PsychoShinigami - ROND DE LONGE [corbeille - 2016 / 2020]

15/10/18

Arrivé dans l'installation Tedrick s'assurait que personne n'était déjà installé avant d'entrer et de commencer par ressangler la belle comme il se devait, il valait mieux éviter que la selle ne tourne, ça pouvait la blesser ou lui faire peur, ce qu'il souhaitait éviter au possible. Puis, il la prit en main et commença par lui faire faire quelques tours à pied du propriétaire.

Tandis que la jument découvrait les lieux, il s'éloignait progressivement pour rejoindre le centre de la piste. Il était déjà bien en place quand la belle chercha à le rejoindre, ne comprenant pas pourquoi son humain mettait une distance entre eux, elle qui avait apprit à ne pas partir s'aventurer de son côté.

Surprise, elle se fit expulser gentiment avec la chambrière, elle se mit alors au pas autours de lui, cherchant à le rejoindre à plusieurs reprises, toujours repoussée par la chambrière qui lui insinuait clairement qu'elle ne devait pas venir. Vexée, elle garda un bon pas tout en avançant tout autours du jeune homme qui, pour l'instant, ne lui demandait rien de plus que de marcher.

C'est finalement après plusieurs tours que Tedrick demanda un premier arrêt, lui disant "Oh oooooh, stop" tout en abaissant la chambrière. La jument mit un petit temps à analyser et comprendre ce qu'on attendait d'elle, et obtempéra. Mais, lorsqu'elle chercha à faire un pas dans la direction de son propriétaire, elle se fit repousser à nouveau par la chambrière. Elle tapa du postérieur, mécontente et confuse, puis finalement, lorsque l'arrêt total était obtenu sans qu'elle ne cherche à venir, il lui redemanda le pas à l'aide de la voix et en la poussant légèrement avec le stick.

Elle s'exécuta, et quelques tours plus tard il redemandait un arrêt, puis à nouveau le pas, et cela continua comme ça plusieurs tours, afin qu'elle ai bien comprit. Il n'en demandait pas tant que ça mais marquait beaucoup de temps entre les demandes et la couvrait de compliments et mots doux, que la jument comprenait comme des félicitations au timbre de la voix de l'humain qui se voulait douce.

Comme elle était bien exercée au pas et à l'arrêt il décida de demander le trot, introduisant la nouvelle demande vocale et s'aidant de la chambrière pour qu'elle comprenne bien. Elle mit peu de temps à comprendre et trotta avec énergie tout autours de l'humain, qui la laissait faire avant de faire plusieurs transitions, pour qu'elle comprenne bien et assimile les différentes demandes.

Comme elle n'avait pas encore beaucoup d'endurance et qu'elle commençait à fatiguer il lui demandait l'arrêt et la rejoignit pour la caresser au niveau de l'épaule et changer la longe de main, pour répeter étape par étape les mêmes exercices, qu'elle exécuta très bien!

Comme la séance pouvait s'achever là il la rejoignit et lui offrit deux friandises qu'elle ne sut refuser, puis, son bras par dessus l'encolure de la palomino, la ramena à l'écurie tranquillement, entre deux petites pluies qui commençaient enfin à s'écarter un peu.

Ecurie

16/10/18

Arrivé dans le rond de longe Ted ne perdit pas de temps et se plaça au centre de la piste pour demander le pas à l'étalon qui s'élançait avec énergie, même trop vite. A la voix et la longe il tentait de lui faire adopter une allure moins speed, mais rien à faire, impossible.

Le jeune homme soupira et le laissa faire plusieurs tours avant de lui demander le trot. A peine deux foulées à l'allure demandée plus tard que l'étalon prenait le grand galop en bondissant et ruant comme un possédé.

Après plusieurs tours où il diminuait de plus en plus le diamètre de la longe, il réussit à repasser l'étalon au trot puis au pas. Il le laissa donc marcher et renta de lui faire prendre le trot jusqu'à ce qu'il parte sans s'élancer au grand galop. Ce fut long et laborieux, mais finalement il obtient ce qu'il souhaitait.

Pour le féliciter il le laissa galoper à chaque main avant de l'arrêter et de lui tendre une friandise bien méritée. La séance était courte mais Halloween devenait progressivement un papy et il ne voulait donc pas le faire trop travailler.

Ils furent finalement contraints de rester un peu plus longtemps dans l'installation. Il n'était que 9 heures du matin et la pluie commençait à tomber bien fort, et puisqu'ils étaient dans une installation couverte entièrement (ayant un plafond et des murs semblable à ceux d'un manège donc ne pouvant laisser entrer la pluie), le seul risque était que les plombs sautent et donc qu'ils soient plongés dans le noir.

Ils restèrent bien 30 minutes là, Halloween ayant été "libéré" pour qu'il puisse se dégourdir à sa guise, et lorsque la pluie commençait à s'atténuer il raccrocha la longe et entraîna le pie à travers la pluie pour rejoindre l'écurie au grand trot.

Ecurie

18/10/18

Arrivé dans le rond de longe, je n'attendais pas trop longtemps avant de me placer au centre de la piste et de lui demander de prendre le pas.

La belle n'avait rien perdu et s'élança au pas autours de moi, pas vraiment perturbé par les étriers qui bougeaient et touchaient ses flancs. Je l'encourageais à la voix et l'invitait à garder un bon pas tout en lui parlant beaucoup.

Après avoir bien marché je lui demandais un premier arrêt sans qu'elle ne quitte le cercle, il fallut tout de mêmes deux à trois reprises avant qu'elle ne cherche plus à me rejoindre, je félicitais à l'oral et demandais le trot vocalement en m'aidant de la chambrière.

Comme au pas la belle obtempérait et prenait une allure énergie et motivé, contente d'avancer et avec une vrai envie de bien faire. Je félicitais beaucoup à la voix, puis je demandais plusieurs transitions à la voix et le langage du corps.

Pour finir a cette main, car la palomino n'était pas encore très endurante, je lui demandais le galop. Green s'élançait avec énergie et malice, heureuse de pouvoir se défouler. Elle ne faisait pas non plus attentions aux étriers qui tapaient ses flancs, en soit elle n'était pas dérangée du tout et c'était un bon point!

Je la repassais au trot en la gavant de complimenter, puis lui demandait un dernier galop avant de l'arrêter progressivement, changer à la longe de côté et recommencer étape par étape à l'autre main.

Séance achevée je rejoignais la palomino et lui tendait une friandise avant de la ramener à l'écurie pour m'occuper d'elle.

Ecurie

21/10/18

Arrivé dans le rond de longe je commençais à faire marcher l'étalon sur la piste, afin qu'il découvre l'endroit où il n'avait pas encore eu l'occasion d'aller, puis une fois en confiance je m'éloignais petit à petit pour rejoindre le centre de la piste.

