deux compères prirent le chemin de la carrière où des obstacles avaient déjà été installés plus tôt par le cavalier.
Les pieds bien ancrés dans le sable fin, l'homme s'installait confortablement dans le siège de la selle à l'aide d'un montoir disposé à l'entrée. Les rênes à peine ajustées, il lançait son partenaire au pas d'une pression de mollet. Plusieurs coups d’œil lancés autour d'eux, seuls, le rassurait et il put entamer sereinement sa détente aux deux mains. Soucieux du jeune âge de son équidé, il prit un temps long pour échauffer correctement ses muscles et éviter toute brusquerie. Nolan affichait un tout autre visage, plus attentionné et à l'écoute lors-qu’aucuns yeux curieux ne posait sur lui ou sa monture.
Une bonne vingtaine de minutes plus tard, le couple abordait son premier obstacle, une croix, que Charleston enjambait presque avec sa hauteur et son bon coup de saut. Ils le sautaient également à l'autre main, puis basculaient sur un vertical plus haut, aux deux mains. Maîtrisé par une facilité déconcertante, le garçon engageait le quadrupède sur les deux obstacles, en essayant de respecter deux foulées entre chaque. Obéissant, le brun s'exécutait et répondait aux aides précises de son bipède qui tachait de fournir des demandes précises. Ils prirent les obstacles dans les sens plusieurs fois, au trot puis au galop.
Satisfait, Junior finit par ralentir le cheval et le fit passer au pas, rênes longues, pour lui permettre de souffler. Il retirait un trou à la sangle, le laissant gonfler un peu plus ses côtes et ainsi, ses narines. Le récompensant d'une large caresse sur l'encolure, il se laissait glisser de la selle quelques minutes à peine l'entraînement terminé pour relâcher complètement la pression de la bavette. Le jeune homme remontait ses étriers et offrit un bonbon au bai, après avoir détaché sa muserolle. Ils regagnèrent les écuries où un bon pansage et une bonne douche serait offert à ce cheval méritant.:copyright:️ 2981 12289 0
Whappa
Spécialisation élevage - niv. 0
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Lun 12 Avr - 16:22
Il y a quelque chose que je n'ai pas compris, comment s'appelle ce cavalier? Entre Junior et Nolan, je me perds Fais cependant attention que la description de l'exercice est assez légère selon moi, je l'ai tout de même accepté mais ça serait bien si tu détaillais un chouia plus l'exercice la prochaine fois, quitte à délaissé un peu l'avant/après si tu n'as pas trop le temps d'écrire en ce moment
+ 1 en soins + 1 en dressage + 2 en saut
+ 3 Objectif validé, cadeau MàJ
Faerwin
Cavalier du Jurassique Millénaire
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Mer 14 Avr - 11:12
Direction assistéeCharleston & Nolan Jr. Note › travailler la propreté du tracé en incluant des courbes serrées. (10 pts d'obstacles pour Charleston)
Posé sur le dos de son Selle français, Nolan sentait le vent s'engouffrer dans le creux de sa nuque nue, provoquant un léger frisson. Les yeux rivés sur ce qu'il avait préparé plus tôt sur une partie de la carrière, il laissait l'étalon s'échauffer avec un pas rythmé, souple. Puis, d'une simple pression de mollets, le bai brun s'élançait dans un trot cadencé, aérien. Le jeune homme réajustait ses rênes et le fit travailler sur un cercle de 20 mètres, amplifiant ou diminuant son allure sur quelques foulées. Il changeait de main sur une diagonale et fit la même chose à l'autre sens, jouant avec ses doigts sur le cuir chaud des lanières qu'il disposait sous ses gants. Une nouvelle pression et voici le duo lançait dans un galop précis, brut. Le cavalier restait sur le même cercle un instant avant de diriger sa monture sur un huit de chiffre pour changer de main sur la diagonale du chiffre. Les traits de son visage étaient fermés, il était concentré. La séance matinale avait eu raison du manque de spectateurs, qui ravissait le garçon une fois encore. Il pouvait profiter pleinement de son cheval et de sa reprise.
Tranquillement, No' se mit à ralentir l'équidé, d'abord au trot ample, puis aux petites foulées avant de le passer au pas pour le féliciter d'une bonne caresse près du garrot. Prévoyant, le jeune bipède jetait de rapides coups d'œil sur son équipement afin de vérifier que tout était resté en place avant de mettre Charleston sur l'exercice du jour. Ils l'abordèrent d'abord au pas à main droite. Trois barres au sol successives étaient disposées sur une partie de la piste et quatre autres s'éparpillaient au centre de la carrière, trois en diagonale coupé par une dans le même sens que les trois précédentes et à hauteur de la 2ème. Ils enjambèrent la 1ère, la 2ème et l'humain tournait directement le quadrupède pour aller franchir la barre au sol dans le même axe sur une volte, retournant sur la barre au sol franchi juste avant, puis prit la 3ème devenu le 5ème. Nolan dirigeait le brun sur le 6ème obstacle, deux barres déposées en diagonale et passait entre les deux obstacles 2 et 3 pour venir franchir le 1ème (7ème) de nouveau avant d'exécuter une nouvelle volte pour se diriger sur le 8ème, marchait de nouveau entre le 2 et 3 pour terminer le parcours sur la 3ème (9ème) barre de la piste.
