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Invité
Invité | Mer 30 Déc - 19:41 |
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Paddock – Toxane (PDV Eloïse) Toxane et moi arrivons aux abords des paddocks après un court et calme trajet. Malgré l'hiver, les prés sont verdoyants. Le ciel est blanc, un léger brouillard matinal flotte. Nous passons devant plusieurs chevaux qui broutent, se reposent ou encore se défoulent. Soudain, un de ces équidés prend le galop, à quelques mètres de nous, affolant la jument qui lève la tête en hennissant. Je ressers mes doigts sur la longe et lui caresse l'encolure. Mais Toxane reprend peur quelques secondes plus tard, lorsque ce même cheval nous rattrape en poussant un hennissement et secouant la tête dans tout les sens. La jument accélère le pas, ses yeux sont exorbités. – Doucement, doucement Toxane, je lui dis d'une voix ferme. La belle aubère ralentit, baisse la tête, mais reste aux aguets ; ses oreilles pivotent dans tout les sens. Je la caresse longuement, tandis que nous arrivons à la barrière d'un paddock que j'ai repéré plus tôt. Toxane se stoppe pendant que j'ouvre la porte, entre à mes côtés et s'arrête de nouveau en attendant que je referme la barrière. Nous avançons un peu plus sur l'herbe mouillées, et je pivote avec la jument, de manière à ce qu'elle fasse face à la porte. Doucement je lui enlève le licol, et recule d'un pas, la laissant partir au trot vers le fond de la petite pâture. Je fais demi tour pour poser le licol sur le piquet se situant juste à côté de la barrière et passe en dessous de cette dernière pour sortir. Alors, je pose mes mains et mon menton dessus, regardant la jument prendre le galop et s'arrêter net à la clôture. Quelques minutes plus tard, je prend le chemin inverse en direction des écuries.
Une heure et demie plus tard, me voilà de retour au paddock. Il a fait froid, mais aucune goutte de pluie n'est tombée, j'ai alors pu laisser Toxane se défouler à l'extérieur. Il faut avouer que le temps est frais en ce moment, mais pas humide. Un pas après l'autre, je me dirige vers la barrière en chantonnant. J'attrape le licol et ouvre la porte. Toxane n'est pas loin, elle lève la tête puis la redescend et continue à brouter. Je crains qu'elle ne s'échappe au grand galop à la dernière minute et que je n'arrive pas à l'attraper. Pour l'instant, la jument ne bouge pas, elle mastique tranquillement son herbe, les deux oreilles pointés vers l'avant. La distance se réduit. Je tend la main vers Toxane qui recule d'un pas, méfiante. Alors je me stoppe. – Viens Toxane. Je claque de la langue. Alors, je fais un pas en avant. La jument ne bouge pas. Je continue à avancer, réussis à lui caresser l'encolure et enfin, lui passe le licol sans difficulté. Je soupire de soulagement et engage le pas vers la sortie, puis, nous nous dirigeons vers les écuries où je la panse de nouveau et la rentre au box pour la ration du midi.
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maioral
Admin à la mayo (et fan de Kero) Messages : 2845 Inscription : 10/07/2014
| Mer 30 Déc - 19:57 |
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+ 3 en confiance + 1 en soins + 2 |
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Invité
Invité | Mar 5 Jan - 19:08 |
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Paddock – Toxane (PDV Eloïse) J'arrivai au pré avec Toxane au bout de ma longe. Pendant le trajet, j'ai du trotter à côté de la jument parce qu'elle a prit peur à cause d'une voiture démarrant assez vite. Là, presque arrivée à la barrière du paddock, je la sentais encore apeurée. Je lui flattai l'encolure et ouvris la porte afin d'entrer. Toxane retrouva son calme, mais j'hésitai à la lâcher complétement étant donné l'exercice que je voulais effectuer. Ce n'était peut-être pas l'endroit adéquate, mais la faire sortir ne lui ferait pas de mal. Je décidai alors de lui enlever sa longe et de lui laisser son licol pendant que je faisais un aller retour pour apporter le matériel nécessaire. Je passai en dessous de la barrière avec un ballon de horse-ball et le présentai à la jument qui fit un pas en arrière d'un air de dire " qu'est ce que c'est que ton truc ". Je l'appelai par son nom, en tendant la main qui ne tenait pas l'objet mais en gardant ce dernier devant moi. Je parvint à lui caresser l'encolure ; elle se laissa faire en m'observant, suspicieuse. Je revint vers sa tête et tout en la rassurant, lui mit doucement le ballon sous le nez. Elle le renifla avec méfiance, puis une fois qu'elle eu compris qu'il était inoffensif, n'y fit plus attention. Ouii biieeen, tiens, je la récompensai en lui donnant un morceau de carotte. Je tentai alors de toucher son encolure avec la balle, mais la jument fit brusquement un écart et s'arrêta à un mètre de moi en me regardant avec des yeux craintifs. Au bout de trois essais, elle se laissa caresser avec le ballon sur le dos, les flancs et la croupe. Ouii biieeen. Je lui flattai l'encolure et lui fit un câlin avec l'objet en main. Elle était attentive à toutes mes paroles, les oreilles s'agitant lorsque je lui parlais.