Rapidement Hooligan essayait de venir avec moi, je le poussais donc avec la chambrière, ce qui le vexa. Il comprit néanmoins bien vite que c'était interdit, et je pu donc le laisser marcher sur la piste sans plus l'embêter.

Lorsqu'il fut assez détendu je lui demandais de l'arrêt en abaissant la longe et disant "oh ohhh". L'étalon mit du temps mais fini par comprendre, je félicitais donc à la voix mais l'empêchait tout de même de me rejoindre.

Lorsqu'il comprit complètement le but du jeu, je lui demandais de prendre le trot vocalement tout en le poussant légèrement avec la chambrière. Mécontent il partit au petit galop, je le ramenais donc au trot en raccourcissant la longe et répétant "oh oooh".

Enfin réussit je le laissais trotter et le ramenais au pas. Il donna quelques coups de têtes mais coopéra, je lui demandais donc beaucoup de transitions pas-trot, jusqu'à ce que l'étalon comprenne qu'il ne devait pas prendre le galop quand je disais "au trot".

Lorsque je réussissais -enfin- à lui faire comprendre je décidais de ne pas l'embêter plus, je l'arrêtais donc et caressais avant de changer la longe de côté et de répéter l'exercice à l'autre main, où il se montrait moins mécontent.

Une fois la séance terminé je lui tendais une friandise et le ramenais vers l'écurie où il aurait les soins qu'il méritait!

Ecurie

22/10/18

Arrivé dans le rond, je m'assurais que personne n'était déjà occupé, puis j'invitais l'étalon à me suivre dans l'endroit. Je n'attendais pas plus pour lui demander de prendre le pas sur la piste autours de moi. Bien évidemment il rechigna et donna des coups de tête avant d'obtempérer et de se mettre dans un bon pas autours de moi.

Je le laissais marcher sans plus l'embêter, après tout il fallait bien qu'il commence par s'échauffer, néanmoins je lui parlais beaucoup pour l'encourager à garder l'allure, et pour le moment tout se passait très bien, de plus il était un peu endormi et tout à fait apte à coopérer avec moi!

Rapidement je commençais à lui demander un premier arrêt à l'aide de ma voix et de la longe que j'abaissais. Il n'avait rien oublié de la veille et s'exécuta. Cette fois il chercha à me rejoindre, mais après le premier rappel à l'ordre, il se tînt plutôt tranquille. Je le félicitais donc et lui redemandais le pas.

Tranquillement je lui faisais faire plusieurs transitions pour m'assurer qu'il n'avait rien perdu et qu'il avait bien comprit la demande, et c'était parfait, je n'avais rien à redire. En revanche Nobody commençait doucement à se réveiller et j'imaginais dors et déjà le départ au galop! Enfin on n'y était pas.

D'une voix calme mais ferme je lui demandais de prendre le trot en le poussant légèrement à la chambrière, contrairement à la séance précédente il se contenta de prendre le trot, queue en panache et encore haute, orgueilleux. Je souriais à cette idée, et commençais à lui demander une première transition.

L'étalon donna un petit coup de tête de protestation, mais coopéra tout de même et reprit un pas toujours énergique mais au moins il était au pas. Je le laissais alors marcher sur quelques tours et demandais une seconde transition vers le trot. Petit à petit j'augmentais donc la fréquence des transitions, ajoutant également des transitions vers l'arrêt, pour l'entraîner un petit peu.

Tout se passait bien, Nobody était à l'écoute, attentif à ce qu'il faisait et pour une fois se montrait entièrement coopératif, peut être étais-ce un jour avec? En tout cas j'en profitais pour bien le travailler et m'assurer des acquis de la veille. De plus il ne réagissait pas à l'harnachement sur son dos et au claquement des étriers contre ses flancs, je le laissais donc marcher un peu sur plusieurs tours avant de lui redemander le trot, et finalement le galop.

L'étalon ne perdit pas de temps et prit un galop puissant, rapide, je le contenais en lui parlant et en raccourcissant légèrement, ce qui l'obligea à prendre un galop plus modéré, et après deux tours le ramenais gentiment au trot.

Je félicitais beaucoup vocalement et le laissais trotter encore un petit peu avant de demander un second galop, tout se passait bien cette fois-ci, il ne prenait pas un galop exagérément rapide et restait tout de même assez attentif, je l'arrêtais alors progressivement et le rejoignais pour lui offrir une caresse.

Sans attendre je changeais la longe de main et recommençais les exercices étape par étape pour le travailler, déjà aux deux mains, mais aussi vérifier qu'il avait bien comprit tout ce que nous avions vu lors de cette séance, puis me décidais à le ramener à l'écurie pour m'occuper de lui.

Ecurie

23/10/18

Arrivé dans le rond de longe je ne m'attardais pas trop et commençais à le détendre en le mettant au pas sur un cercle autours de moi. Impatient et borné le pie commençais à speeder et finalement ce fut partir pour plusieurs tours de galop auquel je ne pu faire que raccourcir la longe, et après un long moment à me bagarrer pour une détente correcte je décidais de commencer les exercices que j'avais prévu pour lui!

A l'aide de mon stick je commençais par me placer à son côté pour lui demander quelques déplacements de hanches et des épaules, alternant un coup l'un un coup l'autre. Au début il réagissait très mal à la demande et tentait de me faire face, de me mordre quand ma main approchait trop de sa tête ou que je l'enquiquinais trop.

Je soupirais, l'étalon n'était pas commode, pas comme si il l'était habituellement, mais c'était lassant de devoir se fâcher quoi qu'on fasse. Ça endurcissait, certe, mais c'était lassant. Soit il faisait le con, soit il boudait car je l'avais réprimandé, ce cheval m'en faisait voir de toutes les couleurs, et pourtant avec moi il était sympathique par apport aux autres êtres vivants.

Je décidais de passer à l'étape supérieur et une envie de lui apprendre des bêtises me vint rapidement. Je commençais donc par grattouiller son nez, en évitant de me faire bouffer les doigts, une friandise dans la main, et chatouillais son nez en remontant doucement la friandise.

Evidemment, il leva la tête en suivant ma main, et arrivé en haut il déplia sa lèvre supérieur, voulant attraper l'objet. Je lui donnais donc la friandise et caressais. Tout ce passait bien pour l'instant, je recommençais donc le geste, quatre ou cinq fois, puis recommençais sans la friandise. L'étalon s'exécuta comme précédemment, et je lui tendais à la suite une friandise qui sortait de ma poche.

Je grattouillais son encolure, il devenait sympa, mais évidemment quand les sucreries rentraient en jeux, c'était tout de suite mieux! Enfin bon, je décidais de poursuivre avec les déplacements latéraux, rien de bien exceptionnel en soit, je me plaçais donc à son côté et croisais les jambes en le poussant avec le stick.