L'exercice bien mémorisé, le garçon lançait son mâle au trot et fit de nouveau la combinaison d'obstacles en veillant à respecter les foulées entre chaque barre et à faire de belles courbes arrondies. Il le fit deux fois à cette allure avant de changer de main. Il montait la hauteur des barres qu'après l'avoir fait à main gauche - toutes en verticales sauf le 6 en croix -. Histoire de terminer la séance en sautillant un peu. Charleston répondait bien aux aides du jeune garçon qui s'appliquait durant sa monte. Le couple exécutait à merveilles le parcours et rendait l'exercice agréable.
Le dernier obstacle franchi, No' relâchait ses rênes et fit ralentir sa monture pour le laisser relâcher la pression. Malgré le froid, sa peau commençait à coller doucement. Ils marchèrent quelques minutes ensemble dans la carrière avant que le garçon ne quittait le dos du Selle français pour rejoindre le sable tiède. Il retirait toutes pressions sur la tête et le passage de sangle de son cheval puis ils quittèrent ensemble la carrière pour aller se rafraîchir sous une bonne douche et un bon pansage.
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Mer 14 Avr - 12:32
Sympa cet exercice! :3
+ 3 en dressage + 1 en saut
+ 3 Objectif validé, cadeau MàJ!
Faerwin
Cavalier du Jurassique Millénaire
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Sam 1 Mai - 11:15
Un travail enrichissantBlack Jack & Ambre Note › réaliser une séance axée sur la propreté du tracé. (5 points de Pole Bending pour Silver et Black Jack)
Les doigts glissants sur le manche en bois d'un balai, les cheveux dégagés sur ton dos frêle, tu passes une main sur ton front pour venir sécher la sueur qui humidifie tes tempes. Un léger soupire s'évapore de ta bouche rosée, immédiatement suivi d'un franc sourire venant réchauffer tes pommettes féminines. L'état impeccable de tes infrastructures te rends fière du travail que tu viens d'accomplir et tu rangs enfin ton matériel de nettoyage à l'endroit prévu pour lui avant de te munir du licol de ton fidèle Black Jack. Tu joues avec sa longe jusqu'à ce que tes pas finissent par fouler l'aller herbeuse de tes paddocks. Une fois le contact visuel établi, tu appelles l'étalon d'un claquement de langue délicat. Celui-ci redresse ses oreilles à ce son et s'avance vers toi tandis que tu ouvres la barrière qui te permet de t'insérer dans le parc pour venir lui enfiler son harnachement. Tu glisses une caresse amoureuse entre ses naseaux caramels et vous quittez l'enclos ensemble pour rejoindre l'aire de pansage où ton équipement vous attends.
Tu procèdes à un pansage minutieux et efficace après avoir attachée le quarter horse. Tu commences par ses sabots et ses membres que tu brosses tendrement. Tu lui pulvérises du démêlant dans la crinière et la queue en insistant pour qu'il entre bien dans ses crins fournis. Tu laisses agir et t'occupes de son corps poussiéreux. Par chance, l'air était sec et le sol s'était remis des dernières pluies, il y a plusieurs semaines déjà. La rosée matinale n'avait pas d'impact sur la prairie du mâle, dépourvue d'herbes à cause d'un broutage intensif. Tu intensifies ton brossage sur son garrot et son encolure avant de terminer par sa tête avec une brosse plus douce. Tu poses les ustensiles dans ta boîte et viens passer un peigne à crins dont le passage est facilité par le produit administré. Tu t'amuses à tresser la crinière, dégageant son cou pour permettre à l'air de circuler, ainsi que la queue du seal brown. Tu lui offres un bonbon aromatisé à la pomme et lui enfiles enfin son tapis, surmonté d'une selle havane. Tu règles la sangle au premier trou. Te munissant de bandes rouges comme ton tapis, tu viens les poser sur chacun de ses membres pour le protéger durant le travail. Tu ne serres pas pour ne pas comprimer la circulation sanguine. Tu lui mets enfin sa bride et dégages son toupet sur le frontal que tes phalanges viennent effleurer doucement. Tu enfiles ta bombe et détaches l'imposant mâle. Vous voilà prêts!