La jument se mit à brouter tranquillement, pendant quelques minutes je la laissai faire. Elle releva la tête quand je l'appelai puis j'attrapai son licol en dessous de sa bouche et la fit marcher à mes côtés. Elle me suivit tranquillement, marchant d'un pas lent et décontracté, jusqu'à ce que j'agite légèrement le ballon dans ma main, elle s'arrêta soudainement en levant la tête. Du calme, je chuchotai. Elle cessa de se crisper et baissa l'encolure, nous continuâmes d'avancer. Ni une, ni deux, je recommençai un peu plus légèrement à bouger la balle de horse-ball. Toxane n'eu presque aucune réaction, à part de me regarder avec de grands yeux en poursuivant notre marche. Nous sommes arrivés au milieu du paddock. Je félicitai la jument d'une caresse et d'un morceau de carotte. Peu à peu, à force d'agiter le ballon en sa direction, Toxane, ayant comprit qu'il n'y avait aucune raison d'en avoir peur, n'y faisait plus attention. Je pouvais même le lancer en l'air et le rattraper dans un bruit étouffé par mes mains, elle ne faisait que brouter l'herbe rafraîchie par la pluie. Je lui enlevai alors son licol et sortis du paddock après avoir agité une dernière fois le ballon pour être sûre. Cela me serait bien utile lors du concours de horse-ball auquel je me suis inscrite et qui a lieu dimanche prochain, il ne reste plus qu'à en parler à mes parents...
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maioral
Admin à la mayo (et fan de Kero) Messages : 2845 Inscription : 10/07/2014
| Mer 13 Jan - 12:03 |
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+ 2 en confiance + 2 en travail à pied + 2 |
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Invité
Invité | Sam 23 Jan - 12:56 |
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Paddock – Step Hight (PDV Alix) La voiture de Papa se gare sur le parking du Haras de Pado. En sortant, mon pied se pose sur une couche de neige d'environ 10 com. Il a beaucoup neigé cette nuit, et il fait très froid. Pourtant, ça n'a pas décourager mon père de venir ici, moi je n'avais pas envie. Il voulait que j'aille sortir Step Hight, mais il était hors de question que je le monte. Sur le chemin, Papa m'a dit que mardi, il avait passé la journée au paddock, puisque nous ne sommes pas venu, et qu'hier, une cavalière expérimentée l'a sorti en saut d'obstacle, et que tout c'est bien passé. Même avec ses arguments, j'ai tenu tête et j'ai décidé que je ne ferais que l'emmener au pré. Mon beau Step Hight, maintenant j'en ai peur, et ça me rend plus que triste. Quand mon père me l'a acheté, j'étais censée pouvoir m'en occuper et le monter normalement, mais Step en a malheureusement décidé autrement.
Mon père et moi nous dirigeons vers les écuries de propriétaire, espérant nous réchauffer un peu. J'y trouve comme d'habitude mon étalon alezan, qui fait demi-tour dans son box quand il nous voit. Je soupire et baisse la tête. Mon père pose alors ses mains sur mes épaules en guise d'encouragement. De ce fait, j'appelle Step Hight pour lui indiquer ma présence, m'appuyant sur la porte du box. Il me regarde du coin de l'œil, l'encolure légèrement tournée en ma direction. A présent, sa réaction m'est familière, mais elle m'attriste toujours autant. Je me suis demandé si c'était moi le problème, mais je ne pense rien faire de mal. Doucement, j'ouvre le loquet de la porte et avance d'un pas sur la paille toute propre. Je continue de l'appeler en tendant ma main vers lui, et il finit par se laisser caresser. Je soupire de soulagement alors que mon père me passe le licol pour que je l'enfile à l'étalon. Je le sors alors du box et procède à un simple curage de pied. Je troque sa couverture d'écurie pour une autre d'extérieure, la fixe bien et nous voilà partis vers la prairie.