Appris ainsi l'étalon se déplaça de côté en me suivant, un peu le même délire qu'une cession à la jambe, sauf que le cheval se déplaçait latéralement. Je continuais donc d'abord à droite, puis à gauche, et comme l'étalon se comportait très bien, je décidais donc d'arrêter là dessus et le ramenais à l'écurie où il aurait les soins qu'il méritait!

Ecurie

02/11/18

Arrivé dans le rond de longe je commençais par fermer derrière nous avant de me placer au centre de la piste et de commencer à lui demander de prendre le pas vocalement. Pour le moment le stick était par terre, je n'en avais pas besoin tant qu'Eirell était à l'écoute.

Je le laissais donc marcher tranquillement afin de l'échauffer, puis tranquillement je lui demandais vocalement de prendre le trot. L'étalon ne perdit pas de temps et adopta un pas aérien et délié très plaisant à regarder, un vrai cheval de dressage!

Petit à petit je commençais à lui demander des transitions montantes et descendantes. Encore une fois Eirell se montrait exemplaire et très à l'écoute, j'étais d'ailleurs toujours aussi impressionné quand je travaillais l'alezan!

Pour finir à main droite je décidais de le laisser galoper, je lui demandais donc de prendre le galop, ce qu'il ne mit pas de temps à faire. Toujours dans une allure très modérée, engageant bien les postérieurs, Eirell était dans une super attitude en soit!

Je finissais par lui demander plusieurs transitions, et l'arrêtais finalement tout doucement. Là je lui offrais une caresse avant de changer la longe de main et de le repousser sur le cercle pour répéter les mêmes exercices étape par étape, cette fois-ci à main droite.

Je terminais notre séance là dessus, ainsi je lui offrais une friandise et quelques caresses avant de le ramener à l'écurie tranquillement.

Ecurie

Petite séance de travail à pieds

Quand la propriétaire de Cartoon m'ademandé de le sortir, elle m'avais demandé de faire du saut et m'alaisser l'autre discipline en choix libre. Ce fut donc sans hésitation que je partait voir Cartoon pour faire un peu de travail à pieds. J'avais fait un pansage méticuleux au poney qui semblait beaucoup plus joli comme cela. Je me dirigeais donc dans le rond de longe avec une chambrièrre et un stick spécial.Une fois devant la structure, je dus attendre un peu, puisque quelqu'un l'utilisait déjà, je laissai donc Cartoon brouter le temps de pouvoir laisser le cavalier à l'interieur finir son travail.

Suite au moment brouting, le cavalier sorti du rond de longe, je put donc entrer. En premier lieu je fermait la porte avant de me diriger vers le centre pour y déposer mes deux seuls outils de travail et de détacher l'islandais pour observer son comportement en liberté. Le poney parti au pas tête basse pour sentir les odeurs des autres avant de sauter en l'air et de partir faire plusieurs tours de galop parsemés de coup de cul. Se comportement d'origine inconnue me fit sourire. Je m'acroupis au centre du rond de longe et l'appela par son nom. Quand il eut finit ses âneries, il s'interessa pui se dirigeât vers moi. Je restai acroupie attendant que le poney vienne sans contrainte. Une fois le pponey à mes côtés, je me relevai doucement et lui fit quelques caresses. Pour ce premier exercice, je me munis de mes mains et les passa sur tout le corps du poney pour lui prouver que je ne mords pas et que je ne suis pas dangereuse. Le poney ne bougea pas peu importe la main, alors je pris mon stick et le passa partout sur l'islandais. Ayant été correctement manipulé et mis en confiance, ce passage ne posa aucun problème non plus. Alors, je pus prendre une balle avec un liquide bleu et pailleté dedans, je laissai le poney venir sentir et découvrir l'objet de lui-même. Comme cette opération ne prit que quelques instants, j'approchai la balle de l'épaule de Cartoon qui fit des cercles autour de moi, je gardais toujours la balle sur son épaule jusqu'au moment où il s'immobilisa et où je retirai la balle de son épaule en le félicitant. Je recommençais et il se laissa faire, je passais donc la balle sur tout le corps du poney en lui parlant doucement et en le félicitant. Une fois que j'eus répété l'opération des deux côtés, je rangeai la balle et détachai la longe de Cartoon pour reprendre mes deux sticks, l'habituel et celui réserver à l'éthologie, plus long et avec une corde au bout (image sous spolier pour les curieuses ou celles qui ignorent de quoi il s'agit). Je lançai Cartoon sur un cercle au petit trot le long de la lice, je le maintenais au trot quelques instants avant de me pencher vers ses hanches de faire un bruit de bisou. Comme le poney ne répondait pas je plaçai mon stick habituel devant les épaules de Cartoon, pour qu'il ne s'échappe pas la prochaine demande, et visait ses hanches avec le stick d'éthologie, signal de déplacement des hanches. L'islandais mis un petit moment à comprendre, mais ce mit finalement à venir vers moi. Je recommençais l'exercice à l'autre main pour confirmer la base de travail et laisser le poney sur quelque chose de normalement déjà acquis. Constatant que quelqu'un attendait hors du rond de longe, je ramenai Cartoon dans son box.

Une fois dans le box du poney, je rangeai mes affaires et offris un bon pansage à Cartoon avant de le laisser avec des friandises et de laisser une piste de travail pour sa propriétaire sur un petit papier accroché sur le box du poney.

Cartoon & Mélodie

Stick d'éthologie:

03/11/18

Arrivé dans le rond de longe je commençais par faire faire un tour des lieux en mains à l'étalon bai qui n'avait pas encore eu l'occasion de découvrir cette installation, après tout j'aimais que mes chevaux grandissent tranquillement au paddock, sans qu'on ne les embêtes plus que cela.

My God se montrait très curieux, regardant partout, oreilles en alerte et dans une allure énergique, petit à petit je me rapprochais tranquillement du centre de la piste pour me mettre en place. Comme la plupart des jeunes il chercha dans un premier temps à me rejoindre, je le poussais donc avec le stick en lui faisant bien comprendre qu'il ne devait pas me rejoindre et qu'il devait rester à sa place.

Il fallut plusieurs essais avant qu'il ai bien assimilé l'idée, je le félicitais alors et le laissais marcher tranquillement. Pour le moment il ne semblait pas déstabilisé par les étriers qui ballottaient légèrement sur ses flancs ni du poids de la selle. En revanche je voyais bien qu'il mâchouillait beaucoup son mors, cela faisait saliver les chevaux et leurs permettaient de se détendre.

Après plusieurs tours dans un pas plutôt énergique mais néanmoins acceptable, à l'aide de la voix et de la chambrière, je lui demandais de prendre le trot. L'étalon s’exécuta rapidement et fit quelques bonds, surpris par le tapotement des étriers contre ses flancs, mais il s'habitua doucement tandis que je lui disais des paroles d'encouragement.

Je lui laissais faire plusieurs tours de trot avant de commencer à abaisser la longe en lui demandant vocalement de reprendre le pas. L'étalon comprit après quelques tentatives et repassa au pas. Je lui laissais donc faire plusieurs tours avant de lui demander quelques transitions.

