Prairies ││ Chevaux de Pryam

A DAY OUT
Hidalgo, Money & Treasure

« Aujourd'hui, j'avais peu de temps pour m'occuper des chevaux, je pris néanmoins le temps de venir les sortir pour qu'ils se dégourdissent, et pour changer le mal de place. Au moins, je serais en paix avec moi-même. J'arrivai donc au Haras de bonne heure, avant le boulot, et je garai la voiture au même endroit que d'habitude, non loin des paddocks. Mon plan de match était simple ; je devais retirer toutes les couches à Hidalgo afin qu'il puisse se salir en bonne et dû forme, le sortir puis m'occuper des deux autres. Étant donné que je possédais deux étalons et une jument, je ne pouvais mettre personne en cohabitation. Par contre, j'étais pour la proximité des deux étalons, qu'un jour j'espérais pouvoir mettre au pré ensemble.

Hors donc, j'arrivai dans l'écurie mon plan de match bien établi. Je me précipitai au box de mon beau blond, où je pris le temps de lui retirer sac à queue, couverture et slinky avant de lui enfiler son licol. Il me suivit docilement hors de son box jusqu'au paddock de mise en liberté, où je lui retirai son licol que j'accrochai à la barrière. Il parti en ruant et en se cabrant de joie, avant de se rouler dans la neige qui couvrait le sol de son paddock. Heureux étalon, mais sal étalon va. Je le regardai quelques minutes alors qu'il arpentait son endroit pour la journée, le nez au sol à la recherche d'odeurs familière.

Je retournai à l'écurie chercher le paint horse, Money qui m'accueillit en hennissant. J'entrai rapidement dans son box, son licol à la main, je lui enfilai et l'étalon pie sur les talons, nous nous dirigeâmes vers le paddock situé tout juste à côté de son pote Hidalgo. Je le lâchai après lui avoir retiré son licol et pareil à mon blond, il parti en ruant et en hennissant jusqu'au fond du paddock, où il fît le rase-motte à la recherche d'odeurs connues. Il se roula dans le tapis blanc plusieurs fois jusqu'à ce que je rentre pour aller chercher ma petite dernière.

Dans l'écurie, Treasure m'attendait patiemment, sachant que son tour viendrait à elle aussi. Je lui enfilai doucement son licol sur sa belle tête raffinée et elle me suivit docilement jusqu'à l'extérieur. Je l'installai dans le paddock en face des deux étalons, ainsi pas de chicane, tout le monde se voyait. Je lui retirai son licol que j'accrochai à la barrière et contrairement aux autres chevaux, Treasure s'éloigna de moi doucement, au trot. Elle fît le tour du paddock quelques fois puis trouva son comble dans l'abris en bois.

Je rentrai rapidement dans l'écurie chercher du foin pour chacun des chevaux. J'en mis dans chacun des paddocks avant de vérifier les abreuvoirs automatiques pour être sûre qu'elles n'étaient pas gelées. Je quittai donc, après avoir bien vérifiée que j'avais refermée les portes des paddocks comme il se doit. Et puis bon, je devais filer au boulot! À plus tard les poneys! »