Pendant le trajet, je suis les conseils de mon père. Je ne laisse pas Step Hight me dépasser, tenant la longe bien fermement au niveau du mousqueton. Mais ce n'est pas chose facile, car il a de la force. A plusieurs reprises, il me bouscule et essaye de m'embarquer, et finit finalement le trajet dans les mains de mon père. Moi je suis là à le regarder. Il le maitrise bien mieux que moi, mais il dit que c'est normal, qu'il faut qu'il apprenne à me respecter. J'ouvre la porte du pré en tirant un mine maussade et laisse Papa y entrer en premier avec l'alezan. Il s'arrête quelques mètres plus loin, stoppant correctement Step qui rechigne néanmoins à rester en place. Une fois qu'il est assez calme, mon père détache la longe du licol et se recule. Heureusement, car l'étalon détale au galop au fond de la prairie en décochant quelques ruades. Mon père vient me rejoindre près de la barrière et me donne la longe. – Je vais au club house, tu viens avec moi ? il me demande. – Va y je te rejoins. Sans plus attendre, mon père sort du pré en se frottant énergiquement les mains pour les réchauffer. En quelques instants, je me retrouve seule au milieu de ce paysage maculé de blanc. Step Hight semble découvrir la neige comme un gamin. Il se met à humer le sol, à gratter de son antérieur, puis fait un bond et repart au trot. Je rigole tout seule en le regardant. Au bout de quelques minutes, et se met à grignoter quelques brins d'herbe qui dépasse. Il me regarde du fond de son pré, sans jamais venir vers moi, alors je pense qu'il est temps pour moi de repartir. J'ouvre la barrière et en me retournant, je voix que Step Hight m'observe, les oreilles pointées en ma direction. Un petit sourire se dessine sur mes lèvres, alors que je trottine dans l'allée et rejoins ensuite le club house où je retrouve mon père.
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maioral
Admin à la mayo (et fan de Kero) Messages : 2845 Inscription : 10/07/2014
| Mar 26 Jan - 10:25 |
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Tu as mis Ren en signature + 2 en confiance + 2 |
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Invité
Invité | Dim 13 Mar - 22:02 |
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Paddock et pansage – Bazil (PDV Eloïse) Dans la voiture, je vois défiler les arbres de l'allée qui mène au domaine de Lonval. C'est la première fois depuis que mon oncle en a fait l'acquisition, que je vais y préparer un de me chevaux, et je suis enchantée. De plus qu'après mainte et mainte demandes, mes parents ont accepté de signer les papiers pour acheter Bazil. Celui-ci a rejoins les écuries auprès de Toxane le lendemain de l'achat, et j'en suis très heureuse. J'arrive donc avec ma mère ce jour là. Elle gare la voiture sur le parking entouré de parterres de fleurs printanières, et je descends du véhicule, donnant à ma mère l'heure à laquelle elle peut venir me rechercher. Je tourne ensuite les talons, entendant derrière moi le moteur de la voiture qui s'éloigne, puis entre dans l'écurie. Je ferme la porte derrière moi pour éviter les courants d'airs, et longe l'allée jusqu'au box de Bazil. Je l'appelle et il vient immédiatement vers moi, levant sa petite tête pour me renifler les mains. J'ouvre la porte, prenant au passage le licol rouge accroché à côté et m'avance vers le poney pour le lui mettre, puis je prends en route ma boîte de pansage, et nous voilà partis.