Plus je lui demandais des transitions et plus elles venaient vite. Satisfait de l'étalon je lui demandais doucement l'arrêt et le rejoignais avant de lui tendre une friandise et de changer la longe de main. Là je l'invitais à faire volte-face et m'éloignais pour rejoindre à nouveau le centre de la piste et répétais les exercices étape par étape.

Je décidais d'arrêter le bai là dessus, il n'était pas encore très endurant et il commencé à montré des signes de fatigues, je lui offrais tout de même deux friandises, car il avait été exemplaire, puis lui caressais l'épaule tandis que je le ramenais à l'écurie.

Ecurie

04/11/18

Arrivé dans le rond de longe je m'assurais que personne n'était en train de l'utiliser avant d'entrer, suivit de près par le grand bai élancé. Sans plus attendre je le poussais avec la chambrière en lui indiquant de se mettre en place sur la piste, ce qu'il fit docilement, gardant toujours un oeil et une oreille dans ma direction.

Dans un premier temps je le laissais marcher sans lui en demander plus, afin qu'il puisse bien s'échauffer et se remettre dans le bain, néanmoins je lui lançais des paroles d'encouragement pour qu'il garde une bonne allure.

Une fois bien marché je commençais à lui demander vocalement le trot. L'étalon s'élança, ne se souciant pas des étriers se balançant contre ses flancs et le tapotant de temps en temps. Je le félicitais et le laissais trotter sur plusieurs tours avant de commencer à lui demander quelques transitions, d'abord avec la voix et les aides comme longe et chambrière, puis uniquement avec la voix.

My God se comportait très bien et ne posait aucun soucis, au contraire il était bien concentré dans l'exercice et au final la voix suffisait à obtenir ce que je voulais, pas toujours aussi rapidement d'un cheval bien habitué, mais c'était largement suffisant pour un jeune de 3 ans.

Je le félicitais vocalement et lui demandais finalement le premier galop à la longe, à l'aide de la voix et l'encourageant en le poussant un peu avec la chambrière. Sans hésitation il prit une allure rapide et énergique, faisant quelques bons à cause des étriers tapant contre ses flancs, mais il se calma rapidement de lui même après quelques sauts de moutons.

Je lui laissais faire un tour de galop avant de le ramener tranquillement au trot, et deux tours plus tard lui demandais un dernier tour de galop à main droite qu'il réalisa parfaitement. Je l'arrêtais alors progressivement et le félicitais chaleureusement en le caressant et lui parlant comme à un bébé, puis changeais la longe de sens pour répéter chaque étape à l'autre main.

Je décidais d'arrêter notre séance là dessus, je le caressais alors vigoureusement et lui tendais deux friandises à la pomme avant de le ramener tranquillement à l'écurie où il recevrait les soins qu'il méritait.

Eurie

17/11/18

Une fois dans le rond de longe je ne perdais pas plus de temps et indiquais à Sally de se mettre au centre de la piste pendant que je ressanglais la selle pour m'assurer qu'elle ne tourne pas durant la séance. Je marchais ensuite sur la piste, l'étalon en main, pour qu'il découvre l'endroit tranquillement, et finissais par m'éloigner lentement pour rejoindre le sens de la piste.

Mini Pride cherchait souvent à me rejoindre, et je lui faisais comprendre qu'il ne devait pas en le poussant avec la chambrière et disant fermement "non". L'étalon, après quelques minutes, comprit où était sa place et se contentait de marcher sur la piste gentiment.

D'abord je le laissais marcher sans plus lui demander, tant qu'il restait sur la piste sans caler c'était suffisant. C'est une fois échauffé que je lui demandais vocalement de prendre le trot en le poussant légèrement avec la chambrière pour l'aider à comprendre. Il n'hésita pas vraiment et s'élança avec énergie à l'allure demandée.

This is my Pride trottait donc avec énergie autours de nous. Je proposais finalement à Sally de prendre la longe et la lui mettait dans les mains en lui indiquant ce qu'elle devait faire. Pour le moment il s'agissait juste de faire trotter l'étalon, puis je lui demandais de reprendre le pas. Elle disait alors "auuu paaaas" tout en baissant la longe. Après quelques secondes l'étalon coopérait, et elle lui demanda alors plusieurs transitions qui furent assez vite comprises par l'étalon.

Je lui proposais donc d'arrêter l'étalon et le rejoignais pour lui tendre une friandise avant de changer la longe de côté et reprendre la longe pour répéter les mêmes exercices à l'autre main. Cela confirmait mes espérances, l'étalon avait parfaitement compris ce que j'attendais de lui, je l'arrêtais donc et lui offrais une friandise avant de le ramener à l'écurie.

Ecurie

18/11/18

Une fois arrivé je retirais la longe des deux chevaux qui restèrent plantés là à me regarder l'air de dire "et maintenant?". Je souriais et les poussais sur la piste en claquant de la langue. Ils comprirent vite ce j'attendais d'eux et se mirent l'un derrière l'autre, Milord en tête et Eirell à sa suite. Je les laissais marcher en claquant de la langue ou les interpellant pour les encourager à garder l'allure.

Je les félicitais vocalement et leurs demandais vocalement l'arrêt. Milord s'immobilisa au même moment qu'Eirell qui, si il n'avait pas été si réactif, aurait surement pris les fesses de Lord en pleine poire. Je les félicitais puisqu'ils gardaient l'arrêt sans me rejoindre et leurs redemandais le pas.

Je leurs faisais faire quelques transitions ainsi avant de leurs demander de prendre le trot. Pour le moment tout se passait bien et les chevaux avaient rapidement compris le principe. Certains chevaux plaçaient leurs chevaux côte à côte mais il était plus facilement dirigeable pour moi de les mettre à la queue leuleu.

Après plusieurs tours je leurs demandais de prendre le galop. Milord s'élança dans un galop assez énergique, suivit d'Eirell qui veillait à garder ses distances pour ne pas rentrer dans les fesses du bai en face de lui. Ce cheval m'étonnait par son bon sens, enfin bon.

Je les laissais donc galoper quelques tours avant de leurs demandais vocalement de repasser au trot. Ils s'exécutèrent et je barrais la route du bai avec le stick en indiquant "tourne". Le bai pivota et reprit sa place en tête, suivit d'Eirell. Je leurs redemandais donc beaucoup de transitions montantes et descendantes, puis les invitais à me rejoindre.

Je tendais une friandise à chaque cheval, les deux contents d'avoir des petites douceurs, puis je les laissais se balader comme ils voulaient. Ils mirent beaucoup de temps avant de s'éloigner de moi, et firent leurs petites vies. Je finissais par les ramener tous les deux à l'écurie, un dans chaque main.