Le sable de la carrière vient surmonter vos pieds et tu t'arrêtes au milieu, près d'un montoir. Tu réajustes tes étriers, resserres la sangle et vérifies que le tapis ne frotte pas le garrot de ton partenaire. Tu lui fais une rapide accolade sur l'épaule et commences ton ascension. Une fois positionnée sur le plot, ta jambe droite passe par-dessus le pommeau pour se laisser suspendre de l'autre côté de l'équidé, respectueusement. Bien installé, tu te munis de tes rênes et lances le puissant américain au pas. Tu laisses ses muscles s'échauffer tranquillement dans la chaleur ambiante de ce début du mois de mai. Tu commences cependant à réfléchir à votre séance de travail, axé sur le barrel racing. Tu n'avais pas vraiment l'occasion de travailler Black dans ce type de discipline, préférant savourer les extérieurs et l'attelage, même si son principal mode de fonctionnement restait le western. Tes mains s'avancent et ton poids du corps se fait plus léger, permettant au bai de s'élancer dans un bon trot. Tu restes bien assise dans ta selle, ton assiette aidant au maintien de ton dos et de tes jambes. Tu le laisses sur toute la longueur et large de la carrière deux tours avant de basculer sur un cercle de 20m pour venir assouplir son encolure et son bout de nez, dans un trot plus lent, quoi qu'engagé. Tu sens l'étalon se faire plus légers sous tes doigts et tu le récompenses d'une brève caresse sur la base de sa crinière. Tu exécutes une diagonale au milieu de ton cercle et vient exécuter le même travail à l'autre main, de l'autre côté de la carrière. Une fois que le quarter devient plus souple, tu brises le cercle et t'engages sur la piste dans un galop dynamique. Tu le laisses développer ses foulées à sa guise pendant plusieurs tours puis vous changez à nouveau de sens en rassemblant l'allure. Tu le laisses se défouler encore quelques minutes, terminant l'échauffement par le ralentir et le laisser souffler.
Initialement, tu avais installée trois bidons, formant un triangle. Deux barres au sol symbolisent l'entrée et la sortie de ton trèfle. Tu commences à les aborder au pas, toujours de l'intérieur vers l'extérieur, celui de droite, de gauche et enfin, le plus éloigné puis tu ramènes ton acolyte vers l'entrée que tu franchis sereinement. Black Jack connaissait son travail et ça ne serait pas difficile pour lui d'exécuter tes demandes, mais il fallait que tu travailles tes aides et ta position. Tu formes une volte pour lancer l'étalon au trot et tu entres de nouveau en réinitialisant le même tracé. Tu veilles à bien rester ancrée dans le siège de ta selle et à garder ton regard fixé sur le prochain bidon. Tu laisses suffisamment d'espace dans tes rênes pour permettre à l'équidé de prendre appui sur son port de tête et ses membres pour tourner correctement et surtout, le plus serré possible. Tu abordes chaque obstacle ainsi et sors de nouveau. De nouveau, tu te positionnes sur une volte et permets à ton cheval de détendre sa nuque pendant plusieurs cercles avant de retourner de nouveau sur le trèfle, toujours au trot. Tu l'exécutes deux fois et termines la séance sur un passage au galop, rassemblé, calme. Tu restes encore un instant cibler sur les sensations que te procures l'allure rapide du brun. Il s'applique et tu ressens son épanouissement à travers ses oreilles gigotantes et détendus. Tu franchis une dernière fois les barres et tu relâches complètement les rênes pour venir te blottir contre l'encolure de ton quadrupède. Tu le félicites en grattouillant généreusement sa nuque et tu évites de venir bizouiller son poil désormais bien humides. Le quarter horse ralentit son allure de lui-même, venant se mettre au pas, détendu. Tu reviens sur ton assise et le fait marcher une dizaine de minutes encore.
Tes mains se lèvent, signalant la fin de la séance. Tu te laisses glisser le long du quartier de ta selle. Au sol, tu desserres la sangle de ton cheval et retires sa bride. Vous quittez ensemble la carrière sans attache pour rejoindre l'aire de pansage. Tu avais une confiance aveugle en ton partenaire, si bien qu'il te suit attentionné jusqu'au point d'attache sans se soucier des herbes qui se proposent à lui durant le trajet. Tu l'encourages d'une accolade une fois arrivé et lui enfiles enfin son licol. Tu le ôtes la selle et le tapis, ainsi que les protections. Tu ne le brosses pas tout de suite et files lui imposer une bonne douche rafraîchissante à l'intérieur des écuries. Tu étais très heureuse de cette séance et ça se ressentait sur ton visage éblouissant.
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Fais cependant attention que la description de l'exercice est assez légère selon moi, je l'ai tout de même accepté mais ça serait bien si tu détaillais un chouia plus l'exercice la prochaine fois, quitte à délaissé un peu l'avant/après si tu n'as pas trop le temps d'écrire en ce moment 