Nous sortons de l'écurie en direction des pâtures. J'ai pensé qu'une petite sortie lui ferait certainement du bien, après tout, maintenant que les beaux jours sont revenu, je pense l'y laisser assez souvent. On marche calmement sur le petit sentier de terre entouré de paddock, et je m'arrête rapidement à la porte de l'un d'entre eux. Bazil est totalement calme, certainement habitué à ce train-train pour passer la porte, mais ça me change clairement de Toxane, qui avant, en faisait tout un cinéma. Je décide de laisser le licol au poney pour éviter qu'il ne m'échappe lors du pansage, et fais un nœud lâche autour de son encolure. Bazil baisse immédiatement la tête pour arracher l'herbe bien verte avec ses dents, me faisant sourire. La première raison pour laquelle j'ai eu envie d'acheter ce poney était le fait qu'il soit un peu blasé de la vie de club. Il avait besoin de changer d'air, et le voir ainsi, heureux de sortir, me fait énormément plaisir. Je lui gratouille le garrot, et une touffe de poil vient se glisser entre mes doigts. Je la laisse s'envoler au vent et ouvre ma boîte de pansage pour en sortir une étrille. Je commence à faire de grands ronds sur les parties charnues de son corps, insistant bien pour faire partir la surcharge de poil d'hiver, et ça porte ses fruits. Bazil semble apprécier ce massage, bien qu'il ne me porte pas tellement d'attention, trop occupé à engloutir l'herbe qu'il vient de mâcher, alors qu'il en reprend avec gourmandise. J'échange ensuite l'étrille avec le bouchon et m'attarde pour faire partir le surplus de poussière, du la majeur partie de son temps qu'il passe au box. Je frotte avec vigueur ses genoux et ses jarrets, et satisfaite de mon travail, je continue le pansage avec la brosse douce. Je la passe sur sa tête, qu'il m'autorise à lever juste quelques instants, et sur tout son corps. J'asperge également ses crins de démêlant et le peigne soigneusement, m'attardant sur la queue qui comporte énormément de nœuds. Cinq bonnes minutes ne me suffisent pas à obtenir un résultat soyeux, alors je continue avec soin, jusqu'à une parfaite brillance. La crinière est plus facile à brosser, et ne parlons même pas du toupet. Je prend ensuite le cure pied et lui demande l'antérieur avec une main, le félicitant de l'autre. Je dégage les lacunes du fumier et des autres saletés, et m'exercent ainsi sur les autres sabots. Je me frotte les mains avec fierté, constatant que Bazil rayonne de beauté. Je songe à lui graisser les pieds, mais finalement j'oublie cette idée : une fois qu'il aura gambader dans son pré, cela n'aura servi à rien, je le ferais plus tard. Ni une ni deux, j'enlève le licol au poney et tape sur sa croupe avec ma main.
« Aller file ! » je rigole en le voyant s'éloigner au petit trot.
Je range alors mes affaires de pansage et traverse le pré en direction de la porte. Je pose ma boîte juste à côté et m'assois par terre, adossée à la barrière. Alors, je laisse mes pensées me guider. Bien vite, celles ci me portent vers des rêves que je n'auraient jamais osé faire. Une envie de gloire que j'ai toujours repoussé, mais qui depuis quelques temps revient à chaque fois que je prend le temps de réfléchir à mes envies. Seulement, il me faut du résultat pour pouvoir dire à mes parents que je veux faire de ma passion mon métier. Je suis tirée de mes pensées par un hennissement qui provient du fond de la prairie, là où Bazil prend un malin plaisir à galoper comme un sauvageon. Je l'observe quelques secondes en souriant puis me relève et sort du paddock, boîte de pansage sous le bras.
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Whappa
Spécialisation élevage - niv. 0 Messages : 15398 Inscription : 19/07/2014 Age : 25
| Mar 15 Mar - 18:03 |
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Vraiment chouette un pansage en plein air comme ça! + 1 en confiance + 3 en soins + 2 |
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Invité
Invité | Dim 3 Avr - 13:45 |
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Paddock – Toxane (PDV Eloïse) Ce matin, il n'a pas arrêté de pleuvoir. J'étais un peu démotivée pour venir m'occuper de mes chevaux par ce temps, mais finalement après douze heures, le soleil a pointé le bout de son nez et depuis il fait de plus en plus doux. J'ai donc décidé de venir au domaine, mais je ne compte pas monter je vais plutôt offrir une sortie au paddock à ma jument Appaloosa. Je pénètre dans les écuries et m'avance directement jusqu'au box de Toxane. J'ai le droit à un accueil plutôt chaleureux de sa part. Elle m'attend à la porte et me donne un petit coup de nez pour quémander des carottes. Je lui gratouille le chanfrein pendant quelques minutes pour le plaisir de la voir fermer les yeux, puis entre dans son box. Je la caresse encore un instant sur l'encolure, puis m'attelle à curer ses pieds avec le cure-pied que je laisse toujours accroché à côté de l'emplacement du licol et qui s'avère bien pratique. Je nettoie donc ses sabots avec minutie pour ne pas qu'elle soit gêner en allant gambader dans le pré, et lui met une couverture légère mais imperméable sur le dos, de façon a ce qu'elle soit protéger s'il se remet à pleuvoir et qu'elle ne se salisse pas trop.