Ecurie

20/11/18

Arrivé dans le rond de longe je commençais directement par me placer au centre de la piste et poussais l'étalon avec la chambrière en claquant de la langue. L'étalon comprit rapidement ce que j'attendais de lui et se mit en place au pas sur la piste, je le laissais donc marcher pour l'instant sans plus lui en demander, car après tout il fallait bien qu'il s'échauffe!

Je le laissais marcher un bon moment, jusqu'à ce qu'il soit suffisamment détendu, et lui demandais vocalement de prendre le trot en m'aidant de la chambrière avec laquelle je le poussais légèrement. Mini Pride comprit tout de suite ce que j'attendais de lui et prit un trot actif et enthousiaste, tournant autours de moi en gardant un oeil et une oreille attentive.

Je le laissais trotter plusieurs tours avant de commencer à lui demander de reprendre le pas, et progressivement plusieurs transitions montantes et descendantes. De son côté l'étalon ne semblait pas dérangé le moins du monde par les étriers qui se balançaient contre ses flancs. Je le félicitais beaucoup oralement, et décidais de terminer à cette main par le galop.

Je le  laissais prendre un bon trot, pas trop rapide mais tout de même énergique, et claquait ma langue en disant "galop" et en le poussant avec la chambrière. Tout content le pie pris un bon galop énergique et volontaire, je le laissais alors galoper sur quelques tours avant de le repasser au trot pour qu'il souffle, puis demandais un dernier galop à cette main.

Je le repassais doucement au trot puis au pas et finalement à l'arrêt, et le rejoignais pour lui offrir une caresse chaleureuse. Je changeais également la longe de main et m'éloignais en l'empêchant de me rejoindre pour lui redemander la même chose étape par étape à l'autre main. Et comme mini Pride se donnait vraiment et se montrait très volontaire, je décidais d'en arrêter là.

Je l'autorisais à me rejoindre et lui tendais une friandise avant de le grattouiller entre les oreilles et de désangler un peu. Ensuite, côte à côte, je le ramenais jusqu'au boxe où j'allais pouvoir m'occuper de lui comme il le fallait.

Ecurie

29/11/18

Après son débourrage j'avais décidé de laisser Popcorn vivre sa petite vie tranquille. Oh certe j'allais souvent la voir pour la promener un peu en main ou la panser, mais globalement je la laissais profiter des dernières années de sa vie où on ne lui demanderait rien, si on ne compte pas la retraite bien évidemment. Elle s'était très rapidement attachée à Pompon et je n'avais jamais eu de problème entre eux, au contraire ils s'entendaient très bien et étaient bien habitués à être ensemble à présent.

Elle avait fêté ses 3 ans quelques jours auparavant et je lui avais laissé ses derniers jours tranquille, sans rien lui demander, jusqu'à aujourd'hui où j'allais débourrer l'adorable petite pouliche blanche. Pour ce faire j'avais préparé tout ce dont nous aurions besoin pour que la séance se déroule au mieux, soit le harnachement, qui appartenait également à Pompon mine de rien, la chambrière, et le stick, le tout laissé bien en place dans le rond de longe que j'avais réservé pour m'assurer de ne pas avoir de mauvaise surprise au cours de notre séance. Ainsi, motivé et impatiente, équipée de son licol et quelques friandises, je me dirigeais d'un pas déterminé vers le paddock de ma petite princesse.

Comme à chaque fois qu'elle m'entendait arriver, Popcorn trottinait vers moi en hennissant, avec ses petites foulées de poney adorable. Pompon la précédait, trottinant à son côté. Je fondais littéralement devant tant de mignonnerie, je m'accroupissais et les dorlotaient tous deux, caressant et grattouiller leurs front tandis qu'ils plissaient les yeux et laissaient échapper un air chaud de leurs naseaux. C'est finalement après un gros câlin à trois que je me décidais à commencer notre séance, ainsi je la licolais et l'emmenais vers l'air de pansage où je commençais par la panser.

Attaché à l'anneau à côté de deux grands chevaux, bien plus grand qu'elle en tout cas, je m'accroupissais et sortais l'étrille en caoutchouc avec laquelle je dessinais des cercles sur son poil d'hivers tout en faisant voler le plus de poils  morts possible. Un vrai défit, mais lorsqu'on es déterminé, on peut! Ce n'était pas évident, mais une fois satisfaite de mon travail je reposais l'étrille et sortais la brosse dure avec laquelle je la brossais avec énergie, détermination, motivation! Je finissais avec la brosse douce avec laquelle je retirais les saletés, terres et poussières de ses membres et sont ventre quand même assez prêt du sol. J'achevais le tout avec le cure-pied. Elle me donnait les sabots sans protester, se laissant faire sagement, alors une fois tout propre je lui tendais deux friandises et l'invitais à me suivre jusqu'au rond de longe où la suite aurait lieu.  

Elle me suivait en marchant gaiement, sans jamais me dépasser mais avec toujours beaucoup d'énergie et d'enthousiasme. Lorsque nous arrivions enfin je commençais par lui laisser le temps de prendre connaissance des lieux, la faisant marcher un peu partout, puis la ramenais au centre de la piste où l'équipement était déjà posé. J'avais bien vu qu'elle louchait dessus particulièrement, j'allais donc enfin satisfaire sa curiosité! Toujours en tenant la longe fermement j'attrapais le tapis et le lui montrais tranquillement. Toujours aussi curieuse et jamais peureuse elle tendait son petit nez pour venir sentir et toucher le tissu. Je la laissais faire et se mettre en confiance tranquillement, puis je commençais à bouger un peu le tapis, faisant en sorte qu'il s'ouvre et ferme tandis que je le faisais bouger verticalement et horizontalement. Popcorn ne comprit pas tout de suite, faisant des grands yeux, ne comprenant pas ce que j'attendais d'elle. Puisqu'elle n'était pas plus perturbée que ça par le tapis je le posais très doucement sur son dos et caressais beaucoup avant de m'assurer qu'il soit bien en place. Toujours en tenant la longe je prenais la petite selle en cuir noir et la présentais à la ponette. Elle eu un mouvement de recul, manquant de faire tomber le tapis sur le sol. Je la rassurais en lui parlant en continuant d'avancer la selle vers elle. C'est après quelques mètres à reculons qu'elle commença à s'immobiliser pour venir voir l'objet de plus prêt. Je comprenais sa réaction tout de même, la selle était plutôt imposante et sentait fort le cuir fraîchement huilé. Je posais ensuite la selle aussi doucement que possible et sanglais de quelques trous toujours sans lâcher la longe. Elle laissa échapper un petit souffle, mais ne réagit pas plus que ça. Je félicitais beaucoup en caressant et m'assurant que j'avais bien pensé à dégarotter avant de sangler, puis attrapais le filet. Je commençais par bien le montrer à Popcorn qui ne semblait pas comprendre son utilité, puis aussi habilement que possible j'attachais le licol autours de sa petite encolure afin de me placer à son côté et lui mettre le filet, mettant une main sous le mors et sa bouche, l'autre titillant la commissure de ses lèvres. Elle résista un peu mais comprit finalement ce que j'attendais d'elle et ouvrit la bouche. Je plaçais donc le mors délicatement dans sa bouche tout en enfilant le filet dont j'attachais la sous-gorge et la muserolle.

