Box de Play Cool

Jour 1; L’appréhension
Me voici assise dans ma voiture, derrière le volant, garé dans le stationnement du Haras. Le ventre me fait mal, j’ai la nausée  littéralement. Mon regard fixe la porte principale ma tête me dit de rentrer, mais mon corps ne m’écoute pas. Qu’elle idées avais-je pu avoir? La semaine dernière  une offre de demi-pension était passée dans mes actualités une petite jument grise pommelé avec des aptitudes qui pourrait bien me convenir. Le timing parfait, bien installé dans ma nouvelle vie, un nouveau travail qui me plait personne qui ne m’attend le soir à la maison l’idée me semblait alors parfaite.  J’avais décroché le téléphone et composé le numéro sans me poser de question. Le rendez-vous pour la première rencontre avait été cédulée une journée pour faire connaissance autant avec le responsable du Haras qu’avec ma future demi-pension.

Je soupirai en voyant des cavalières sortir de l’écurie accompagnée de leur monture, je n’y arriverais pas. Je devais cependant entrer dans l’écurie pour avisé la responsable que finalement je ne prendrais la jument en demi-pension pour rester polie.

Je débarqua enfin de ma voiture, les nausées quadruplant j’eu même une sensation de tournis en franchissant la porte menant aux écuries. Soudain une petite voix retenti derrière moi.
‘‘tu es surement celle qui vient pour Play’’ J’ouvris la bouche pour répondre mais je n’eu pas la chance de dire aucun mot que je sentis une petit main aussi délicate que la voix me tirer par la bras m’entrainant à quelques box plus loin m’arrêtant devant celle pour qui au départ  j’étais venu. Me regard croisa celui de la jument pour la première fois, et cette fois ce fut tous mon corps qui fut douloureux.
‘‘ Ma maman a dû partir elle va avoir un peu de retard, elle m’a dit de te dire que ça lui ferai du bien d’aller dehors un peu, que  tu pourrais  peut être la sortir un peu en l’attendant.’’ Elle me tendit un licol et une laisse. C’est sans m’en rendre compte que je me retrouvas dans son box.

La jument mangeait sans trop se soucier de moi. Je passa ma main sur son encolure et sur son épaule. Un soupire s’échappant, j’allais la sortir puis je renoncerai à cette demi-pension une fois la responsable revenu. J’enfila son licol, attacha la laisse elle collabora sans précipitation ni opposition.  

Me voici donc un cheval au bout de la laisse me dirigeant vers l’extérieur.

2heure plus tard
Retour au box avec Play. Je lui passa une étrille en caoutchou sur tout le corps puis une brosse dur pour dégager sa robe de toute cette poussière. Un coup de cure pied sous chaque sabot et lui tendi une pomme que j'avais oublié dans ma poche avec tout les sentiments qui m'avais frapper durant les dernieres heures. Le licol de nouveau retiré je sorti finalement du box la regandant plusieurs minute un soupire d'une enorme pression qui tombait.

"À bientôt ma belle"