Après être sortie de l'écurie avec ma jument qui me suit en longe, il nous faut rien que quelques secondes pour apercevoir les pâtures, juste le temps de faire le tour des infrastructures. Toxane me suit docilement, mais bientôt la voilà toute affolée par Red Mark qui vient à courir vers nous. Forcément, elle n'a pas oublié l'odeur de son poulain et elle se met à piaffer à côté de moi. Red passe pour l'instant ses journées au pré, et il est rentré le soir pour la nuit au box et c'est Vikcy qui se charge de son débourrage, alors il a la belle vie. Il arrive à nos côtés et nous suit au pas rapide alors que je me dirige vers la barrière de son pré. Je ne vais pas les séparer maintenant, alors j'ai décidé de les mettre dans la même prairie pour l'après-midi, avec également le vieux Bazil qui arrive au pas. J'ouvre la porte et envoie Red Mark un peu plus loin avec des mouvements de bras. Je fais entrer ma jument Appaloosa et referme derrière nous avant de l'amener vers le milieu de la pâture. Red nous tourne autour d'un air heureux et pivote les oreilles dans tout les sens. Je détache le licol de la jument et elle va immédiatement renifler son poulain. S'en suit une séance de gratouilles entre les deux Appaloosa, alors je les laisse tranquille et sort du paddock, laissant le licol sur le piquet pour après.
Il est dix neuf heures quand je reviens. Après avoir passée l'après-midi entre le bureau du domaine pour la paperasse et la sellerie pour le nettoyage, je suis épuisée. Je saisis le licol et ouvre la porte, appelant Toxane par son nom. Elle n'est pas loin et relève immédiatement la tête après m'avoir entendu. Je m'approche et lui caresse le chanfrein avant de lui présenter le licol. Elle passe docilement sa tête dans la muserolle, alors je boucle le licol et l'emmène avec moi vers la sortie. Red Mark nous suit, mais lui sera rentré avec Bazil un peu plus tard par le palefrenier. De retour aux écuries, je rentre la jument, la débarrasse de sa couverture qui a évité un long pansage, et lui cure de nouveau les sabots. Je suis sûre que cette sortie lui a fais beaucoup de bien, alors je quitte le domaine contente de ma journée et rentre chez moi.
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Rouxine
Admin sudiste Messages : 4311 Inscription : 16/12/2015 Age : 21
| Dim 3 Avr - 14:27 |
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Pas facile à noter :scratch: +1 en soins +1 en confiance +2 MàJ |
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Invité
Invité | Sam 9 Avr - 17:59 |
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Paddock – Roméo (PDV Alix) C'est en soirée, à peine rentrée d'un concours non pas pour moi, mais pour Eloïse, que je venais rendre visite à mon poney français de selle. Mais vous n'en reviendrez pas, mon pauvre Roméo s'est chopé une tendinite à l'antérieur droit, sans que je ne vois rien venir. C'est en le pansant que j'ai découvert une zone de chaleur sur son membre, et après auscultation le vétérinaire a été formel, pas de travail pendant au moins deux semaines. Il m'a tout de même autorisé à la sortir au paddock et en main, parce que je craignais que mon poney ne fasse une dépression à rester dans son box à longueur de journée, lui qui a l'habitude de sortir presque tout les jours. Et en même temps, loin de moi l'idée de me réjouir de son repos forcé, mais le savoir inapte à travailler voulait donc dire un cheval en moins à sortir, car ces derniers temps avec l'entraînement intensif de Step Hight pour le concours complet qualificatif, et mon boulot, j'étais débordée. J'avais quand même pensé à lui, et après être resté tout le jours au box, il méritait d'être sorti. C'est pourquoi ce soir, je me dirigeai une seconde fois vers le domaine, quelques carottes coupées au fond de ma poche...