Elle n'attendit pas très longtemps avant de se mettre à mâchouiller le mors. Je la félicitais donc d'une caresse et retirais les rênes, car pas très maline en effet j'avais simplement oublié de le faire. Elle se montrait très sage, j'en profitais donc pour mettre la longe de travail en place puis retirais le licol encore attaché à son encolure. Tranquillement je le posais au sol, évitant de le jeter pour ne pas qu'elle se fasse peur, puis attrapais la chambrière avec laquelle je la poussais vers le cercle tandis qu'elle me regardait, réfléchissant, ne comprenant pas trop ce que j'attendais d'elle. Je continuais en l'encourageant vocalement, et après de nombreux essais elle s'éloigna pour se mettre au pas sur la piste. Je félicitais beaucoup vocalement et la laissais marcher sans plus lui en demander, veillant juste à ce qu'elle garde un bon pas.

Popcorn gardait un oeil et une oreille attentive dans ma direction, voulant faire au mieux elle se montrait très attentive au moindre signe, vocal ou physique, ce qui rendait le débourrage bien plus simple et intéressant en quelques sortes. Je la laissais donc faire, et lorsqu'elle avait marché suffisamment lui demandais un premier arrêt en disant "oooh oooh" et abaissant la longe. Au timbre de ma voix qui allait vers le bas et au signe de la longe elle prit quelques secondes pour analyser ce que je demandais avant de s'arrêter. Je félicitais d'un mot doux, et dès qu'elle essaya de me rejoindre ou de me faire face, la repoussais avec la longe en veillant bien à ce qu'elle garde l'arrêt. Popcorn assimila plutôt vite le but de l'exercice et après quelques essais se tient bien tranquille.

Puisque les freins étaient validés je décidais de commencer à lui demander de prendre le trot, disant "Popcorn, trooooter" tout en la poussant légèrement avec la chambrière. Avec ses petites foulées de poney elle s'exécuta, levant bien haut sa petite tête en avançant fièrement sur la piste. Tout sourire je la laissais trottiner autours de moi, et lorsque je la sentais bien à l'aise lui redemandais de prendre le pas, en disant "au paaaas" tout en abaissant la longe. Elle ne mit pas longtemps à comprendre et je félicitais vocalement avant de commencer à ajouter plusieurs transitions montantes et descendantes, finissant par ajouter même quelques arrêts qu'elle réalisait dans un grand calme malgé son jeune âge et son petit air malicieux, comme quoi elle avait vite appris à différencier les moments de jeux et de travail.

Pour finir à main droite je décidais de lui demander de prendre le galop, vocalement je disais donc "Popcorn, gaaalop" en la poussant avec la chambrière. Elle n'attendit pas plus pour prendre un bon galop énergique, contente de pouvoir se défouler, elle avait l'air de bien aimer galoper, d'autant que lorsqu'elle était au pré je la voyais souvent faire la course contre son ombre ou avec Pompon. Je la laissais donc galoper sur quelques tours avant de lui redemander le trot en lui donnant l'ordre vocal associé et en abaissant la longe. Elle donna un petit coup de tête, pas très contente de ralentir l'allure, mais s'exécuta tout de même.

Comme j'étais satisfaite de ce qu'elle avait fait je la repassais progressivement à l'arrêt, et la rejoignais pour lui tendre une friandise et frotter son toupet avant de changer la longe de main. Je m'éloignais ensuite en l'empêchant de me rejoindre, et, à main gauche, lui redemandais de prendre le pas. Elle obtempéra et prit une allure assez énergique, car en effet lorsqu'on la connaissait bien Popcorn se révélait être une vrai pile électrique! Je la laissais marcher suffisamment longtemps pour qu'elle soit bien échauffée à main gauche avant de demander un premier arrêt avec le même code vocal qu'à main droite et en abaissant la longe.

Popcorn s'arrêta et, ayant bien comprit qu'elle ne devait pas bouger, resta bien en place. Je lui lançais donc des félicitations enthousiaste et lui redemandais de prendre le pas avant de commencer quelques transitions montantes et descendantes, qu'elle avait bien assimilée! Je n'attendais pas plus avant de lui demander de prendre le trot, elle s'élança, heureuse, et fit plusieurs tours de trot avant de reprendre le pas à ma demande. Je lui demandais plusieurs transitions, pour bien m'assurer qu'elle avait comprit, et terminais avec le galop, qui lui aussi se passa très bien.

Comme elle avait bien comprit le but de la longe je l'arrêtais et l'invitais à me rejoindre, ce qu'elle fit avec plaisir. Je farfouillais dans ma poche et lui tendais une friandise qu'elle ne put me refuser, la dégustant avec plaisir. Je retirais ensuite la longe de travail et attrapais les rênes précédemment retirées pour les rattacher. Très patiente elle ne bougea pas le temps que je remette les rênes en place, puis lui tendais une autre friandise avant de l'emmener au manège où j'allais achever son débourrage.

Manège

02/12/18

A cause de mon flagrant manque d'organisation je m'étais très, même trop vite laissé débordé et j'avais du demander de l'aide pour le pé-débourrage de mes nombreux poulains. Heureusement des  généreuses amies étaient venues alors venues à m'aider, seulement un poulain ça grandissait vite et l'heure était aux débourrages! J'avais donc décidé de commencer par Stay Calm, un très beau quarter horse qui avait pour principal défaut de voir des fantômes partout. Oh, ce n'était pas du cinéma  ou une feinte pour emmerder son monde, depuis tout petit il s'effrayait seul, même lorsqu'il n'y avait rien, a tel point que j'avais envisagé de réaliser une communication animale afin de découvrir ce qui clochait chez lui.

Honnêtement j'espérais que tout irait bien lors du débourrage, préférant éviter les frayeurs le jour J. Je soupirais et finissais ma tasse de thé au lait sucré (miam) avant de m'étirer, enfiler ma doudoune pour essayer de résister au mieux contre le vent glacé, un bonnet, puis de descendre jusqu'à la sellerie. Je récupérais l'équipement ayant appartenu à Halloween et m'en allais le poser dans le rond de longe, avec la longe de travail et la chambrière. Là seulement j'allais m'occuper de l'étalon au drôle de gris. Puisqu'il pleuvinait il était resté au boxe, et donc là que j'allais le retrouver. Le tout en me préparant psychologiquement à la traversé de la cour dans le vent et la pluie.

Stay Calm passa rapidement sa tête par l'encadrement de la porte, inquiet de voir qui s'approchait. Lorsqu'il me vit il sembla se détendre "ouf, c'est pas un intrus!". Je tendais tranquillement une main vers lui, qu'il accepta alors en plissant les yeux, et se laissa caresser. Malgré qu'il soit un peu "tendu", il semblait être plutôt en forme, je me glissais alors dans son boxe pour commencer à le panser. Sous son air curieux mais pas très serein j'ouvrais ma boîte de pansage pour en tirer l'étrille en caoutchouc, que je passais ensuite sur sa robe en faisant de grand cercles énergiques. Il ne semblait pas s'en plaindre, il aimait qu'on s'occupe de lui après tout! Je n'attendais pas plus avant de la poser et d'attraper la brosse dure. A nouveau je la passais sur tout son petit corps, ce qu'il appréciait particulièrement, et finissais avec la brosse douce que je passais également sur sa tête, son ventre et ses membres, puis curais ses pieds. L'étalon tout propre je commençais à le licoler et n'attendais pas plus longtemps pour l'emmener vers le rond de longe.

Si le trajet se passait relativement dans le calme il me fit tout de même un écart, surpris par je ne sais quoi, et une fois calmé nous poursuivions tranquillement pour atteindre le rond de longe. J'ouvrais la porte et l'invitais à rentrer avant de refermer derrière nous et commencer par lui faire visiter l'endroit. J'attendais qu'il soit bien rassuré, pour éviter les coups de flippe supplémentaires, puis  je décidais de commencer notre séance. Ainsi, j'attrapais le tapis navajo et le présentais au gris. Curieux et intéressé il avança son nez vers l'objet pour venir à sa rencontre. Je le laissais donc tranquillement sentir et observer avant de l'approcher pour le poser sur son dos. Il tourna la tête, intrigué et méfiant, mais compris vite que ça n'avait rien de bien méchant, je caressais donc beaucoup et attrapais la selle que je lui montrais également. Plus imposante et lourde il parut moins en confiance, je lui laissais donc le temps de bien voir et sentir l'objet jusqu'à ce qu'il soit sur qu'il ne le mangerait pas tout cru, puis la posais délicatement sur son dos. Il eu un mouvement de recul mais se calma bien vite sous mes mots doux et caresses, je sanglais alors de quelques trous pour éviter qu'elle ne tourne et récompensais d'une friandise. Je prenais finalement le filet que je lui montrais tranquillement. Il ne parut pas vraiment comprendre son utilité mais le dévisagea tout de même en sentant avec intérêt. J'accrochais alors son licol autours de son encolure et me plaçais à son côté pour l'inviter à prendre le mors en titillant la commissure de ses lèvres et en l'encourageant. Il ne mit pas bien longtemps avant d'accepter le mors qu'il se mit à mâchouiller tandis que j'attachais la sous-gorge.

Je félicitais fortement Stay, très content de ce début, puis retirais le licol qui pendait à son encolure avant de vérifier la sangle et mettre en place la longe de travail après avoir retiré les rênes. Il ne dit rien, et je commençais à le pousser avec la chambrière vers la piste pour poursuivre notre séance. Il ne tarda pas à comprendre ce que je voulais qu'il fasse et pris le cercle autours de moi A l'instant présent je me contentais de le laisser marcher sans rien demander de plus. Il se montrait très attentif  autant à moi qu'à son environnement, et aucune flippe pour le moment, j'étais donc plutôt content. Je le laissais finir de s'échauffer au pas et lui demandais un premier arrêt, abaissant la longe et disant "Stay, arrêêêêt"". Il n'en fallut pas plus pour qu'il s'immobilise, cherchant tout de même de me rejoindre. Je le repoussais donc et le gardais à l'arrêt jusqu'à ce qu'il comprenne ce que j'attendais de lui. Il fallut beaucoup d'encouragement et un peu de patience mais une fois obtenu, je le félicitais vocalement et lui redemandais de prendre le pas.

Tranquillement je lui demandais de nombreuses transitions montantes et descendantes, afin de m'assurer qu'il ai bien comprit ce que j'attendais de lui. Et une fois les transitions arrêt-pas pas-arrêt bien acquises je lui demandais un premier changement de main, lui coupant la route avec la chambrière et faisant des petits mouvements circulaires. Il ne tarda pas à comprendre et pivota pour se remettre au pas à l'autre main. Comme à main droite je lui demandais donc plusieurs transitions tranquillement, tout en vérifiant ses acquis, et lui demandais alors de prendre le trot en le poussant avec la chambrière en lui disant "Stay, troootter".

L'étalon gris s'exécuta dans une allure de travail, ni trop speed ni trop molle, je félicitais donc vocalement et le laissais trotter sur plusieurs tours avant de demander un premier changement de main en lui coupant la route avec la chambrière. L'étalon comprit et pivota en poursuivant son trot à l'autre mains. Je ne l'embêtais pas plus et lui faisais faire plusieurs tours avant de lui demander une première transitions avec la voix et en abaissant la longe. Il n'attenda pas plus avant de repasser au pas, et je félicitais beaucoup avec de nombreux mots doux avant de continuer de demander des transitions sans oublier de changer de main.

Afin d'achever notre séance de longe je lui demandais un premier galop, le poussant avec la chambrière en disant "Stay, gaaalaop!". Il s'exécuta alors, prenant une allure énergique et enthousiaste. Il se fit peur tout seul et fis un écart avant de s'immobiliser et de repartir au trot, je lui demandais alors de reprendre le galop et le laissais faire quelques tours avant de le repasser au trot tranquillement. Je lui demandais de changer de main et le laissais faire un tour avant de redemander le galop en le poussant avec la chambrière tout en lui demandant vocalement. Il s’exécuta alors et fit quelques tours de galop avant de le repasser progressivement à l'arrêt.

Pour le moment Stay n'était pas très endurant et il avait eu un comportement exemplaire, je le rejoignais alors et frotter mon poing contre son front tandis qu'il plissait les yeux et s'appuyait contre ma main, je lui tendais ensuite une friandise et le caressais avant de retirer la longe de travail, remettre les rênes et me décider à l'emmener au manège pour finir son débourrage tranquillement.  

Manège

06/12/18

Et c'était pas fini! Plus tôt dans la semaine je m'étais occupée assidûment du débourrage de Stay Calm, cette fois-ci se serait au tours de ma jolie XTC d'y passer. La séance s'annonçait prometteuse, la jument voulait toujours faire au mieux mais se révélait aussi être une boule d'énergie que j'allais devoir réussir à gérer au mieux pour que la séance se passe aussi bien que possible. Le bon point c'est qu'elle était toujours motivée et qu'il était simple de la convaincre de travailler. J'étais donc plutôt impatient de voir ce que tout cela aller donner, autant en longe que monté.