J'avançai à pas lent vers les écuries, jetant un coup d’œil par-ci et par-là, même si je connaissais les lieux dans les moindres recoins. J'appelai Roméo, et bientôt j'entendis la paille se retourner dans son box, signe qu'il se bougeait un peu pour venir m'accueillir. J'arrivai alors à la porte du box et m'y accoudai, sitôt bousculée par la tête du poney qui venait se frotter à la mienne. J'étouffai un cri de surprise et me mit à rire, reculant afin de ne pas me prendre un autre coup de tête. Câlin, Roméo vint fermer les yeux et se laissa choyer par ma main qui lui grattouilla le chanfrein. J'avais l'impression qu'il appréciait encore plus mes visites lorsqu'il était contrit au box comme tel. Enfin, j'entrai dans son humble demeure et continuai mes caresses, sur mon garrot et dans sa crinière couleur neige. Je ne pu m'empêcher de regarder son antérieur blessé, même si mis à part pour un vétérinaire, sa tendinite n'était pas visible à l’œil du commun des mortels. Peut-être un léger gonflement, mais la faible lumière du box m'empêchait de le voir. Je m'en allais donc prendre le cure-pied que j'accrochai toujours pas précaution à côté de l'emplacement du licol, et revint lui demander la jambe en question. Je me devais d'être douce pour ne pas lui faire mal, mais il ne montra aucun tressaillement lorsque je lui nettoyai le dessous du sabot, signe que j'avais été assez légère dans mes mouvements. Je ne cherchai pas à utiliser cette délicatesse pour les autres membres et en un rien de temps ils furent tous dépourvu de paille ou de crottin. Je pouvais alors lui passer son licol noir auquel s'ajoutait de la fourrure d'agneau écru sur les montants, et une longe que je saisis pour le faire sortir. Je marchai tout doucement dans les allées de l'écurie, afin que mon poney trouve son rythme à avancer, et nous sortîmes vers les paddocks où se trouvaient Red Mark et Bazil, tout les deux dans le même enclos, ainsi ils se tenaient compagnie. Mais je m'approchai de la barrière du second petit pré et ouvrit la barrière, faisant entrer Roméo que je suivi alors. Nous avançâmes sur quelques mètres, puis je décrochai la longe, le laissant s'éloigner au pas, boitant légèrement. Je tournai les talons et repassai la porte que je fermai avant de repartir aux écuries, j'allais charger le palefrenier de rentrer mon poney, ce qu'il accepta avec plaisir. |
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Invité
Invité | Sam 9 Avr - 19:33 |
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+ 2 confiance + 2 soins + 3 |
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Invité
Invité | Sam 11 Mar - 11:57 |
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Paddock pour Don Diego et Step Hight Aujourd'hui, les cours s'enchaînent au centre équestre et Alix n'a pas le temps de souffler. En attendant de pouvoir monter ses chevaux après sa journée de travail, elle décide de conduire ses deux étalons au paddock pour qu'ils se défoulent. De plus, il fait un petit soleil très agréable alors ils n'en seront que plus contents. Elle salue les cavaliers à qui elle vient de faire cours puis se dirige vers les écuries à la hâte. Un coup de main ne serait pas de refus pour sortir ses deux loustics, mais elle ne voit personne en mesure de l'aider, alors elle fera le trajet à deux reprises. Elle commence par entrer dans le box de Step Hight et lui passe le licol. L'alezan donne volontiers sa tête alors Alix le flatte. Elle troque sa couverture d'écurie pour une plus fine imperméable, puis dégaine son cure pied pour nettoyer les sabots du mâle. Une fois que c'est fait, elle l'invite à sortir du box. Step sort joyeusement en suivant sa propriétaire, les oreilles en avant, il marche d'un bon pas alors qu'ils se dirigent vers les paddocks. Alix en choisit un qui est vide et ouvre la barrière avant d'y entrer en compagnie de l'étalon. Elle lui détache son licol et le laisse s'éloigner au petit trot. Step Hight s'arrête ensuite pour brouter tranquillement, alors la brune fait demi-tour pour aller chercher Diego. De retour aux écuries, c'est la même chose, elle se dirige vers le box du grand bai qui hennit en la voyant arriver. Elle lui enfile le licol et cure ses pieds, puis l'emmène dehors. Pas besoin de couverture, le jeune mâle n'en a pas puisqu'il n'a pas été tondu cet hiver. Diego trottine à côté de sa propriétaire jusqu'au paddock où Step Hight les observe d'un oeil curieux. Elle choisit une parcelle éloignée de celle de l'alezan puisque se sont deux étalons, le père et le fils ! Elle lâche Diego dans le paddock et celui-ci part directement au galop en ruant. Alix sourit et ferme la barrière pour retourner à son travail. |
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Invité
Invité | Sam 11 Mar - 12:11 |
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Pour chacun : + 1 point en soins + 1 point en confiance + 2 |
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