Pour commencer je me rendais dans la sellerie du domaine où je récupérais le harnachement de la jument et m'en allais tranquillement le déposer au centre du rond de longe avec la chambrière. Tout mis en place je m'en allais chercher la belle jument noire qui avait passé la nuit au paddock. Il n'avait pas plut depuis deux semaines et je n'avais donc pas à craindre la boue, en revanche je m'inquiétais fortement pour la poussière et la terre sèche. Je n'avais pas spécialement envie de la panser pendant des heures, et a mon avis elle non plus. Par chance lorsque j'arrivais elle ne semblait pas si sale. Je caressais alors tranquillement son chanfrein puis attachais le mousqueton de la longe à l'anneau du licol, car j'étais de ceux qui laissaient le licol au pré, et l'emmenais avec moi jusqu'à l'air de pansage.

Je l'attachais tranquillement à l'anneau et sortais mon étrille en caoutchouc que je commençais à passer sur la robe de la jolie jument qui, pas si patiente que ça, qui bougeait de manière intempestive. Au final j'étais plus fatigué de la reprendre que de m'en occuper vraiment. Je ne pouvais néanmoins pas me permettre de baisser les bras et je m'acharnais a la remettre à sa place. Lorsque je réussissais à finir avec l'étrille, le bouchon prenait la relève.

Madame Ecstasy ne semblait pas trop l'aimer, ou bien elle était contrariée, elle avançait et reculait ses oreilles, indécise, tout en avançant, reculant ou se tournant vers moi. En soit elle avait la bougeotte et n'étais pas d'excellente humeur, mais tant pis. Je n'en tenais pas vraiment compte et poursuivais avec la brosse douce, jusqu'à ce qu'elle soit propre et douce. J'achevais avec le cure-pied et la brosse a crin. Difficile dans les deux car elle n'était pas patiente et cherchais à m'arracher ses sabots des mains et tirait à l'opposé ou encore bougeait quand je démêlais ses crins.

Finalement prête je l'emmenais au rond de longe, bien évidemment en trottant sur place. Dans un sens ça m'arrangeait car elle se fatiguerait vite et me faciliterait la vie de l'autre nous avions une grosse séance de débourrage et je préférais qu'elle garde ses forces, autant que possible.  Finalement nous arrivions enfin au rond de longe. Je n'attendais pas plus pour l'inviter à entrer et lui laisser le temps de découvrir les lieux. Curieuse mais sans plus elle parut vite à l'aise dans l'installation et je la ramenais alors vers le centre où l'équipement était déposé.

Sans lâcher la longe j'attrapais le tapis et le montrais à la petite jument noire qui approcha lentement son nez vers de l'objet pour le sentir et le toucher. Pas inquiète du tout j'approchais le tapis de son dos et le posais sur elle en caressant. Elle se retourna mais oublia vite sa présence. Je caressais beaucoup et attrapais la selle, un peu lourde, et la montrais à la jument qui chercha plus à jouer avec en essayer de l'attraper avec la bouche qu'autre chose. Je souriais et la posais aussi légèrement que possible sur le dos de XTC. Elle recula de quelques pas mais ne bougea pas plus. Tranquillement je sanglais de quelques trous pour éviter qu'elle ne tourne avant de lui tendre une friandise. J'attachais ensuite le licol autours de son encolure et attrapais le filet que je lui montrais tranquillement. La forme étant semblable elle le prit rapidement pour un drôle de licol  et tenta de passer sa tête dedans. Je caressais, amusé, puis, la main sous le mors, invitais la quarter à ouvrir la bouche. Pour l'aider à comprendre je chatoullais la commissure des lèvres et une fois ouverte y glissais le mors. Je caressais beaucoup après avoir mis la sous-george et finissais par tranquillement retirer les rênes et le licol pendant à son encolure.

Puisque nous étions prêt je mettais la longe de travail à la miss et n'attendais pas plus pour attraper la chambrière et la pousser sur la piste. Intelligente et rapide à la détente la mettre au pas ne fut pas pour bien compliqué, je félicitais alors vocalement avant de la laisser marcher tranquillement sur la piste sans rien demander. Tout ce que j'attendais d'elle c'était qu'elle ne reste au pas.

Au fur et à mesure qu'elle s'échauffait je commençais à lui demander des arrêts, abaissant la longe et disant "Ecsta, arrêêêêt". Comprendre fut rapide pour elle, la vrai difficulté consistait à lui faire garder l'arrêt. Compliqué je passais mon temps à la reprendre et lui faire garder l'arrêt, mais après un bon moment d'acharnanement elle ne bougeait plus! Très heureux je lui envoyais plein de paroles d'encouragement et mots doux avant de lui demander de reprendre tranquillement le pas. Tranquillement, un bien grand mot vu qu'elle avait une allure très énergique. Quoi qu'il en soit je lui demandais plusieurs transitions montantes et descendantes, afin de m'assurer qu'elle ai bien compris. Je lui demandais un premier changement de main en lui bloquant la route et faisant des petits mouvements circulaires avec la chambrière en disant "Ecsta, tourne!".

La jument comprit étonnamment vite et pivota, je félicitais vocalement et la laissais bien marcher à main gauche avant de lui demander des transitions comprenant l'arrêt, qu'elle tenait bien mieux, et des changements de main. Étonnamment bonne élève et agréablement surpris par son comportement, je décidais de lui demander le trot, la poussant avec la chambrière et disant "Ecsta, troootter!". Rapidement la noire s'élançait dans une allure très énergique et bondissante.

Après plusieurs tours de trot, je lui demandais le pas puis l'arrêt en abaissant la longe et disant l'ordre vocal associé, faisant de nombreuses transitions comprenant l'arrêt. Très fier de la petite sportive je rajoutais des changements de main lorsque je la sentais suffisamment à l'aise. Aucun soucis pour ma noire qui se jouait de la difficulté, et je voyais qu'elle n'avait qu'une envie : galoper. Je préparais donc ma demande en lui demandant un trot plus modéré.

Une fois dans une allure convenable je la poussais avec la chambrière en disant "Ecsta, gaaalop!". Ni une ni deux la jument bondissant dans un galop précipité. Je n'attendais pas vraiment pour la repasser au trot, ce qui semblait lui déplaire vu le regard plein de haine qu'elle me lançais, et prit finalement une allure très speed et bondissante. Encore une fois je la mettais dans un trot calme et demandais le galop, encore bien trop speed.

Je gardais patience et répétais autant de fois qu'il fallait pour obtenir un bon galop et pas une course contre elle-même. C'est là que je félicitais vocalement, plutôt content qu'elle se calme enfin, et lui demandais de changer de main pour un dernier tour de galop avant de l'arrêter progressivement.

Coquine, XTC avança immédiatement son petit nez de moi pour obtenir une friandise. Amusé je fouillais dans ma poche pour en sortir une friandise, et lui tendais. Une fraction de seconde plus tard la friandise avait mystérieusement disparu, je caressais alors son encolure et retirais la longe de travail pour remettre les rênes. Puis, sans perdre de temps l'emmenais au manège où j'allais finir son débourrage!

Manège